Ses Expériences 03

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Elle veut que je la regarde.
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Partie 3 de la série de 5 pièces

Actualisé 03/18/2021
Créé 08/23/2005
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Vincianne décida, ensuite, qu'elle voulait que je la mate alors qu'elle se taperait deux mecs. Elle me dit : « - Je vais aller chercher deux gars et tu vas les regarder me baiser. Tu vas voir comment deux mecs peuvent se taper une salope comme moi. Je vais les choisir beaux comme des dieux, très bien montés, très brutaux. Je vais les faire juter comme des fous, sur mon corps et dans mon corps, pendant que tu les regardera, sans pouvoir me toucher. As-tu une préférence quant à leur genre? me demanda-t-elle. – Je veux que tu me ramène deux noirs, m'entendis-je déclarer, mortifié par ce cri du coeur. »

Avec un rictus approbateur, elle alla se mettre une tenue de sortie pour aller draguer en boîte. Elle me dit de m'habiller aussi, un jeans et une chemise, tout classique, gentil garçon. En l'attendant, je dus réprimer un commencement d'érection, qui continua de plus belle lorsque je vis Vincianne descendre les escaliers, habillée comme une vraie sale pute. Elle avait choisi une jupe en skaï noir ras de la chatte, un petit t-shirt rose très moulant, des pompes à très hauts talons et le collier que je lui avais offert pour noël. Elle portait, également, un bracelet de cheville et un maquillage assez corsé. Je lui demandai où elle comptait avoir ses entrées dans cet accoutrement. « -T'occupe, je connais des endroits, me répondit-elle. »

Elle prit le volant de mon Audi Break et se dirigea vers un quartier de la ville où, plus jeune, j'allais à l'occasion avec des potes pour mater les putes, se payer un peep-show ou sortir dans des boîtes pas chères et où tout est permis. Je n'y étais pas venu depuis longtemps. J'ignorais que Vincianne y soit déjà venue. Pas avec moi, en tous cas. Elle me dit qu'on avait pris ma voiture pour que je puisse partir si ça n'allait pas pour moi, qu'elle se débrouillerait pour rentrer. Elle semblait quand même un peu mal à l'aise en sortant de ma voiture familiale, mais elle se dirigea sans hésiter vers une boîte au néon tapageur, d'où sortait un hip-hop de folie.

Le sorteur, un grand black très baraqué, la gratifia d'un regard approbateur et la laissa entrer. Essayant de la suivre, je fus irrémédiablement bloqué par cent vingt kilos de muscles d'ébène. Je levai la tête vers le cerbère, me préparant à parlementer, doutant qu'il soit d'humeur à m'écouter, mais ma femme lui dit : « - Laisse, Daniel, il est avec moi. » Le videur éclata de rire. Merci bien!

En entrant, je remarquai tout de suite que l'endroit n'avait pas grand chose à envier au reste du quartier. A part la musique qui déchirait et le monde fou qui peuplait la boîte, pas grand chose à voir avec les grande boîtes branchées où j'emmenais encore Vincianne de temps en temps, la laissant danser tandis que je vidais des verres avec les potes. La foule était métissée, c'est à dire qu'il y avait toutes les couleurs de métis, depuis les noirs d'ébène jusqu'aux café au lait. Nous étions les seuls blancs. En fait, je remarquai rapidement que j'étais le seul blanc dans ma tête .Vincianne, qui attirait l'attention par sa tenue et son attitude provocante, ne posait pas problème et se fondait entre les gens mais ma dégaine ne collait pas aux lieux. Je me glissai dans un coin, me faisant tout petit pour me faire oublier, laissant Vincianne prendre possession de la piste.

Elle commença par embrasser du regard l'ensemble des mecs présents, qui n'étaient pas trop accaparés par des filles, et repéra deux mecs balèzes, habillés tout en noir, qui guettaient la salle depuis le bar d'un air de prédateurs. Elle s'approcha d'eux et commença à discuter. Ils lui offrirent un verre, puis un autre et un troisième. Ils avaient compris qu'elle réagissait assez vite à l'alcool. Je les voyais parler, faire des blagues, rire. Vincianne semblait très à l'aise avec eux et cela me comblait de jalousie et d'excitation tout à la fois. Elle riait en s'appuyant à leurs épaules, à leurs bras et eux commençaient à y croire et à la frôler de manière de plus en plus fréquente. A un moment, je les vis s'esclaffer puis se tourner vers moi, les deux blacks arborant un air goguenard et ma femme une allure de défi.

Ils se dirigèrent vers la piste et commencèrent à danser à trois, les deux blacks entourant ma femme, leurs trois corps ondulant au même rythme, un sandwich mouvant. Ils dansèrent vingt minutes, commençant à transpirer, de plus en plus collés, leurs sueurs se mêlant dans une montée d'excitation commune. Les mains des deux mecs collées sur le corps de ma femme, sur ses hanches puis, de manière de plus en plus précise, sur le ventre, la naissance des fesses et des seins, puis presque à pleine mains.

Durant ces vingt minutes, Vincianne me regarda cinq fois en tout et pour tout ; toute à son excitation, elle m'avait presque oublié. Les mecs, eux, me regardaient avec dans le regard un message de mépris. Chaque fois, maintenant, que leurs mains se partageaient le corps de Vincianne, ils regardaient mon impuissance avec amusement. Ils l'embrassaient à tour de rôle, leurs langues roses s'enroulant avec la sienne. Elle avait, maintenant, oublié ma présence, toute à son plaisir. Leur danse sentait le sexe et c'est pour éviter un réel attentat à la pudeur qu'ils décidèrent de quitter la boîte.

Je leur emboîtai le pas, traversant la boîte en me faisant bousculer plus de vingt fois, intentionnellement, semblait-il, affolé à l'idée de manquer quoi que ce soit. Je restai bloqué par Daniel qui matait, hors de ma vue, ce que je devinais être les prémisses d'une partie de baise. Je tentai de me faufiler comme une anguille pour, moi aussi, profiter du spectacle. Merde, je n'avais pas mis ma femme à la disposition de ces mecs pour ne pas même pouvoir les mater! Enfin, je dis que j'avais mis ma femme à disposition, c'est une manière de parler. Avais-je, vraiment, eu le choix dans cette histoire? Le videur bloquait la porte de toute sa masse, s'amusant de mes efforts vains, commentant la scène invisible : « - Putain, elle est chaude ta femme. Elle va se faire défoncer et elle a l'air d'en avoir vraiment envie. J'ai rarement vu une gonzesse aussi chaude. Elle a sûrement pas appris ça avec toi.» Il éclata de rire. Je finis par passer, fulminant.

Dans la ruelle devant la boîte, ma femme se faisait embrasser par les deux mecs à la fois, leurs mains enfoncées jusqu'au coude dans son soutien gorge et dans sa culotte. Ses deux mains étaient posées sur les braguettes gonflées, les massant. Elle avait penché la tête en arrière, offrant sa gorge à leurs langues. La brutalité de ce contact m'électrisa.

Je fonçai vers la voiture, à reculons, pour ne rien perdre du spectacle. Je savais qu'il fallait ramener tout ce beau monde à la maison si nous voulions éviter de nous faire embarquer. Heureusement, la voiture était parquée tout près et, allumant le moteur et les phares, je revins en trombe vers l'entrée de la boîte. J'eus un moment de panique en ne les voyant plus, mais ils étaient juste passés de l'autre côté du coin, pour s'abriter un peu des regards. Ils en étaient, heureusement, au même point, continuant à se caresser, à se branler mutuellement. Je fis un appel de phares et Vincianne sembla se rappeler mon existence. Elle attira les deux mecs vers l'intimité de l'habitacle.

Ils montèrent à trois derrière, la lumière crue de la portière faisant ressortir leurs traits extasiés. Vincianne s'assit entre les deux mecs et me dit de les ramener. Je ne dis mot. La promiscuité avec moi semblait refroidir un peu les deux types qui avaient un peu lâché ma femme. « - Vous inquiétez pas pour lui, leur assura Vincianne, il dira rien. Venez plutôt vous occuper de moi et toi, conduis! m'ordonna-t-elle. » Ce fut comme le signal de l'orgie. Un des mecs l'embrassa en lui saisissant un sein. Vincianne lui dit : « Oh, oui, Pierre, continue. » L'autre lui caressait les cuisses. Elle lui dit : « Vas-y, Fred, c'est bon. » Cela tint lieu de présentations. Je ne crus pas bon de me présenter moi-même.

J'ajustai le rétroviseur pour ne rien manquer et me mis en route. Je roulais très lentement, matant le spectacle sur la banquette arrière. Ils s'embrassaient tous les trois, leurs trois langues mêlées, Vincianne immobilisée entre ces deux gaillards. Les mains des deux types la caressaient partout jusqu'à ce que l'un d'eux s'éloigne un peu pour lui ôter son soutien-gorge. Elle garda son t-shirt rose, remonté jusqu'aux épaules et je pouvais, à présent, voir ses tétons dardés, tout roses, eux aussi, que la langue du premier mec (Pierre, je crois) léchait avec délices. L'autre (Fred, sans doute), ouvrit la fermeture à glissière de sa jupe et la fit glisser, comme sa culotte, vers le sol. Elle était, maintenant, presque nue sur le cuir beige et sa chatte palpitait entre ses jambes écartées, luisante de mouille. Fred glissa sa main vers la fente et écarta les lèvres du bout du doigt. Vincianne faillit jouir sur l'instant.

Vincianne sentait son corps picoter de partout, le contact de ces mains sur elle la ravageait. Elle ouvrait les jambes presque en équerre, les genoux relevés, pour mieux faire pénétrer les doigts en elle. Elle regardait sa chatte aspirer la main et le jus de ses nymphes briller sur la peau noire. Son corps était brûlant, la tête renversée en arrière, elle prenait un pied d'enfer.

Pierre commençait à se lasser de sucer les tétons et remua pour attirer l'attention sur lui. Vincianne sortit de sa torpeur et l'attira vers son visage pour l'embrasser, sa main cherchant le renflement du pantalon. Elle défit les boutons et fit jaillir la bite. Elle la regarda avec un air gourmand et resserra sa main autour de la base de la hampe, frôlant les couilles dans le slip.

Je n'arrivais pas à bien voir, ce qui fait que je me contorsionnai, essayant de modifier la position du rétroviseur. La voiture fit une embardée. « - Fais gaffe, connard, me dit Fred. - Pardon, mais ce n'était pas volontaire. -Ta gueule! me répondit-on, à l'arrière. » Le ton était lancé. Lorsque j'osai quitter à nouveau la route des yeux, Vincianne était en train de caresser la queue de Pierre, faisant coulisser sa main tout le long de la hampe noire, décalottant le gland à chaque mouvement. Pierre soupirait d'aise.

Pour ne pas rester en solo, Fred défaisait son pantalon et le fit glisser, avec son slip, sur une queue magnifique, longue et épaisse, au beau gland circoncis. Vincianne, le visage radieux, agrippa la bite de sa main libre et, les jambes écartées, posées sur les jambes nues des deux types, elle les branlait avec conviction. Pierre avait repris la caresse de la motte de Vincianne et l'autre, qui avait passé son bras sous elle, lui caressait le cul. Ma femme frottait ces deux queues bandées contre ses jambes nues, branlant à l'unisson les deux potes qui n'en revenaient toujours pas.

J'avais sorti ma bite pour me caresser. Pierre s'exclama : « Eh, regardez, la fiotte se tripote! T'aimes ça, hein, mater ta femme se faire troncher!!! Putain, mais c'est qu'il en a une belle! Dommage que ta femme n'en veuille plus. » Ils éclatèrent de rire tous les trois.

Ils en voulaient plus. L'un dit : « - Allez, suce-moi, viens goûter mon gros bonbon. – Oh, si tu savais comme j'en ai rêvé, lui dit-elle. » Vincianne se pencha vers la queue de Fred et la prit entre ses lèvres, faisant le vide dans sa bouche. Putain, je ne l'avais jamais vu faire ça! Elle avait appris des trucs de fou ces deniers temps. Ses joues creusées par l'aspiration, elle s'en prenait bien dix centimètres dans la bouche. Sa main se referma sur la base de la pine et commença un va-et-vient très limité par les lèvres toutes proches. Puis, elle sortit un peu plus de bite et commença une fellation de reine. Les bruits humides qui peuplaient la voiture me rendaient fou. Je pouvais sentir l'odeur sucrée de la mouille de Vincianne que ces mecs étalaient de leurs doigts, l'odeur aigre de leur sueur et celle, plus fade, des gouttes d'excitation qui perlaient sur le méat de Pierre, que Vincianne avait un peu délaissé.

La lumière était vraiment insuffisante dans l'habitacle de cette voiture, la lumière des lampadaires ne me permettait que de voir à de trop rares intervalles la réalité de ce qui peuplait ma banquette arrière. Vincianne décida, alors de s'occuper de Pierre, qu'elle n'avait cessé de branler de sa main libre, mais avec un peu de maladresse. Elle lui dit : « - Attends que je te fasse jouir, j'en ai tellement envie, je veux tellement que tu me souilles de ton sperme! » Elle approcha son visage de la deuxième queue et flaira l'excitation. Elle admira la goutte transparente qui perlait au méat, maintenant qu'elle avait cessé de le branler. Elle le lapa et s'en rengorgea, avant de plonger littéralement vers la bite. Elle semblait vouloir le faire jouir en quelques secondes. Il prit à peine une minute pour cela. Elle le pompait de plus en plus vite, le branlant en même temps.

Il avait posé la main sur ses cheveux, d'un air protecteur et sentait venir le sperme du fond de ses couilles. Il n'annonça rien et Vincianne, qui sentit contre sa langue, dans la bite, le foutre monter à l'assaut de sa bouche, se prit un véritable jet directement sur les amygdales. Elle le pompa encore, déglutissant le sperme inconnu. Il grognait et crispait sa main dans les cheveux, les tirant et faisant un peu mal à ma Vincianne qui giclait elle aussi, les doigts de Fred dans la chatte. Le foutre que Vincianne n'avait pas réussi à avaler coula sur son menton et sur son t-shirt relevé et ses seins roses quant elle releva la tête. Pierre était renversé en arrière, les yeux fermés, la queue mollissante couverte d'une pellicule de sperme et de salive. Vincianne essuya la queue de sa main et vint frotter celle-ci sur mon gland dressé en me murmurant : « - Ce n'est qu'un début, mon amour, tu vas déguster...», puis porta le doigt à sa bouche.

Fred, lui, semblait vouloir jouir dans sa chatte et lui imprima une poussée dans le dos. Elle se pencha, donc, sur les genoux de Pierre et s'allongea tant bien que mal, la queue, molle, à présent, tout contre son visage. Fred lui écarta les jambes, se fraya un passage vers la chatte trempée et y apposa sa bite immense. Il poussa un peu, jusqu'à ce que la tête presse entre les lèvres, et l'introduit jusqu'à mi-gland. La queue était en gros plan en plein dans le centre de mon rétroviseur, et je voyais les lèvres palpitantes, gorgées de sang, comme appeler cette bite entre elles. De la mouille débordait de la chatte et le gland, vu par en dessous, avec sa symétrie parfaite, charnu, brun foncé tirant sur le noir, forçait le passage entre les jambes très blanches dans cette lumière crue.

Nous étions arrêtés à un feu lumineux et je pouvais tout à loisir mater les premiers centimètres de pénétration, les plus excitants à mon sens. L'interminable bite commença à pénétrer la chatte de Vincianne, centimètre par centimètre. Chaque poussée était suivie par un léger retrait qui me dévoilait la hampe couverte d'une pellicule de mouille, des jus intimes de ma femme qui coulaient pour ces types.

Vincianne sentait la queue la ramoner. Elle pouvait percevoir les vibrations dans la bite de Fred, trop excité pour se retenir longtemps, les veines palpiter contre ses muqueuses, le bourrelet du gland forcer les replis de son vagin. Elle sentait le ventre musclé du mec claquer contre ses fesses et frôler le trou du cul lors des poussées plus vigoureuses qui écartaient les globes.

La deuxième queue, contre son visage, s'anima lentement, s'ouvrant comme une corolle. La bite se dressa et le gland sortit tout seul du prépuce, lubrifié par le sperme de sa jouissance précédente. Vincianne emboucha le long tuyau brun, prise en sandwich entre deux noirs qu'elle voulait faire jouir. Je n'avais jamais rêvé voir, ainsi, ma femme prise par deux mecs. Qui plus est, ils étaient noirs, virils à mourir et ma femme semblait les exciter à un point fou! Pierre, qui avait pris un peu de retard sur Fred, s'excitait à vitesse maximale. La petite salope qui frottait ses seins sur sa jambe et qui se faisait baiser par son pote l'excitait au plus haut point. Fred allait et venait entre les jambes de ma femme, me jetant, à l'occasion, des regards d'ours en rut. Ils violaient ma femme et jouissaient de voir à quel point ça me ravageait.

Vincianne sortit la bite de Pierre de sa bouche pour les invectiver : « - Allez, les mecs, je veux vous sentir jouir, je veux vous sentir en même temps, me sentir inondée de vous des deux côtés. Jutez en moi, bordel, souillez-moi de votre sperme! Je veux votre sperme. » Pierre juta pour la deuxième fois, je voyais les jets de sperme blanc jaillir de ce gland noir en rafales sur la joue et les cheveux de Vincianne, qui reprit cette bite en bouche pour l'essorer, tandis que Fred couina en se répandant en elle. Elle alla à la rencontre de cette jouissance, poussant son périnée contre la pine giclante, sentant les contractions de sa chatte jouissante vider complètement les couilles tendues. Chaque giclée la perçait comme un poignard brûlant et tiédissait en coulant de sa chatte sur le cuir. Elle débordait de sperme!

Nous arrivions à l'appartement. J'arrêtai la voiture et les laissai se rhabiller vaguement. Lorsque Vincianne voulut prendre ses affaires, Fred les confisqua et lui ôta son t-shirt, l'obligeant à sortir nue de la voiture dans le parking. Je savais que le concierge, même à trois heures du matin, vérifiait toujours qui rentrait et j'étais mortifié à l'idée qu'il la voie nue entre ces deux cerbères. Je tentai de protester.

« -Ta gueule, c'est nous qui décidons! » fut la réponse.

Vincianne, qui connaissait aussi bien que moi les habitudes du concierge, mais que cela semblait plutôt exciter de se laisser faire, se dirigea lentement vers l'entrée de la cage d'ascenseur, nue sur ses talons hauts, sans trop se presser, laissant au concierge tout le temps de quitter son fauteuil et sa télé pour venir entrouvrir le rideau de sa loge. Nous marchions dix pas derrière et vîmes parfaitement le rideau se soulever, s'abaisser machinalement, puis s'entrouvrir à nouveau, plus rapidement, pas tout à fait aussi discrètement, comme sous l'effet d'une irrépressible surprise.

Il resta ouvert tout le temps que mit Vincianne à traverser le parking. Elle accentua les mouvements félins de son corps de salope pour lui, ondulant la croupe, offerte à ses yeux, consentante et excitée. A coup sûr, ce soir, Vincianne aurait les faveurs d'un autre sperme, lorsque ce vieux porc se branlerait en pensant à ses seins fermes, son ventre doux, ses fesses dures et ses poils de chatte soyeux et qu'il lâcherait son sperme sur sa robe de chambre en imaginant que c'était entre ses cuisses blanches.

Vincianne semblait avoir retrouvé de la vigueur et elle agrippa la queue que Fred avait sortie de son pantalon, la branlant et s'agenouillant devant lui dans le parking, sous le regard du concierge invisible. Elle le prit entre ses lèvres, léchant le gland, faisant ressortir toute la queue pour la frotter contre son visage, faisant courir le gland le long de son nez et de ses joues, dessinant des légères arabesques de salive et de restes de sperme. Elle offrait à ce vieux mec tout pourri le spectacle de sa bouche adorable suçant un noir dans le parking et la vue plongeante sur la chute de ses reins. Elle se tourna, alors, un peu pour qu'il puisse plonger son regard sur son trou du cul rose et jusque dans le fond de sa chatte encore dégoulinante de sperme. Les lèvres encore une peu distendues laissaient apercevoir les muqueuses, couvertes d'une épaisse couche blanc-jaune. Elle se releva. Elle ne voulait pas faire jouir Fred ici, ni que le concierge change d'avis et décide de sortir de sa loge. Elle préférait l'imaginer se branler plutôt que de devoir, ce soir, céder à un chantage abject, devoir le faire jouir et se distraire de son trip à trois.

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