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Résumé de l'acte I, II, III et IV
Sylvie et Gérard sont mariés depuis de nombreuses années. Leur vie est paisible mais leurs relations sexuelles sont presque au point mort.
Elle est chaude comme une allumette, lui est passif et peu enclin à la gaudriole avec son épouse.
Madame peut choisir son cadeau d'anniversaire, Monsieur paie.
Elle réserve donc, à l'insu de Gérard, deux semaines dans un gîte rural coquin dans la Drôme.
Cette initiative réchauffe le couple, et les voilà partis pour le gîte rural, la fleur au fusil, pour remettre un peu de piment à leur existence, tenter de s'encanailler et s'en mettre plein la « lampe ».
Sylvie a réussi son coup en se faisant baiser par le numéro 2 de l'administration du gîte.
Le couple, plus uni que jamais, papillonne de gauche et de droite et brûle la chandelle par les 2 bouts. Les relations tant amicales que sexuelles avec la communauté du gîte s'intensifient.
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Notre deuxième jour chez les coquins et les coquines. L'apéro de midi nous attend sous la tonnelle, un coin à l'ombre, dans la ramure, de bonne augure.
Tout le monde est là, certains avec des yeux plein de sommeil (ça a dû faire fort cette nuit), d'autres pleins de joie de vivre, tel des rossignols au lever du soleil. Une alléchante odeur de grillades nous chatouille les muqueuses. Du gigot d'agneau au menu. Miam, miam, miam.
Gégé et moi scrutons l'assemblée, histoire de voir si de nouvelles têtes sont apparues. A priori : non.
Après le déjeuner je propose à Gégé de faire quelques longueurs de bassin et de nous retrouver auprès de Sherazade, notre chambre. Choses dites, choses faites. La chaleur est écrasante et une bonne longue sieste chargera nos batteries pour que nous soyons au « top » pour notre seconde soirée. Un léger souffle de climatisation pour rafraîchir notre nid, et c'est parti pour l'après-midi.
L'ensemble des hôtes optent pour la même formule. Les couloirs sont déserts, les abords de la piscine sont plongés dans un silence total.
A poil sur notre lit, les récits de nos exploits, nos projets et nos fantasmes font monter la pression. Gégé se tripote la verge ostensiblement et de mon côté je frotte mes cuisses l'une contre l'autre, ce qui me procure quelques picotements et me fait légèrement mouiller.
- Gégé.... J'ai envie de toi. Viens me lécher la moule!!!
Pas utile de répéter ma litanie, comme un éclair il vient se pelotonner entre mes cuisses, déjà grandes ouvertes, prêtes à offrir ma vulve à sa langue pointue, curieuse et experte.
Ma chatte est béante et mouillée à souhait. Il me tète le clitoris, l'aspire, le titille, l'exacerbe.... C'est bon, c'est délicat, c'est de l'excitation de haute voltige. Ses mains sont partout. Il pétrit mes fesses fermes et bien remplies. Module mes seins lourds et volumineux, caresse mes hanches galbées, mon ventre, mon nombril. Ces bras et ses mains sont partout, en fermant les yeux j'ai la sensation d'être la lauréate de plusieurs hommes à la fois. Toutes mes zones érogènes sont prises d'assaut en même temps. Je me débats dans tous les sens, je suis à la limite de l'overdose.
Son index navigue entre l'intérieur de ma vulve et ma petite rosace qu'il perfore de plus en plus profondément. A coup sûr Gégé veux m'endaufer, raison pour laquelle il lubrifie mon petit trou.
Je sais qu'il aime bien m'enculer et comme il me pénètre avec grande attention et délicatesse, ce plaisir est largement partagé.
A quatre pattes, le dos cambré, le corps et l'anus bien détendu j'offre mon postérieur à la bite de mon Gégé. Il s'introduit en moi délicatement, progressivement, sans urgence, ni précipitation. Aucune douleur, et pourtant son membre est de belle taille.
Son dard me perforer le cul. Cette masse de chair dure entre mes reins me fait gémir de plaisir. Il accélère le rythme tout en sondant plus profondément mon cul. C'est bon.... Ses mains claquent sur mes fesses, puis s'agrippent à mes hanches pour s'enfoncer de plus en plus au fond de moi. Je hurle, crie, gémis, glousse, j'aime :
- Oui mon Gégé, encore, encore, encore, ne t'arrête pas!!!
« A cette minute, en rédigeant ces lignes, le sexe de votre narrateur est en pleine extension, et pense à sa muse, qui lui inspira cette histoire et qui se reconnaîtra dans ce texte ».
Gégé a retrouvé la vigueur de ses 20 ans. Il me taraude en redoublant d'énergie à chaque coup de boutoir.
Mon cul est en délire. Je vibre de tout mon corps, mes tétons sont à la fête, mon cœur bat la chamade, ma tête est dans les étoiles, mon ventre est sur le point d'exploser. Je suis baisée par le dieu de l'amour. Eros me laboure le popotin. Je ne peux plus me retenir, je lâche les chevaux, ouvre les vannes. Ma chatte, béante, envoie des jets de cyprine et arrose la literie. Voyant de spectacle, mon étalon planté entre mes reins m'inocule plusieurs jets de sperme brûlant. Epuisée, je tombe à plat ventre avec mon homme sur le dos. Nous restons tous les deux haletants pendant de longues minutes, toujours connectés. Progressivement la bite de Gégé se ramolli et extirpe peu à peu de mon petit trou inondé. Whaouah!!! Encore une belle chevauchée.
Nous pensions simplement faire une sieste, nous requinquer, mais nos corps lascifs en ont décidé autrement.
Avant de fermer les yeux pour un vrai dodo, je jette un coup d'œil à la literie, jaunie par mes sécrétions.
Que va penser Sandia, notre splendide femme de chambre? Sera-t-elle excitée, curieuse, dégoûtée ou intéressée? Peut-être simplement indifférente, par habitude.
À Suivre...