Sublime Moment

Cette histoire est un simple fantasme devenu tellement envahissant, qu'il a semé des graines qui ont fini par germer au moment je ne m'y attendais pas. Bien sur que les noms sont fictifs, ma liberté d'expression ne peut m'autoriser à causer un préjudice en ne respectant pas l'anonymat de cette jeune fleur aguichante. Alors pour le bien de la cause, je l'appellerai Tania.

Étant un très bon ami de sa mère, j'avais la chance de voir Tania régulièrement Voilà bientôt 3 ans que j'avais développé de l'amour pour cette jeune femme trois fois plus jeune que moi mais tout de même majeur. Une grande complicité s'était établie entre nous et je partageais ses amours et ses déceptions avec plaisirs tout en lui souhaitant le plus grand des bonheurs. La vie étant ce qu'elle est, le vieil amant que j'étais devenu fut bientôt affecté par mes dernières années de célibat.

J'étais déjà sous le charme de cette jouvencelle devenant femme quand je commençai à être troublé par ses formes. Ses magnifiques seins ne cessaient d'augmenter ma convoitise. N'ayant jamais été un adepte des grosses poitrines, les siens représentaient pour moi un pur délice et je ne pouvais m'empêcher de saliver à l'idée de sentir s'ériger ses petits mamelons sous les allés et venus de ma langue. Quand je la voyais dans ses leggins moulants, j'enviais ce tissus qui se glissait entre ses fesses et caressait sa chatte.

Tranquillement je pris plaisirs au moindre contact physique avec elle, une randonnée en moto avec elle devenait une chevauchée érotique, devinant sa torride chatte collée dans mon dos. Maintenant quand je la prends dans mes bras, j'aime la sensation de ses seins sur ma poitrine, alors qu'avant je lui faisais un câlin sans arrière pensée. Je m'étais piégé moi-même, il m'était impossible de lui dire le fond de ma pensée, craignant de la blesser et de perdre à jamais son affection je pris la décision d'en faire mon plus beau fantasme.

Un soir tout bascula, j'étais assis au salon pendant que sa mère préparait le souper quand elle rentra du boulot complètement crevée. Après ses salutations effectuées elle s'engouffra dans la chambre de bain pour prendre une douche. J'aurais aimé être la goutte d'eau qui glissait sur son corps et lui prodiguait une sensation de bien-être.

Quand elle sortit elle était enroulée dans une serviette, se dirigeant vers moi, elle s'assit sur la chaise en face de moi. Je fis semblant de prendre une photo avec mon cell, au même instant et à l'insu de sa mère, elle ouvrit sa serviette m'offrant en spectacle sa chatte fraichement rasée et tétons dressés. Heureusement que j'avais partit l'enregistrement-vidéo, mais j'étais tout de même médusé, en un instant elle m'avait montré qu'elle n'était plus une petite fille mais une jeune femme douée d'une certaine perversité.

Après souper, comme sa mère avait un rendez-vous je décidai de prendre congé. Au moment de partir je voulu faire un câlin à Tania mais elle détourna la tête et me présenta ses lèvres, sa petite langue effleura mes lèvres mais comme je ne m'attendais pas à ça, je n'eus pas le plaisir d'échangé. Tania me demanda si elle pouvait venir voir un film 3D chez moi. Je vivais avec mon fantasme depuis quelques temps et voilà qu'elle me chamboulait en m'ouvrant la porte à une réalité. J'ai toujours pensé que le moment présent ne revient jamais et qu'il faut battre le fer quand il est chaud. Une demi-heure plus tard elle était chez moi.

Après avoir prit un douche je m'installai avec Tania pour regarder le film Le Hobbit-3 mais elle me dit que ce n'était celui la qu'elle voulait voir en premier. Tania : J'aimerais voir le film que tu as fait de moi tantôt. Moi : Bonne idée, j'ai hâte de le voir aussi. En quelques instants je l'avais téléchargé sur mon ordi et on le regardait sur grand écran. Je n'avais même pas remarqué qu'elle avait sortit la langue au même instant, sa chatte était grande ouverte, toute rouge et son clito bien gorgé laissait supposer qu'elle en avait prit soin sous la douche.

Elle s'était rapprochée de moi pour regarder la vidéo et je pouvais sentir sa poitrine sur mon bras.

Tania : Ouff, faudrait pas que ma mère voit ça. Moi : Pas de danger, y a que moi qui en aurai le plaisir. Tania : Je suis complètement fatiguée avec la journée que j'ai eue. Une porte si grande ouvert, je ne pouvais pas manquer une opportunité comme cella. Moi : Tu aurais besoin d'un bon massage. Tania : Oui je pense que je vais prendre un rendez-vous demain. Moi : Pourquoi attendre à demain, j'adore donner des massages.

Tania : J'ai bien envie d'accepter ton offre.

Moi : Pas de problème, je prépare le nécessaire et suis prêt dans 10 minutes. Quand je revins dans le salon, je savais que les choses ne seraient plus jamais les même entre elle et moi mais je n'avais pas envie de reculer. Je l'amenai dans ma chambre lui offrit une serviette pour se couvrir et l'invité à se dévêtir.

Quand je revins elle était étendue sur le ventre, avec un peu d'huile chaude je commençai à lui masser les épaules et la nuque. Ce fut un pur plaisir de sentir sa peau sous mes doigts. Je glissai mes mains au bas de ses reins et commençai à travailler un point que je savais important pour déclencher une excitation sexuelle.

Quand j'effleurai ses fesses Tania émit un petit murmure confirmant qu'elle répondait bien au traitement que je lui prodiguais. Contournant ses hanches, je fis glisser la serviette exhibant ses belles lunes rondes, j'y aspergeai une bonne dose d'huile et lui massai les fesses avec lenteur glissant parfois un doigt dans son sillon invitant. Quand j'effleurais son anus, subtilement, elle relevait les fesses en quête d'une pénétration que je lui accordais qu'en partie, quand je vis qu'elle était prête pour plus, je lui administrai une claque sur les fesses et lui dit de se retourner.

Après l'avoir recouverte, je débutai un bon massage des épaules puis graduellement glissai subtilement vers sa poitrine, parcimonieusement, j'effleurai ses mamelons dressés puis devant l'interaction à mes caresses, je décidai d'aller gratifier ses pieds du savoir faire de mes doigts. Connaissant les points qui avaient le pouvoir d'augmenter sa soif sexuelle, je travaillai avec lenteur sur ces repères puis en poursuivant mon massage, je remontai vers l'intérieur des genoux forçant ainsi l'ouverture de ses cuisses. Quand enfin sa chatte fut exposée à ma vue, déjà ses lèvres étaient séparées et luisantes de mouilles.

Bien qu'invitante, je refusai de lui porter une attention trop rapidement appréciant ce moment ou par des ondulations du bassin, elle réclamait une progression évidente. D'elle même, elle rehaussa ses cuisses au maximum, l'éclosion était complète, ses lèvres ouvertes gorgées de sang ornaient l'entrée de son vagin. Son clitoris attendait les caresses qui le feraient sortir de son capuchon.

Langoureusement, mes doigts remontèrent vers l'intérieur des cuisses jusqu'à sa fleur offerte. Tania : Hooooooooo haaaaaaaaaa Je faisais maintenant voyager mes doigts massant ses lèvres, ni trop fort ni trop doux aux rythmes de ses convulsions. Tania : Huuuuuuuuuuuuuuummmmm Haaaaaaaaaaaaaaaaa oooouuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiii houuuuuuuuuuuuuuuuuuu haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

Jamais il ne m'était arrivé de voir une chatte produire autant de cyprine. Trempant mes doigts dans cette huile onctueuse, je caressai son bourgeon jusqu'à la rétraction de son écrin. Quand ma langue l'effleura, Tania releva son bassin : Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa, hoooooouuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiii Grrrrrrrrrrrr Avec une douce succion j'aspirai son petit organe, je glissai mes mains vers ses mamelons que j'étirai délicatement en cadence avec mes succions. Tania : Hooooooooooooooohaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa hooooooooooooooooooooooooaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa je viiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeeennnnnnns. Quand son orgasme diminua je glissai un doigt dans son vagin recherchant son pointG. Étant donné son excitation avancée je le repéré immédiatement, après un certain temps un deuxième doigt rejoignit le premier permettant une meilleur pression. Le plaisir fut au rendez-vous après quelques minutes, devant ses chuchotements je savais qu'elle était proche d'un autre orgasme.

Le temps était propice à lui prodiguer un bon shocker, j'appuyai mon auriculaire sur son anus, elle réagit immédiatement. Minutieusement mon doigt glissa dans son rectum, basculant son bassin, elle provoqua la pénétration complète. J'accélérai mon massage du pointG. Les contractions sur mon petit doigt confirmaient qu'elle était en route vers l'ultime spasme.

Tania : Arrête je vais faire pipi.

Moi : Mais non ma belle tu vas juste vivre ta première éjaculation.

Tania : Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa HooooooooooooOooouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

Tania : Huuuuuuuuuuuuuuuummmmmmmmmmmmmmmmmmmm je viiiiiieeeeeeeeennnnnnns encooooooooorrrrrrre Hooooooooooouuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Quel sublime moment quand une femme s'abandonne aux plaisirs, j'en avais partout sur le visage et les lèvres et j'en profitai pour aller l'embrasser et lui faire connaître le goût de son éjaculation. Quand je la pénétrai sa chatte démontra un désir de jouir encore, après trois autres orgasmes, on se glissa sous les draps et elle se blottit dans mes bras. J'étais au septième ciel, son corps tout chaud contre le mien, il y avait bien longtemps que je n'avais pas vécu ça.

Le téléphone sonna et me sortit de ma béatitude. C'était sa mère, je lui expliquai que Tania dormait dans la chambre d'ami, que je l'avais gardé à coucher car nous avions bu et je ne voulais pas qu'elle conduise dans cet état.

Me réveiller le matin avec cet ange tout contre moi fut un des plus doux moments de ma vie, je savais bien que c'était un bonheur éphémère, je l'aimais trop pour penser à une liaison à long terme. Sa vie devait être partagée avec un plus jeune qui l'aimerait et lui ferait 3 ou 4 enfants. Tout ce que j'espérais, c'était de pouvoir être témoin de son bonheur. En se levant, Tania remarqua ma mallette que j'avais par mégarde laissé entrouverte.

Tania : C'est quoi tout ça? Elle montrait le collier, les menottes et les différents liens, le martinet et un lot de divers d'accessoires sexuels. Moi : oh ça, ce sont des jouets mais pour grandes filles seulement. Peut-être quand tu seras grande et si tu le demandes poliment. Tania tira la langue, habitude qu'elle avait prise quand je l'agaçais. Nous avons eu l'occasion de se créer d'autres souvenirs pour notre jardin secret avant qu'elle vive une relation plus souhaitable pour elle. J'en garde le souvenir d'une belle relation démunie de barreaux, reconnaissant que j'ai été privilégié de pouvoir vivre.