Si Vous Voulez! Ch. 12

Informations sur Récit
Marie dévoile le jeu. Hervé impose le respect du contrat.
980 mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 12 de la série de 15 pièces

Actualisé 05/13/2024
Créé 04/12/2024
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Alors, prenant son courage à deux mains, Marie a repris la parole.

— Hervé, j'ai quelque chose à t'apprendre.

— Continue, mais sois brève, j'en ai assez de ces simagrées.

— Voilà. Solange n'est pas du tout celle que tu croyais.

Elle a eu un petit rire nerveux. a senti une vague de soulagement. Le subterfuge allait enfin être dévoilé. La fin de son calvaire était en vue.

— Où veux-tu en venir?

— Bon. Elle semble être une nouille incompétente, comme tu le dis. Mais tu ne trouves pas qu'elle est une bonne efficace?

— Et alors?

— Et bien elle n'est pas cette idiote que tu crois. Solange n'est pas vraiment Solange. En fait, c'est Olivier, c'est mon mari. Voilà.

— Marie, je crois que tu devrais cesser de boire, l'alcool ne te réussit pas, tu délires.

Olivier a fait une révérence.

— Vous voulez vérifier, Monsieur Rouland?

— Rien du tout. Allez au coin et fermez votre sale petite gueule.

Avec un clin d'œil à sa femme, Olivier s'est mis au coin.

— Le nez contre le mur.

Marie a poursuivi.

— Vois-tu, Hervé, nous jouions un jeu, Olivier et moi, lorsque tu es arrivé à l'improviste. Il feignait d'être ma bonne et... ça nous a amusé de te jouer la comédie.

— Il est gay?

— Absolument pas.

Marie riait en regardant son mari travesti en bonniche.

— Enfin je ne pense pas. Quoi qu'il en soit, il était déguisé quand tu es entré dans notre jardin. Tu vois, une chose a mené à une autre et voilà. Tu comprends?

Hervé a hoché la tête.

— Si je comprends ce que tu me dis, cette bonniche est réellement ton mari?

Marie a souri et incliné la tête.

— J'ai déjà entendu des conneries dans ma vie, mais là ça dépasse tout. Viens ici toi, la salope.

Olivier s'est approché de la table en souriant et a refait une révérence.

— Montrez-moi votre bite.

« Quelle brute! » se dit Olivier. Il a soulevé sa jupe et baissé sa culotte pour montrer son sexe enfermé.

— Qu'est-ce c'est que ça?

Marie ri de sa déconfiture.

— Et bien, c'est une ceinture de chasteté.

— Enlevez-la.

— Il ne peut pas, c'est moi qui ai la clef! Il aime dépendre de quelqu'un qui en soit responsable.

Hervé a tiré l'élastique de la culotte et le laissa claquer sur la cuisse d'Olivier.

— Je crois que j'ai tout vu.

— Alors si vous permettez, je monte me changer maintenant.

Hervé tambourinait des doigts sur la table.

— Je vais aller sortir la clef. Je l'avais cachée, dit Marie.

— Taisez-vous tous les deux.

Hervé arrêta de tambouriner. Son visage exprimait une profonde concentration. Ses yeux regardant fixement au loin.

— Va chercher la clef de ce machin. dit-il à Marie.

Il a passé une main avec désinvolture sur l'aine d'Olivier qui se détendait. Il serait enfin libre. Marie s'est levée. Elle a glissé la main sous sa robe courte et a pêché les deux petites clefs dorées dans sa culotte. Olivier était stupéfait.

— Je n'aurais jamais pensé qu'elles soient cachées là.!

— Désolée Solange, dit. Marie en souriant.

Hervé a ri,

— Bon, à nous maintenant. Vous Olivier étiez un mari trop faible.

— Oui monsieur. Mais je peux m'améliorer.

Hervé lui à montré Marie du doigt. Oui, vous avez été beaucoup trop faible avec elle. Votre femme a besoin d'une bonne fessée une fois par jour.

— Hervé! a protesté Marie.

— Qu'elle va d'ailleurs recevoir de suite si elle ne se tait pas. Quant à vous, Olivier, vous avez un problème.

— Oui je sais, mais je ne peux pas m'en m'empêcher, je me sens si bien dans ces vêtements.

Hervé a pointé un doigt et l'a fixé de ses yeux froids.

— Mais maintenant nous avons un problème parce que vous avez signé un contrat avec moi pour être une bonniche.

— Je le reconnais monsieur, mais j'étais bien obligé.

— Si quelqu'un apprenait jamais que j'ai déchiré un contrat, je ne pourrais jamais plus faire des affaires.

L'ambiance s'est soudain tendue. Hervé s'est avancé face à Olivier, le dominant d'une tête.

— Alors, voici ce que nous allons faire. Vous resterez la bonne afin de respecter votre contrat. Il sera revu dans un an, à la date de la signature.

— Un an? Mais ce n'est pas possible, s'est exclamé Olivier!

Hervé a toisé la mignonne blondinette et lui a souri. Olivier a souri timidement en retour.

— Et je resterai ici à la tête du ménage pendant ce temps.

Hervé a tendu la main vers Marie

— Mais le maître a les clefs du ménage. Donnez-moi ça.

Subjuguée, Marie lui a remis les clefs. Hervé les a agitées devant le visage choqué d'Olivier.

— Maintenant, la mauviette, les bonnes reçoivent des récompenses de temps en temps. Ne serait-ce que pour l'hygiène, elles doivent se purger de temps en temps. Mais les récompenses se gagnent.

Olivier a gémi.

— Ai-je entendu quelque chose, Solange?

— Non monsieur.

Solange a fait une révérence.

— Bien. Je ne compte plus entendre votre voix, à moins d'être interrogée. Je sais que qui vous êtes et je vous mènerai au tribunal si vous essayez de sortir de votre contrat. Votre nom serait dans tous les journaux. Je vous tiens.

Il a fait tinter les clefs.

— Pendant un an, et ce sera comme je dis.

— Oui monsieur.

Solange a fait la révérence.

— Demain j'engagerai quelques hommes pour aménager une chambre de bonne au dessus du garage. Je ne vois pas pourquoi je devrais vous accepter dans ma maison une fois vos corvées finies.

— Bien monsieur.

—Cette conversation est terminée. Sortez.

Olivier a baissé la tête. Il s'était laissé attraper comme une mouche dans la toile d'araignée qu'il avait lui-même tissée.

— S'il le faut, monsieur.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 7 jours

Très bien !

"quelques hommes" ? M'est avis que Solange, au moins elle, va le sentir passer...

Et Marie qui attend sa fessée, avec impatience mais avec aussi...

Bien vu, Monsieur Rouland, ne vous laisser pas rouler !

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