Telle Mère, Telle Fille (08)

Informations sur Récit
Soirée et nuit d'anniversaire avec ma mère et notre amant.
2.1k mots
4.48
11.8k
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Partie 8 de la série de 12 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/28/2021
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Ce week-end, c’est l’anniversaire de ma mère. Un déjeuner en famille est prévu pour dimanche midi. Ma mère ne voulant pas passer son temps en cuisine pour ce déjeuner, a tout commandé chez le traiteur. Ce sera donc un week-end familial, sauf si notre Maître en décide autrement.
Changement de programme, samedi matin ma mère reçoit un appel de notre Maître pour nous prévenir qu’il viendra nous chercher pour aller diner et fêter son anniversaire.
Nous passons une bonne partie de l’après midi à nous préparer et à choisir nos tenues. Ma mère opte pour une robe courte qui la met en valeur avec porte jarretelles, bas gris, et redresse seins dans la même dentelle. Le string ou la culotte restent dans le tiroir de la commode, elle n’en met plus. Un seul bijou, ce collier fin en acier avec un anneau sur le devant. Aucun doute pour les initiés. Je choisis une simple robe noire mais très près du corps et ultra courte. Une robe qui met mes atouts en valeur, mes fesses et mes seins. Je l’ai très peu mise avant ma soumission car je la trouvais beaucoup trop courte et très indiscrète. En la mettant, le miroir me confirme qu’elle est vraiment limite surtout sans culotte, et si près du corps que mes tétons pointent et attirent les yeux. Personne ne peut ignorer l‘absence de sous vêtements. Le collier identique à celui de ma mère et je suis prête. Un petit sac avec nos harnais et nos attaches.
Je me demande comment elle va annoncer la nouvelle à mon père par téléphone, et lui indiquer notre absence ce soir.
Alors qu’elle est en train de finir de s’habiller je vais lui demander si ma robe n’est pas trop courte. Les tiroirs de sa commode sont grands ouverts et le dernier du bas, que j’ai toujours trouvé fermé à clef est grand ouvert. Je comprends mieux pourquoi quand je découvre le contenu : une collection de godemichets, de jouets mais aussi deux cages de chasteté masculine.
- Je voulais t ‘en parler mais j’attendais le bon moment, me dit elle. Comme je te l’ai déjà dit, ton père n’a pas ce qu’il faut pour me satisfaire et lors de notre entente sur notre vie commune, il avait accepté de ne plus me toucher, sauf qu’une fois … alors je lui ai imposé de porter une cage de chasteté.
Mardi soir, après le diner, il m’a posé des questions à ton sujet. Il se doutait bien que tu es présente le week end quand « mon amant » actuel vient à la maison. Je lui ai dit qu’effectivement tu étais là et que nous gardions les portes ouvertes, et que tu avais vu et même que je l’avais partagé avec toi. Je n’ai pas donné plus de détails. Il avait aussi remarqué dimanche soir que tu étais nue sous ta robe. Il n’est pas idiot. Tu n’as plus à te cacher désormais, tu es libre de te montrer nue. Tu verras bien ce qu’il dira quand il verra des traces sur tes fesses et tes cuisses.
Mon père n’est pas encore rentré quand ma mère monte à l’avant de la voiture de notre amant.
- Envoie un sms à ton cocu de mari pour lui dire que vous ne rentrerez que demain matin et que vous êtes toutes les deux avec votre Maître. Il ne faut pas qu’il s’inquiète, il ne pourra même pas s’astiquer sa petite nouille en cage en pensant à vous deux
Ma mère ne sourcille pas et envoie le sms. Je n’en crois pas mes oreilles. C’est la première fois que j’entends notre Maître parler de mon père, et dans ces termes en plus. Il est au courant de tout, y compris de la chasteté imposée de mon père. Ma mère ne lui cache vraiment rien.
Nous allons diner dans un magnifique hôtel haut de gamme dans un parc d’une ancienne abbaye. Je suppose que nous y resterons dormir.
Les tables de la salle de restaurant sont suffisamment espacées pour que l’intimité des conversations soit préservée, tout en laissant les convives des tables visibles les uns des autres. Notre Maître s’assoit entre ses deux soumises, je suis la plus visible de la table la plus proche, où dine un couple dans la cinquantaine, une femme très élégante et son mari, je suppose, de dos. En arrivant à la table, la femme nous a dévisagées ma mère et moi. Une fois assise, elle me détaille sans se cacher. Je baisse les yeux pour fuir son regard. En m’asseyant, ma robe très ajustée est remontée de plusieurs centimètres. Cette femme n’en perd pas une miette, surtout que je n’ai pas le droit de serrer les genoux.
Au bout de quelques minutes, notre Maître sent, non pas ma gène, mais que je ne suis pas aussi décontractée que d’habitude.
- Que se passe t il, Lise ? Il y a quelque chose qui ne va pas ?
Je lui explique ce qui se passe. Elle ne me quitte pas des yeux, et alternativement cherche à capter mon regard et à voir un peu plus entre mes cuisses.
- Tu es belle, et tu dois en être fière. Ouvre un peu plus des cuisses, pour lui donner ce qu’elle veut, et regarde là dans les yeux pour lui montrer que tu es fière d’être nue sous ta robe et que tu aimes t’exhiber. Peu importe si les serveurs te voient. Quand je te le dirai, tu te lèveras sans fermer les cuisses, tu ne quitteras pas son regard, et tu iras aux toilettes. Tu rentreras dans une cabine, tu laisseras la porte grande ouverte et tu attendras. Si elle te rejoint, tu lui obéiras.
Avant le dessert, je fais comme mon Maître me l’a demandé. Arrivée dans toilettes luxueuses de cet établissement, les cabines sont vides, portes fermées. J’ouvre celle du milieu et j’attends, la porte ouverte. Mon cœur bat à tout rompre. Un mélange d’excitation et d’anxiété. Une paire de talons résonne sur le carrelage, c’est elle.
Ni elle, ni moi ne prononçons une seule parole.
Elle me regarde les yeux dans les yeux. Un regard de louve qui s’abat sur sa proie, sûre d’elle. Je baisse les yeux.
Elle prend un téton à travers la robe, puis l’autre. Elle les fait rouler entre pouce et index, les tire, les pince. Chez moi, c’est immédiat, un gémissement de plaisir, je sens ma chatte s’humidifier et se mettre à couler.
-Tu es soumise ? L’homme c’est ton Maître ?
- Oui, Madame.
- Et l’autre femme qui est ce ?
- Son autre soumise.
Je ne lui en dis pas plus, et surtout pas que cette soumise est ma mère.
- Tu aimes t’exhiber. Tu aimes les femmes ?
- J’obéis à mon Maître, je n‘ai eu récemment qu’une expérience très rapide avec une femme.
- Tu es jeune, belle, soumise, tu me plais, nous nous reverrons, me dit elle toujours aussi sûre d’elle. Roule ta robe autour de ta taille, je veux te voir pisser.
Elle sait parfaitement qu’une femme a toujours du mal à montrer ce geste intime, au moins autant que de se caresser. Après plusieurs secondes, j’arrive à me détendre, mon jet fuse dans la cuvette.
Avant que je m’essuie, elle passe ses doigts dans ma chatte et les porte à sa bouche.
- Tu es mouillée, sous tes airs bcbg, tu es une vicieuse et tu m’excites. J’aime ton goût.
Pas un mot de plus, elle repart. J’attends un peu et en fait de même. Arrivée à table, mon Maître me fait décrire toute la scène.
- Reste les cuisses grandes ouvertes pour elle, et évite son regard.
Ma mère n’a pas dit un mot et je ne la sens même pas étonnée, plutôt spectatrice. Elle sait que cette soirée me plait et m’excite.
Avant de partir, le couple fait passer à mon Maître par le serveur un papier plié. Mon Maître se retourne pour la remercier par un signe de tête et met le papier dans sa poche. Je me doute que nous nous reverrons, avec ou sans mon Maître.

La soirée n’est pas terminée, car mon Maître a réservé une chambre avec un lit « king size » dans cet établissement.
Nous montons au 1er étage, mais ce n’est pas dans une chambre qu’il nous conduit mais dans une lingerie où il a déposé auparavant le sac avec nos harnais. Il nous demande de nous mettre nues et nous laisse, en nous demandant de le rejoindre au 2ème étage à l’autre bout du bâtiment dans la chambre 202.
Ma mère est très mal à l’aise de devoir parcourir les couloirs de l’hôtel dans cette tenue, harnais et hauts talons, alors que moi, je suis excitée de me promener nue au risque d’être surprise. Je suis plus exhibitionniste qu‘elle. Je la laisse mettre le harnais et sans lui demander son avis, j’ouvre la porte sur le couloir et prend sa main pour l’emmener jusqu’à la chambre. Au pied de l’escalier, nous entendons des voix. Ce sont deux couples qui montent et nous nous retrouvons nez à nez avec eux. Ils ont l’air plus surpris que nous, nous regardent et nous souhaitent une bonne fin de soirée. Ma mère et moi sourions, nous les remercions et ralentissons le pas pour qu’ils puissent regarder le mouvement de nos fesses qui s’éloignent.
C’est l’anniversaire de ma mère et c‘est elle qui est la reine de la soirée. En arrivant dans la chambre, il m’attache à genoux au pied du lit. Puis il prend ma mère dans ses bras et la conduit sur le lit où il embrasse chaque centimètre de son corps. Un moment de tendresse entre le Maître et sa soumise. Je ne suis pas jalouse de voir ma mère aussi heureuse dans ses bras.
- Viens m’offrir ta bouche avec ta mère. Nous prenons à tour le rôle ce pieu, pendant que l’une s’occupe de son gland, l’autre lèche la hampe, puis toutes les deux nous gobons et léchons ses boules. Nous ne ratons aucune occasion de nous embrasser et de sucer le gland en l’entourant de nos deux bouches. Ma mère est une suceuse expérimentée, elle introduit le bout de sa langue dans le méat, une caresse buccale que la Maitre semble apprécier le plus. Nos 2 bouches se partagent les filets de liquide séminal.
Le Maître me rattache au pied du lit.
- Tu vas voir comme ta mère jouit. Elle va être incapable de se contrôler.
Pendant plus d’une heure, ma mère n’est plus qu’une boule de jouissance, ses deux orifices sont comblés tour à tour plusieurs fois. Le lit est trempé, elle ne se contrôle plus. Je ne l’ai jamais vue comme ça, quand le Maître se retire, c’est un flot de mouille qui coule de sa fente. Je la découvre femme fontaine. J’espère que les murs épargnent nos voisins de chambre de ses cris de plaisir. Au bout de plus d’une heure, son cri rauque accompagne ceux plus aigus de ma mère. Quand il se retire, son œillet rougi reste ouvert. Un flot de sperme s’en échappe. Si je m’écoutais j’irai laper cette liqueur, mais impossible. Il me regarde et voit dans mon regard mon envie et mon impuissance.
Je ferme les yeux pour me calmer. Ma mère vient se coucher sur lui, pour un moment de calme et de tendresse. Il l’a épuisée.
- C’est dommage pour toi, Lise, de ne pas avoir été autorisée à goûter à ce nectar, quel dommage !
Le Maître est goguenard, il sait ma frustration.
- Et regarde entre tes jambes, tu as sali la moquette
C’est vrai que sur la moquette, mes sécrétions se sont écoulées sans que je m’en aperçoive. J’a joui sans me toucher, je n’ai pas réussi à me contrôler, trop d’excitation visuelle
Il me détache, m’allonge en travers de ses genoux, pour me fesser longuement, pas une punition pour moi, mais désormais un moment de plaisir et de fierté. Je deviens maso et j’en éprouve beaucoup de plaisir.

Le lendemain matin nous descendons pour le petit déjeuner. Une table voisine nous regarde avec insistance et amusement, peut être nos voisins de chambre. Nous quittons l’hôtel et notre Maître nous dépose devant la maison familiale pour fêter l’anniversaire de ma mère en famille. Aucune allusion de mon père à propos de sa femme et de sa fille qui rentrent après une nuit d’absence. Je me rappelle des mots prononcés en voiture sur le cocufiage accepté de mon père. J’en aurai le lendemain matin une autre preuve, en rentrant nue sans frapper dans la salle de bain, alors que mon père sors de la douche. Pour la première fois, je découvre sa minuscule cage de chasteté.

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  • COMMENTAIRES
4 Commentaires
ZachariasvarZachariasvaril y a presque 2 ans

Délicieux de perversité. Ces deux salopes sont des merveilles !

lecocqlecocqil y a plus de 2 ans

vivement la suite j'adore

Assas78Assas78il y a plus de 2 ansAuteur

@RUDY

Merci !! suite au prochain numéro !! on se rapproche de la fin

Assas78

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

J'adore toujours autant !

Bravo

Rudy

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