Telle Mère, Telle Fille (03)

Informations sur Récit
Lise fait la connaissance de l'amant de sa mère.
1k mots
4.49
14.9k
1
2

Partie 3 de la série de 12 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/28/2021
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Assas78
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J'ai du mal à rester toute la semaine concentrée sur mes études, et à mesure que le vendredi s'approche, je suis de plus en plus excitée.

Il est plus de 18h quand je franchis le seuil de la maison. Il n'y a que la voiture de ma mère devant la maison.

Ma mère répond depuis le 1er étage à mon « Hello c'est moi! » habituel. En passant devant le salon, un apéritif a été préparé. J'en déduis que son amant, et bientôt j'espère notre amant, vient dès ce soir. Ma mère vient à ma rencontre, elle est superbe. Léger maquillage, hauts talons. Elle est nue sous un déshabillé ultra court avec un porte jarretelle et des bas. Son sexe et ses fesses sont libres de tout morceau de tissu. Elle porte un collier en cuir autour du cou, signe d'appartenance et de soumission, je suppose. Mais le déshabillé, qui n'est pas fermé, laisse voir des sangles en cuir partant du collier pour enserrer ses seins puis descendre entre les cuisses pour passer dans le dos et revenir en ceinture, puis sous les seins. Je vois dans son regard qu'elle est fière de s'exhiber dans cette tenue.

- Je t'ai préparé tes affaires sur ton lit. Tu ne mets que ce que je t'ai préparé. Va vite prendre ta douche et te maquiller, notre amant va arriver.

Le « notre amant « ne laisse plus de doute sur l'avenir. En arrivant dans la chambre, sur le lit , talons hauts, porte jarretelle et bas, ce qui est inhabituel pour moi et une jupe ultra courte qui ne couvrira même pas mes fesses et un haut transparent qui ne fait pas partie de ma garde robe. L'absence de culotte et de soutien gorge ne me surprend pas.

Je vais vite prendre ma douche et je laisse la porte de la salle de bain grande ouverte pour lui indiquer qu'elle est la bienvenue, plus question de pudeur entre nous. Alors que je me maquille elle vient vers moi et s'aperçoit que la touffe que j'avais sur le pubis a disparue.

- Tu es allée chez l'esthéticienne?

- Non je l'ai rasée ce matin.

- Je t emmènerai chez mon esthéticienne. Tu verras, elle fait cela très bien et en plus, elle est charmante.

Je finis de me réparer pour l'arrivée de notre amant.

Un petit coup de sonnette et ma mère va ouvrir à son Maître. Elle a pris le soin de retirer son déshabillé avant d'aller lui ouvrir. Très élégant, il la prend dans ses bras pour l'embrasser et en profiter pour caresser ses points sensibles, fesses, descendre un doigt dans sa raie des fesses, caresser furtivement sa fente, et prendre tétons qu'il fait rouler entre ses doigts. L'effet est immédiat, ils se redressent et durcissent laissant ma mère échapper un gémissement de plaisir. Il la plaque sur le mur et ses doigts descendent pour fouiller sa fente et glisser deux doigts entre ses lèvres. A quelques mètres derrière, je n'existe pas. Puis ils avancent vers le salon, laissant ma mère frustrée, il me fait passer devant lui. Il en profite pour me donner une claque sur les fesses et y laisser sa main.

Viens d'asseoir sur mes genoux, me dit il. Ma mère lui prépare son whisky préféré puis va s'asseoir face à nous deux sur le canapé, un verre à la main. Je remarque qu'elle s'assoit sur le bord du canapé laissant ses cuisses ouvertes. Nous avons une vue totale sur sa fente épilée, ses lèvres ouvertes étalées en ailes de papillon et son clitoris qui pointe déjà entre les lèvres humides. Je suppose qu'elle n'a pas le droit de croiser les jambes.

Jean veut en savoir plus sur moi. Il me caresse les cuisses ouvertes mais sans aller jusqu'à mon pubis. Il prend mes tétons et les fait rouler entre ses doigts, les pinces, les tire. Je gémis.

- Tais toi, et raconte nous tes expériences. Tu n'as pas de secret pour ta mère je suppose et tu ne dois pas en avoir pour moi. C'est ma queue qui t'intéresse? Tu aimes les grosses queues?

Il m'interroge point par point sur mon intimité. Je révèle des secrets que je n'ai jamais révélé à personne. La 1ère fois que je me suis caressée, combien de garçons j'ai pompé, est ce que j'ai déjà avalé et si j'ai aimé ça, comment j'ai perdu mon pucelage, combien de queues m'ont fait jouir, puis est ce que je suis déjà fait enculer, la dernière fois où je me suis caressée. Je dois être rouge pivoine.

Sa main est maintenant sur ma vulve et sans prévenir, il introduit un doigt dans ma fente.

- Mais dis moi tu es trempée. Tu es bien sûre de ne pas avoir menti. Je suis sûr que tu t'es caressée avant mon arrivée.

Je dois avouer qu'il a raison.

- Très bien, tu vas être punie, tu ne dois jamais mentir à ton Maître. Il me fait coucher sur ses cuisses, relève ma jupette et me fesse sans violence. Je dois regarder ta mère dans les yeux pendant toute la fessée pour lui montrer que j'aime autant me faire fesser qu'elle. Mes fesses me brulent rapidement et ce ne sont pas mes gémissements et mes petits cris qui l'arrêtent. Ma mère tient mon regard et me souris pour me montrer qu'elle apprécie de me voir accepter ce signe de soumission et partager nos fantasmes. Jugeant que la punition est suffisante, il me caresse les fesses et m'écarte les cuisses.

-Tu es encore plus mouillée qu'avant, petite vicieuse. Assieds toi sur le rebord du fauteuil. Et toi, s'adressant à ma mère, viens ici montrer à ta fille tes dons de suceuse.

Ma mère viens s'agenouiller entre ses jambes à quelques centimètres de moi, dégrafe son pantalon et sort sa queue mi tendue et déjà d'une taille imposante. Je ne l'avais qu'aperçue la semaine dernière. Ma mère arrive à peine à en prendre la moitié en bouche. Elle augmente de volume à chaque aller retour. C'est une queue monstrueuse avec un gland énorme. Son Maître et amant pose sa main derrière sa nuque pour l'obliger à aller plus loin. Elle a du mal à déglutir et manque de s'étouffer. Comment ma petite chatte va pouvoir absorber une telle bite? Au moins 25cms et aussi large que mon poignet.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

j'aime beaucoup. c'est plutot court mais tres chaud

lecocqlecocqil y a plus de 2 ans

j'adore vivement la suite

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