Sarah et Son Fils Esclave 02

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Dix neuf heures.
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 03/18/2021
Créé 08/30/2008
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Dix neuf heures. Mon après midi a été bien remplie, après le déjeuner j'ai nettoyé la moto et la voiture de maman qui se prélassait à la piscine. Puis j'ai rangé la maison et préparé le dîner. Je me suis totalement rasé le pubis avant d'épiler le reste du corps. Une douche froide a achevé ma toilette. Sarah à veillé à une inspection de mon corps, ne négligeant aucune partie de mon anatomie. Ma virilité s'est réveillée. Maman m'a rappelé que je ne devrais pas importuner son invitée avec mon ridicule appendice, ni chercher à frôler sa tenue pour m'exciter. Elle m'a posé ensuite le collier serrant ce qu'il faut pour ne pas m'étrangler mais gêner ma respiration. Je porte rarement le collier mais je sais que ma soirée ne sera que plus pénible, le moindre manquement à ma condition pouvant entraîner de cruels étranglements. Maman s'est apprêtée à son tour. Une longue séance de maquillage, de coiffure. J'ai passé du vernis sur ses ongles et doigts de pied. Le choix de sa toilette n'a posé aucun problème, un string cachant à peine son pubis et mettant ses jolies fesses en valeur. Pis elle a enfilé une longue robe noire au profond décolleté sur sa poitrine et aussi dans son dos. Elle n'a pas jugé utile le port d'un soutien gorge. Elle a enfin placé un superbe collier de perles autour de son cou. J'ai félicité Sarah pour sa grande beauté. Après avoir marché dans la pièce comme un top modèle, elle s'est assise sur le bord de son lit et m'a ordonné de la chausser. A genoux j'ai sorti les sandales de leur boite. Je me suis penché, j'ai embrassé le pied droit de maman puis j'ai posé un baiser sur la sandale. Comme Sarah me l'a appris j'ai approché la semelle intérieure de la chaussure de ma bouche, sans hésiter j'ai léché le cuir. Avec précaution, j'ai enfilé le précieux fétiche au pied maternel. J'ai fait la même chose avec l'autre pied.

Sarah s'est levé, elle a posé une laisse sur mon collier.

- Mains dans le dos Martin.

J'ai suivi maman dans l'escalier, entraîné par la laisse, souffle court. Nous sommes entrés au salon. Maman s'est installée dans le canapé de cuir, d'un geste impératif je me suis allongé à ses pieds. Le carillon a enfin retentit. Sarah a retiré ma laisse.

- Va ouvrir!

J'ai obéis docilement. Sophie attendait devant la grille, elle a franchit la distance la séparant de la maison. Mon cœur s'est mis à battre très vite lorsqu'elle s'est tenue devant moi, un large sourire aux lèvres. J'ai admiré le pantalon de cuir, le chemisier échancré. Mon regard s'est porté sur ses chaussures de superbes ballerines en cuir sans talons, neuves. Cela ne l'empêchait d'être aussi grande que moi. Je l'ai invité à entrer. Sarah arriva à notre rencontre. Sophie a admiré le gode dans l'entrée. Sa main a parcouru le membre veineux. J'ai bandé encore plus, impuissant à soutenir la comparaison. Les deux femmes se firent la bise, déjà complices. En guise de bienvenu, je me prosternais. Sophie compris immédiatement. Elle se plaça devant mon visage. Pendant que je rendais hommage à ses pieds, elle s'adressa à moi.

- C'est la première fois que je vois un vrai soumis, j'espère passer une bonne soirée.

- Tu verras, c'est très amusant de disposer d'un domestique docile et zélé et même cela est très excitant de le commander et l'humilier.

- Je n'en doute pas, dit Sophie.

- Allons prendre un verre, dit Sarah à la jeune femme.

Puis s'adressant à moi, maman se fit plus dure dans le ton.

- Tu nous sers sur la terrasse, du Champagne.

Je disparaîs à la cuisine et prépare la bouteille de Champagne, deux verres. Je dispose des toasts et me dirige vers la terrasse. La voix de Sarah transperce la quiétude de la soirée.

- Incapable, viens ici tout de suite!

J'arrive près des femmes assises, Sarah sur un fauteuil de jardin, Sophie sur le siège balançoire. Je pose le plateau. Le doigt de Sarah est dirigé vers le bord de la terrasse.

- Qu'est-ce que cela?

- Une pince à linge, Madame, pardon.

- Apportes moi la.

Je m'exécute. Je frémis d'avance, en guise de punition et d'humiliation, maman est capable de tout. Elle prend la pince à linge. Puis soulève mes bourses, mon pénis flasque.

- Vois-tu Sophie, il a encore besoin d'être puni, à son age!

- C'est mérité.

Sarah prend entre deux doigts mon prépuce, elle étire la peau et pose la pince dessus. La mâchoire se referme, j'ai un mouvement de recul.

- Va la ranger au dressing, ainsi. A ton retour tu apporteras le martinet.

Sophie rigole, je pars honteux ranger l'objet de mon oubli. Je remonte du dressing tendu trop excité pour me contenir, je prends le martinet et le donne à Sarah.

- Quel age as-tu Martin?

- Dix huit ans, Madame.

- Comme moi, rigole Sophie.

- Alors ce sera dix huit coups. Sophie veux-tu te joindre à moi pour t'ouvrir l'appétit.

- Avec plaisir, mais c'est une nouveauté Sarah.

- C'est simple, tu lèves le bras et tu frappes les fesses.

- Fort?

- J'ai pour habitude de toujours taper pour punir, pour faire comprendre la faute alors je ne retiens aucun coup, même s'il braille!

- Je comprends et tu le punis souvent?

- Non, plus maintenant, alors je varie, j'ai une gamme très complète d'instrument, je te montrerai. Le mieux c'est la cravache, efficace, très douloureux. Le fouet est réservé pour les fautes très graves. Mais pour toi, le martinet suffira.

- Qu'est-ce qu'une faute grave, Sarah.

- Un verre cassé, une pollution nocturne. Je tiens beaucoup à sa virginité et je suis extrêmement stricte sur l'utilisation de son pénis.

- Pervers comme il est il doit pourtant se masturber.

- Qu'il essaie! Martin dit lui pourquoi.

- Mademoiselle Sophie, le plaisir est une prérogative exclusivement féminine. Je ne dois en aucun cas transgresser la loi que Madame à instaurée. Si je fautais, une ceinture de chasteté serrait ma punition, à vie, dis-je en baissant humblement la tête.

- Excellent, rigole Sophie et Mademoiselle par ci, Madame par là, c'est aussi une loi, Sarah?

- Lorsque nous sommes en compagnie, j'exige ce genre de politesse, maman est réservé à l'intimité sourit Sarah.

Sarah me place près du mur, je pose mes mains, je suis légèrement courbé, mes fesses sont offertes. Sans attendre maman abat le martinet à neuf reprises. Elle donne l'engin à Sophie qui s'est rapprochée.

- Ses fesses sont bien rouges ;

- Tu as le meilleur, bientôt la peau va craqueler et des gouttes de sang risquent de perler.

- Oh, je veux voir cela.

Elle lève son bras et l'abat, naturellement. Les coups sont plus forts que ceux de Sarah, je gémis. Au quatrième je cri et me redresse. Je pleure à chaudes larmes.

- Ta punition est-elle méritée Martin demande Sarah?

- Oui, Madame, dis-je entre deux sanglots.

- Alors tu vas me faire honneur et subir ton châtiment calmement. Sophie tu peux reprendre, à zéro bien sur.

Je repose mes mains sur le mur. Je ne vois pas le sourire cruel des deux femmes. La flagellation reprend, c'est un calvaire. Je serre les dents. Enfin c'est terminé. Je remercie Sarah et Sophie de m'avoir puni. Je range le martinet et sert deux coupes aux femmes.

- Tu as très bien fessé, Sophie. As-tu aimé?

- Follement. C'est dingue, une petite faute, inutile d'élever la voie, juste un martinet. Il me faudrait ce genre de plaisir après le boulot, pour me détendre.

- Tu pourras venir aussi souvent que tu le désires, Sophie, mais tu vois, il ne peut recevoir ce genre de correction tout les jours, son cul serait vite inutilisable. Je te rassure, il existe bien d'autres moyens de se détendre.

Les femmes discutent, je reste discret dans un coin, disponible pour remplir les verres. Deux bouteilles sont bues. Puis c'est le repas. Je sers avec attention, veillant à ne pas gêner les femmes. Sophie a une bonne descente, le Bordeaux semble lui plaire. Je n'ai jamais bu d'alcool. Sarah est également stricte sur mon hygiène de vie. Je bois exceptionnellement une boisson sucrée, l'eau est suffisante pour moi. Le repas s'achève. Sarah et Sophie vont au salon, je débarrasse la table. Un moment plus tard alors que je termine la vaisselle, Sarah m'interpelle.

- Martin, conduit Sophie aux toilettes.

J'essuie mes mains. J'indique le lieu à Sophie.

- Mademoiselle Sophie désirez vous mon assistance?

- Pour qui tu me prends, petit con, je peux encore pisser toute seule.

- Pardon Mademoiselle Sophie, je voulais savoir si vous désiriez être nettoyé par moi.

Sophie est surprise. Je suis très gêné, parmi mes devoirs celui de servir aux toilettes est souvent désagréable.

- Non, ça ira, dit-elle.

Je retourne à la cuisine pour la suite du service, je sers le café au salon. Sarah m'invite à m'agenouiller près d'elle. Machinalement elle triture mes bourses. La main chaude et ferme me provoque une érection rapide. Sophie nous rejoint.

- Je vois qu'il a droit à des compensations, je peux?

- Bien sur Sophie.

Sophie prend le siège le plus proche de moi. Sa main est douce. Je regarde le sol, humilié d'être manipulé ainsi, de ne pouvoir résister à la sensation qui envahit mes bourses.

- Tu pourrais me regarder lorsque je joue avec toi, dit-elle.

Je lève mon regard. Mes yeux dévorent le corps de la belle boulangère. Je croise ses yeux, je ne peux soutenir le regard arrogant de Sophie plus longtemps. Elle serre alors fermement mes testicules. Je suis surpris par la violente douleur qui me fait gémir. Elle insiste, je suffoque. Sarah s'est levée, elle place la laisse à mon collier et me maintient fermement.

- Reste droit, ne bouge plus, ordonne-t-elle.

Ma respiration est de plus en plus difficile, la douleur de plus en plus vive. Mes yeux se voilent. La laisse se détend, je tombe au sol, sur le dos. Je cherche de l'air. Soudain la semelle d'une ballerine se pose sur ma bouche. Mes mains comme je l'ai appris se place le long de mon corps, ma langue sort et je lèche la poussière de la semelle.

- Brave petit chien. Tu aimes être traité ainsi. Je vais t'adorer. Sarah ton fils est très bien dressé, félicitations.

- Merci.

- Ecoute tout à l'heure tu m'as dit qu'il... Enfin que sa bouche est très disponible, je peux?

- Excitée, Sophie?

- Oui, je vais jouir facilement.

- Du calme, passons dans ma chambre.

Les femmes boivent leur café, en se levant Sarah monte sur ma poitrine, dommage elle voulait me piétiner mais le sexe de Sophie semble nécessiter des attentions plus urgentes. Ce n'est que parti remise.

- Martin va laver ta bouche!

J'en ai pour une minute, à mon retour Sophie a retiré son pantalon, elle a gardé ses ballerines. Elle s'allonge sur le lit, écarte ses cuisses. Je m'agenouille et me prépare à l'honorer. Sarah s'apprête à nous quitter.

- Sarah, reste, miaule Sophie, caresse moi...

Maman vient sur le lit, caresse le superbe corps de Sophie. Je m'attaque à la tache qui m'incombe. Le sexe de Sophie est dégoulinant de cyprine. Elle reste passive. La délivrance est rapide. Un orgasme fulgurant. J'active mes doigts jusqu'au dernier moment. Lorsqu'elle se calme j'entreprends de déposer des baiser sur le tabernacle sacré. Pis je nettoie toutes trace d'humidité. Une tache simple mais très agréable. La récompense de l'esclave pour son ardeur à vénérer un sexe féminin. Sophie d'un coup de pied dans le visage me repousse. Je m'allonge sur la descente de lit. Sophie se love dans les bras de Sarah. Elle s'embrasse sans se soucier de moi. La nuit risque d'être longue, maman adore l'amour sous toutes ses formes. Les amours saphiques n'ont pas de secret pour elle.

Fin de l'épisode 2

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