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Comment Cécile m'offrit ses fesses.
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C'était il y a maintenant une bonne dizaine d'années. Je vivais à l'époque à Paris et venais juste de me séparer de ma compagne du moment, une séparation que l'on qualifiera pudiquement de difficile.

Lors d'une soirée organisée par des amis pour me remonter le moral, j'avais fait la connaissance d'une jeune femme qui me donnait l'impression de ne pas être indifférente à mon charme. Non qu'à l'époque j'aie réellement eu le cœur à la bagatelle, mais bon, un ou deux mots glissés en douce par un ami commun m'avaient assez clairement fait comprendre que je ne risquais pas grand-chose à tenter ma chance, loin de là.

J'avais 26 ans à l'époque, et elle était plus jeune, 22 ou 23 ans. Elle était brune, cheveux mi-longs, un petit mètre soixante-dix. De petits seins, des hanches un peu fortes, mais sans plus. Un soir, elle passa à mon appartement et, après une soirée passée à converser et siroter du vin, nous avions poursuivi par des baisers, sur le visage, puis au coin des lèvres, et enfin, à pleine bouche. Cécile savait embrasser. Sa langue jouait avec la mienne, elle savait user de la succion de ses lèvres à bon escient et même si nécessaire, mordiller. Bien évidemment, nous n'allâmes pas plus loin le premier soir. Nous le savons tous, ne jamais coucher le premier soir.

Néanmoins nous convînmes de nous revoir le lendemain. Et là, nous passâmes aux choses sérieuses.

Le deuxième rendez-vous commença où le premier s'était arrêté, par des baisers, de plus en plus appuyés. Et bientôt, nous nous dirigions vers la chambre à coucher. Cécile était légère dans mes bras, je suis plutôt musclé pour mon mètre quatre-vingt. Tout en continuant à nous bécoter, nous nous déshabillâmes mutuellement avec une impatience non feinte.

J'eus là ma première rencontre avec un wonderbra, qui me fit reconsidérer sa poitrine de petite à très menue. Une fois nue, il se dégageait d'elle une certaine sensualité et une certaine mollesse. Mes lèvres et mes mains commencèrent alors à explorer son corps. Elle était brune, recouverte d'un fin duvet, légèrement prononcé au creux des reins. Ses seins dardaient plaisamment et s'érigeaient sous les caresses de ma langue et de mes mains. Bientôt j'étais en train de descendre vers son intimité. Elle ne rasait pas ses parties intimes, enfin, pas entièrement. Son pubis était velu mais doux, et elle s'était clairement lavée avant de venir. Il émanait d'elle une odeur douce et lorsque je commençai à explorer son intimité de ma langue, elle se révéla fort agréable au goût, pas acide, une mouille liquide somme toute agréable à laper. Elle apprécia la caresse, le léger mordillement de mes dents sur ses lèvres intimes, ma langue envahissant son orifice, mes lèvres suçotant son clitoris. Bientôt je me redressai pour lui proposer de prendre mon sexe en bouche. Et là, petite surprise, la jeune fille ne suçait pas :

- Non, je n'aime pas cela.

- Pourtant tu embrasses si bien, je suis sûr que tu es une excellente suceuse.

- Désolé, mais je n'aime pas avoir un sexe dans ma bouche.

Elle compensa de la main, avant d'enfiler un préservatif sur ma hampe dressée.

Sa grotte était déjà bien accueillante et je m'enfournai sans peine en elle. Elle gémit et m'embrassa, alors que je commençais à l'envahir. Une fois au fond, je l'embrassai et débutai mon va-et-vient. J'aime bien alterner le rythme, et ouvris le bal par un lent va-et-vient, sortant ma queue presque entièrement avant de la posséder à nouveau entièrement. Elle ondulait sous moi, cette entrée en matière douce lui plaisait. Bientôt, je changeai de rythme, me fis plus conquérant. Mes coups de rein se firent plus violents et mes mains, au lieu de continuer à doucement caresser ses seins, se mirent à pétrir ses hanches, puis ses fesses.

- Encore, plus fort, je t'en prie. Continue

Elle se mordit les lèvres pour ne pas crier et se mit à gémir bien plus profondément quand je laissai mon index traîner entre ses fesses et titiller sa petite rosette. Et là je lui susurrai à l'oreille.

- Et ici, tu aimes recevoir un sexe?

A ma grande surprise, elle répondit par un long gémissement :

- Oui, mais pas ce soir.

Nous finîmes la soirée par un orgasme commun, n'ayant rien pratiqué d'autre qu'un missionnaire certes classique, mais somme toute bien agréable, surtout pour moi, après quelques mois d'abstinence.

Le soir suivant, ce fut ceinture, chacun ayant ses occupations.

Le lendemain, en revanche, elle revint. Visiblement, vingt-quatre heures d'abstinence n'avaient fait qu'attiser son désir, puisqu'elle me sauta plus ou moins dessus. Après des préliminaires digitaux assez prononcés, je l'empalai sur ma queue. Cette fois, pas de fioritures. Je la bourrais sèchement, de grands coups de queue qui lui arrachaient des râles. La limer comme cela était fort agréable, mais j'avais envie de changement, aussi, je la fis se retourner et se mettre à quatre pattes sur le lit. Empalée en levrette, elle se révélait bien chienne, me suppliant de continuer à la baiser. En vrai gentleman, je ne pouvais faire autrement qu'obtempérer. Elle était vraiment bien lubrifiée et la vue de sa croupe m'excitait au plus haut point. Je lâchai une ou deux claques légères sur ses fesses et elle poussa de petits cris, plus du fait de la surprise qu'à cause de la douleur.

Je choisis alors de ralentir mon rythme et laissai mes doigts reprendre leur exploration de notre dernière séance, glissant mon index dans son anus.

- Et ce soir, je peux?

- Oui, mais sois doux. Me répondit-elle dans un soupir.

À ces mots, mon érection devint encore plus dure, un léger spasme parcourut mon corps. Je sortis ma queue de son vagin et la pointais vers son anus.

- Lubrifie-moi.

Je laissais un filet de salive couler de mes lèvres, il s'écrasa sur sa petite corolle. Certes ce n'était pas un lubrifiant, mais cela ferait l'affaire. C'est là que je réalisais que, contrairement au creux de ses reins et à son ventre, sa petite corolle était lisse. J'alignai ma queue sur son anus et je poussais, lentement.

- Doucement, doucement.

Elle grognait, mais me laissait continuer. Je poussais tout en douceur, ne souhaitant pas la blesser. Et d'un coup, mon gland passa sa petite rosette. Un petit sanglot, mi-cri, mi-gémissement, s'échappa de sa gorge. Je lui laissais quelques secondes pour s'habituer puis poussais ma queue plus avant. Au bout de quelques centimètres, un autre gémissement s'éleva de sa gorge. Rauque, presque animal.

- Attends, laisse-moi m'habituer.

Ma queue palpitait, son anus serré la comprimait et je devais me retenir pour ne pas m'enfoncer plus avant jusqu'aux couilles dans son orifice le plus étroit.

- Ok, continue.

Là je pus poursuivre jusqu'à la moitié de ma queue, avant qu'elle ne me stoppe.

- Aie, arrête, tu me fais mal.

Elle frissonnait et gémissait doucement. Après une minute, elle me dit.

- Continue.

Et là d'un coup je finis de la pénétrer, m'enfonçant jusqu'aux couilles dans son cul. Son cri fut étouffé par l'oreiller. Je restais immobile, planté au fond de son cul, mon pieu palpitant doucement au rythme des contractions affolées de son anus. Après une minute, alors que je sentais qu'elle commençait à se détendre, je remuais mon bassin, légèrement, lui arrachant un gémissement.

- Je ne suis pas le premier à prendre ton cul hein?

- Non, mais .. tu es le plus épais.

- Et tu aimes vraiment ou tu fais plaisir?

- Un peu des deux.

- Tu aimes quoi alors? Le côté humiliant, la douleur?

- Ne parle pas tant.

- Tu penses à quoi quand je t'encule?

- Tu ne m'encules pas, tu me sodomises.

Au moment où elle disait cela, je recommençai à bouger.

- Et là je fais quoi?

- Tu me sodomises.

J'accélérais peu à peu mes mouvements et je me laissais tomber de tout mon poids sur elle. Seules mes hanches bougeaient, un va-et-vient de plus en plus ample dans ses reins.

- Tu me fais mal.

- Je te sodomise ou je t'encule là.

- Ahhhhhh

- Réponds-moi!

Je lui susurrais ces mots sans relâche dans l'oreille, bien planté en elle, tout en laissant une de mes mains caresser son clitoris. Enfin dans un cri, elle dit ce que j'attendais d'elle.

- Tu m'encules.

- Oui je t'encule ma petite chienne, je t'encule et c'est bon, très bon.

- Oui.. Ahhhhhh

- Je vais t'enculer souvent ma chienne, ton petit cul et ma bite vont devenir très intimes.

- Oui ahhhh mais viens maintenant viens....

- Dis-moi ce que tu es...

- Une enculée. Ton enculée.

- Oui mon enculée et ma salope. Ma chienne.

- Oui je suis ta chienne, allez viens, jouis dans mes reins.

J'accélérais mes mouvements, lui arrachant maintenant des cris, mes doigts massaient son clitoris et dans un dernier spasme, je m'enfonçai au creux de ses reins et éjaculai profondément en elle.

Je restais en elle, sur elle, pendant qu'elle jouissait à son tour. Une fois l'excitation retombée, elle me regarda avec un air de reproche.

- Tu m'as fait mal.

- Oui, mais tu as aimé

- Non.

- Si tu as aimé cela, ce mélange de douleur et d'humiliation. La preuve, demain tu reviendras, pour te faire baiser et enculer comme une chienne.

- Chut, ne dis pas cela.

- Je le dis, car tu es une chienne, ma chienne, avide de câlins lubriques.

- Non.

- C'est simple, là tu vas rentrer chez toi, et demain tu reviendras. Si tu reviens, ce sera la preuve de ce que tu es.

Le lendemain, elle sonnait à ma porte.

- Salut ma petite enculée.

- Ne m'appelle pas comme cela.

- Tu vas être contente, j'ai acheté du lubrifiant.

A ces mots, un léger sourire se fit jour au coin de ses lèvres et elle m'embrassa.

- Sauvage, tu sais que j'ai encore mal d'hier.

- Tu as encore mal, mais tu veux encore jouir.

- Oui, je veux encore sentir ta queue en moi.

- En toi?

- Oui, dans ma chatte et dans mon cul.

Et en vrai gentleman, j'obtempérai à ses désirs.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Ce récit manque notoirement de sensualité.

thongdudthongdudil y a 10 mois

Realistic and sexy!

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