Solange, Mon Esclavage Pt. 02

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Où Madame s’impose à moi.
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Partie 2 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 08/11/2022
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Abandonné depuis un an par ma Maîtresse, j'emménageai dans un quartier à la périphérie de la ville. La fenêtre de l'étage donnait vue sur les jardins voisins où traînaient des chaises longues. Peut-être au beau temps y surprendrai-je l'une où l'autre voisine?

J'avais un grand jardin. Il n'était séparé des voisins que par une légère clôture de fil de fer. Il avait été négligé et le fond était envahi de hautes orties. Quelques arbustes le meublaient, dont un grand genévrier, du genre à aiguilles urticantes.

Tout au bout, une porte ouvrait sur le bois. À vingt mètres, un sentier de promeneurs bordé de hautes fougères et d'un champ d'orties. Je ne tarderais pas à découvrir que c'était un lieu de rendez-vous.

Ce jardin, tel qu'il était, convenait parfaitement à l'assouvissement de mes pulsions car j'étais profondément masochiste et un peu exhibitionniste.

Nous étions au printemps, l'air était doux.

Je pris l'habitude de m'y promener tôt le matin. Je me mettais du rouge aux lèvres et coiffais ma perruque. Je ne portais pas de culotte mais un grand serre-taille à jarretelles, des bas nylons, des mules, une courte nuisette de dentelle noire ouverte pour dégager mes tétons ornés de pinces. Le risque d'être surprise par un ou une voisine m'excitait terriblement.

Je me risquais parfois dans le bois, m'enhardissant jusqu'au sentier mais comme il était très tôt, c'était désert. Je me promis de m'y risquer peut-être un soir à la nuit tombante.

Ce matin là, donc, de retour au jardin, je me baladai dans les orties pour me faire piquer les cuisses et la bourse, puis m'accroupis pour faire pipi comme une fille. Puis je cueillis une ortie pour en introduire la tige dans mon méat et quelques-unes dans mon anus.

Ainsi parée, j'allai vers le genévrier, m'y frottai, l'enserrant dans mes bras, entre mes cuisses, m'en fouettant le pubis. Lorsque je fus bien écorchée, je me masturbai enfin.

J'entendis toussoter. Une dame d'une cinquantaine d'années, sans doute la bonniche, me regardait, goguenarde.

— Ben c'est du propre. Quand je vais dire ça à Madame!

La honte! Mais je l'avais bien cherché. Je m'enfuis sans demander mon reste.

L'après-midi, le soleil tapait, je pus observer de ma fenêtre ma voisine de droite qui bronzait en petite culotte. Elle avait de magnifiques seins. Près d'elle, sa fille adolescente lisait à l'ombre, un écouteur aux oreilles. Je dus faire du bruit en cognant mes jumelles sur la vitre car elle releva la tête. Distrait, obnubilé par sa petite culotte, je ne m'étais pas rendu compte qu'elle aussi m'observait à travers ses lunettes fumées. Elle ouvrit lentement les cuisses, sa main descendit dans la culotte. Alors elle ôta ses lunettes et me fixa droit dans les yeux en se caressant. Très gêné d'avoir été surpris, je ne sus que faire et je disparus.

Le lendemain, quand je rentrai de mes courses, elle taillait un rosier.

— Alors voisin, on observe les petits oiseaux?

— Bonjour Madame. Excusez-moi si je vous ai surprise.

— Surprise? Épiée plutôt. Le spectacle vous a plu?

— Je vous demande pardon. Ça ne se reproduira pas.

— Oh mais ça ne me gêne pas, vous pouvez me reluquer tant que vous voulez. À propos, ma femme de ménage m'en a raconté une bien bonne. Il paraît que le matin, vous vous promenez en petite tenue? Ça m'intéresse, je viendrai voir ça demain. Vous serez là? — Heu, je ne sais pas, Madame.

— Tut tut, pas question de vous dérober. Alors?

— Et bien oui, si vous y tenez.

Toute la journée, je me posai des questions. Allai-je me montrer de mon plein gré dans cette tenue compromettante? Sa femme de ménage m'avait vu. Alors tant pis, advienne que pourra.

Le lendemain donc, morte de honte mais décidée, je me préparai. Ma tenue habituelle. Mettrai-je une petite culotte? Non, je boirais le calice jusqu'à la lie. Et puis ma voisine n'avait pas eu l'air choquée.

Ouf, elle n'était pas là. Je fis mes exercices dans les orties et le genévrier mais quand je me masturbai, elle apparut. Aussitôt je débandai. Elle vit l'ortie dans mon urètre. Elle prit des photos avec son téléphone.

— Mais tu es une petite maso, toi! Et travesti, j'adore. Comment t'appelles-tu?

— Vincent, Madame.

— Ça c'est en garçon, mais là, je te vois en fille.

— Ah, c'est Solange quand je suis en fille.

— Bon. Tu m'offres un café?

— Oui bien sûr, Madame.

— J'arrive... Solange.

Je me débarrassai de mes orties. À peine rentré, on sonna. Je vérifiai par la fenêtre, c'était elle. Je la fis entrer. Très à l'aise, un grand sourire aux lèvres, elle s'assit et me toisa, ironique, tandis que j'apportais le café.

— Tu es joliment épilée, Solange, approche un peu.

Elle me caressa du dos de la main sur les cuisses, remontant vers la bourse, la soupesant. Tenant mon plateau, je ne pouvais que la laisser faire.

— Tu as la peau douce comme une fille.

— Merci Madame.

— Mais tu ne bandes plus. Je ne te fais pas d'effet?

— Oh si Madame, c'est que je suis gênée.

— Et j'ai interrompu ta branlette, quel dommage!

Nous prîmes le café, elle alluma une cigarette.

— Vous permettez, j'ai oublié d'ôter mes pinces.

— Non, je préfère que tu les gardes. Je te les enlèverai moi-même tout à l'heure.

— Si vous voulez, Madame.

— Raconte-moi, il y a longtemps que tu te travestis?

— J'allais dire depuis toute petite, en fait depuis mon adolescence.

— Quel âge as-tu?

— J'ai quarante ans, Madame.

— Tu travailles?

— Non Madame, disons que je vis de mes rentes.

— Allez, raconte-moi ton histoire de petite maso.

— En fait, c'est au début de mon mariage, quand j'ai découvert Sacher Masoch. J'ai pu convaincre ma femme d'être ma Maîtresse...

— Et bien continue.

— Euh, c'est difficile Madame.

— Écoute Solange. Si je dois te tirer les mots de la bouche, je te plante là. Et je pourrais peut-être bien publier ta photo. Alors accouche. Qu'est-ce que vous faisiez. Je veux tous les détails, tu as compris?

— Oui Madame. Ce que j'adorais surtout c'était me faire fouetter toute nue. J'aimais qu'elle me gifle, qu'elle m'insulte. Je lui demandais de faire pipi dans ma bouche, de me garder ses petites culottes très sales pour les sucer. Elle acceptait que je m'habille en fille et je faisais les travaux ménagers en bonniche. Nous avons acheté plein de tenues féminines. Et puis, j'avais rédigé un contrat par lequel j'étais son esclave.

— Un contrat? Tu me le montreras. Mais continue.

— En fait, j'étais un souminateur. Ça a duré ainsi des années. Au fil du temps, je la tannais, j'en voulais toujours plus, de fouet, d'humiliations. Lorsqu'elle n'était pas assez sévère à mon goût, je me fâchais. Excédée, elle me punissait en m'ignorant, parfois plusieurs jours.

— Je vois.

— Je voulais qu'elle prenne un amant. J'aurais été leur esclave sexuelle. Mais quand elle s'y est décidée, ça a mal tourné. Elle en est tombée amoureuse et m'a quitté. Ça fait un an maintenant.

— Et depuis tu cherches une nouvelle Maîtresse?

— C'est ça, Madame.

— Comment fais-tu pour te satisfaire à part tes branlettes au jardin?

— Ben, je passe toutes mes tenues, je me prends en photo, je les publie sur un site porno avec des histoires que j'écris.

— Allume ton ordinateur, tu vas me montrer ça.

— S'il vous plaît Madame, voulez-vous m'ôter les pinces, ça me fait mal.

— Non, je t'ai dit c'est quand je déciderai. Mais tu es une maso, alors souffre, c'est mon bon plaisir.

— Bien Madame, comme vous l'exigez.

Elle me suivit à l'étage dans mon bureau. J'ouvris ma page. Il y avait plein de photos de moi, toute nue, en lingerie, en tenues féminines. Elle se focalisa en particulier sur des photos où j'étais zébrée de traces rouges.

— C'est du fouet ça?

— Oui Madame, du temps béni où ma Maîtresse avait de la poigne!

Elle apprécia le dispositif pour me lier avec les barres d'écartement pour bras et chevilles, où rien n'entravait l'accès du fouet.

Puis je passai aux textes. Il y avait là mes histoires, mon contrat. Sur son injonction, j'envoyai les adresses sur sa boîte mail.

— Bien, je lirai tout ça. Maintenant montre-moi tes vêtements.

Dans ma chambre, je lui ouvris ma garde-robe. Une de mes parures ultra-sexy lui plut. Elle voulut que je l'enfile.

— Pardon Madame, mais ça n'ira pas sans ôter mes pinces.

— C'est juste. Croise les mains dans la nuque.

— Faites doucement s'il vous plaît.

— Quoi?

— Rien, excusez-moi.

Elle s'amusa à tourner les pinces avant de les arracher brutalement.

— Qu'est-ce qu'on dit?

— Merci Madame.

— Tu vas me montrer à quoi tu ressembles en fille. Déshabille-toi.

Lorsque ma Maîtresse m'avait abandonné, j'avais erré sur tous les sites pornos. Une photo m'avait fortement impressionné. Une page sur la féminisation montrait comment dissimuler le pénis entre les cuisses au moyen d'une guiche au prépuce ou au frein, qu'on clippait à une autre au scrotum. On pouvait éventuellement les cadenasser pour assurer une chasteté permanente. Je m'étais renseigné, ce n'était pas trop cher mais la cicatrisation était longue. Et je m'étais décidé. Le tatoueur qui opéra me montra des photos de ses réalisations. Une autre image me tentait aussi, le piercing de la cloison nasale. Là ce n'était plus intime mais public. Bon, j'étais encore assez jeune pour assumer ce signe, très à la mode, m'assura-t-il.

Depuis j'avais ces anneaux, mais je ne les portais pas en permanence. Or ce jour là, j'avais gardé l'anneau du scrotum. Madame le vit de suite.

— Je vois que tu as une guiche.

— C'est pour y clipper mon prépuce, Madame.

— Montre-moi.

Je plaçai un petit anneau dans les orifices percés de mon prépuce. Rabattant la verge entre les testicules, je clippai les anneaux, fermant les deux d'un minuscule cadenas.

— Donne-moi la clé, je serai sûre de ta chasteté.

— S'il vous plaît, Madame.

— Tu as d'autres anneaux?

— J'en ai un autre à mettre dans le nez.

— Montre.

Je fis glisser le petit anneau dans la cloison percée.

— Très intéressant, ça peut-être utile. Mais retire-le, on n'en a pas besoin maintenant.

J'enfilai alors ma parure.

— Mm, très sexy. C'est ça ta tenue de bonniche?

— Heu non Madame, plutôt une tenue de soubrette ou de service si je devais me présenter. Comme femme de ménage je porte de préférence ceci, une robe de souillon, ou une de ces tenues de bonne à tout faire.

— Autre chose que tu dois me montrer?

— J'ai aussi mon coffre à jouets, si vous voulez.

Je lui ouvris le placard où étaient pendus mes accessoires, fouets etc. Elle choisit un gode de petite taille.

— Montre-moi.

— Oh, Madame!

— Ah ne commence pas à faire la bégueule, obéis.

C'en était trop. Mais je m'étais mise dans une situation où je ne pouvais plus rien refuser. J'enduisis le gode de vaseline, me penchai et me l'enfonçai très doucement. Elle me regardait dans les yeux, ironique.

— Bravo ma chérie! Tu es une petite enculée, une vraie lopette! Est-ce que tu te fais enculer?

— Non Madame, je suis vierge.

— Une vierge à dépuceler, miam, ça promet!

— Non Madame, s'il vous plaît, c'est que j'ai les hommes en horreur.

— Ce n'en sera que meilleur!

— Madame, oserai-je vous demander une faveur? Il y a si longtemps qu'on ne m'a pas fouettée.

— Non. Plus tard peut-être. En tous cas quand moi je le déciderai. Maintenant je veux te voir en femme de ménage.

Je revêtis ma tenue : faux seins, une parure de dentelle noire, soutien-gorge, porte-jarretelles, bas nylons, petite culotte. Un chemisier transparent, jupette plissée et tablier de serveuse bordé de dentelle.

— Eh bien, je t'engage. Tu vas venir faire mon ménage. Marthe a bien besoin qu'on l'aide. Seulement, j'exige que tu apprennes à mieux te maquiller, il y a des sites pour ça. Tu peux aussi demander des leçons à mon esthéticienne. D'ailleurs je te prends rendez-vous. Je la préviendrai et je t'y conduirai.

— Vous êtes sûre, Madame?

— Tu veux ressembler à une fille? Alors assume.

— Je vous obéirai Madame.

— Mais j'y compte bien. À demain, je t'appellerai. Et je t'interdis de te branler, compris Solange?

— J'attends vos ordres, Madame.

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