Sortir Des Sentiers Battus (Acte 03)

Informations sur Récit
Les vacances de Sylvie et de Gérard montent en gamme
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 8 pièces

Actualisé 05/23/2024
Créé 05/09/2024
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Et que la fête commence

Résumé de l'acte I et II

Sylvie et Gérard sont mariés depuis de nombreuses années. Leur vie est paisible mais leurs relations sexuelles sont presque au point mort.

Elle est chaude comme une allumette, lui est passif et peu enclin à la gaudriole avec son épouse.

Madame peut choisir son cadeau d'anniversaire, Monsieur paie.

Elle réserve donc, à l'insu de Gérard, deux semaines dans un gîte rural coquin dans la Drôme.

Cette initiative réchauffe le couple, et les voilà partis pour le gîte rural, la fleur au fusil, pour remettre un peu de piment à leur existence, tenter de s'encanailler et s'en mettre plein la « lampe ».

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Sur le bord de la piscine Sylvie et Gérard prennent l'apéro et font la connaissance d'autres clients du gîte arrivés plus tôt. C'est très panaché et très cosmopolite. Outre les Français, il y a des Allemands, des Anglais, des Néerlandais, des Suisses et même des Australiens qui reviennent chaque année.

Ces vacances s'annoncent chaudes dans tous les sens du terme.

Gérard fouine à gauche, moi je lorgne à droite, j'espère que nous n'allons pas passer ces quinze jours sans nous voir.

Je ne voudrais pas que ce séjour chez les coquins précipite notre couple dans un naufrage, et, en aparté, je propose à Gégé de mettre des garde-fous pour notre séjour.

- Je propose une liberté totale et individuelle à chacun de nous, sauf :

1) Notre chambre Sherazade doit rester notre nid de retrouvailles, inviolé. Avoir une base solide est important et aussi pour des raisons de sécurité. Nos effets personnels pourraient être la convoitise de visiteurs d'un soir.

2) Le matin on se retrouve dans notre lit, les deux, et on prend notre petit déjeuner ensemble, quotidiennement, qu'en penses-tu?

- Oui ma chérie, tu as totalement raison, ces clauses sont vitales et tôt ou tard, je t'aurais proposé la même chose.

Une chaleureuse accolade et un immense baiser scellent notre pacte.

Une trentaine de personnes sont présentes à l'apéro, toutes à poil. Seul le personnel porte un minuscule cache-sexe, seul moyen de les différencier de la clientèle. J'aperçois Tristan préparant des « drinks ». Il a fière allure ce mec avec son petit sac en cuir entre les cuisses, rempli à souhait.

Il sera mon premier trophée.

J'abandonne temporairement Gégé et me rapproche du comptoir, histoire de marquer ma présence et de lui rappeler mon bon souvenir.

Il me décroche un large sourire, s'approche de moi, m'effleure la pointe des seins er me chuchote à l'oreille.

- Je termine mon service à 22h, je te retrouve ici, au bord de la piscine, si tu le veux bien?

- Oui Tristan, je serai là

La journée va être longue, l'attente interminable. J'ai hâte d'en découdre.

Le repas du soir se déroule dans la bonne humeur, la franche camaraderie, je crois que ce séjour sera un grand cru.

Café et digestif sur la terrasse, abandon du maillot de bain et c'est 22h00.

Voilà Tristan, voilà mon Tristan, voilà l'objet de mes désirs. Nu. Je vais pouvoir me régaler.

La lumière douce autour de la piscine nous baigne dans une douce jouissance, une bulle de bien-être, un état second.

Tristan se glisse dans le bassin par le petit escalier et me fait signe de le rejoindre. Je n'attends que ça.

A mon tour, je me jette à l'eau, au sens propre comme figuré.

- Viens Sylvie, viens près de moi, viens contre moi

-.......

- On va passer un bon moment ensemble, depuis ton arrivée je n'ai pensé qu'à toi, qu'à ce moment-là

- Moi aussi Tristan, je suis ravie, heureuse d'être près de toi, dans tes bras.

Collée à lui, baisers langoureux, je sens le sexe se durcir et frotter contre mon ventre. Nos corps ne forme plus qu'un. Malgré notre appétit sexuel dévorant, je le crois, comme moi, pétri de romantisme e de sensibilité.

Plusieurs couples sont agglutinés près de nous et s'en donnent à cœur joie. Ça fait que décupler mes envies qui sont déjà au firmament.

Toujours en m'embrassant, Tristan s'accroche à mes fesses qu'il pétrit rageusement. De mon côté, j'approche ma main de se sexe partiellement dur que je convoite depuis l'après-midi. J'empoigne cette bite et je fais coulisser mes doigts de la hampe aux testicules en prenant bien soin de décalotter le gland. Mon Tristan ronronne. Ses mains baladeuses se promènent de mes seins à mon petit trou, en passant pas ma vulve, mon clitoris et mes lèvres, déjà entrouvertes. Nos corps font des étincelles, ils ont envie l'un de l'autre.

- Viens!!! dit Tristan en me prenant par la main.

-.....

- Allons sous le saule pleureur, c'est plus confortable et romantique et nous y serons bien.

Un petit meuble nous fournit des serviettes de bain. On s'essuie mutuellement et départ pour rejoindre notre saule. Oui, c'est comme une yourte. On écarte les branches qui traînent jusqu'au sol et on se retrouve entre le tronc et cette barrière de branchage. C'est idyllique.

Il faut bon, la nuit est douce, l'air est chaud. On s'allonge sur nos serviettes de bain posées au sol et nos reprenons ce que nous avons commencé : de longs baisers où nos langues s'entremêlent, se caressent, se tutoient, se cherchent.

Au fil de nos baisers et de nos caresses, de plus en plus appuyés et de moins en moins au hasard, je sens la bite de Tristan se durcir de manière surprenante, pour ne pas dire inquiétante. La queue de mon Gégé est déjà bien calibrée, mais celle de mon étalon, ici présent, est d'une taille largement supérieure. J'espère qu'il ne va pas me démolir la chatte et me priver de baise pour les jours à venir.

Je prends l'initiative et tout en lui faisant des bisous plein le torse, je glisse le long de son corps et me retrouve nez à nez avec son sexe.

Du bout de ma langue je commence à lui lécher le gland avant de l'introduire progressivement dans ma bouche puis dans ma gorge, et je pompe. Ses deux mains, posées sur mes oreilles, il marque le rythme, tel un métronome. Il aime ça et moi j'adore.

Mon ventre se réveille, les lèvres de ma vulve s'écartent, mon sexe devient de plus en plus brûlant, humide pour finir pas suinter puis ruisseler. Cette situation devient insoutenable.

J'ai hâte de me faire sauter, labourer le ventre, jouir, ensemencé par ce Centaure.

Tristan comprend tout.

Il me retourne sur le dos et plonge entre mes cuisses. Il fouille mon corps, ma vulve, écarte les lèvres de mon vagin, y plante sa langue et son nez. Il se noie dans ma substance, me lèche de fond en comble, passant de mon petit clown (le clitoris) à ma petite rosace entre mes fesses. Il est partout à la fois. Son index et son majeur réunis et recourbés exacerbe mon point G pendant que sa langue excite mon petit bouton. C'est bon, je voudrais que cela ne s'arrête jamais. Je gémis de plus en plus fort et mes gémissements attirent des curieux dans notre yourte.

Un couple, des Anglais je crois, reste debout à nos côtés et s'en met plein les pupilles. Visiblement ça l'excite de nous voir copuler. Lui se masturbe, elle fouille sa toison avec ses doigts. Ce couple qui s'exhibe m'excite moi aussi terriblement et me fait gémir de plus belle.

Je me tortille dans tous les sens, des spasmes de plus en plus marqués animent mon corps.

- Arrête Tristan, je veux que tu me pénètres, que tu me fasses jouir avec ta queue.

-.....

- Ne me fais pas languir plus longtemps, lui dis-je entre deux râles.

Il s'allonge sur moi, me recouvre de tout son corps et place son dard à l'entrée de ma grotte, mes cuisses largement écartées.

Progressivement il s'enfonce dans ma chair, délicatement, sans empressement, un véritable élan de tendresse. Nous sommes fusionnels, en symbiose parfaite. Nous formons qu'un.

Ses coups de boutoirs deviennent de plus en plus accentués, de plus en plus rapides, de plus en plus profonds dans mes entrailles. Puis il ralenti, probablement pour faire durer le plaisir et ne pas éjaculer trop vite. Puis, hardiment, il repart à l'assaut de mon ventre et chacun de ses coups de reins m'arrache un cri de plaisir. J'ai l'impression qu'il connaît mon corps comme personne. Il sait où se cache mes zones érogènes. Il a tout compris, dès la première fois.

Quand je l'ai vu pour la première fois, je savais que nous avions quelque chose en commun. Mon intuition ne m'a pas trahie.

Son va-et-vient continue de plus belle. Lui aussi, je sens qu'il ne va pas résister encore longtemps. Il a le souffle court, il grimace, il halète, il est prêt à m'offrir le meilleur de lui-même, à me remplir de son foutre, à vider ses couilles dans mon vagin.

De mon côté, déjà quelques mini-orgasmes au compteur, mais je l'attends pour le bouquet final.

Nos deux Anglais, toujours au premières loges sont sur le point de jouir eux aussi. Lui se branle à toute vitesse et elle susurre des « yesss!!! » en se doigtant le clitoris.

- Viens Tristan, c'est le moment!!!!

- Ahhhhh!!!

Et c'est l'explosion.

Je jouis comme jamais dans le passé. Des flots de cyprine s'échappent de mon ventre, je fuis de partout. Mon Tarzan envoie sa sauce dans mon ventre par grands jets brûlants.

Notre couple de spectateurs, toujours debout, déclenche leur plaisir en même temps. Lui asperge le ventre de sa compagne de son sperme et elle, telle une femme-fontaine, envoie de puissants jets de liquide en direction du sol.

Tristan continue doucement à aller et venir dans ma chatte. Son jus et le mien se conjuguent au singulier.

Nos quatre regards se croisent, on se sourit, se congratule se remercie.

Nous restons seuls, immobiles et comblés côte à côte en tentant de reprendre notre souffle et nos esprits. Puis Tristan me propose d'aller faire trempette dans la piscine, histoire de redescendre sur terre

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