Sous la robe de ma Belle-mère 03

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J'expose de plus en plus Belle maman lors du dîner.
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Partie 3 de la série de 5 pièces

Actualisé 11/21/2023
Créé 10/12/2023
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KathAnA
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Le repas se déroula sans encombre. Bien sûr, Marie-Christelle était un peu stressée au début, surtout qu'elle assurait le service avec moi. Et je la voyais souvent plaquer ses mains contre ses cuisses, en un geste inconscient, de peur à mon avis que sa robe ne se soulève et ne révèle à tous son succulent petit cul.

Lorsqu'elle s'asseyait, elle prenait bien soin de vite croiser ses jambes et de poser une fois encore ses mains sur ses cuisses...

Et puis, avec la chaleur du repas, le bon vin, je la vis se détendre un peu.

Je me régalais de la savoir nue sous sa robe, et j'étais ravi d'avoir pu la conditionner comme je le souhaitais jusqu'ici.

A un moment, alors qu'elle écoutait son amie lui parler, elle tourna la tête vers moi depuis l'autre côté de la table et -tout en me gratifiant d'un magnifique sourire très « joueur » plein de malice juvénile- elle me fit un signe du pouce en l'air, me désignant que « tout allait bien »..

Tout en lui rendant son sourire avec un petit clin d'œil discret, je me promis de lui demander plus tard la signification de son geste...

Voulait-elle naïvement me « rassurer », et me signifier ainsi qu'elle gérait, même sans sa culotte? (alors que moi, en bon salaud, je me délectais de sa gêne potentielle) Ou bien souhait-elle me dire au contraire qu'elle kiffait être nue sous sa robe? Intérieurement, j'eus un sourire mauvais...et je m'imaginais un jour lui confisquer toute lingerie pendant une semaine, et la forcer à se déplacer et à travailler ainsi...

Mais je devais rester concentré. Le repas touchait doucement à sa fin, nous entreprîmes de débarrasser les convives et de ramener le tout à la cuisine ; tout en nous assurant que les invités furent bien abreuvés en vin et en conversations, afin de ne pas interférer dans la suite des évènements.

De retour en cuisine, porte fermée, Marie-Christelle entrepris de placer les assiettes et couverts au lave-vaisselle... Ce faisant, elle se pencha...sa jupe se releva de façon critique et j'en profitait bien évidemment pour lui peloter le cul...

« Tu as beaucoup de chance qu'il y a du monde ce soir tu sais? » attaquais-je...

« Car là, si cela ne tenait qu'à moi, je relèverais un peu plus ta jupe et... »...

Marie-Christelle eut un petit rire charmant, elle se retourna et me fît face...

« Ah mais non hein » me fit-elle toute enjouée.. « Tu as assez profité ainsi...Et puis, tu as promis de me rendre ma culotte » minauda-t-elle...

« Tu te dois de tenir tes promesses » acheva-t-elle, ravie une fois de plus d'avoir le dernier mot et de récupérer, ainsi, le contrôle de la situation.

Du moins, le croyait-elle...

« C'est vrai » fis-je, faussement beau joueur... Tu vas récupérer une culotte...Mais pas ta culotte » dis-je, de manière exagérément dramatique..

De ma proche droite, j'exhibai une magnifique petite culotte en polyester, rose et brillante. Elle était toute douce de par son aspect satiné...

Je la levai en la tenant entre mon pouce & mon index, et je la secouai près de son visage sur lequel se lisait la stupéfaction.

Avant que ma chère Belle-mère ne fût revenue de sa surprise, je l'informai, volontairement autoritaire :

« C'est une culotte de ta fille » fis-je... « Et tu va la mettre pour moi! ».

Marie Christelle était comme figée, bouche bée, je la sentais quelque peu scandalisée...

« Eh bien » commença-t-elle... « C'est quand même très bizarre, hein, comme fantasme... Je ne sais pas si... » elle ne continua pas sa phrase.

Je compris soudain qu'elle était quelque peu jalouse ; une sorte de crainte que tout ceci, cette situation finalement, n'était qu'un prisme de mes phantasmes non pas sur elle, mais sur sa fille à travers elle.

Je me devait donc la rassurer... « Belle Maman » fis-je, solennel, « sa culotte t'ira bien mieux à toi qu'à elle ».. Commençais-je... « J'ai perdu avec ta fille cette complicité, ces petits jeux auxquels nous jouons... Je te trouve sincèrement belle, bonne et bandante... T'imaginer dedans me mettra la queue en feu »... J'étais sincère, et je terminai ma phrase en la prenant dans mes bras... Puis, comme d'habitude pour achever de la convaincre, je plaçai sa main sur ma queue raide et brulante...

Marie-Christelle eût un petit sourire.. Puis, souriante à nouveau, elle me demanda « Elle est propre au moins? », désignant d'un geste du menton la culotte que je tenais toujours en main...

« Mais...évidemment! » répliquais-je, faussement scandalisé... « L'idée est que tu la portes bien contre ta chatte et que je la récupère ensuite...Mmmh » ajoutais-je... « Vivement que je puisse m'occuper correctement de ce que tu as entre les cuisses »...

Ravie, Marie-Christelle enfila la culotte et la remonta entre ses cuisses... Elle réajusta sa robe, me fit un magnifique sourire qui me fit craquer et commenta « elle est très douce à porter, en tous cas »...

Intérieurement, je jubilai... Certes, cette culotte n'appartenais pas réellement à sa fille -il y avait une petite différence de gabarit entre elles- mais l'important était qu'elle accepte de la porter tout en pensant réellement porter la lingerie de sa fille...

J'imaginais déjà sauter ma copine dans l'un de ses strings, le laisser sécher, puis sauter sa mère dans le même string sans le laver entre les deux... Les perspectives étaient grandioses et cette étape supplémentaire dans la progression de l'emprise que je pouvais exercer sur ma belle-mère me ravi...

Marie-Christelle s'affaira face au plan de travail, elle avait sorti du congélateur une série de desserts individuels, des sorbets sophistiqués, et elle se chargea de finir la présentation.

M'approchant derrière elle, en prenant ma plus belle voix suave, je lui susurrai :

« Vu que je ne peux pas te prendre là, de suite, sur la table comme j'en meurs d'envie » commençais-je, taquinant de mes doigts la pointe de ses seins, « on va quand même un peu pimenter les choses... » achevais-je...

De ma poche gauche, je sortis un objet ; spécialement acquis pour l'occasion il y avait déjà quelques semaines de cela...Et qui attendait le moment d'être utilisé...

Il s'agissait d'un objet en forme d'œuf, fabriqué dans une sorte de caoutchouc biologique hyper doux, non irritant, et qui comportait une petite ficelle en l'une de ses extrémités.

Tenant le sex-toy par la ficelle, toujours derrière ma belle-mère, je le fis balancer devant son visage...

« C'est quoi ça? » demanda-t-elle, toute naïve... « C'est un jouet? Une sorte de boule de Geisha, c'est ça? » lâcha-t-elle...

J'étais stupéfait. Marie-Christelle avait-elle des jouets sexuels chez elle?

« Tu...Tu connais des boules de Geishas? » lui demandais-je, réellement stupéfait...

« Non! » Lâcha-t-elle précipitamment. « Mais...Mon gynéco m'en avait conseillé pour remuscler mon périnée après mon second accouchement » expliqua-t-elle, sur la défensive..

« Et...Tu as suivi ce conseil? » demandais-je d'une voix chaude... « Tu t'en enfoncé des boules de Geishas dans la chatte? » ajoutais-je, très cru...

« Non! » répliqua-t-elle fermement... « Je...Je ne savait pas où m'en procurer et puis...je trouvais ça... vulgaire »...finit-elle par avouer...

« Eh bien » fis-je... « on va enfin pouvoir expérimenter cela aujourd'hui, n'est-ce pas? » lui dis-je, un large sourire pervers illuminant ma figure..

« Mais, heu, ça va me faire quoi? » demanda-t-elle soudain. Je le sentis paniquée, je me délectais de son angoisse et de sa naïveté en matière de plaisir solitaire, et bien sûr je me réjouis de pouvoir l'exploiter pour asseoir sa dépendance.

Je me fis faussement rassurant. En réalité, l'objet en question était un œuf vibrant à télécommande...télécommande qui était dans ma poche, prête à servir... Dans l'état de fébrilité et d'excitation dans laquelle Marie-Christelle se trouvait suite à mes caresses plus tôt dans la soirée, nul doute que cet engin allait déclencher des fulgurances de plaisir dans son vagin, et sévèrement perturber son comportement. Je me demandais si, à pleine puissance, elle parviendrait à conserver sa maitrise devant ses enfants et ses invités. Nous n'allions pas tarder à le savoir ; et je lui cachai donc soigneusement la nature réelle de l'objet.

« Bouge pas » lui dis-je. « On va le mettre en place »...

Doucement, je m'accroupis derrière elle, l'œuf dans ma main droite. J'écartais délicatement le tissu de la culotte sur le côté, sa chatte dégageait une douce chaleur et je ne pus m'empêcher de passer un doigt au préalable sur ses grandes lèvres. Marie-Christelle était trempée, elle lâcha un petit gémissement au contact de mes doigts et s'agrippa de nouveau au plan de travail...

« Ne t'inquiète pas » précisais-je... « Cela ne vas pas te faire mal »...

Alors, tout doucement, j'introduisis l'œuf dans sa chatte. Il rentra tout seul, et je le poussai bien au fond de son vagin du bout du doigt...

« Ahoooh! » poussa Marie-Christelle lorsque l'œuf atteignit le fond de son intimité.

J'étais moi-même super fébrile... J'étais à deux doigts de lui arracher cet œuf de sa chatte, de la culbuter sur le plan de travail et de lui enfoncer ma bite jusqu'à la garde puis de la pilonner à un rythme d'enfer...

En la prenant délicatement par les hanches, je la retournai face à moi, toujours accroupi...

Malgré le danger que la porte de la cuisine ne s'ouvre, je lui soulevai délicatement sa jupe, centimètres par centimètres... Marie-Christelle respirait fort, par saccade... Elle balbutia « Que-'est...Qu'est-ce que tu fais? »

Je ne lui répondis pas... j'avais le nez à quelques centimètres de sa jolie culotte rose, sur laquelle je tirai légèrement...Je sentais ses petits poils pubiens contre mes doigts, je lui dégageai doucement la culotte jusqu'à révéler son sexe brulant à quelques centimètres de mon visage... J'avais chaud, je perdais le contrôle... Qu'est-ce que j'avais envie de cette femme. Il y avait quelque chose de viscéral, d'animal, et mon cerveau avait beau hurler devant le danger de se faire prendre, il m'était impossible d'arrêter. Je restais quelques secondes à contempler son sexe ainsi offert, avec la petite ficelle de l'œuf vibrant qui dépassait d'entre ses lèvres...

Mais nous devions retourner au salon, impossible de continuer ainsi sans risques.

Alors, d'un coup vif et bien ajusté, je lui donnait un coup de langue -un seul- de bas en haut sur son sexe, en touchant de plein fouet son clitoris surgonflé au passage...

« Aah-AAAH » lacha-t-elle avec force. Seul le brouhaha provenant du salon nous avait probablement sauvé, tellement son cri était puissant et vibrant...

« Baise-moi » implora-t-elle au moment où je replaçais sa culotte et sa jupe..

« Non, me rhabille pas, prends-moi » protesta-t-elle, mais je l'attrapai par les épaules...

« On doit y aller » lui dis-je... « Ressaisis-toi Marie Christelle », « Moi aussi j'ai très envie de toi mais...plus tard »...

Ses yeux plongèrent sans les miens... Dans l'intensité de son regard, je peux lire de la rage, du désir, une sorte de désespoir impuissant et elle dût certainement lire de même chez moi...

Soudain, elle m'embrassa... Sa langue se joignit à la mienne, douce et sucrée, et je la serrai avec force. A cet instant, quelque chose se passa entre nous et je sus que tout serait différent par la suite...

Avec autant de force, elle se dégagea, empoigna les desserts qu'elle posa sur un grand plateau à roulettes et, sans un regard, sorti de la cuisine.

Après avoir vérifié que j'avais toujours bien la télécommande de l'œuf en poche, je sorti à mon tour...

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 6 mois

Super, merci.

Rudy

AnonymousAnonymeil y a 6 mois

Le gendre vicieux serait il en train de tomber amoureux de sa belle mère ?

Assas78Assas78il y a 6 mois

Excellent

Vivement la suite

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