Sous le chaud soleil de la Floride

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Un quinquagénaire reçoit un visite rafraîchissante.
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Sans avoir accumulé une fortune, j'avais quand même réussi à m'offrir quelques beaux trucs. J'étais particulièrement content de mon appartement en Floride, que j'avais acheté en prévision de ma retraite, prise l'année dernière, pour mes 50 ans. Eh oui, j'avais également réussi de ce côté : j'étais parvenu à m'affranchir de l'obligation de bosser pour subsister. Je pouvais enfin vivre, me la couler douce et fuir le froid à l'arrivée de l'hiver québécois.

Notez que je n'avais pas quitté mon emploi en mauvais termes avec l'entreprise. Bien au contraire. J'avais vu depuis des mois à préparer ma succession et à faciliter la transition de mes dossiers. J'étais resté en excellents termes avec tous mes anciens collègues.

Y compris, et surtout, Corinne. Corinne. Pas encore 30 ans -- eh oui, ma cadette de plus de deux décennies. Une fille brillante. Cultivée. Douée d'un humour décapant. Et d'un charme qui me médusait. Plusieurs collègues mâles la considéraient quelconque. Mais moi, ses yeux brillants, son sourire toujours un brin narquois, ses cheveux en bataille perpétuelle, sa silhouette filiforme, son intelligence et sa culture, tout me plaisait chez elle.

Nous étions demeurés en contact par courriel, échangeant à l'occasion quelques blagues, quelques réflexions. Notre correspondance s'est poursuivie tout au long de l'automne qui a suivi mon départ de l'entreprise. Et bien sûr, je n'ai pas cessé de lui écrire lorsque, vers la fin de novembre, je suis allé passer mon premier hiver de retraité au sud.

Je savourais pleinement ma douce vie floridienne. De longues marches. Du vélo. La baignade. Et, à l'occasion, la vie culturelle de Miami. Puis, quelque part en février, une idée saugrenue m'est venue en tête.

« La Floride est fort belle ces temps-ci. Le Québec aussi, m'a-t-on dit, bien qu'on ne puisse l'admirer très intimement quand il fait --20°. Pourquoi ne viendrais-tu pas faire la comparaison? » se lisait le message que j'envoyai à Corinne. Sans trop de conviction. Pour tout dire, je ne cherchais qu'à la narguer un brin, innocemment, pour le seul plaisir de lire sa riposte.

La riposte ne se fit pas attendre. Et me surprit pas mal. « J'ai une semaine de vacances à la fin du mois. Tu me gardes la chambre d'invités? »

Ouf! La visite de Corinne. Si j'avais osé rêver à ça...

Bien sûr, je répondis qu'elle était la bienvenue quand ça lui conviendrait et aussi longtemps que ça lui chanterait.

Voilà pourquoi je me retrouvai un jour, dans le hall des arrivées de l'aéroport local, à attendre cette demoiselle. Qui finit par arriver. Toujours aussi charmante. Un brin pâle, avec l'air d'une personne ayant bien besoin de repos et de soleil. Nous ne tardons donc pas à sauter dans ma voiture pour prendre le chemin de mon appartement.

Une fois arrivés, je lui fais faire la visite de mon petit coin de paradis. Je dispose d'une belle chambre d'amis avec salle de bain attenante, que j'offre à Corinne. Aucune intention lubrique manifeste dans ça, n'est-ce pas?

Nous passons ensuite au balcon, au sixième étage, face à la mer. C'était l'emplacement qui m'avait fait craquer quand j'ai acheté. Aucun voisin à l'horizon. Une vue sur l'infini de l'Atlantique.

« Et voici pour le balcon, dis-je. La quiétude parfaite. Et si ça te chante de prendre le soleil à poil, te gêne pas : c'est dans les us et coutumes de la maison. » J'avais pris un ton désinvolte, soucieux de ne pas avoir l'air d'un vieux cochon. En fait, tout ce que je cherchais, c'était faire comprendre à Corinne qu'elle pouvait s'offrir une semaine de détente totale, sans contraintes.

Je m'efforçai d'ailleurs d'accentuer ce message en l'emmenant dîner dans un de mes restos préférés. Après un savoureux festin de fruits de mer, nous rentrons au bercail. Petit bisou et nous nous dirigeons vers nos chambres pour une bonne nuit de sommeil, bercés par le doux son des vagues qui viennent mourir sur la grève.

Le lendemain matin, tout doucement, je me dirige vers la douche pour mon rituel matinal. Rien de mieux que le jet vivifiant de l'eau pour préparer une bonne journée.

La salle de bain attenante à ma chambre est munie d'une cabine de douche très spacieuse, avec paroi transparente. Non pas que je considère mon corps comme une œuvre d'art à préserver dans un écrin, mais je n'aime pas la contrainte des cabines de douche minuscules. Je veux de l'espace.

J'étais donc à me savonner le visage, les cheveux couverts de la mousse de shampoing, quand j'entends une voix. Familière. Agréable. Enjouée. Et inattendue dans les circonstances! « Bonjour, le vacancier! », dit-elle.

Vite, je m'empresse de me déplacer sous le jet pour me rincer et pouvoir ouvrir les yeux afin de comprendre la situation.

Une situation fort simple. Corinne est là, à l'entrée de la cabine, souriante. Nue comme au jour de sa naissance. Je demeure interdit.

« Ben quoi, tu me disais que c'était dans les habitudes de la boîte de prendre le soleil à poil. Je sais, y a pas de soleil ici. J'extrapole, c'est tout. », me dit cette adorable créature en venant me rejoindre sous le jet.

Comme les pensées se bousculent dans ma pauvre tête qui peine à émerger des brumes nocturnes... Être désinvolte? Dans de telles circonstances? Comme si la situation était banale. Comme si j'apercevais Corinne en train de lire son journal. Mais en même temps, je veux demeurer gentleman. Ne pas me jeter sur elle comme la vérole sur le bas clergé.

« Comme tu sais agrémenter mes matins », finis-je pas dire au bout d'un moment qui m'avait paru une éternité.

« Il me semblait bien que je saurais me montrer digne de ton accueil en me présentant ainsi sous ta douche », répondit-elle.

Ça y est, ce n'est pas qu'une petite douche entre amis ayant abandonné toute pudibonderie.

D'un geste résolu, j'enlace la demoiselle et la planque sur moi. Mes lèvres trouvent les siennes. Je commence à lui rouler un patin des plus fignolés tout en me réjouissant du contact de sa chair collée à la mienne. Ma bite commence à réagir et à s'immiscer entre nous.

Les yeux clos, nous poursuivons notre étreinte. Mes mains explorent son dos, ses fesses. Je la fais pivoter légèrement pour pouvoir avoir accès à son sexe. Ce faisant, je lui donne accès à ma bite, qui durcit peu à peu. Corinne s'en empare doucement et commence à me branlocher de la façon la plus délicate qui soit.

Je sens que l'eau n'est plus indispensable à notre bien-être. Sans dire mot, je ferme les robinets et guide Corinne hors de la douche. Je m'empare d'une serviette et j'éponge ce corps dont la vue me rend tout chose. En quelques gestes, je m'éponge à mon tour.

Sans dire un mot, je prends Corinne par la main et l'entraîne dans ma chambre, qui communique avec la salle de bains. Mon lit est encore défait. Je dépose cette séduisante enfant sur les draps et m'allonge à ses côtés. Nous reprenons notre baiser avec une ardeur renouvelée. Je sens ma queue qui durcit entre nous : j'arque mon dos de façon qu'elle soit plus intimement collée sur ma charmante partenaire, qui ne semble pas vouloir s'en plaindre.

Il me semble que, en homme d'expérience, c'est à moi de faire les premiers pas vers les plaisirs plus accentués.

Peu à peu, détachant mes lèvres de celles de Corinne, je me lance dans l'exploration de son corps. Sa poitrine m'attire. La demoiselle est d'une minceur exceptionnelle. Les seins sont à peine prononcés. Cela ne l'empêche pas de réagir quand ma bouche s'empare de ses mamelons. Manifestement, mes lèvres et ma langue lui font de l'effet. Elle gémit doucement, bercée par le plaisir que j'ai l'heur de lui donner.

Mais vous, lecteurs, qui connaissez la véritable dimension des plaisirs de la chair, vous savez que je ne m'arrêterai pas à la poitrine.

Ma bouche descend le long de son ventre. J'arrive au mont de Vénus. Tout naturellement peu velu. Comme si elle avait été créée pour la jouissance, Corinne a des lèvres bien libres de poils. Bien ouvertes, aussi. Bref, je vois un clitoris conçu pour mes caresses.

Doucement, j'entreprends la conquête de ce catalyseur du plaisir. Du bout de la langue, je le titille. Je le fais balancer à droite, à gauche, en haut, en bas. Je l'assaille avec acharnement pendant quelques instants, puis le laisse reposer en soufflant délicatement dessus. Mes doigts écartent les lèvres pour me donner plus aisément accès à ce joyau. Je me concentre sur son plaisir.

Mes attentions portent fruit. Les halètements de Corinne confirment que je sais lui plaire. Je sens ses cuisses se presser contre ma tête. Puis ce sont ses mains qui entrent en action. Doucement, elle m'agrippe pour s'assurer de contrôler la pression de ma bouche sur son sexe. Je ne deviens plus qu'un jouet, un instrument pour elle. Je suis son gode.

Enfin, l'orgasme arrive. Long, soutenu, puissant. Comme il faut. Je ralentis mes caresses buccales pendant que Corinne connaît les merveilleux spasmes de l'extase charnelle.

Voilà. Une étape est franchie. Une autre s'annonce.

Mes lèvres font doucement le chemin inverse de celui qu'elles avaient effectué quelques minutes plus tôt. J'arrive au niveau de sa bouche. Je suis accueilli par le plus passionné des baisers. Ma bite traduit le plaisir que je ressens -- et celui qui s'annonce.

C'est alors que je reçois le choc.

« Attends, faut que je te dise. Je suis vierge. »

Je ne tombe pas du lit, mais je tombe des nues. Je la savais intello. Mais de là à présumer qu'une fille de 28 ans n'aurait jamais, ne fût-ce qu'un soir, mis de côté ses préoccupations intellectuelles et culturelles pour tâter des plaisirs de la chair, alors là!

Toutefois, toujours gentleman, je comprends qu'il faut marquer une pause dans les activités.

« Je suis plus qu'un brin surpris, dis-je. Mais comme je tiens à toi et que j'ai pour toi le plus grand respect, je comprends la situation. » Je la comprends, mais ne sais trop comment faire suite aux ébats que nous avons connus. Surtout que ma bite demande des attentions! Dois-je chercher à convaincre Corinne d'aller plus loin? Dois-je me résoudre à me branler quand je me retrouverai tout fin seul?

La solution ne se fait pas attendre. « Tu sais, j'ai vu quelques films pornos dans ma vie. Il me semble que je saurais faire quelque chose maintenant. »

Elle s'empare de ma queue avec douceur, mais avec détermination. Elle la branle avec une ardeur qu'on eût dit étudiée. Mais tellement bienfaisante. Puis, me poussant de façon que je me retrouve sur le dos, elle dirige son visage droit vers mon sexe.

Je ne puis décrire l'éclair de plaisir que je ressentis quand elle ouvrit la bouche pour y prendre mon sexe. Les films qu'elle avait vus étaient manifestement très instructifs, car elle a tout de suite compris qu'elle devait faire coulisser le prépuce pour libérer le gland. Elle me fait donc la pipe la plus délicieuse qui soit. Qui a dit que l'éducation théorique ne suffisait pas à former des ouvriers compétents?

Je suis transporté par le plaisir. Je veux éclater, rapidement, puissamment, afin de démontrer à Corinne qu'elle sait me combler.

L'orgasme ne se fait guère attendre. Je sens mon sexe se tendre. Manifestement, Corinne a vraiment bien étudié ses leçons. Quelques instants avant l'instant suprême, elle retire ma verge de sa bouche tout en continuant à la branler avec enthousiasme. Ça y est : je jouis. Trois puissants jets de sperme jaillissent de ma queue (pas mal, pour mon âge...).

Je crie de jouissance.

Quand je parviens à reprendre mes sens, je jette un coup d'œil sur Corinne. Elle sourit, en regardant ma bite qui se dégonfle lentement dans sa main.

« Alors, demandé-je, tu aimes mes activités de vacances? »

Je ne me rappelle plus trop ce qu'elle a répondu. De toute façon, ça ne change rien. Nous avons passé une semaine de rêve, ne portant des vêtements que pour sortir.

Corinne était encore vierge en quittant pour rentrer à la maison. Mais elle avait réservé la chambre d'amis pour ses prochaines vacances, deux mois plus tard.

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