Tracy se venge de Carmen

BÊTA PUBLIQUE

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Thomas n'avait pas encore fini de pisser et il la traitait de tous les noms alors qu'il lui éclaboussait le visage.

Il lui demanda si elle appréciait le goût de son urine, elle ne put que se-couer la tête de bas en haut pour éviter de se noyer dans la pise.

Une fois que Thomas et son copain se furent vidés les couilles sur elle, ils refermèrent leurs braguettes et partirent.

Trois autres gars entrèrent s'alignèrent le long de la baignoire descendi-rent leurs pantalons et sortirent leurs bites commençant à l'inonder de pisse.

Ils visaient tous trois son visage et elle tenait la bouche ouverte pour complaire aux ordres de Tracy.

Il y avait tant de pisse qui lui coulait dessus que la totalité de son corps en était couvert.

Ses cheveux étaient trempés, sa bouche débordait d'un bouillon jaune brun.

Ils la traitaient de sale pute de buveuse de pisse, réclamant tous une co-pie de la vidéo comme souvenir.

Les autres gars fatigués d'attendre ne tardèrent pas à encercler la bai-gnoire.

C'était maintenant cinq à six gars qui lui pissaient en chœur sur le visage et les miches.

Elle avait énormément de mal à respirer tant elle avalait de pisse.

Certains lui pissèrent même sur la chatoune, ils étaient trop à lui pisser sur le visage, il leur fallait donc changer de cible.

Tracy avait les yeux rivés sur son ex-copine qui servait de pissotière à tous ses amis.

Elle savait déjà qu'elle montrerait la cassette au petit-ami de Carmen, puis elle essaierait de baiser avec lui pour parfaire sa vengeance.

Une vingtaine de gars étaient entrés dans la salle de bain se vidant la vessie sur son visage, ses miches et tout son corps, il lui semblait que cela n'arrêterait jamais.

En fait, Tracy était sortie de l'appartement et avait invité les gars qui er-raient autour des bâtiments à monter dans l'appartement pour pisser sur une salope de jeune blanche.

Ainsi de nombreux gars qui n'avaient pas participé à leur petite fête étaient montés avaient sortis leurs bites et avaient pissé sur le visage de Carmen, quelques-uns uns même avaient éjaculé sur elle, ils n'avaient pas eu la chance de la baiser auparavant.

Tracy était en extase, de voir tant de gars l'arroser de foutre et de pisse, elle était si contente qu'elle dit à Tyler qu'ils feraient bien de la conserver une journée en leur pouvoir pour continuer à s'amuser avec elle.

Tyler trouva l'idée excellente, il était sur que les participants de ce jour voudraient revenir le lendemain même si cette fois il faudrait payer pour la baiser.

Lorsqu'une bonne vingtaine de gars de plus eurent pissé sur Carmen, Tracy décida que cela suffisait pour ce jour, il fallait maintenant que Carmen se nettoie pour être prostituée le lendemain.

Elle se rendit dans la salle de bain, et informa Carmen qu'ils allaient la prostituer le lendemain qu'ils allaient vendre sa bouche, sa cramouille et son trou du cul à de nombreux clients.

Si tout se passait bien le lendemain, elle lui donnerait la vidéo de son gang bang tournée ce jour même, et qu'elle ne filmerait pas la petite fête du lendemain.

Carmen pleurait en approuvant de la tête, consciente que de toute ma-nière elle n'avait pas le choix.

Chapitre 2 :

Tracy savourait sa vengeance : le viol de la douce Carmen qu'elle avait capturé en vidéo.

Et quand bien même elle avait promis à Carmen de lui donner la cas-sette si elle acceptait de distraire à nouveau ses amis lors de leur prochaine petite fête, elle avait bien l'intention de conserver la casette originale pour la faire chanter par la suite et de lui donner une simple copie.

Tracy et Tyler savaient pertinemment qu'ils pourraient se faire une bonne poignée de dollars en la prostituant à un groupe de pervers.

Avec son visage de madone innocente, de jeune fille bien élevée et ses l'incomparables voluptuaire de ses courbes, des clients paieraient de for-tes sommes pour coucher avec elle.

Un des copains de Tyler habitait en périphérie de la ville, sa maison comportait une grande salle aménagée en sous-sol, ce serait l'endroit idéal pour organiser son gang bang payant.

Tyler avait gardé des relations privilégiées avec des ex-taulards, des loubards qui seraient ravis de se faire une jeune étudiante blanche et même s'il fallait y consacrer quelques centaines de dollars.

Tracy voulait filmer la partouse et si possible en vendre des copies, mais Tyler l'informa que ses copains ex-détenus refuseraient tous de se faire filmer en train de violer une jeune étudiante blanche.

Trois des quatre gars qui étaient venu pour participer au gang bang étaient des colosses assez âgés, ils étaient couverts de tatouages et ils mesuraient tous plus d'1,90 mètre pour un poids d'environ 100 kg, le quatrième, le plus jeune avait 23 ans et ne faisait qu'1,80 mètre pour 70 kg, Tyler prétendait qu'il avait la plus longue queue qu'il ait jamais vu chez un humain.

Il s'appelait Johnny, mais il était surnommé John la longue bite en raison de la taille avantageuse de sa bite, pour raccourcir, Tyler l'appelait LJ.

Il leur annonça que pour 100 dollars chacun, ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient de Carmen, et ce sans aucune limite.

Ils lui avaient répondu qu'il valait mieux que la poupée soit mignonne, vraiment baisable.

Tracy avait décidé qu'elle leur ferait un petit show histoire de les allumer avant qu'ils ne se la fassent. Elle les prévint que cette jeune étudiante blanche était là pour satisfaire toutes leurs envies.

Puis elle amena Carmen face à ses clients, elle était maquillée et vêtue comme une pute de bas quartier.

Ses yeux étaient largement soulignés à l'eye-liner, ses paupières char-bonneuses, ses lèvres peintes d'un vermillon éclatant et ses joues re-haussées de blush.

On aurait dit une véritable pute.

De plus elle portait un bustier laissant son nombril à l'air libre, ses ni-bards débordaient d'un soutien-gorge trop petit, et une petite jupe écossaise comme celle des uniformes de lycéennes qui soulignait ses longues jambes couleur ivoire.

Elle avait chaussé des talons aiguilles sur lequel elle avait bien du mal à garder l'équilibre.

Ils braillèrent et sifflèrent tous alors que Tracy la promenait lentement en laisse entre eux.

C'était bien plus dégradant que la veille elle allait servir d'esclave sexuelle à Tyler et ses copains.

Tandis qu'elle se promenait entre eux, plusieurs lui malaxèrent la croupe Tyler les prévint à cet instant qu'elle était leur esclave pour toute la soi-rée, et qu'ils pouvaient lui faire tout ce qui leur passerait par la tête.

Ils pourraient la baiser dans les trous qu'ils désireraient et éjaculer là où ils le voudraient.

Par ailleurs il leur dit qu'elle aimait être traitée brutalement et que de ce fait ils pourraient utiliser des pinces à linge, la gifler ou même lui pisser en bouche.

Ils affichaient tous un air ravi.

Tracy tendit la laisse à Tyler et ajouta :

- Elle est toute à vous pour les 6 heures à venir.

Tyler intima à Carmen d'enlever sa brassière pour montrer ses fermes nibards à ses clients.

Comme elle hésitait, il la gifla durement en plein visage.

Les yeux de Carmen se remplirent de larmes alors que Tyler empoignait son top et le déchirait le jetant au sol.

Il lui ordonna alors haineusement de se dépouiller de son soutien-gorge si elle voulait éviter qu'il en découpe les bretelles, elle tendit le bras dans son dos et le dégrafa peureusement et son soutien-gorge chuta au sol.

Elle exposait ses gros nichons sous leurs yeux concupiscents, elle rougit de la tête aux nibards.

Tyler invita Larry (le plus costaud des clients) à la dépouiller de sa jupe.

Larry s'approcha d'elle et lui arracha sa jupe d'un revers de main, il em-poigna sa petite culotte à deux mains et la déchira en deux sous les ap-plaudissements de ses complices.

Carmen se tenait face à eux, entièrement nue ne portant plus que ses hauts talons.

Les clients décidèrent que LJ allait entamer les débats, ils voulaient voir sa tête lorqu'il dénuderait sa bite noire longue de 30 centimètres.

LJ s'approcha de Carmen et lui enleva sa laisse la prévenant qu'il la fouetterait avec à la moindre révolte. Elle lui fit signe de la tête qu'elle avait compris.

Il lui enjoignit d'ouvrir sa braguette et d'extraire sa mentule de son cale-çon.

Elle déboucla son pantalon qui chuta au sol.

Elle s'attaqua alors à son caleçon et d'embraser sa première prise de la soirée.

Ses yeux s'écarquillèrent d'hébétude à la vue de cet énorme phallus. Il n'était pas encore bandé, et déjà il lui tombait sur les genoux.

Ses burnes étaient de la taille de gros citrons et elle avala sa salive en voyant son chibre se déployer lentement.

Il lui enjoignit de prendre son boa noir en main pour l'embrasser tendre-ment.

Ils éclatèrent tous de rire alors qu'elle se penchait misérablement en avant plantant ses lèvres sur son méat luisant.

Elle lui donna une paire de lichettes et leva les yeux sur LJ attendant ses ordres.

Il lui tourna autour, palpant ses fesses et lui intima, avant qu'elle goûte à son épaisse colonne de lui embrasser le trou du cul poilu.

A contrecœur elle lui titilla le trou du cul, il lui précisa alors :

- Pas comme ça petite pute, pointe ta langue dans mon trou du cul, sers-toi de tes mains pour écarter mes fesses et suce amoureusement mon oeillet odorant... C'est en me suçant le trou du cul que tu vas gagner le privilège de te faire bourrer par ma grosse bite noire.

Les spectateurs le regardaient avec envie alors qu'elle plongeait doci-lement la pointe de sa langue dans trou du cul velu.

Ils savaient tous qu'ils allaient user et abuser de ses charmes, qu'ils al-laient dégrader cette succulente étudiante blanche de toutes les façons possibles et imaginables pendant les 6 heures à venir.

Elle introduisait la pointe de sa langue dans son anus, le fouillait quel-ques instants puis parcourait d'une langue agile toute sa raie culière, la bite de LJ dansait à quelques centimètres de son visage, elle l'empoigna d'une main et entreprit de la branler avec veulerie, il grognait de plaisir.

- C'est bien mieux maintenant, je savais bien que tu avais le béguin des grosses bites noires!

Tandis qu'elle léchait son trou du cul, et lui branlait la bite, Sam se posta face à elle et entreprit de lui malaxer les nibards.

Après quelques minutes, il prévint LJ qu'il voulait baiser cette petite sa-lope et lu éjaculer en plein visage.

LJ enjoignit à Carmen de s'étendre sur le dos, en position coïtale.

Dès qu'elle fut allongée sur le dos, LJ s'accroupit le cul sur son visage lui ordonnant de lui nettoyer le trou du cul comme un sou neuf.

Il empoigna sa longue mentule et serra ses gros nichons sur elle comme un écrin, et entama une savoureuse cravate de notaire.

Sam se débarrassa de son pantalon et empoigna son chibre qui mesu-rait environ un bon 22 centimètres, mais aussi épaisse qu'une bouteille de coca-cola.

Il lui doigta la chatoune tandis que LJ continuait à lui baiser les miches.

Carmen, n'avait aucune idée de la taille de sa bite alors qu'il se préparait à la plonger dans sa foufoune, son visage était entièrement couvert par le cul de LJ.

Sam pressa son imposant champignon à l'orée de sa caverne, elle pen-sa qu'il voulait lui enfoncer une bâte de base-ball ou quelque chose de semblable dans le vagin.

Ses cris furent étouffés par le cul de LJ!

Sam poussa sa tête bulbeuse dans l'intimité de Carmen, elle sauta vi-vement.

Jamais une chose d'une telle taille avait pénétré son intimité, il allait lui dévaster sa foufoune à jamais.

Comme il la pénétrait plus profondément elle gémit et se lamenta.

Sam sourit disant aux autres gars que sa chatoune était la plus étroite foufoune qu'il ait forée jusqu'ici.

- Elle n'a du se faire baiser que par de minuscules bites blanches...

Ajouta-t-il à leur adresse alors que LJ grognait que cette petite jeunette allait lui vider les noix et qu'il allait lui appliquer sa première crème fa-ciale.

La cramouille de Carmen était détrempée, elle succomba à un orgasme dévastateur, elle gémissait de bonheur à l'idée de recevoir le foutre de LJ en plein visage.

Sam entreprit de la labourer de plus en plus vite, de plus en plus profon-dément, il sentait bien que sa bite éveillait d'intenses réactions dans la chagatte de sa proie et il explosa de rire en commentant pour ses co-pains :

- Cette petite salope est vraiment en train d'apprécier mon gros épieux noir!

Les gars se mirent à lui parler vulgairement, lui disant que bientôt elle supplierait pour se faire baiser par de grosses bites noires toute la nuit.

LJ la baisait furieusement entre ses nibards serrés comme un écrin.

Dès qu'il se mit à jouir, il retira son cul de son visage et pointa son gros champignon juste sous ses yeux.

Son foutre jaillit en giclées épaisses sur son visage d'innocente madone, Sam se sentait inspiré la baisait de plus belle alors que les jets de foutre de LJ atterrissaient maintenant sur le nez de Carmen, son front et ses yeux.

Elle tenait ses yeux fermés, son visage était couvert de foutre.

Sam dit alors à LJ qu'il ferait mieux de bouger parce qu'il n'allait pas tar-der à arroser le visage de jets de foutre bien fournis..

Sam extirpa alors sa massive colonne de sa chatte dévastée et se mit immédiatement à cracher jet de foutre sur jet de foutre sur son visage déjà poissé de semence grasse.

Tyler intervint alors disant :

- Elle doit se nettoyer le visage pour pouvoir à nouveau lécher leurs culs ou sucer leurs bites.

Tracy se pointa une cuillère à soupe à la main, elle récupéra pas mal de foutre lui couvrant le visage et la prévint :

- Ouvre bien la bouche pour déguster ce foutre de noirs!

Cuillère après cuillère elle savoura une bonne part de la crème onctueuse qui lui endoubait le visage.

Tyler lança alors une serviette à Tracy et intervint :

- Dale est le prochain gars à se la faire et il veut distinguer claire-ment ses lèvres lorsqu'elles se refermeront sur son épieu bandé.

Ils la disposèrent à genoux pour tailler une pipe à Dale.

Comme elle s'agenouillait face à lui, il baissa son pantalon et lui gifla le visage à plusieurs reprises de son épaisse colonne déployée.

Puis il s'assit, releva ses jambes en l'air, son gros et gras cul poilu se re-trouva alors juste en face du visage de Carmen.

Elle avala sa salive tant le spectacle était peu ragoûtant, son gros cul ve-lu puait comme s'il n'avait pas pris de douches depuis des semaines.

Elle grimaça de dégoût à l'idée de ce qui l'attendait.

LJ se tenait dans son dos, il lui empoigna le dos du crane et pressa son visage contre le cul nauséabond.

- Bouffe son immonde cul sale pute, ne te tracasse pas, je vais te foutre mes 30 centimètres dans le trou du cul pour te distraire de ta tâche!

Ils éclatèrent tous de rire et regardèrent avec intensité LJ introduire une bonne dose d'huile dans son trou du cul et commencer à peser sur son oeillet affolé.

Carmen se remit à hurler tant la douleur était intense, mais ses ris étaient étouffés par le cul de Dale.

Dale grognait de plaisir alors qu'elle promenait sa langue dans sa raie culière, puis elle se concentra sur son trou du cul qu'elle titilla d'une lan-gue agile. Il se branlait allégrement alors qu'elle lui léchait son trou du cul fétide.

Il avait déjà enfoui 8 cm de sa bite dans le trou du cul endolori de Car-men lorsque Carmen recula sa tête le suppliant de ne pas s'enfouir en totalité dans son intestin asservi. LJ repoussa sa tête sur le trou du cul fétide de Dale et intervint :

- Je vais te défoncer le trou du cul si profondément que sa bite ressortirait par la gorge.

Elle savait maintenant qu'il avait l'intention de l'empaler sur sa colonne de chair sans se soucier de la douleur qu'il allait provoquer.

Elle hurlait de plus belle alors qu'il l'embrochait de quelques centimètres de plus.

Ils s'étaient tous rassemblés autour d'eux pour le voir lui casser le cul.

Dale se servait de ses deux mains pour écarter les fesses de Dale en grand alors qu'elle gardait son visage fermement pressé dans la pilosité velue de son trou du cul, lui lèchant le trou du cul comme si elle était une pute à 5 euros.

Lorsque LJ s'embrocha jusqu'aux burnes dans son intestin asservi, ils applaudirent tous admirativement.

Larry s'approcha d'elle et lui referma des pinces de métal, achetées dans une quincaillerie, sur chaque téton.

Carmen hurla à pleins poumons alors que sa douleur montait d'un nou-veau cran.

Tracy se réjouissant de voir le chemin que prenait cette nuit. Elle souhai-tait vivement prendre une photo de cette scène obscène.

Sa populaire ex-amie d'école qui ne s'était jamais fait sauter que par son petit ami blanc était entièrement nue, à l'exception de ses hauts talons, à quatre pattes, nettoyant d'une langue agile le trou du cul fétide d'un ex-détenu noir de quarante cinq ans alors qu'un autre l'empalait sur sa monstrueuse bite, et que des pinces étaient refermées sur les tétons de ses gros nichons.

Dale lui demanda de bien lui évaser le goulot parce qu'il voulait l'enculer après lui.

LJ sortit de moitié sa pine de son trou du cul fumant et constata qu'elle était couverte de résidus fécaux, c'est alors qu'il décida que lorsqu'il se serait vidé les couilles dans son intestin elle lui nettoierait soigneusement la bite avec sa langue.

Il la martela encore pendant une bonne dizaine de minutes avant de lui cracher une importante dose de foutre dans son boyau asservi.

LJ extirpa sa grosse pine de son cul asservi, lui empoigna les cheveux et sortit son visage de la raie culière de Dale pour lui plonger sa bite souil-lée dans la bouche.

Elle s'étouffa en raison de la longueur de la bite qui lui plongeait dans l'arrière gorge, le goût de ses excréments la révulsait.

LJ lui enjoignit de nettoyer soigneusement sa mentule, il ne voulait sur-tout pas que sa femme sache qu'il avait enculé une petite pute!

Dale lui empoigna les hanches et bourra sa pine de toute sa longueur dans son anus béant.

Il remercia alors LJ de lui avoir bien préparé son trou du cul.

Lorsqu'il entreprit de la labourer vigoureusement, Larry qui était resté habillé approcha du visage de Carmen et dégrafa son pantalon.

Il sortit alors la plus épaisse pine qu'elle ait jamais vu, bien que celle de LJ soit plus longue.

Cependant le chibre de Larry mesurait quand même un bon 25 centimè-tres de long mais elle était aussi épaisse que son avant-bras.

Il lui dit alors d'embrasser son méat.

Elle ouvrit la bouche aussi grand que possible, il lui était impossible d'absorber le gigantesque gland.

Elle embrassa le bulbe de chair et le parcourut de plusieurs coups de langue tout comme elle aurait léché un esquimau.

Pendant ce temps Dale lui martelait le trou du cul tout en titillant son cli-to.

Tandis qu'elle tentait de sucer sa grosse pine Larry les prévint tous :

- Dès que Dale se sera vidé les couilles, je me la veux pour une bonne quarantaine de minutes!

Ils acceptèrent tous parce que Larry était, et de loin, le plus costaud du gang.

Carmen frémit, elle pensait qu'il allait lui déchirer la chatoune avec sa monstruosité.

Dale grogna et accéléra encore le rythme de ses empalements, puis il projeta son foutre au fin fond de son intestin.

Lorsqu'il extirpa son chibre, un flot de foutre s"échappa de son anus en-dolori.

Tracy s'esclaffa que son trou du cul était un excellent réceptacle à foutre noir.

Elle s'approcha de Carmen et lui susurra à l'oreille que son fragile trou du cul ne tarderait pas à goûter à des bites encore plus grosses d'ici la fin de la nuit et que Larry avec sa monstruosité et ses énormes burnes n'aurait besoin que d'un quart de ses resserves spermatiques.

Larry extirpa sa grosse mentule de la bouche de Carmen et entreprit de se déshabiller.

Les autres clients s'étaient assis impatients de voir quels abus Larry comptait lui infliger.

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