Sortir Des Sentiers Battus (Acte 06)

Comme l'abeille, Sylvie butine de fleurs en fleurs

Résumé de l'acte 1 à 5

Sylvie et Gérard sont mariés depuis de nombreuses années. Leur vie est paisible mais leurs relations sexuelles sont presque au point mort.

Elle est chaude comme une allumette, lui est passif et peu enclin à la gaudriole avec son épouse.

Madame peut choisir son cadeau d'anniversaire, Monsieur paie.

Elle réserve donc, à l'insu de Gérard, deux semaines dans un gîte rural coquin dans la Drôme.

Cette initiative réchauffe le couple, et les voilà partis pour le gîte rural, la fleur au fusil, pour remettre un peu de piment à leur existence, tenter de s'encanailler et s'en mettre plein la « lampe ».

Sylvie a réussi son coup en se faisant baiser par le numéro 2 de l'administration du gîte.

Le couple, plus uni que jamais, papillonne de gauche et de droite et brûle la chandelle par les 2 bouts. Les relations tant amicales que sexuelles avec la communauté du gîte s'intensifient.

Bien que le couple papillonne de gauche à droite et se fait des overdoses de sexe, il reste uni et trouve le temps de se retrouver pour se faire du bien, du très bien même.

* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *

Nous rejoignons notre univers de poilus pour l'apéro du soir. En chemin, nous croisons Sandia, notre belle africaine avec son chariot chargé de linge sale et de produits de nettoyage, toujours pieds et torse nus, la taille juste enveloppée d'un pagne en raphia, à l'hawaïenne.

- Gégé, tu peux me laisser seule avec Sandia, j'ai quelque chose à lui demander!!!

-....

- Je te retrouve pour l'apéro dans 5 minutes

- OK, A+, me répond Gérard

- Bonjour Sandia, excusez-moi, vous avez une minute?

- Oui Madame, me répond-elle avec son fort accent de là-bas

- Appelle-moi Sylvie

- Oui Madame Sylvie

- Voilà Sandia, je vais être claire et franche. Mon mari Gérard et moi te trouvons très belle et souhaiterions passer une soirée avec toi, serais-tu d'accord?

-....

- Je te laisse y réfléchir et on n'en reparle quand tu auras pris ta décision. Rien ne presse et tu ne dois avoir aucune crainte

- D'accord Madame Sylvie. Je vais y penser

Je la prends dans mes bras, on se fait de gros mimis sur les joues et on se sépare avec un grand sourire.

C'est le cœur soulagé et en liesse que je retrouve mon Gégé en pleine conversation avec le couple d'Australiens, bières à la main. Je lui fais part brièvement de ma démarche auprès de Sandia, le pouce levé et un petit clin d'œil.

- Je vous présente mon épouse Sylvie, dit mon Gégé

- Enchantée... Vous venez d'Australie, n'est-ce pas?

- Oui, de Perth sur la côte Ouest. Voilà mon épouse Linda et moi c'est Paul.

Ce couple a belle allure. La cinquantaine environ.

Linda est grande et mince, de tous petits seins, mais de longs tétons, idéal pour allaiter ou amuser un homme ou....? Sa peau est mate et lisse, peu ou pas de cellulite, ventre plat pubis rasé. Elle doit être bisexuelle, son regard coquin me scanne littéralement de la tête aux pieds, en passant par....

J'espère que lui n'est pas pareil, je vois mal mon Gégé tirer une pipe à ce mec et se faire pénétrer. À moins que les rôles soient inverses.

Paul est bel homme, grand lui aussi, de la classe, certainement une profession libérale, et pour venir chaque année en vacances ici ça demande une certaine aisance financière.

Il nous propose de dîner à sa table, nous acceptons.

Au cours du repas, notre «antipodien» nous met dans la confidence :

- Linda et moi aimons bien se retrouver à deux couples. Ma femme est légèrement bisexuelle, et moi je suis principalement voyeur. J'aime voir mon épouse jouir et prendre du plaisir, tant avec un homme qu'avec une femme. Moi, je suis spectateur et la masturbation me suffit. Que pensez-vous de ma proposition?

-...

- Je vous laisse en discuter entre vous et on se retrouve pour le café au bord de la piscine, d'accord?

Ce rôle est totalement inédit pour moi, mais j'ai envie de faire ce saut dans l'inconnu et goûter aux relations féminines. Le corps de Linda est accueillant. Qu'en pense mon Gégé?

- Je suis tentée de caresser et lécher une femme, ce serait une grande première, ça ne doit pas être si mal, dis-je

- Oui, ça m'exciterait beaucoup de te voir «bricoler» avec Linda, de voir son mari se secouer le poireau à côté et moi, Gégé le sultan avec 2 femmes dans son mini harem.

Nous décidons d'accepter la proposition de nos Australiens et nous les rejoignons, tout sourire, les cafés et digestifs à la main. On va rejoindre leur chambre «Blue Lagoon» dans l'autre aile du gîte dans une vingtaine de minutes.

En traversant la cour j'ai croisé Tristan, toujours souriant et je crois prêt pour remettre l'ouvrage sur le métier. Moi aussi, du reste.

Je dois l'avouer sincèrement que j'ai la boule au ventre en frappant à la porte de notre couple Australiens.

- Entrez, c'est ouvert!!! me crie Linda

C'est en costume traditionnels, c'est-à-dire à poil, que nous franchissons le Rubicon, le dédale de l'inconnu, pour moi en tout cas : manger le minou d'une nana..... Gégé va bien se moquer de moi.

Oh!!! Surprise

Madame est allongée sur le lit en train de se caresser le sexe avec un mini vibromasseur et son mari debout, près d'elle, fait briller ses chromes avec entrain.

- Soyez les bienvenus sur l'île de Lesbos, fanfaronne Paul

Nos hôtes mettent provisoirement entre parenthèses leurs activités lubriques, propose de nous asseoir et Linda remplit 4 coupes de champagne pour nous mettre des bulles dans la tête.

Linda s'approche de moi, m'attrape par la taille, me serre fort, choque son verre au mien et me dit :

- Que la fête commence!!!

J'ai à peine le temps de reposer ma coupe sur la table qu'elle me prend par la main et m'entraîne sur le lit, me plaque sur le dos, s'allonge sur moi et m'embrasse à pleine bouche. Un baiser de femme. Elle me dévore la bouche. C'est une mante religieuse. Le baiser de la femme-araignée.

Nos deux corps s'épousent parfaitement et ondulent au même rythme. Je découvre de nouvelles sensations. Elle sent bon le Ylang-Ylang, sa peau est satinée, la caresser ne me demande aucun effort, c'est même tout bonus. D'abord timidement, puis avec plus de hardiesse et de désirs. Ses baisers, toujours aussi gourmands, se succèdent. Elle a dû être apnéiste dans sa jeunesse ou sirène dans une vie précédente.

Elle abandonne mes lèvres et fait galoper sa langue, sur mon cou et s'attaque à mes beaux gros seins lourds. Elle a trouvé de quoi lécher, sucer, grignoter, embrasser. Elle découvre de petits endroits improbables me donnant la chair de poule et des frissons. Elle me lèche comme une chatte lèche ses petits et descend progressivement ses lèvres vers mon pubis, proche de l'ébullition. Cette salope me chauffe à blanc.

Paul, assis à la tête de lit se tripote gentiment sa quéquette qui a de la peine à durcir, quant à mon Gégé, aux premières loges, scrute, scanne, ausculte sa prochaine proie.

Tel un serpent, Linda se glisse entre mes cuisses et, à quatre pattes, enfonce son visage dans ma vulve. La voilà servie. Ça fait déjà un bon moment que ma chatte est humide, pour ne pas dire plus, et ma compagne s'en délecte. C'est bon..... C'est super bon et super excitant.

Gérard, voyant Linda dans cette position, s'approche de ses fesses, et tout en continuant de se tripoter, lui pelote le cul et passe ses doigts dans sa raie. Elle aussi est trempe.

A son tour mon Gégé vient s'accroupir derrière elle et entreprend un léchage dans les règles. Ses petits coups de langue autour du sphincter font gémir de plaisir la maîtresse des lieux.

Gérard bande comme un taureau et est prêt à embrocher sa victime. Linda est lubrifiée à souhait et attend l'estocade de son bourreau.

Paul, toujours la bite à la main, d'un hochement de tête, d'un clin d'œil et d'un large sourire donne le feu vert à mon homme. Il n'en fallait pas plus pour sonner la charge. Il enfourche Linda et s'enfonce allégrement dans son vagin. Doucement et lentement d'abord, puis progressivement il accélère et s'engouffre dans cette vulve jusqu'à la garde. Et vas-y Gégé baise-la cette salope.

Sylvie, commence à gémir de plus en plus fort sous les coups de langue de Linda sur son petit bouton, et lorsqu'elle voit son Gégé s'activer férocement entre les cuisses de la belle Australienne, elle lâche prise, rend les armes et se vide dans la bouche de sa partenaire dans un cri rauque et d'interminables spasmes.

Mais, imperturbable, Gégé continue à tarauder la chatte étroite de Linda. Il aime la position «doggy style», bien accroché aux flancs de sa belle. C'est confortable et la vue est imprenable.

- Je te veux dans ma bouche, susurra Linda. Je veux te boire

Quelques coups de boutoirs plus tard, Gégé se retire prestement et offre son sexe tout tuméfié à Linda et Sylvie, toutes les deux voulant partager la gourmandise. Elles lèchent, lèchent, lèchent jusqu'à la dernière goutte.

A la vue de ces images, Paul arrive lui aussi à maturité et appelle les belles à la rescousse, Sylvie finit le job et avale goulument ses quelques gouttes de sperme, tandis que Linda continue inlassablement à récurer, polir et faire briller la bite et les couilles de mon Gégé qui ne dira jamais : Stop.

A Suivre