Trois Sœurs

BÊTA PUBLIQUE

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Je vois que son entrecuisse est trempée de cyprine. Anne m'enlève ma chemise. Je suis toujours assis sur le canapé, bite dressée. Elle grimpe sur moi, ses cuisses de chaque côté de mon corps, son bassin surélevé par rapport à mon braquemart. Elle redescend dessus. Ses lèves vaginales entre en contact avec ma bite dur comme jamais. Mon gland rentre en elle. Je sens une résistance.

- Tu es vierge?

- Chut...

- Mais, je...

Je ne peux finir ma phrase, de nouveau ma fille m'embrasse à pleine bouche, me coupant la parole. Je vais la dépuceler, je vais faire d'elle une femme, c'est maintenant inéluctable. Je la saisis aux hanches, une nouvelle fois nos regards se crochent. Je la tire vers le bas, tandis que ma fille donne une poussée dans le même sens. Son visage se crispe, puis fais une grimace de douleur, tandis qu'un cri sort de sa gorge. Anne est descendu de quelques centimètres sur mon engin, je suis au tiers en elle. De mince filet de son sang virginal coulent sur ma bite. Ma fille, mon enfant, mon bébé est maintenant une femme, une adulte, une dépucelée. Anne se remet à descendre sur mon pieu, jusque à s'empaler en entier, cette fois c'est un gémissement de plaisir qui sort de sa gorge. Son ventre est trempée de cyprine, tandis que ma bite est serrée comme jamais elle n'a été serrée. Même ma femme, avec qui j'ai fais l'amour pour la première fois alors que l'on avaient tout deux quinze ans et que l'on étaient vierge n'était pas aussi serrée. Ma fille prends mes joues entre ses mains, elle approche ses lèvres des miennes et m'embrasse de nouveau. Sa langue rentre dans ma bouche, nos salives se mélangent. Anne ondule alors du bassin, me faisant un bien fou. Mon enfant cesse sa pelle, elle se met alors à monter et descendre sur mon pieu. Elle ne ressort qu'un quart de ma queue, avant de se réempaler en entier dessus. Je la laisse faire, c'est sa première baise, je lui en montrerais plus ensuite. D'un coup, Anne se met à gémir, puis elle pousse un cri. Un orgasme violent vient de la happer, moi je sens son vagin palpiter de plaisir contre mon zgègue.

Anne reste immobile quelques instant sur moi, reprenant sa respiration. Puis elle reprend ses mouvements, me murmurant à l'oreille.

- Vas-y, jouis en moi, c'est ton tour mon amour.

Je ne sais pas si Anne est consciente de ce qu'elle vient de dire, elle ne m'a pas appeler papa, mais mon amour. Mais tout à mon plaisir, je ne prête pas plus d'attention que cela à ses dires. Je ne lui demande pas non plus si elle prend la pilule, si le fait de jouir dans son ventre risque de l'imprégner. La seule chose qui occupe mon esprit, c'est de me libérer en me vidant dans le ventre de ma maîtresse. Je la saisit aux hanches, cette fois c'est moi qui guide le rythme de ses montées-et-descentes. Au bout de cinq minutes, Anne gémit de nouveau de plaisir, son vagin pulse encore contre mon pieu. Quand je la tire vers moi, m'enfonçant au maximum en elle, mon sperme jaillit dans le corps de ma fille. Je crie mon orgasme, un plaisir comme je n'en ai jamais connu. A vingt ans, Anne reçoit son premier sperme dans le ventre. J'éjacule un flot de semence, comme jamais je n'ai éjaculé. Quand ma jouissance frappe sa matrice, Anne hurle son orgasme, hurlements de plaisirs qui se joignent au mien. Couverte de transpiration, Anne s'écroule sur moi. Nous reprenons nos souffles en se bécotant. Je suis toujours en elle, ma fille se lève, se retirant de mon sexe. Je suis encore dur. Je vois mon sperme, rosée par le sang de sa virginité perdue, lui inonder l'intèrieur des cuisses. Ma fille va prendre son sac à main, puis reviens vers moi. Elle me prend par la main, me fait me lever.

- Viens, on va faire ça dans un lit.

Je ne dis rien, je me laisse simplement entraîner. Je mate son cul, il est superbe, magnifique, parfait. Ferme, doux, sans la moindre trace de graisse. Le seul reproche que l'on pourrait faire à l'arrière-train de ma fille, c'est qu'il est un peu large, mais ce serais vraiment pour chipoter.

On monte à l'étage, elle ouvre la première porte. C'est bien une chambre. La pièce est immense, avec un grand lit, un bureau. Il y a un grand miroir au-dessus de la tête de lit. Anne me tire vers le lit, me fait m'asseoir dessus. Elle pose son sac puis écarte mes cuisses, s'agenouille entre elle. Je pense qu'elle va me prendre en bouche, il n'en ai rien, elle emprisonne mon pieu entre ses deux gros seins. Ma fille serre sa poitrine entre ses mains, faisant à ma bite un fourreau bien confortable. Puis elle commence à faire monter-et-descendre mon engin entre ses seins. Anne baisse la tête, tire la langue, léchant mon gland à chaque fois qu'il réapparaît entre ses deux merveilleux globes. Je découvre avec ahurissement, qu'elle est aussi experte en branlette espagnole. Anne est d'une douceur infini, quand je commence à soupirer, elle cesse sa branlette mammaire. Elle prend mon sexe à pleine main, le met face à son visage, tout en me branlant. Je gémit quand je jouit, lançant quatre jets drus qui vont s'écraser contre son visage. Sur ses yeux, son nez, ses cheveux. Quand j'ai fini d'éjaculer, Anne me regarde de nouveau dans les yeux, elle ramasse avec ses doigts le sperme qui ornement son visage, puis le porte à sa bouche.

Je la regarde émerveillé, elle me fait me lever, elle prend mon engin en main.

- Encore dur!

Ma fille se couche sur le lit, cuisses écartées, je vois son sexe ouvert, tout rose.

- Viens!

Je ne me fais pas prier, j'ai encore envie. Je ne le sais pas encore, mais le dernier médoc qu'elle m'a donné est une pilule sexe-dur, avec ça je vais bander et éjaculer toute la nuit. Je me couche sur elle, mon gland pénètre immédiatement sa vulve. Je rentre lentement dans son corps, faisant gémir Anne de plaisir tout le long. Dès que j'ai mis mon pieu en entier dans le ventre de mon enfant, je me mets à aller-et-venir en elle, à un rythme lent, mais soutenu. Anne donne fais bouger son ventre.

- Papa, défonce-moi!

J'obéis à l'ordre de mon aînée, que je viens de dépucelée à vingt-et-un ans. Je me mets à la défoncer, je la baise plus rapidement, plus puissamment. Les gémissements de Anne deviennent des petits cris de plaisirs. Ma fille m'excite vraiment, je suis tellement serré dans son vagin si étroit. Je la baise comme si elle était une femme habituée à prendre des coups de bites. Les contractions de son vagin, et ses cris de plaisirs me font savoir que je suis sur la bonne voie. Anne n'est pas loin de l'orgasme. J'accélère encore ma vitesse, lui caressant les tétons. Je lui lèche l'oreille, à ce qui déclenche un véritable hurlement de plaisir de la part de ma fille. Son orgasme est tellement fort, sa chatte se contracte tellement, que moi aussi j'atteins l'orgasme. Je cris en éjaculant torrentiellement dans sa matrice. Nos cris de plaisir se mélange alors.

Quand je me retire, je suis toujours et encore dur, pourtant cela fais plus d'une heure que nous faisons l'amour. Ces pilules sexe-dur sont vraiment merveilleuse. Je regarde ma fille, je veux encore la prendre.

- Mets-toi à quatre pattes.

- Tout ce que tu veux mon amour.

Anne s'exécute. Je m'agenouille derrière elle. Mon sperme coule de sa chatte ouverte. Je la saisit aux hanches, je la pénètre directement, déclenchant un long feulement de plaisir de la part de ma fille. Jamais je ne l'ai prise aussi profondément, je constate qu'elle aime ça. Ma fille est vraiment faîtes pour le sexe.

- Baise-moi comme une putain! Je veux que ce soit violent!

Je ne me le fais pas dire deux fois. Je me mets à la défoncer comme un fou. Je regarde dans le miroir, ma fille y regarde aussi. Nos regards se croisent, s'accrochent. Le visage de ma fille est déformée par le plaisir, des petits cris de plaisir intense sortent en rafale de sa bouche. Rapidement un premier orgasme la traverse, serrant de nouveau son vagin palpitant et pulsant autour de mon pénis. Je continue à la prendre, ses seins bougent en tout sens. Je glisse une main sous nos corps, tout en la prenant, j'arrive à trouver son clito, que je caresse du bout de mes doigts. Je lui arrache immédiatement un nouveau hurlement de plaisir, un nouvel orgasme puissant la traverse. Moi, je ne m'arrête pas, je continue à aller-et-venir dans sa chatte trempée de mouille. Jamais je n'ai eus autant de bonheur à coucher avec une femme. Même pas avec la mère de mes filles. Je suis hors du temps, je suis au paradis. Anne et moi ne sommes plus que deux sexes emplis de jouissance. Nous ne sommes plus père et fille, seulement deux sexes. Je me fiche une nouvelle fois en elle, mon gland pénétrant son utérus. Quand mon sperme gicle dedans, Anne cabre, le corps secouée de spasme de bonheur, hurlant comme une folle. Sa jouissance est tellement puissante, que pendant quelques secondes, ma fille perd connaissance.

Je suis écroulée sur elle, Anne ayant perdu l'équilibre pendant son court évanouissement, m'éjectant de son corps. Mon sexe, toujours artificiellement dur, se retrouvant contre l'intèrieur de ses cuisses.

- Anne! Ça va?

Ma fille à immédiatement rouvert les yeux.

- Oui, mon papa d'amour, je ne savais pas que l'on pouvais jouir autant.

Je me suis retourné sur le dos. Anne qui a la tête tournée de l'autre côté, lance sa main à l'aveugle vers moi. Elle tâtonne sur mon ventre, puis descend, trouvant ma bite toujours droite.

- Tu bandes encore?

- Oui.

- Tu m'encules?

- Quoi? Tu l'as...

Anne me coupe la parole.

- Chut, encules-moi, c'est tout. A sec, sans vaseline...

Je ne dis rien, j'adore sodomiser mes amantes. Ma femme m'offrait d'ailleurs souvent cet orifice. Anne se remet à quatre pattes, puis elle pose sa tête, le haut de son torse et ses épaules sur l'oreiller. Elle à le cul en buse. Ses deux mains se posent sur ses fesses blanches, elle les écartent, m'offrant son anus. Je ne me fais pas prier, je passe mon gland contre son vagin, me lubrifiant sommairement avec sa mouille et son sperme. Je pose le bout de ma bite contre son anus, et je commence à forcer. Rapidement, son trou du cul s'ouvre. Ma fille n'est plus vierge de cet orifice. Elle a dut connaître pas mal de sodomie pour m'accepter aussi facilement.

Néanmoins, Anne gémit de douleur tout le long de l'intromission de mon pieu dans son conduit anal. Elle le contracte beaucoup trop, le rendant trop serrée. Mais c'est tellement délicieux, que je ne dis rien. Je regarde dans la glace, la grimace de douleur qui orne le beau visage de ma fille. Elle ne pleure pas, ne crie pas, la douleur reste donc supportable. Dans le cas contraire, je me serrais arrêté. Je rentre progressivement en elle, lentement. Peu à peu sa grimace disparaît de son visage. Quand mon ventre touche ses fesses, je m'immobilise, plongé en entier dans ses entrailles.

- Pourquoi tu t'arrêtes, papa?

- J'attends que ton anus s'habitue à mon sexe. Ce sera meilleur pour toi comme ça.

- Ah, on ne m'a jamais enculée comme cela.

Je ne relève pas, mais j'ai donc raison, Anne n'était pas vierge de sa petite porte arrière quand je l'ai sodomisée.

- Décontracte-toi.

Je sens que ma fille se relâche un peu. J'attends deux ou trois minutes avant de commencer à l'enculer réellement. Je la sodomise alors lentement, avec douceur, avec amour. Me retirant peu à peu, d'un tiers, de son anus, avant de me réempaler tout aussi lentement. Accélérant dans un premier temps, la vitesse de ma sodomie. Anne se met alors à haleter de plaisir. Je retire alors à chaque fois de plus en plus de mon braquemart, avant de me réintroduire en entier entre ses fesses.

Ma fille feule maintenant de plaisir, appréciant la sodomie délicieusement tendre que je lui prodigue. Je l'encule ainsi, pendant une grosse demi-heure. Quand mon sperme jaillit dans ses reins, ma fille hurle de plaisir, elle vient de connaître son premier orgasme anal. On reste soudés ensemble, je m'écroule sur son dos.

- Papa, tu peux encore une fois?

- Oui, je bande toujours, j'ai encore au moins une cartouche.

Anne se laisse tomber à plat ventre, jambe serrées. Je mate son cul bien bombé. Du sperme s'en échappe. Un sperme blanc. Je mate ma bite, elle n'a aucune souillure. Ma fille s'était donc préparée à ce que je la sodomise en se faisant un lavement anal.

- Encules-moi encore. Et cette fois ne prends pas de gants, je veux que tu me massacres de ta bite!

À ses mots, je me demande si ma fille n'est pas un peu maso. Mais peu importe, je vais lui donner ce qu'elle veut. Je me laisse tomber en elle, mon engin pénétrant son anus encore ouvert d'un seul coup.

En me sentant dans son corps, Anne contracte de nouveau son conduit anal à fond. Elle pose ses mains contre ses fesses, les serrant alors au maximum. Cette fois, elle est vraiment étroite, mon pieu en elle en est presque douloureux tellement c'est étroit. Je pose ma bouche contre son oreille.

- C'est drôlement serrée.

- Comme cela tu auras l'impression d'enculer une pucelle du cul, et pas une putain habituée à la sodomie.

Je vais pour lui répondre, mais je me retiens, il faudra que je lui parles de cela. Mais pas maintenant, seulement le moment venu. Anne me tire de mes pensées.

- Allez, mon papa d'amour, défonce-moi le cul.

Quand ma fille de vingt ans, me dit cela de sa voix la plus suave possible, je ne peux résister. J'entreprends alors de lui offrir ce qu'elle veut. Je me retire de ses reins, ne lui laissant alors que la moitié de mon gland en elle. On dirais que je fais de la lévitation sur son corps. Je me laisse alors retomber d'un seul coup dans son rectum, écartant ses chairs tendre, faisant le vide sous mon passage. Anne crie de douleur, mais je continue, je répète l'opération. Au bout de deux ou trois fois, ses cris se transforme, d'abord en gémissements de plaisirs, puis en véritable hurlement de jouissance. Je la défonce comme un soudard, y allant plus fort au rythme de ses cris presque orgasmique. D'ailleurs durant cette sodomie, Anne aura deux nouveaux orgasmes anaux. Mais quand mon sperme jaillit en elle, son hurlement est incroyable, un orgasme fulgurant la foudroie. Une fois de plus je reste immobile, couché sur ma fille, ma bite planté dans son anus.

Je me retire, je roule sur le dos, le sexe à demi mou. Anne s'agenouille, elle me regarde dans les yeux.

-Je crois qu'il faut te nettoyer.

Elle rit de mon regard emplit d'incompréhension. Elle se penche vers mon sexe, ouvre la bouche et l'avale. Ma fille me nettoie la bite avec sa bouche, sa langue. Anne ira au bout de sa fellation, ne s'arrêtant qu'après que j'ai éjaculé sur sa langue. Elle donnera ensuite deux ou trois nouveau coup de langue. Quand mon pieu enfin mou sort de sa cavité buccale, il est reluisant de propreté. Cinq minutes plus tard, nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre. Repus de sexe. Il est trois heures du matin, nous avons fais l'amour plus de quatre heures.

Quand je me réveille le lendemain matin, j'ai un gros mal de crâne. Mes oreilles bourdonnent. J'ai du mal à me rappeler où je suis, ce qu'il c'est passé. Quand je me retourne vers le corps dans mes bras, je m'aperçois que je n'ai pas rêvé, j'ai bien fais l'amour avec Anne, ma propre fille. Un intense sentiment de honte et de dégoût m'envahit. Mais aussi un souvenir de jouissance intense qui fais presque de nouveau dresser ma bite. J'ai aussi envie de faire pipi. Je repousse délicatement le corps endormie de mon enfant. Je me lève, je vais uriné. Quand je reviens, Anne est sur le dos. Elle me sourit, je me recouche. On se met sur le côté, yeux dans les yeux.

- Anne, on a fais quoi?

- L'amour, papa.

- Mais tu es ma fille, je suis ton père...

- Pourtant cela t'as plut...

- Mais c'est mal, c'était fantastique, mais il ne faut plus que cela se reproduise.

Anne tend juste le bras, prenant mon sexe dans sa main. Aussitôt, ma bite se redresse, devient dur.

- Ta bouche dit encore non, ta bite, elle dit encore oui. On fais quoi?

J'hésite, mais l'envie de ma fille, mon amour pour elle autant filial que amoureux l'emporte. Pour tout réponse, je lui roule une pelle, je me couche sur elle. Ma main se porte vers son vagin, qui se trempe rapidement. Alors je la pénètre, la faisant gémir de plaisir tout le long de ma pénétration.

Après lui avoir donné deux orgasme et jouit dans son corps, je tiens ma fille dans mes bras. On s'embrasse tendrement.

- Au fait Anne, comment ça se fait que tu sois restée vierge alors que tu fais des fellations et que tu te laisse sodomiser?

Bizarrement je la sens se crisper.

- Papa, ça te dérange si on en parle plus tard?

- Non, c'est d'accord. On en parle quand?

Elle réfléchit quelques secondes.

- Lundi matin, en rentrant.

- D'accord ma puce.

- OK, on va déjeuner?

On a passer le samedi à faire l'amour, dans toutes les positions, dans tout les orifices de ma fille. J'ai jouis des dizaines de fois grâce au pilules, Anne à eus des dizaines d'orgasmes. On est juste sortis pour aller au restaurant le midi et le soir. Tout les regards ont été braqués sur nous. Envieux envers moi, pour le fait qu'un quadra se tape une jeune femme aussi parfaite. Libidineux envers Anne, pour ses tenues vraiment sexy.

Le dimanche Anne à reçu un SMS des proprio de la villa. Ils lui proposent de garder la maison une semaine de plus, jusque au lundi matin suivant. Les prochains locataires ayant annulé leurs semaine de vacances. Ils lui ont offert cinquante pour cent de réduction. Après en avoir discuté, on a accepté. Anne à répondu au propriétaires, tandis que je prévenais Romane et Roxane. On a encore fais l'amour tout le dimanche, et une bonne partie de la nuit. Je n'ai pas compté le nombre de mes éjaculations, pas plus que les orgasmes de Anne.

Le lundi matin, après notre réveil, et après avoir fais l'amour deux fois, vaginalement et analement, on est encore dans les bras l'un de l'autre. Ma fille se redresse sur un coude, me regardant dans les yeux.

- Papa, on continuera une fois rentré?

- Oui, il faudra être discret pour que tes sœurs ne se doutes de rien. Je ne pourrais plus me passer de ton corps, de toi, de ton amour.

Anne est heureuse de ma réponse, au bord des larmes de joie.

- Bon, on ne rentre pas, mais on est lundi matin, tu m'explique pourquoi tu as juste gardé ta virginité vaginal, alors que tu es tant experte de tes autres orifices?

Anne se renfrogne, elle baisse les yeux, fuit mon regard.

- Tu vas me prendre pour une putain...

- Jamais de la vie. On est amants, mais tu es ma fille. Je te connais par cœur, jamais je ne penserais cela de toi.

- Juré?

- Juré.

- D'accord.

Je ne le sais pas encore, mais ce que Anne va me raconter, va m'emplir de haine et de colère.

Anne se met à pleurer, je ne connais pas son secret, mais il doit-être lourd à porter pour la mettre dans cet état. Je la prends dans mes bras, je la serre tendrement contre moi.

- Vas-y ma puce, dis-moi tout.

Anne ferme les yeux, restant dans mes bras.

- On me force. On me force à sucer des bites, beaucoup, souvent. Pour la sodomie c'est pire... On me viole papa, on me viole depuis deux ans...

Je reste abasourdie.

- Quoi? Qui?

- Je ne sais pas, des clients...

- Tu te prostitues?

- Non, on me prostitues.

- Qui te force à cela?

Anne hésite quelques secondes. La tension règne pendant que j'attends que ma fille, qui est maintenant ma maîtresse, mon amour me dévoile l'enfer qu'elle vie et que je n'ai pas deviné.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 4 ans
great story

bien. estudiar francoise nuovo. un historie gran!

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