Sous la robe de ma Belle-mère 04

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Je pousse ma Belle-mère dans ses derniers retranchements.
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Partie 4 de la série de 5 pièces

Actualisé 11/21/2023
Créé 10/12/2023
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Malgré que la tentation fût grande, pour ne pas dire « colossale » ; je décidai de ne pas être une pure ordure et de laisser Marie-Christelle laisser servir ses desserts sans encombre. Elle les disposa devant chaque convive, expliqua le contenu de ses créations, et je la laissai même déguster en paix ; d'autant plus que ses desserts était délicieux..

En la regardant agir, de façon si spontanée & naturelle, en parfait contraste avec sa fébrilité dans la cuisine il y avait encore quelques minutes, je me demandais quel était son ressenti tant physique que psychologique...

Je me demandais les sensations qu'elle éprouvait à porter cette culotte sexy, censée être l'une des culottes de sa propre fille... Trouvait-elle cela dégoutant, excitant...Ou bien subissait-elle juste, pour moi?

Je me demandais ce qu'elle éprouvait au contact de cette matière toute satinée ; elle qui ne devait plus porter que du pauvre coton fatigué, dans des modèles sans la moindre touche de fantaisie...

Appréciait-elle le contact tout doux de la culotte, culotte avec laquelle j'allais bientôt m'astiquer la queue, tout en profitant de l'odeur de sa chatte...

Je me questionnais aussi, avec un certain amusement sadique, de savoir si l'un ou l'autre des convives avait remarqué qu'elle ne portait pas de culotte lors du dîner. Un œil averti aurait pu avoir remarqué la fine marque de la culotte sous la robe, marque absente bien évidemment il y a quelques minutes encore, alors qu'elle se baladait cul-nu sous sa robe, grâce à mes soins...

J'étais bien évidemment très curieux aussi des sensations qu'elle devait éprouver avec l'œuf bien enfoncé au plus profond de sa motte. Était-ce gênant? En était-elle troublée, sans le montrer?

Elle devait même en être un peu déçue, cet œuf n'étant en effet pas identique aux boules de geisha, il ne devait pas lui procurer beaucoup de plaisir...Du moins, éteint..

Ce fût lorsque Marie-Christelle eût terminé son dessert et qu'elle se tourna vers sa voisine, la femme du couple invité, que je décidai de lancer les hostilités.

Plongeant ma main dans ma poche, je sentais sous mes doigts la télécommande, pourvue d'un curseur de réglage d'intensité de l'œuf..

Alors que Marie-Christelle écoutait attentivement sa voisine, je plaçai celui-ci sur un faible intensité, pour commencer...

Immédiatement, Marie-Christelle réagi...

Sa bouche se crispa un peu, elle sembla tendue ; elle plissa légèrement les yeux en se penchant légèrement en avant... Je me délectais du spectacle de la voir ainsi subir du plaisir des tréfonds de son abricot sans pouvoir ni le savourer, ni l'exprimer.

Je la laissai subir les vibrations de l'œuf une bonne quinzaine de secondes, avant de le couper.

Immédiatement, elle sembla se détendre... Et me chercha du regard (j'avais changé de place pour le dessert) et ses yeux plongèrent dans les miens...

Elle me jeta un regard noir, qui semblait vouloir exprimer « tu m'as bien eue, salopiau » ; et je pense qu'elle venait de comprendre ce qu'elle allait subir au gré de mes caprices, jusqu'au prochain passage en cuisine...

Ma belle-Mère continua quelque peu la conversation avec son amie, puis elle pivota sur sa chaise et voulu se lever pour faire un petit tour de table parmi les convives...

Au moment précis où elle se levait, j'activai avec un certain sadisme l'œuf en mode « intensité moyenne »...

Comme fauchée, Marie-Christelle poussa un « oooh » tremblotant et retomba assise, elle en fût pliée en deux, yeux fermés, ses mains crispées croisées sur son sexe... C'était juste magique, et je peux vous dire que ma queue était en feu à la voir ainsi subir les vibrations magiques de l'œuf... La pauvre, qui était déjà bien frustrée depuis notre dernier passage en cuisine, allait littéralement avoir le feu au cul une fois que j'en aurai eu fini avec elle...

Je fût quand même quelque peu décontenancé par l'intensité de sa réaction, je coupai donc l'œuf prestement pendant que, déjà, son ami et l'un de ses fils se rapprochaient d'elle...

« Ça va, Marie Christelle? »

« Ça va maman? »

Leur sollicitude était sincère...

Marie Christelle se redressa, le visage défait... « Oui...Oui ça va » fit-elle...

« Je...Je me suis levée trop vite »... « J'ai eu une sorte de vertige mais tout va bien » conclu-t-elle, avec un large sourire...

Elle se releva, un magnifique sourire envers son fils et son ami, mais elle accrocha son regard au mien l'espace d'un instant avec une lueur meurtrière dans le regard... Il était temps de monter d'un cran. Je voulais le rendre folle de désir et de sexe, je voulais la soumettre par sa chatte ; elle allait le sentir passer...

Je remarquai avec une joie mauvaise que ces petites activations de l'œuf durcissaient ses tétons, à présents à nouveau bien visibles à travers l'étoffe de sa robe. Impossible à ne pas remarquer. Elle pointait comme si on lui avait sucé ses tétons avec avidité. Cela me poussait naturellement d'autant plus à activer l'œuf entre ses cuisses le plus souvent possible.

Après quelques minutes où ma chère belle-mère allait et venait parmi ses hôtes, ses enfants et son conjoint (curieusement, elle ne vint pas près de moi pour discuter, eh eh) ; je décidai de lui porter un coup décisif. Alors qu'elle marchait vers le bout de la table, histoire de resservir les hôtes grâce à un plateau qui contenait diverses bouteilles, je poussai sans prévenir l'intensité de l'œuf à fond, d'un coup!

Elle poussa un fort gémissement, très équivoque, et tomba à genoux..

L'espace de quelques secondes elle fût littéralement clouée au sol, sa main crispée agrippée au bord de la table, le visage congestionné, la respiration rapide et ses muscles crispés...

Immédiatement, son fils et son amie bondirent à son chevet :

« Marie-Christelle » s'exclamèrent-t-ils en chœur!

Je coupai l'œuf bien évidemment pour la laisser récupérer...

Marie-Christelle mît quelques secondes avant de balbutier une réponse. Cette fois, le coup avait été rude...

« Ça va...Je...Je me suis prise les pieds dans le tapis » lâcha-t-elle dans un souffle... « J'ai un peu trop bu je crois » ajouta-t-elle, avec un petit rire. Elle affichait un énorme sourire et je pense que les sensations prodiguées par l'œuf lui plaisaient à mort. Elle se sentait surement revivre, désirée par son beau-fils, se sentant sexy de par sa tenue, et observée malgré elle alors qu'elle prenait du plaisir. Bref, se sentant de nouveau femme depuis bien longtemps...

J'éprouvais envers elle beaucoup de tendresse, malgré que je prisse également un plaisir sadique à la malmener ainsi. J'avais à la fois envie de la baiser sauvagement tout en la serrant contre moi tendrement. Son rire, son sourire me faisaient craquer et je la trouvais très courageuse de subir ainsi mes perversités avec un tel courage et un tel naturel...

Alors que tous avaient finis leurs desserts, et que les discussions battaient leur plein, je décidai d'abuser une dernière fois de l'œuf, avant d'initier un retour en cuisine...

Alors que Marie-Christelle était assise, et débattais avec ma copine, je lançai le curseur sur une intensité faible...

Comme précédemment, Marie-Christelle se crispa quelque peu mais sans plus... J'augmentai dans la foulée à une intensité moyenne, et je la vis lutter pour conserver sa posture...

Et, avec un sadisme sans précédent, je poussai à fond... Marie Christelle ferma les yeux, se mit à trembler de façon ostentatoire et se pencha en avant, lentement...

Je m'amusais à passer l'intensité de « moyen » à « maximum » en alternance régulière. Ce fut une chance que ma copine fût fort bavarde car je pense que Marie-Christelle eût été bien incapable de répondre à la moindre question en l'état. La pauvre serrait les lèvres, se penchait plus ou moins fort pour tenter d'atténuer les sensations que l'œuf irradiait dans sa chatte, et qu'elle luttait pour ne pas exploser dans un orgasme fulgurant aux yeux de tous.

Sa fille sembla ne rien remarquer, mais moi je vis avec un plaisir malsain l'homme du couple invité largement lorgner vers elle, et ses tétons durs comme la pierre qui semblaient vouloir transpercer sa robe.

Du pouce, je coupai l'œuf -à la visible satisfaction de ma belle-Mère qui semblait vraiment avoir atteint sa limite- et, tout en me levant, je déclarai à l'assistance que nous allions procéder au retrait des desserts pour amener ensuite les pousses cafés.

Marie-Christelle me lança un regard où je pus lire une certaine gratitude de mettre ainsi fin à son calvaire (elle semblait d'un coup, assez fatiguée) ; et j'avais hâte de la retrouver en cuisine, où elle n'allait certainement pas manquer de s'exprimer à propos de cette expérience.

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