Susan la pute du bureau Ch. 01

Informations sur Récit
Nommée à un nouveau poste Susan s'efforce de plaire.
12.7k mots
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Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 05/02/2008
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Susan la pute du bureau Pt. 01

Susan's Corporate Servitude Pt. 01

Coulybaca / Georges VI

Cette histoire est une oeuvre de fiction. Dans la réalité , tout rap-port sexuel non consenti est immoral et illégal, et sévèrement condamné par l'auteur.

Tous les personnages ont plus de dix-huit.

CHAPITRE 1 : introduction : Avant Susan.

Marcia sursauta en entendant la sonnerie du téléphone résonner dans on bureau.

Le cœur au bord des lèvres elle se saisit du combiné.

- Marcia... Oui Byron, j'arrive tout de suite.

Le cœur au b ord des lèvres, comme si elle marchait au supplice, elle se leva et marcha, raide comme un piquet, vers le bureau vers le bureau de Byron.

Elle l'entendait parler au travers de la porte, elle ouvrit la porte sans frapper.

Byron était assis à son bureau discutant avec quelqu'un au téléphone.

Le cinquantenaire chauve à la barbe bien entretenue regarda Marcia et lui fit signe d'approcher.

La jeune femme de 35 ans vêtue d'un chemisier de satin fort décolleté et d'une courte jupe referma la porte dans son dos et s'avança timidement vers lui.

Sans même ralentir sa conversation, Byron lui écarta les cuisses et poin-ta son doigt sur sa bite.

Connaissant ses vœux elle se posta entre les cuisses e Byron et débou-cla sa ceinture.

Elle déboutonna sa braguette, baissa son caleçon, et sortit sa bite qui lui était familière.

Tandis que Byron continuait sa conversation téléphonique, Marcia le branlait gentiment, lui procurant une bandaison bien ferme de bon aloi.

Byron enfonça sa main libre dans son épaisse chevelure rousse puis descendit sa main sur ses nichons découverts, la glissa dans son décol-leté sous les bonnets de son soutien-gorge de dentelle blanche.

Il entreprit de pétrir ses petits nibards.

Une fois le mamelon érigé dégagé de son chemisier, la main de Byron quitta sa blouse, elle comprit alors ce qu'elle devait faire.

Elle se laissa tomber à genoux sur la moquette se pencha en avant et referma les lèvres sur son épaisse bite tendue.

Elle parcourut des lèvres toute la longueur de sa hampe et se mit à lui sucer la queue sur un tempo régulier.

Marcia entendit alors la porte s'ouvrir, elle jeta un oeil dans son dos. Son patron, Gary referma la porte dans son dos et il s'approcha du bureau.

Il écouta quelques instants la conversation téléphonique de Byron, puis il déboucla calmement sa ceinture et laissa tomber son pantalon et son caleçon sur ses chevilles.

Après quelques allées et venues de la main sur sa bite, il s'agenouilla derrière Marcia.

Marcia sentit le vent frais courir sur sa croupe alors que Gary retroussait sa jupe exposant ses fesses nues, elle ne portait pas de culotte.

Il parcourut de sa chaude bite la raie culière de la jeune femme proster-née, puis il lui agrippa les fesses et écarta des ses doigts experts ses lèvres enflées.

Il pointa alors son gland saur sa foufoune qui, à la grande humiliation de Marcia était détrempée, accueillante.

Marcia grogna sourdement alors qu'il enfouissait sa profondément bite dans sa chatoune venant cogner contre ses fesses, elle se débrouilla pour garder la bite de Byron en pleine bouche et continua à le sucer las-civement alors que Gary allait et venait dans sa cramouille hospitalière.

Mon Dieu priait-elle, combien de temps cela va-t-il encore durer?

Combien de temps encore devrai-je rentrer auprès de mon mari avec le goût du foutre d'un autre homme en bouche?

Avec du foutre d'un autre s'échappant de ma chatoune?

Combien de temps devrai-je encore m'excuser de ne pas baiser avec lui avant qu'il soupçonne que je me fasse baiser à longueur de journée au boulot?

Elle se rappelait ces mots de l'exorciste : Ta mère suce des bites en en-fer!

Marcia suçait régulièrement des bites sur son enfer personnel et elle ne voulait surtout pas que ses enfants le sachent un jour!

- Entre Gary... puis il ajouta à l'adresse de son interlocuteur :

- Je branche le haut-parleur...

Byron reposa le téléphone et entama avec Gary et son interlocuteur une discussion à trois tout en enfilant la chatte de Marcia.

Marcia reconnut alors la voix de l"homme au bout du fil, il s'agissait d'Alex un important client, il avait déjà baisé Marcia à plusieurs reprises.

Les trois hommes terminèrent leur discussion d'affaire alors que Marcia prenait soin de leurs génitoires.

- Hey Byron, Marcia travaille-t-elle toujours pour vous? Demanda soudain Alex.

- Ouais... Grogna Byron

- Elle est avec moi en ce moment... Lui répondit-il en retour.

Sur un signe de Byron elle extirpa sa bite de sa bouche et intervint :

- Salut Alex...

- Ah, ah, ah Marcia... Gloussa Alex.

- Si j'entends bien vous êtes occupée, je vous laisse reprendre vo-tre... hum, tâche! On se verra plus tard!

La discussion terminée, Gary et Byron la commentèrent quelques ins-tants, puis ils se turent portant toute leur attention sur les efforts méritoi-res de Marcia.

Gary la pilonnait de plus en plus gaillardement, son pubis claquant avec un bruit de chair contre la croupe de Marcia.

- J'ai une réunion dans 10 minutes, tu ferais mieux de te servir de ta langue pour hâter les choses.. Lui conseilla Byron hilare.

Elle se mit à lécher sa bite comme elle l'aurait fait avec un esquimau la parcourant longuement d'une langue agile, des testicules au gland.

Byron grommela que c'était très bien ainsi.

Elle le reprit alors en bouche alors qu'il badait de plus en plus.

C'est alors qu'arriva cet instant qui lui faisait toujours honte, elle savait qu'elle était sur le point de jouir, elle haïssait cela, elle détestait le fait que ces 2 hommes qu'elle méprisait puisent la faire jouir, mais bien qu'elle s'efforça de refreiner ses émois, elle n'y parvenait pas.

Cette fois encore elle sentait monter son orgasme.

Elle grommela, soupira et s'arqua pour mieux sentir la bite de Gary sur laquelle elle s'empalait.

- Hum je crois qu'elle ne va plus tarder à jouir Gloussa Gary.

- Moi aussi surenchérit Byron.

Gary gicla le premier au fin fond de la chatoune de Marcia, ce qui provoqua la jouissance de Marcia.

Et alors qu'elle frissonnait de tout son corps Byron lui injecta une bonne dose de foutre au fond de la gorge.

Elle avala goulûment chaque jet de foutre, soucieuse de ne souiller ni son visage ni son corsage.

Comme Gary extirpait sa bite de sa chatoune fumante, et se levait, elle se pencha et emboucha sa mentule pour la nettoyer soigneusement avant même qu'il le réclame.

Marcia haleta un bon moment, puis se releva, lissa sa jupe et essuya une traînée de foutre sur son menton du revers de la main.

Byron et Gary remontèrent de concert la fermeture éclair de leurs bra-guettes et retournèrent à leur conversation d'affaires.

Sans un mot de Marcia sans un remerciement des deux hommes, elle quitta la pièce en refermant la porte dans son dos, et se dirigea vers les toilettes pour se rafraîchir, ignorant de son mieux les regards ironiques alors qu'elle remontait le vestibule.

Chapitre 2 : La promotion de Susan.

Susan était toute excitée d'être promue.

Son mari venait tout juste de retrouver du travail après une longue pé-riode de chômage, l'importante différence de salaire était une véritable aubaine pour leur couple.

C'était une magnifique amélioration de carrière pour cette jeune femme de 28 ans qui avait déjà quitté un bas emploi associatif pour une nou-velle carrière prometteuse 6 ans plus tôt.

Ce nouveau poste d'assistante des ventes correspondait à sa formation, complété par deux années d'expérience

dans son précédent poste, elle se sentait apte à le maîtriser correc-tement.

Marcia, la femme à qui elle succédait avait subitement annoncé que son mari avait trouvé un nouveau travail dans une autre ville avait profondé-ment perturbé le département vente de la boite, de nombreux contrats venaient à renouvellement dans les semaines à venir.

On l'avait informée que c'était un poste de responsabilité et elle avait promis de faire de son mieux pour renouveler les anciens contrats et en conclure de nouveaux.

L'inconvénient était qu'elle n'avait jamais côtoyé Gary, son nouveau pa-tron.

Le joufflu et quasiment chauve quarantenaire semblait gaspiller son temps à plaisanter et flirter avec toutes les femmes du bureau.

Plusieurs fois ces dernières années il l'avait complimentée pour sa coif-fure ou ses tenues, en fait, elle avait compris qu'elle l'intéressait pour de toutes autres raisons que le travail.

En fait, il l'avait complimentée grossièrement une fois s'esclaffant :

- Vous portez un très joli chandail Susan, il met parfaitement en va-leur vos nichons avenants!

Elle ne parvenait pas à croire que ces vocables "avenants nichons" lui était vraiment destiné, de plus le patron de Gary, Byron un petit homme efflanqué à l'air vicieux lui faisait peur.

Il la regardait de la même manière renfrognée qu'il regardait tout le monde, bien que désormais son regard s'attardait un peu trop longtemps sur ses charmes.

Susan était consciente d'être séduisante et elle savait qu'elle devrait se blinder pour éviter de subir leur emprise.

Le premier jour de Susan dans son nouveau poste se déroula sans évé-nement particulier.

Elle eut le temps de prendre possession de son nouveau bureau, d'étu-dier quelques brochures de vente et de préparer quelques présentations de produits.

Ce n'est que le second jour, en milieu de matinée que Gary la fit appeler dans son bureau.

- Cet après-midi, Chuck et Frank doivent venir dans nos bureaux, ils représentant l'un de nos plus importants clients, je veux que vous les rencontriez!

- Bien sur! Approuva Susan intimidée.

- Puis après la réunion de travail, je veux que vous preniez quel-ques verres avec nous avant de dîner en notre compagnie... C'est d'accord?

- Hum oui...

Cependant elle était désappointée de ne pas pouvoir rentrer chez elle comme d'habitude, pour y rejoindre son mari.

Mais elle n'avait rien programmé pour la soirée et ne pouvait refuser cette requête le second jour de travail dans son nouveau poste.

- Plus tard vous travaillerez de temps à autre avec eux... Mais aujourd'hui je veux seulement que vous vous montriez avenante, vous n'aurez rien à leur vendre, j'en fais mon affaire! Je veux juste qu'ils prennent contact avec vous... Chuck et Frank sont de la vieille école, ces vieux schnocks n'ont jamais accepté la présence de femmes dans des postes de responsabilités... Ces types sont drôlement irascibles! Aussi devrez-vous accommoder d'eux, même s'ils se montrent antipathiques!

Susan ne savait pas exactement ce qu'entendait Gary par le terme "iras-cible".

Gary n'avait pas développé plus son discours.

- Laissez-moi seulement vous dire que vous ne devez les offenser d'aucune façon, ce sont de très grosses huiles! Vous devrez endurer ce qu'ils vous feront, quoi que ce soit! Mais ne vous tracassez pas, je suis sûre qu'ils adoreront vos opulents nichons!

Encore cette expression, elle sentit que son visage s'empourprait, ins-tinctivement elle baissa les yeux fixant éperdue ses seins.

Sa poitrine n'était pas si grosse que ça!

Ils remplissaient les bonnets B de son soutien gorge, sans plus, elle ne pensait que cela déformait outre mesure son chandail!

Susan se sentait offensée par ce dernier commentaire, mais comme elle ne savait pas quoi répondre!

Elle était consciente que c'était une de ses faiblesses de ne pas se plaindre lorsqu'elle le devrait.

Elle n'eut pas même le temps de réagir à ce qualificatif "d'opulents ni-chons", Gary reprenait le cours de sa conversation concernant les affai-res incombant à son poste.

Elle laissait folâtrer son esprit, elle ne se trouvait pas particulièrement séduisante, bien sur elle avait un visage avenant avec de grands yeux noisettes et ses lèvres charnues, mais son nez n'était pas des plus jo-lis...

Elle se trouvait d'une taille commune, ses jambes étaient bien galbées mais pas particulièrement longues...

Son petit cul était bien rond pensait-elle et son ventre bien plat, elle était en bonne forme et ses longs cheveux bruns cascadaient agréablement sur ses épaules...

Susan se trouvait jolie, sans plus elle ne se voyait pas comme une de ces femmes qui font tourner les têtes sur leur passage.

Elle se trouvait une femme ordinaire, approchant les trente ans, une em-ployée de bureau fort commune.

La conversation terminée, elle se leva pour quitter son patron, elle espérait avoir bien enregistré tout ce qui concernait la réunion et le repas qui s'ensuivrait lorsqu'elle réalisa qu'elle n'était pas vêtue pour ce genre de circonstances.

Elle portait un fin chandail, une jupe imprimée légèrement au-dessus des genoux, et pas de collant.

- Dois-je rentrer chez moi pour enfiler une tenue mieux adaptée? Questionna-t-elle humblement son nouveau patron.

Gary contourna son bureau et posa la main sur sa taille.

- Vous êtes parfaite! Montrez leur vos jambes, ils adoreront ça!

Il lui tenait fermement la taille avant de lui ouvrir la porte de son bureau.

Une nouvelle fois les commentaires de Gary la choquaient, mais à nou-veau elle ne sut quoi répliquer!

Et cette main pesant sur sa taille, entendait-il la traiter de cette façon?

Peut-être bien qu'il la testait!

Ce genre d'apéro suivi d'un repas faisait-il partie des pratiques habituel-les de vente?

Il va falloir t'endurcir ma petite Susan, se dit-elle en son fort intérieur.

La réunion elle-même concernait, Chuck, Frank et un autre membre de l'équipe de ventes nommé Terry.

Gary la présenta à ses clients.

Ils étaient tous deux âgés, une bonne soixantaine d'années, leurs che-veux gris leur conféraient une certaine respectabilité.

Chuck était un peu enrobé et chauve, son col de chemise semblait trop étroit pour son double menton.

Frank était bronzé sa chevelure semblait avoir été sculptée sur sa tête.

Susan était assise à coté de Chuck à l table de réunion, elle n'intervint que pour préciser quelques détails concernant les produits en discus-sion.

Ces hommes se comportaient avec elle de façon tout au fait correcte si ce n'est les yeux de Chuck s'attardant un peu trop souvent sur ses jam-bes.

La réunion terminée, Gary les emmena tous les cinq au restaurant.

Terry s'assit sur le siège passager, Susan dut s'asseoir sur la banquette arrière entre les deux clients.

Pendant le trajet, Chuck et Frank se pressèrent contre elle, serrant leurs cuisses contre celles de Susan.

Sous les constants frottements de leurs cuisses sa jupe avait largement remonté sur ses jambes exposant beaucoup plus de ses cuisses qu'elle ne l'aurait souhaité.

Chuck entretenait la conversation, mais elle sentait les yeux de ses deux voisins rivés sur ses cuisses. Gary désirait qu'elle leur montre un peu ses jambes, il ne pouvait qu'être satisfait!

Ils pénétrèrent dans le restaurant bondé de monde, ils dénichèrent une petite table entourée de quatre chaises dans un coin de la salle.

Susan était assise face à Gary et Terry, elle était flanquée de Chuck et Frank qui prétendirent tous deux préférer rester debout.

Gary et Terry entretinrent alors la discussion avec leurs clients, alors que Chuck et Frank tournaient surtout attention vers Susan se penchant fré-quemment vers elle.

Susan n'avait pas l'habitude de consommer de boissons alcoolisées, oc-casionnellement elle prenait un verre de bon vin lorsqu'elle festoyait, et parfois un rhum coca.

Mais sur la vive insistance de Chuck et Frank, elle dut se joindre à leurs nombreuses libations, vidant plusieurs verres de cocktails fortement al-coolisés.

Elle avait bu le premier pour affermir ses forces, mais elle frissonnait im-perceptiblement alors que les deux vieillards effleuraient sans vergogne ses charmes.

Ils avaient débuté une conversation amicale, lui posant de nombreuses questions concernant sa vie personnelle. Mais, au fur et à mesure que les consommations défilaient, leurs insinuations se firent de plus en plus audacieuses. Leurs "effleurements" se faisaient de moins en moins dis-crets.

Chuck, sur sa gauche lui touchait de plus en plus fréquemment le bras, puis il posa main droite sur le dossier de sa chaise et de là sur sa taille, alors que sa main gauche lui caressait maintenant le genou.

A sa droite, Frank emprisonnait une de ses cuisses entre les siennes, elle sentait de temps à autre sa virilité bandée se presser contre ses muscles.

Il avait posé sa main gauche sur son épaule alors que ses yeux contem-plaient fixement son arrogante poitrine.

Ils parcouraient maintenant ses charmes à deux mains alors qu'elle se sentait coincée entre ces deux hommes.

Leur conversation et leurs caresses s'avéraient imparables, et Susan consciente de devoir se comporter "amicalement" avec eux les endurait stoïquement.

Ils avaient maintenant glissé leurs mains avides sous sa jupe lui caressant la face interne des cuisses tout en la maintenant assise d'une main sur l'épaule et d'une autre pesant sur sa taille.

Leur table fut enfin prête, ils se dirigèrent vers la salle de restauration.

Lorsque Susan quitta sa chaise, galamment Frank lui laissa le passage posant la main sur sa hanche avant de la laisser glisser sur sa croupe qu'il tapota familièrement.

La salle restaurant était au moins aussi sombre et bruyante que le bar. On nous guida vers une loge circulaire, et une fois de plus Susan se re-trouva coincée entre Chuck et Frank.

Cela ne semblait plus être une coïncidence.

Gary et Terry s'assirent à nouveau coté à cote et continuèrent à parler entre eux ne posant qu'occasionnellement un regard furtif sur leurs clients et Susan.

Ils commandèrent une nouvelle tournée d'apéros bien que Susan n'y tienne pas, chaque verre lui semblait plus alcoolisé que le précédent.

L'estomac vide, Susan se sentait largement éméchée, ses sensations s'avéraient majorées et son temps de réaction diminué, cependant elle était extrêmement consciente que leurs caresses furtives avaient repris.

Chuck était placé à sa gauche, il avait posé sa main droite sur sa hanche alors qu'il lui faisait face, sa main gauche était posée sur une de ses cuisses, sournoisement, sous la table, il retroussait le bas de sa jupe sur ses jambes.

Frank, sur sa droite l'avait encerclée de son bras posant la main sur son épaule gauche, sa main droite enfoncée sous sa jupe, palpait la chaire tendre de ses cuisses.

Arborant su sourire figé, Susan s'efforçait de repousser doucement les mains qui la palpaient sournoisement sous la table.

Elle réussit momentanément dans son entreprise, mais c'est alors que Frank glissa sa main droite sous son aisselle assez loin pour palper à pleins doigts le profil de son nichon au travers de son chandail et de son soutien-gorge.

Chuck en profita pour enfoncer sa main sous sa jupe jusqu'à son entre-cuisse qu'il tapota familièrement.

Susan se tortillait pour échapper à la main pétrissant son nibard gauche cherchant à la repousser de sa main droite c'est à cet instant qu'elle sen-tit sa jupe remonter jusqu'à sa taille.

Elle chercha à nouveau de repousser les mains posées sur ses cuisses, mais Frank remonta alors sa main empoignant à pleine main sa mamelle droite.

La main droite de Chuck traçait sa voie dans le dos de son sweater, visi-blement, il cherchait le fermoir de son soutien-gorge.

Ils bataillaient ferme bien que discrètement, dès que Susan repoussait des mains s'intéressant de trop prêt à ses rotondités mammaires, une autre main progressait sous sa jupe, et ainsi de suite...

Susan jeta un oeil paniqué vers Gary réclamant son aide, mais il se contenta de lui sourire hochant la tête d'un air approbateur.

On servit finalement le dîner, et tout le monde se mit à manger, mais Chuck et Frank se débrouillaient pour se restaurer avec une main sous la table caressant ses cuisses nues.

Sa jupe était tirebouchonnée autour de sa taille, lorsqu'elle jeta un regard furtif sur sa tenue, elle avala sa salive en voyant le fond de sa petite culotte clairement exposé.

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