Telle Mère, Telle Fille (09)

Deux semaines plus tard, mon Maître m'appelle pour me prévenir qu'il viendra me chercher samedi soir. Il ne me parle pas de ma mère.

Le samedi en fin de journée je la préviens que je sors ce soir, elle doit penser que je vais diner avec ma meilleure amie, mais quand elle me voit harnachée, avec une robe ultra courte et largement ouverte sur ma poitrine, elle est étonnée.

- Je croyais que tu allais diner en ville. Tu sors avec notre Maître?

Je lui confirme qu'il vient me chercher et qu'il m'a demandé de me préparer ainsi, mais que je n'en sais pas plus. C'est la 1ère fois que je sors seule avec Lui. Je ne suis pas inquiète mais ne pas en savoir plus, ajoute du piment et de l'excitation.

-Et c'est Lui qui t'a demandé de porter le rosebud.

-Ah tu avais vu? Oui, c'est un cadeau qu'Il m'a fait pour me préparer à perdre mon pucelage anal, comme il dit.

Ne pas lui en avoir parlé plus tôt la chagrine et elle essaye de ne pas le laisser paraître. A t elle peur que je lui prenne son amant? Ce n'est pas mon intention, juste un partage.

A l'heure indiquée, il m'attend dans sa voiture devant la maison, ignorant ma mère, une humiliation supplémentaire pour elle.

Arrivés devant un bel immeuble dans une impasse privée d'un quartier chic de Paris, il me demande de retirer ma robe dans la voiture et d'aller, nue, sonner à l'interphone au numéro 27. Il ne m'accompagne pas. La pression monte et mon cœur s'emballe.

- C'est une voix féminine qui me répond. Je crois reconnaître la voix de la dominatrice que j'avais rencontrée le soir de l'anniversaire et qui m'avait demandée de pisser devant elle, dans les toilettes du restaurant, jupe roulée sur le ventre.

- 2ème étage, la porte sera ouverte, rentrez et fermez la porte derrière vous.

La porte de l'immeuble s'ouvre, je monte au second par l'escalier et pénètre dans l'appartement. Je n'ai même pas réfléchi que quelqu'un puisse me croiser nue dans l'impasse ou dans l'escalier.

La femme me demande de la rejoindre dans le salon, au centre de la pièce.

- Mets tes mains derrière la tête et baisse les yeux. Je t'avais promis que nous nous reverrions, je tiens toujours mes promesses.

Sa tenue est un peu différente de celle du restaurant. Robe grise en dessous du genoux dans une coupe classique de grand couturier, mais juste boutonnée à la taille, laissant apparaitre un redresse seins en cuir, laissant ses tétons visibles bandés et en bas laissant libre son ventre épilé nu, et bottes en cuir noir.

- Elle attrape mes tétons, les tire et les roule entre les doigts sans aucune douceur. Elle insiste jusqu'à entendre un petit cri de plaisir et de douleur.

- Tais toi, je ne veux pas t 'entendre

Et plongeant ses doigts entre mes cuisses pour mesurer mon excitation, me les donne à sucer.

- Tu es déjà mouillée, sensible la demoiselle soumise! J'aime dresser les petites salopes comme toi. Ton Maître m'avait prévenue. Il m'a proposée de te fesser et je ne vais pas me priver de ce plaisir. Mets à toi à genoux et embrasse mes bottes. Avec Maîtresse Sylvia, ta place c'est à ses pieds.

Je me mets à genoux et suis obligée de me cambrer au maximum pour mettre ma tête au niveau de ses pieds. J'embrasse ses bottes en signe de soumission et 2 claques retentissantes sur mes fesses me rappellent de m'appliquer. Elle ouvre avec deux doigts ma fente déjà dégoulinante et les introduits pour prendre un maximum de mouille et me les faire lécher. Je n'ai qu'une envie c'est qu'elle me fasse jouir mais dès qu'elle me sent frémir, elle stoppe. Je m'applique à lécher ses pieds qu'elle a sortis de ses bottes mais rien n'y fait. Me relevant, elle me met en travers de ses genoux pour me fesser. Les claques tombent sans répit et elle n'hésite pas à viser entre mes cuisses sur mes lèvres. Ma chatte est rouge et coule toujours, lui donnant la preuve que cette douleur me donne du plaisir. Me laissant à genoux devant elle, elle appelle pour que l'on amène du champagne. Nous n'étions donc pas seules dans l'appartement.

Je reconnais son mari qui apporte un plateau, les yeux baissés, avec le champagne, une seule coupe et une écuelle.

- Ne fais pas attention, c'est ma lopette de mari. Il n'existe pas. Et toi, ne la regarde pas sinon cela va te coûter cher. Pose le plateau et retourne dans la cuisine. Je t'appellerai si j'ai besoin de quelque chose.

Elle se verse une coupe de champagne, en verse dans l 'écuelle qu'elle pose au sol au milieu de la pièce.

- Tu m'as bien dit que tu n'avais jamais eu de relation avec une femme? Ca se fête.

Je ne bouge pas et reste les yeux baissés. Elle boit sa coupe en me regardant, et me fait signe d'avancer. Elle déboutonne sa jupe en cuir jusqu'à la taille et me fait signe d'avancer.

- Viens me remercier en me donnant du plaisir.

J'ai comprise ce qu'elle attends de moi et viens entre ses jambes pour la lécher. Sa chatte est humide et je lèche l'intérieur de ses lèvres, en essayant d'aller le plus profondément possible. Je mâche ses petites lèvres qui pendent, ce qui la fait couler, je gobe son bouton qui est sorti tout seul de son capuchon.

- Doucement, tu es une gloutonne dis moi. Pour une chienne qui s'occupe d'une chatte, tu t'y prends bien. Tu aimes ça. On va bien s'entendre.

C'est vrai que je prends du plaisir à trouver un goût un peu sucré différent du mien. Les effluves de son sexe m'enivrent. Elle appuie ses deux jambes sur le bord du canapé.

- Lèche mon œillet, et nettoie l'intérieur.

Je n'ai aucun dégoût. J'aime son goût acre et bien particulier pour la 1ère fois.

J'alterne entre son œillet et son clitoris. Elle se met à jouir et enserre ma tête entre ses cuisses.

- Viens trinquer avec ta Maîtresse.

A quatre pattes, je la suis jusqu'au milieu de la pièce où elle s'accroupit au dessus de l'écuelle pour lâcher plusieurs jets d'urine.

- Allez, viens laper ce cocktail royal.

Je m'exécute à 4 pattes comme une chienne, encore une fois sans dégout. Elle m'a ensorcelée. Elle quitte la pièce, me laissant patienter et reprendre mes esprits.

Quand elle revient la première chose que je vois, c'est un long et large pénis à l'horizontal entre ses cuisses.

- Je vais m'occuper de toi et te faire jouir. Tu es une chienne en chaleur et tu vas vite comprendre qu'il y a mieux que les bites de mec. Dans quelques temps, tu viendras à mes pieds me supplier de te baiser et de t'enculer. Tu es une lesbienne soumise refoulée.

Mais pour l'instant ton Maître se réserve ton dépucelage du cul, je vais te prendre la chatte.

Je suis étonnée par son changement de vocabulaire, et je mets ça sur le compte de son excitation.

Elle s'approche de moi, m'attrape par la laisse et me mets à genoux, les seins sur la table basse. Avec ses doigts, elle me fouille si bien que je deviens folle d'excitation. Je suis trempée et elle n'a aucun mal à s'introduire jusqu'au fond avant de me pilonner. Je hurle de plaisir. Je ne plus me contenir. Je pisse par terre.

- Quelle salope! Tu vois que j'avais raison. Je suis sûre que tu as soif. Retourne toi et mets ton dos sur la table de salon.

Elle m'enjambe, me fait ouvrir la bouche et me remplis de son champagne doré. Je la laisse remplir ma bouche et avale avec plaisir. Pour finir, elle me donne sa fente à lécher et nettoyer de ses nectars avec ma langue. Elle me relève, et m'embrasse à pleine bouche comme deux femmes amoureuses.

- Tu as bon goût, me dit elle en riant. Tu vas plaire à mes amies Dominatrices et faire des jalouses chez leurs soumises

- Reprends tes esprits et quand tu seras prête, ma lopette de mari va te raccompagner en voiture.

Je rentre chez moi totalement détendue. Je n'ai même pas pensé à me couvrir du paréo qu'elle avait mis sur la banquette arrière. Avant de m'endormir, je me demande juste ce que dira notre Maître quand je lui raconterai, et si elle a raison. Jamais je n'avais envisagée de prendre autant de plaisir avec une femme.

Le lendemain matin, ma mère reste silencieuse pendant tout le petit déjeuner.

- Pourquoi tu ne poses pas de questions sur ma soirée d'hier? Tu en meurs d'envie

Elle avoue ne pas oser, sûrement aussi l'inquiétude d'avoir pris une place plus grande auprès de notre Maître.

- Il m'a conduit chez la Dominatrice que nous avions croisé au restaurant, tu te rappelles? Il m'a laissé et est reparti. C'est son mari qu'elle traite en lopette qui m'a raccompagné en voiture. Tu ne peux pas savoir le plaisir que j'ai eu d'être dominée par cette femme. Ma mère me regarde incrédule, même si elle me dit qu'elle n'est pas surprise.