Un Centre Pour Roux Ch. 02

Informations sur Récit
Mag rentre chez elle, et reprend une vie normale, ou presque.
2k mots
4.5
4.5k
3

Partie 2 de la série de 15 pièces

Actualisé 10/06/2023
Créé 05/18/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur literotica en langue Anglaise.

Ceci est une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Cet épisode est fait pour être lu après l'épisode 1

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Une vie Normale

Dans l'avion entre Atlanta et Toronto, je n'arrivais pas à faire le vide dans ma tête.

Quand ce n'était pas mes aventures au centre de conservation des roux, c'était les explications des participants de mon congrès qui me torturaient. D'un côté, je me pensais en sécurité de l'autre côté de la frontière, mais mon congrès me disait qu'en fait non!

Elenaor avait été trompé par son petit ami, mais des femmes étaient enlevées pour être revendues de l'autre côté de la frontière. Je devais continuer mon action policière pour lutter contre ça.

Les semaines qui ont suivies, ma vie s'est coupée en deux.

Le soir, j'avais du mal à rester habillée. Je me déshabillais en rentrant chez moi. Au cours des soirées j'avais du mal à ne pas me masturber, en repensant à Karen, Debbie, ou Eleanor, ces esclaves que j'avais rencontré au centre de conservation des roux d'Atlanta. J'avais même regardé les ceintures de chasteté, mais j'avais reculé devant le prix. Et je n'avais pas fait de rencontres amoureuses.

La journée au contraire, je luttais contre les esclavagistes.

-John, Si on contrôlait ce camion? » demandais-je à mon coéquipier.

-Tu crois? Il n'a pas fait d'infraction. »

-Je ne sais pas, j'ai une intuition » dis-je en lui souriant.

-Hier c'était un camion d'œufs, et le jour d'avant, il transportant des consoles de jeu, Mag »

-La troisième fois sera la bonne! » lui-dis-je.

-On ne trouvera pas de trafiquant en contrôlant tout le monde, Mag, mais en faisant une enquête de fond. »

-Tu veux aller me vendre dans les bas-fonds de Toronto? » le taquinais-je.

-Je crois que j'obtiendrais un bon prix » me répondit-il, en riant. J'en frissonnais.

Le camion sortit de l'autoroute, et John fit de même.

-On contrôle? »

-Non, mais je me demande où il va. On le suit. » me dit-il.

Il s'arrêta dans un café à la sortie de l'autoroute, avant de reprendre la route, pour éviter que le conducteur pense qu'on le suive. De loin en loin le camion avait pris de l'avance devant nous.

-Il a tourné à droite là-bas » criais-je

-J'ai vu Mag, j'ai vu. Et tu avais raison, il y a un truc louche, » dit-il en se stationnant.

Le camion venait de rentrer dans une usine apparemment désaffectée. A pieds, nous observions le camion s'approcher des quais de chargement, et manœuvrer. Malheureusement, nous ne pouvions pas voir ce qu'il déchargeait, puisque le camion lui-même nous bouchait la vue.

-Regarde, ce sont des animaux en cage » me dit John, en me donnant ses jumelles. J'étais déçu et je regardais. Effectivement on voyait deux cages empilées sur le bord du quai.

-C'est quoi comme animal » demandais-je en faisant le point.

-Je ne sais pas, mais ils sont gros pour ces cages, ils n'arrivent pas à bouger. »

-Au congrès, ils nous ont montré que ce sont ces cages qui sont utilisées pour le transport des... oh oh regarde, ils en font sortir une. » répondis-je, en lui rendant ses jumelles.

-Oh mon dieu, oui, elle est nue, et... elle fait pipi »me dit-il.

-On appelle des renforts, et on surveille » dis-je.

-Ou alors, je peux leur proposer de t'acheter. » me dit-il en retournant vers la voiture.

Un second petit camion arriva pendant les 30 minutes de délai avant que n'arrivent nos renforts.

-Tu crois qu'ils les passent d'un camion dans l'autre? »

-Non, cette usine a un quai sur le lac. Ils les passent sur des bateaux à mon avis. »

« 28 esclaves libérées par des agents des brigades anti trafic! » titrèrent les journaux deux jours plus tard, avec nos photos, et notre récit. J'étais assez fière de nous.

-Vous avez sauvé une trentaine filles. Mais les autres? » nous retorqua notre patron. Je le regardais sans comprendre.

-Les prochains camions passeront ailleurs. Maintenant, vous devez trouver qui vend qui achète. Trouvez les organisateurs, et pas les conducteurs de camions. » nous dit-il.

Notre boulot à John et moi changea un peu. Au lieu de chercher les camions sur la route, nous avons cherché dans les comptes bancaires des conducteurs afin de trouver qui les payait, qui étaient les propriétaires des camions, et ces derniers savaient-ils, quel était l'usage de ces véhicules? Notre coup de filet n'était que le bout d'un fil sur lequel nous devions maintenant tirer.

-Ca va Mag? »

-Non, ça manque d'action » répondis-je

-Il nous reste l'options de te vendre dans les bas-fonds de Toronto » me dit-il.

-Avec notre photo en première page du journal, je crois que nous irions vites au fond du Lac Ontario. »

-Brr, en cette saison, je préfère éviter. » me répondit-il.

-Tu crois que nos esclaves, nu dans leurs cages ne sont pas à plaindre »

-J'ai une idée pour les réchauffer. » me dit-il.

-C'est nul, je te parle sérieusement, et toi... tu es en dessous de la ceinture. »

-Mag, le sexe c'est la vie aussi. Il me semble qu'avant ce congrès tu blaguais plus... »

-J'ai... » les mots ne sortaient pas.

-Tu as été violée là-bas? » me demanda-t-il.

-Non, non pas du tout. Mais, j'ai rencontré des esclaves. » dis-je oubliant les détails du centre de conservation des roux.

-Ok, je comprends... »

-Non, tu ne comprends pas, tu ne peux pas » dis-je en pleurant.

John, me reconduit chez moi. Mais devant ma porte, je le regardais.

-Tu.. tu veux... »

-Mag, je ne veux pas profiter de la situation. » me dit-il.

-Alors, tu ne profites pas. Tu entres pour vérifier que je ne me suicide pas. Et je t'offre un verre? » Il me regarda bizarrement. Puis accepta.

Evidement je n'osais pas me déshabiller ce jour-là. John n'osa rien non plus. C'était peut-être mieux, mais je ne pouvais m'empêcher de le regretter.

Nous progressions, et un certain nombre d'organisateurs du trafic étaient identifiés, et nous les avions interrogés, quand un événement m'a fait sortir de ma dépression.

Une personne frappa à ma porte.

-Debbie? que fais-tu ici? »

-J'ai... vu l'article qui parlait de toi... et quand j'ai été libérée... enfin... je voulais te revoir »

-Entre...tu as été libérée? » demandais-je

-Oui, j'ai fait mes dix ans » me dit-elle.

-Tu n'as pas de bagages? » demandais-je.

-Non, ils m'ont donné quelques vêtements, et un peu d'agent, juste assez pour venir ici. » me dit-elle en baissant la tête.

-Le Canada ce n'est pas facile si on n'a pas de vêtements épais en hiver. » taquinais-je.

-Si je te gêne, tu pourrais au moins me reconduire aux Etats Unis, dans un centre de réadaptation pour anciens esclaves. »

-Non, tu ne me gênes pas. Au contraire, j'ai beaucoup repensé à toi depuis 1 an. »

-Ah? Je peux me deshabiller... c'est compliqué d'être habillée! »

-ok se met nues toutes les deux? »

-Ho oui » me dit Debbie en se débarrassant de ce qu'elle avait sur elle. Je fis de même.

-C'est quoi, cette cannette sur ta fesse. » demandais-je en voyant ce qui semblait trop en relief pour être un tatouage. Il représentait une cannette avec Un P et un trait dans la boucle du P.

-C'est mon évaluation, Prime -. Le Slave's Cunt&Cock Market, marque les esclaves au fer rouge avec un cannette, leur symbole. Et la note dedans, P pour Prime, C pour Choice, S pour Select, et ... rien pour Standard ou en-dessous. »

-Comme les qualités de viande? » dis-je horrifiée.

-Comme la chair fraiche, oui » me dit-elle, en haussant les épaules

Je n'osais réagir sur le fait d'être marquée au fer rouge, ce qui devait être très douloureux. Pour autant la marque sur le haut de sa fesse droite me fascinait.

-Et toutes filles, qui sont gradées, ont cette marque? » demandais-je un peu vexée de ne pas avoir vue la marque au centre.

-Non, le symbole dépend du marché. Et en général ce sont les esclaves vendus qui sont marqués. C'est comme une marque de qualité. Quand on a une évaluation haute, on peut demander à être marquée même sans être vendue. Moi je l'ai été quand j'ai été vendue. »

J'ai fait un repas, mais rapidement nous avons glissé vers la chambre à coucher.

-Je vais voir ce que tu es capable de faire avec ta langue! » me dit-elle. Mais au lieu de s'allonger, elle se mit su moi, assise au-dessus de ma tête.

-Humm, pas mal... me dit-elle. Quand j'eu fini.

-Ce doit-être agréable de ne plus porter de ceinture de chasteté! » dis-je.

-Sauf que j'ai tout le temps envie de me caresser » rit-elle.

-Il faut peut-être que je t'en achète une, alors » dis-je pour la taquiner! »

-Oh non, maintenant que je suis libre je ne laisserais personne m'en mettre une. Si on en achète une, ce sera pour toi! » me dit-elle

-Et pourquoi pas, ça me permettrait de mieux comprendre ce que l'on ressent en tant qu'esclave. Et en plus je ne risquerais pas d'être violée en rentrant tard le soir » répliquais-je.

-ça veut dire que tu veux bien de moi ici? »

-Oh, oui. Demain, on prendra un moment pour aller t'acheter des vêtements. »

-Merci j'ai tant envie d'une vie normale » me dit-elle en se frottant à moi.

Le lendemain, j'étais assez excitée, mais je choisis de ne rien dire à John, et je quittais tôt le soir, pour aller faire les magasins avec Debbie.

-Il fait froid ici » me dit-elle.

-Oui, plus qu'Atlanta, mais tu vas voir tu seras bien. »

Après les boutiques, nous sommes rentrées chez moi, et nous sommes mise nues.

-Tu connais le slave yoga? »

-Pardon? »

-Le slave yoga, c'est une pratique d'exercices à connaitre pour avoir une bonne évaluation. »

-Mais quel est l'intérêt de cette note, que le marché tire un bon prix de toi? »

-Oui, et non. Le marché te vend, mais ils ne font que prendre une marge sur la vente, le reste retourne à ton propriétaire. Lui peux te vendre à prix variable, ou fixé. »

-Une enchère à prix fixé? »

-Oui, c'est mon cas, les acheteurs misent sur la durée, une moins bonne évaluation et j'aurais eu 15 ou 20 ans à faire. Prime + peut-être 5 ans auraient suffi. »

-Ah oui. Et Karen? »

-Elle a encore 5 ans à faire. » me dit Debbie, la tête basse, les yeux un peu fuyants. Elle devait avoir honte d'avoir abandonnée son amie.

-Et à prix variable, le bénéfice est pour ton propriétaire, dans ton cas la compagnie d'assurance.

-Oui, mais aussi pour toi. Quand tu payes un objet cher, tu en prends soin, plus qu'un objet bon marché. »

-On parle d'êtres humains »

-Plus tout à fait, les esclaves sont considérés comme des animaux. Les médecins pour esclaves sont appelés vétérinaires »

-Oh, c'est horrible.

-Mag, c'est ton nom? »

-Mon vrai nom c'est Marguerite, » dis-je en faisant la moue.

-Alors, esclave Mag, on vous cherche une ceinture de chasteté? » me dit Debbie.

-Oui, Maitresse » dis-je en rigolant. Nous avons ensuite cherché sur internet des ceintures.

-Celle-là-me parait bien » me dit Debbie. Elle commença à me mesurer.

-Tu crois qu'on l'achète vraiment? » dis-je un peu inquiète.

-Regarde comme tu es humide, je crois que c'est indispensable! » me dit-elle.

Ils annonçaient 14 jours de délai. Je comptais mes jours de liberté.

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Anonymous
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2 Commentaires
Patoche95Patoche95il y a 11 mois

Je dirais que j'attend la suite avec impatience.

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Hummmm très bien

Rudy

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