Rose en Vrac

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Une randonnée amoureuse au chalet avec Rose en laisse.
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Honnêtement, lorsque j'ai eu l'idée d'une randonnée à travers bois pour rejoindre la cabane isolée, où j'avais l'intention de me payer du bon temps avec ma pute, je ne pensais pas en chier autant. Il fait froid et la progression n'est pais aisée dans ce sous bois touffu.

Heureusement que j'ai un bon pull et un parka épais qui me protègent de la bise et des ronces épineuses. J'ai mis de bonnes chaussures de rando, bien utiles pour marcher sur ces sentiers défoncés et caillouteux.

J'ai presque pitié de la conne qui se traîne derrière moi au bout de la laisse que je tiens en main. Il faut dire qu'elle est pieds nus et à poil. Pour tout "vêtements", des cordes lui lient les poignets dans le dos et maintiennent deux gros godes en place, bien enfoncés. Elles font le tour de la taille pour passer par son entrejambe. La laisse est fixée au gros anneau qu'elle a dans le nez comme une vache.

A propos d'anneaux, elle en a aussi aux tétons et au clito.

Pas les petits machins en or qui sont discrets et font penser à des bijoux intimes, mais de bons gros anneaux en acier. Pas de soucis, il y a la place.

Elle en a bavé la salope pour arriver jusqu'ici, même si elle a l'habitude que je la traite comme une bête de somme. Le sac à dos que j'ai fixé sur ses épaules, deux heures plus tôt, doit peser dans les 15 kilos. Elle avance courbée, ce qui fait dodeliner ses mamelles pleines le lait. Je pense que je vais devoir la traire bientôt.

Elle trainasse un peu trop, je lui redonne un peu d'entrain avec le bâton que j'ai ramassé. Je ne peux pas trop tirer sur la laisse, je risquerais de lui arracher le nez et de la défigurer. Je ne peux pas me permettre de trop l'esquinter, elle est trop mignonne et c'est mon gagne pain. Je regrette un instant de ne pas avoir fixé la laisse à ses nichons ou à sa mini bitte, puis je me dit que ça n'aurait rien changé aux risques de mutilation.

La connasse s'est déjà cassé la gueule deux fois, en plein sur les nichons, au milieu des ronces et des orties. Je ne suis pas qu'un salaud, je lai aidée à se relevé après lui avoir permis de se désaltérer en lui pissant dans la bouche. Elle était tellement déshydratée, qu'elle en avait les larmes aux yeux de reconnaissance.

Elle est griffée de partout avec des traces de piqures d'orties et d'épines. Sur sa peau pâle presque translucide, veinée de bleu, la chair de poule la rend super bandante. Je fais une halte brève, le temps de de la positionner à ma convenance sur une souche, pour décharger dans son cul.

Même pour moi qui ai l'habitude, j'ai suis surpris que cette salope ait un orgasme. Je suis content pour elle.

Une demi-heure plus tard, nous arrivons à destination.

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Nous allons pouvoir nous détendre, un bon verre à la main. Enfin, je vais me détendre et me reposer un peu, tandis qu'elle ira dans la remise chercher du bois pour le feu, pendant qu'elle nettoiera et rangera la baraque, avant de faire à bouffer.

Après, elle pourra se reposer et s'isoler un peu pou prier dans le cagibi aménagé sous l'escalier du grenier.

Je vais retarder la traite le plus possible, j'attendrais que ses outre soient tellement pleines, que le lait suintera de lui même à chacun de ses mouvements, à cause de la pression. Elle va gémir et geindre un bon moment en me suppliant de ses grands yeux vides, avant que je lui accorde la délivrance.

Il parait que c'est très douloureux pour elle d'avoir les mamelles gorgées de lait au delà du raisonnable. C'est le vétérinaire qui me l'a dit, pas elle parce que depuis qu'elle n'a plus de cordes vocales, elle ne me fait plus chier avec ses récriminations.

C'est peut être douloureux, mais pas vraiment dangereux, alors comme j'apprécie la musique de ses pauvres tentatives désespérées pour se faire comprendre, tout comme ses yeux embués de larmes et la reconnaissance que je lis dans son regard quand j'empoigne ses pis distendus, je fais durer son calvaire le plus longtemps possible.

Elle arrive à en jouir, même quant je la fait dégorger à coups de bâtons ou en écrasant les grosses tétasses. En règle générale, je la trais à la main avec un seau comme une bonne laitière. Je réserve les occasions spéciales aux tournages ou aux soirées spéciales très rentables, que j'organise de temps en temps.

Si elle produit beaucoup de lait, c'est pas parce qu'elle est grosse de trois mois, c'est dû aux injections d'hormones auxquelles elle est soumise depuis 6 mois. Deux grosses seringues dans la mamelle droite, qui a toujours été un peu plus grosse que l'autre et une et demi dans la gauche. Je bande rien que de penser à ses outres dépareillées aux pis gigantesques. Pour compléter ces séances de piquouses, j'en balance un peu dans sa chatte autour du clito. Il parait que ça rend le machin plus sensible. En tout cas, ça l'a fait gonfler, une vrai petite bitte, grosse comme un petit doigt. Si vous n'en avez jamais vu pour de bon, ou vu de mangas japonais vous ne pourrez pas vous imaginer l'engin.

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La pauvre tâche, juste bonne à écarter les cuisses, à se faire bourrer le cul et à servir de vide couilles est une fervente catholique. Elle serait pratiquante, si elle n'avait pas d'autres choses à foutre aux heures de messe.

Quand je l'y autorise, par grandeur d'âme, elle prie pour que Dieu lui pardonne ses péchers et sa vie dissolue. Je l'ai écoutée, par pure curiosité quand elle était encore capable de le faire à voix haute, pour savoir ce que cette salope pouvait bien avoir à lui racompter.

J'en suis "tombé sur le cul". Cette cruche remercie à chaque fois le seigneur de lui avoir envoyé son rédempteur en se monde pour la punir afin qu'elle puisse expier ses mauvaises pensées et ses actes sacrilèges. Pour elle, je suis le Messie, son envoyé de Dieu personnel. J'en ai bien bien profité je dois dire, elle expie autant que mon sadisme me le permet, tout juste modéré par le sens de mes intérêts. Je compte bien assumer ce rôle longtemps encore.

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Faut pas déconner non plus, sans son cul et sa bonne volonté, je ne pourrais pas me la couler douce sans avoir à travailler en claquant plus de pognon qu'un fils à papa millionnaire.

C'est une star, ma rose, vous la connaissez peut être pour l'avoir vu sur le net. Quelques petits clips circulent parfois, avant d'y être interdits par la censure. En général, les titres sonnent comme ça ; "teen cow ou babe underage pig sau beating, training...". Autrement dit: "très jeune fille magnifique traitée comme une vache ou une truie battue, dressée..."

Les DVD circulent sous le manteau, vous ne les verrez jamais à l'étalage d'un sexshop. Si vous avez la chance d'être bien avec le gérant, vous pouvez vous en voir proposer un, dans l'arrière boutique. Çà vous coutera un max, mais y pas à hésiter, vous en aurez pour votre pognon.

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J'ai prévu cette petite escapade campagnarde depuis quelques temps déjà. C'est une occasion spéciale, c'est son anniversaire. Cinq ans, c'est pas son age, ça fera cinq ans demain qu'elle s'est donnée à moi. Malgré son corps abimé par ce qu'elle a subi et son ventre légèrement déformé par la grossesse, elle en est à son troisième mois, elle ressemble à une enfant.

Je l'ai levée le jour de son anniversaire il y a 5 piges. Une soirée chicos à laquelle je n'étais pas invité mais où je m'étais quand même incrusté. Vous l'auriez trouvée sublime, elle était parfaite.

Moi c'est comme elle est maintenant que je commence à la trouver à mon gout.

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J'aime ses grosses tétasses dissemblables gorgées de lait, tout comme j'aime les deux outres flasque qui pendouillent jusqu'à son nombril, quand j'ai fini de les essorer. J'aime les malaxer, les maltraiter, y planter les ongles et laisser des traces sanguinolentes. J'adore les cogner, les frapper à main nue, avec mes poings ou bien encore avec ma ceinture, un fouet, une trique, avec tout ce qui me passe par les mains.

J'adore sa bouche édentée qui s'offre à ma queue et qui l'englouti dans l'abysse profond de sa gorge. J'aime la sensation qu'elle me procure, sa douceur, quand je l'utilise comme un sexe avec la certitude d'en ressortir sans une égratignure. J'adore voir ses mâchoires distendues à la limite de la dislocation quand elle se soumet aux intrusions les plus massives et les plus violentes.

J'apprécie que le trou de son cul soit perpétuellement béant et prêt à recevoir à sec l'hommage de ma queue. J'aime plonger ma main fermée dans ses entrailles puantes et y plonger sans retenue brutalement bien au delà du poignet. Les cris de douleur rauques qui se transforment peu à peu en râles de plaisirs résonnent comme une symphonie à mes oreilles. Je suis admiratif face à sa capacité à accepter l'intrusion d'objet dont le diamètre dépasse l'entendement. Elle est apte à se faire défoncer le fondement par un éléphant d'Afrique. Je crois même qu'il pourrait y engloutir sa trompe. Bien sûr elle a des problèmes de rétention, c'est pour ça qu'elle est toujours harnachée d'un gode expansif qui lui donne cette démarche étrange, qui m'amuse.

Son sexe baille non pas comme une huitre, mais comme un couvercle de marmite. Ce n'est plus un garage à bittes depuis longtemps, c'est plus qu'une grotte, c'est une caverne gluante. Si les capacités d'absorption de son cul sont fascinantes, le diamètre interne de sa chatte est phénoménal. Je la fais se branler avec l'extincteur, pas le rikiki de la bagnole, non, le gros du garage, et elle jouit la putain de truie. Il faut la voir faire pour le croire.

Vous croyez sans doute que j'ai abimé mon jouet et qu'il n'y a plus aucun plaisir à fourrer un orifice tellement vaste et évasé qu'une queue même de bonne taille ne peut plus rien ressentir. vous vous gourez totalement. Il faut seulement préparer le passage. Pour cela j'ai expérimenté plein de méthodes: les orties à l'intérieur comme à l'extérieur de la chatte, les injection salines et le venin, les pompes à vide, la ceinture, la cravache... et j'en passe. J'ai essayé tout ce à quoi j'ai pensé qui puisse la faire enfler, gonfler et la rendre plus sensible... et ça fonctionne. Un pied d'enfer, je vous dis.

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Elle est avide de souffrance, d'humiliations et de destruction. Elle est incroyablement résistante. Sa peau pale marque bien et elle récupère tout comme elle cicatrise super vite. A croire que son Dieu exhausse ses prières et que je suis l'instrument du destin.

Vous en êtes vraisemblablement arrivé à la conclusion qu'il n'y a rien que je puisse lui faire subir qui ne soit aussi source de plaisir. Que c'est une créature plus tout à fait humaine, vicieuse, dépravée et malsaine. Son désir de punition soit disant spirituel n'est en fait qu'une forme de masochisme extrême quasiment illimité derrière lequel elle se cache pour assouvir sa passion.

Vous n'avez pas entièrement tort, mais il reste une corde à mon arc. La créature si prêt à tout pour assouvir ses désirs malsains craint malgré tout une chose. C'est ce que les anglophones appellent le "cattle-prod" que je traduis par aiguillon électrique pour bétail.

j'en ai de plusieurs modèles, petit moyen et grand. Tous les trois ont des modulateurs d'intensité.

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Avec le petit, je joue avec elle. Elle se tortille et se contorsionne à chaque décharge, elle tente d'échapper à la suivante, mais le jeu fini toujours bien. Elle n'apprécie pas cette forme de jeux, mais comme la plupart du temps je la fini avec de petites décharges a intensité réduite sur la chatte, elle arrive à en tirer un peu de plaisir, enfin c'est ce que je crois.

J'utilise le modèle intermédiaire, lorsque je suis mécontent de son attitude ou de ses performances. Ce n'est plus un jeu, c'est une correction, c'est un réajustement d'attitude. Elle se tord à terre comme un serpent ivre, crie, pleure de vrais larmes de souffrance. Elle fini pantelante et git écrasée au sol comme un pantin désarticulé ou une poupée de chiffon pendant presque un quart d'heure avant de retrouver suffisamment d'énergie pour pouvoir ramper hors de ma vue. Cette manière de recadrer sa personnalité pour l'adapter à mes besoins est très efficace.

Au cours des 5 années écoulées, je n'ai utilisé que 3 fois le grand aiguillon. Sachez qu'à la seule évocation de son nom elle est terrorisée et elle rampe implorante à mes pieds comme un mollusque répugnant.

Si je le décroche du mûr, elle se vide comme une outre qui explose. Ses boyaux et sa vessie dégorgent. Le plug bouchon ne peut pas contenir le flux merdeux que les crampes intestinales éjectent de son organisme en transe. Elle régurgite le contenu de son estomac ou de la bile s'il est vide. De pale elle devient livide et se fige, comme un cadavre, dans l'attente du premier choc sans chercher un instant à s'en protéger.

J'aime bien parfois lui rappeler que la vie n'est pas toujours un long fleuve tranquille aux berges tapissées de roses.

La dernière fois que je m'en suis servi elle est restée inconsciente deux heures et elle n'a été capable de se mouvoir que le le lendemain. Elle portera à vie des traces de brûlure doubles de l'aiguillon a deux dents, comme des marques de brulure de cigares, sur les seins, dans le dos, à l'intérieur des cuisses et sur la moule. J'étais énervé, fatigué et elle m'avait mis en rogne. Je l'ai bien prévenue que si je devais recommencer elle y aurait droit à l'intérieur de sa chatte et dans son cul. En fait je ne me souviens même pas du pourquoi de la chose.

C'est vrai que j'y vais un peu fort des fois et qu'elle ne méritait peut être pas ça. Mais c'est de sa faute à cette conne. Elle est tellement soumise qu'il est difficile de ne pas en abuser. Elle prend tout sans rien dire (je me comprends, pas parce qu'elle ne pas parler), elle ne résiste pas, ne montre aucune crainte visible et en plus la salope finit par aimer. Ca en gâcherait le plaisir et ça repousse les limites. Heureusement que j'ai l'aiguillon. C'est elle en fai qui m'oblige à l'utiliser.

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Désolé je m'égare.

C'est son anniversaire demain. Je suis certain qu'elle n'imagine pas une seconde que je puisse m'en souvenir, nous ne l'avons jamais fêté durant ces années passées, pas plus qu'aucun évènement d'ailleurs.

Ça va être une vrai surprise et j'ai l'intension de lui faire le plus beau cadeau du monde.

Je vous ais dit qu'elle est en cloque, c'est de mes œuvres, j'y ai veillé. En passant, vu la taille de la tuyauterie, elle ne devrait pas avoir de difficultés pour mettre bas.

Je n'y connais pas grand chose en religion, mais je sais que pour elle c'est quelque chose d'important et que le fait d'avoir un enfant hors mariage c'est plus que pas bien. Parait même que le marmot, le bâtard pas baptisé, n'a pas le même sort que les autres après sa mort, mais là j'ai pas capté.

Toujours est il que demain matin, avant midi, j'ai l'intension de lui faire croire qu'elle va être corrigée avec l'aiguillon, quand je l'aurais empalée par les deux trous sur l'espèce de chevalet qui est dans la remise. Elle sera plus réceptive à ma demande.

Quand elle aura digéré sa terreur, qu'elle aura pigé qu'elle s'est trompée sur mes intensions, je ne lui ferais pas trop mal avant de la faire jouir. Après je la conduirais dans le chalet. Je lui souhaiterais un bon, un joyeux, un merveilleux anniversaire en rentrant dans la pièce principale où je me serais fait chier à tout préparer sans qu'elle s'en aperçoive.

Vu qu'on est dans la cabane, le repas c'est une conserve réchauffée, mais j'ai prévu du vin et en dessert un de ces gâteaux mollassons au chocolat avec du champagne , un festin pour elle. C'est pas souvent qu'elle a l'occasion de profiter de ce qu'elle se coltine. Je ne pense pas qu'elle ait mangé une seule fois à table au cours de ces trois dernières années. Quand elle a le droit de manger, c'est de la bouffe à clebs dans une gamelle par terre et sans les mains.

Nappe sur la table, chandelier, deux assiettes, une pour elle et une pour moi.

Dans son assiette, un paquet cadeau, avec une carte "bon anniversaire mon amour". Dans cette boite, j'ai mis le petit collier qu'elle avait le jour de son anniversaire il y a 5 ans. Il est minuscule. c'est un pendentif avec un médaillon de la vierge. Une espèce de cadeau de baptême. Je la connais la salope, elle va être émue à en mouiller la chaise, elle va littéralement me vénérer de se grands yeux pales et bovins.

Elle avait pas mal de bijoux quand elle a fugué avec moi et elle croit que j'ai tout vendu, mais j'ai gardé celui là et je l'ai mis de côté. Je savais qu'elle y était très attachée, c'est un cadeau de sa grand mère, et surtout, je l'avais gardé aussi comme une poire pour la soif en cas de coup dur.

Comme il n'y a pas eu de coup dur et que la vache m'a porté bonheur, je crois qu'elle l'a bien mérité en cinq ans. Je vais lui faire plaisir sans que ça me coute rien, double effet machin cool.

Au dessert j'ai prévu de lui offrir une bague en acier plantée dans la pâtisserie avec des menottes gravées dessus, comme un symbole d'union. J'ai prévu de lui dire que si elle désire que son enfant porte mon nom que si elle tiens à moi et que si elle veux que nous vivions ensemble pour toujours... (du baratin adapté quoi), elle doit enfiler la bague pour dire oui et accepter de m'épouser devant le maire et le curé.

Logiquement, ça devrait le faire, d'autant qu'elle sera assise face au mur sur lequel j'ai accroché le grand aiguillon. Elle est pas fut-fut, mais je pense que primo, ça devrait lui faire plaisir et deuzio elle pigera toute seule que si elle dit non je ne serais vraiment pas content. D'où l'utilité de la petite plaisanterie sur l'aiguillon en guise d'apéro d'avant repas, je n'aime pas qu'on me dise non.

Donc en toute logique elle doit accepter avec beaucoup de joie. et le weekend sera agréable pour nous deux.

En tout état de cause elle acceptera, le grand aiguillon n'est pas seulement là à titre symbolique. Ce qu'il y a c'est que malgré tout, j'ai le cœur tendre, je préférerais ne pas avoir à employer des méthodes coercitives pour un si bel évènement.

Une fois qu'elle aura accepté, elle ne se dédira plus, elle est comme ça ma rose, une parole donnée est une parole tenue.

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Vous vous dites qu'à force de taper sur la morue, j'ai les neurones qui s'éparpillent. Quel peut être l'intérêt de se pourrir la vie avec cette espèce de truie folle du cul et de l'épouser avec tout le tintouin, alors qu'il n'y a plus grand chose à en tirer? Vous êtes définitivement convaincu que je travaille du chapeau pour vouloir finir ma vie avec ça.

C'est pas faux, mais:

1- J'y tiens à ma rose, c'est mon œuvre, je suis avec elle comme un "compagnon du devoir" qui ne commence à vivre de son art que lorsqu'il a enfin réalisé son chef d'œuvre. Elle est mon chef d'œuvre à moi, que je n'ai pas encore achevé. Elle est quasiment l'œuvre d'une vie. Sa vie, bien sûr, car comme j'ignore combien de temps elle va durer à ce régime je dois accélérer la manœuvre. J'ai de la chance, elle est très robuste et résistante malgré son petit gabarit, jamais malade en plus. Doublement de la chance car les cathos comme elle, refusent le suicide, c'est un péché mortel. Ça m'a toujours fait poiler que la mort soit mortelle, mais pour eux ça a un autre sens.

2- On va tout filmer, la cérémonie avec elle quasi à poil, juste un voile,des bas un porte jarretelles blanc et de pompes de 10 cm. Avec son bide qui déborde (d'ici là elle aura passé les 6 mois) et ses nichons monstrueux, ça va déchirer. J'ai les titres et les idées, "teen fuck pig wedding" et les suites. La petite truie se marie, elle sert les convives et à tout pendant le repas de noces, elle est prise en gang bang par les invités pour sa première nuit, le voyage de noce attelée à une charrette avec moi dessus qui la fait avancer au fouet... Je ne sais pas si vraiment ses prières fonctionnent, mais nom de D...! tout me réussit. Elle va mettre bas une petite femelle que je vais reconnaitre et qui pourra la remplacer plus tard. L'idée des films m'est venue car les ventes vidéos chutes un peu, manque de renouvellement un peu répétitifs... La limace qui se fera défoncer en cloque pour son mariage, le petit côté sacrilège en plus de tout le reste ça va faire un malheur.

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