Un Centre Pour Roux Ch. 03

Informations sur Récit
Mag découvre comment se porte une ceinture de chastete.
1.9k mots
4.42
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3

Partie 3 de la série de 15 pièces

Actualisé 10/06/2023
Créé 05/18/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur literotica en langue Anglaise.

Ceci est une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Ceci est le troisième épisode, et il difficile de le lire sans avoir lu les épisodes 1 et 2.

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Une ceinture ça se porte serrée

La douzaine de jours qui ont suivi comptent parmi les plus excitant de ma vie. Debbie m'attendait chez moi le soir et m'apprenait le slave yoga. Cela se pratiquait nue. Debbie criait le nom d'une position, comme 'à quatre pattes', et je devais me mettre dans la position demandée, dans le cas présent à quatre pattes, oui, mais avec l'oreille posée au sol, et les fesses bien en hauteur. Au fur et à mesure que je progressais Debbie allait plus vite. Puis elle introduisit les paroles. Jamais je n'aurais osé les utiliser hors de ce cotexte : « Oui Maitre, ramonez-moi le conduit avec votre grosse bite. »

J'étais moi-même surprise : bien qu'hétérosexuelle, j'étais contente d'avoir Debbie à la maison. Toutefois, jamais nous n'avions discuté de combien de temps elle devait rester.

-Dis, Debbie, et si tu essayais de trouver un job? » demandais-je un jour.

-J'ai un trou de 10 ans sur mon CV » me dit-elle.

-Tu as été esclave. Même si ce n'est pas légal ici, les gens comprendront. »

-Pour travailler dans un bordel oui, sinon, je ne crois pas » se ferma-t-elle.

-Tu sais les Canadiens sont assez ouverts » insistais-je. Mais je compris que je devais lui laisser du temps pour arriver à ce stade.

En attendant, je laissais Debbie seule à la maison, avec un peu d'argent de poche. Mais elle ne semblait pas sortir. Je ne savais même pas si elle utilisait l'argent.

-Dis Debbie, et comme tu as du temps libre, si tu allais faire les courses d'alimentation? » proposais-je une autre fois.

-Je ne connais pas, et je suis mal à l'aise avec ces dollars canadiens. C'est mieux qu'on y aille ensemble, que je sache ce que tu aimes. »

Je me disais que la rééducation de Debbie allait prendre un peu de temps.

L'hiver progressait, aussi un soir en voyant que Debbie avait été en ville j'étais surprise. Mais sa veste et ses chaussures mouillées ne trompaient pas.

-Coucou Debbie, ça va! Tu as été te promener? »

-Oui, mais il fait trop froid ici » me dit-elle d'un air triste.

-C'est le Canada, dis-je en haussant les épaules. »

-Par contre, on a reçu ça! » me dit-elle me montrant la ceinture de chasteté! »

-Oh... » dis-je simplement.

-C'est le moment pour l'esclave Mag d'essayer sa nouvelle tenue! » dit Debbie, en me montrant la ceinture. J'allais l'attraper, quand elle me tapa la main.

-Mains sur la tête » me dit-elle. J'obéissais, et je lui laissais fermer la ceinture. Il y eu un clic alors que la ceinture me serrait la taille. Je la sentais en contact avec mes grandes lèvres. Mon reflexe fut de passer mes doigts le long du bouclier comme si je me touchais : mais je ne sentais rien. J'eu ensuite le réflexe de frotter mes cuisses, mais encore une fois la ceinture faisait son œuvre.

-C'est efficace, n'est-ce pas? » me dit Debbie.

-Oh oui, je n'imaginais pas à quel point! » lui dis-je...

-Tu m'appelles Maitresse? »

-Debbie? »

-Non, Maitresse, enfin si tu veux que je l'ouvre un jour » Je rie de sa plaisanterie, et j'obéis.

-Bien maitresse »

-A quatre pattes » cria-t-elle. Je devais être tellement habituée au slave yoga qu'automatiquement je prenais la pause. La rigidité de la ceinture limitait mes capacités.

-Bien, bien, bien » dit Debbie avec un sourire en coin.

Je n'osais pas trop demander à Debbie de me retirer la ceinture, mais dès les premières heures cet outil me semblait insupportable.

-Debbie, tu ne penses pas qu'elle trop serrée? » demandais-je quand même au moment de passer à table.

-Non, Mag, on a mesuré, tu te souviens? » me dit-elle chaleureusement.

-Mais... et toi, tu étais serrée comme ça? » demandais-je. Elle me fit un oui de la tête.

-Une ceinture de chasteté, ça se porte serrée. Mais on va la retirer au bout de 3 ou 4h pour voir si tu es irritée. » me dit-elle. J'en étais soulagée.

Et effectivement dans la soirée, Debbie me dit qu'elle allait ouvrir la ceinture. Elle me montra alors des menottes.

-Euh, Debbie? » demandais-je

-Tu voulais voir comment c'est de porter une ceinture? tu mets les menottes, et j'ouvre la ceinture. »

-Dans le dos? » Elle me fit oui de la tête. Et j'obéis : avais-je le choix?

Debbie ouvrit alors la ceinture, et passa ma taille en revue.

-C'est un peu rouge, mais c'est pas la catastrophe. » me dit-elle en passant un pommade hydratante.

-Les chaines sur les fesses n'ont pas laissées de marques, là ça peut être douloureux » commentait-elle. »

-Et là c'est naturellement lubrifié, » dit-elle en passant sa main sur ma chatte trempée. Puis elle entreprit de me remettre la ceinture.

-Hey Debbie, non, pas pour la nuit? » demandais-je.

-Maitresse, » me dit-elle, et elle sorti un Tazer d'une poche. Etant policière j'ai déjà vu l'effet d'un tel objet. Et je la laissais me remettre la ceinture.

-Voilà. Tu voulais savoir ce que c'est que de porter une ceinture. Mais pour le sentir, il ne faut pas que ce soit ton choix » me dit-elle avec un sourire en coin. La ceinture me serrait, et mes envies étaient assez intenses. Par contre j'étais un peu vexée du comportement de Debbie avec moi : Elle était sortie pour acheter ce Tazer!

Quand nous sommes allées nous coucher j'avais peur que Debbie me demande de m'occuper d'elle. Mais elle ne dit rien. Pour autant ma nuit fut difficile, d'une part à cause de la rigidité de la ceinture, et d'autre part parce que j'avais besoin de me caresser. Un besoin que je ne connaissais pas, ayant toujours pu me caresser quand j'en avais envie.

Mon apprentissage du port d'une ceinture se poursuivi le lendemain. Quand je rentrais le soir Debbie était habillée. Elle vint m'embrasser, et me mis un collier.

-C'est un collier d'esclave? » demandais-je.

-Oui, tu te déshabilles? » me dit-elle.

-Et toi tu restes habillée? » demandais-je

-Oui, c'est toi l'esclave, » me dit-elle avec un clin d'œil.

-On pourrait aussi changer de jeu, Maitresse » dis-je en obéissant.

-Ce serait dommage d'avoir acheté la ceinture, pour l'utiliser si peu de temps. Et si tu veux te sentir esclave, il te faut sans doute plus de temps » me dit-elle.

-Tu te mets à genoux? » me dit-elle. Le repas était prêt, mais Debbie n'avait mis qu'un couvert.

-Euh, Debbie, je n'avais pas forcément envie que ça aille aussi loin. » dis-je.

-C'est le cas de tous les esclaves. Mais si tu veux aller au travail sans ton joli collier, si tu espères être libérée de ta ceinture, tu vas faire comme je dis, et m'appeler Maitresse, d'accord? » me dit-elle. Evidemment, je voulais tout ça. Je sentis le moyen de pression que j'avais donné à Debbie.

-Oui, Maitresse » dis-je en m'agenouillant.

-C'est mieux. Viens juste à côté de moi. » J'obéi. Et Debbie commença à manger, et me donnait une bouchée de temps en temps. Elle ne me rationnait pas, mais elle me faisait manger dans sa main. C'était terriblement humiliant, mais aussi très érotique, et très excitant.

-Tu vois, ça se passe bien, Mag » me dit Debbie.

-Oui Maitresse. » dis-je.

-Tu as l'air embarrassée de tes bras. Pourquoi ne vas-tu pas mettre les menottes qui sont sur la table de la cuisine. » je la regardais, puis je baissais la tête, pensant à la fois où je sortirais de la ceinture. Je me levais pour attacher mes mains dans le dos, puis je revenais. M'agenouiller était un peu plus difficile.

Quand le repas fut fini, Debbie s'installa sur le canapé, et souleva sa robe.

-C'est excitant de te voir nue et attachée comme ça. Viens t'occuper de moi! »

-Oui Maitresse » dis-je. Je me sentais couler sous la ceinture. Mais j'étais la prisonnière. Je savais que je devais obéir à Debbie. A ma maitresse. C'était la première fois que je faisais ça avec les mains dans le dos, et ça rendais la chose nettement plus compliquée puisque non seulement je ne pouvais pas me servir de mes mains, pour ouvrir les lèvres de ma Maitresse, mais je ne pouvais même pas me tenir quand je me penchais. J'imaginais ce que ça avait pu être avec une Maitresse moins bienveillante que Debbie.

-C'est difficile, on va changer de position. » ordonna Debbie.

Je me retrouvais dans une position fort inconfortable, allongée sur le dos, avec les menottes. Ma partenaire m'enjamba alors pour venir poser son sexe sur ma bouche. Ses lèvres sur mes lèvres. J'essayais, mais rapidement c'était les mouvements de Debbie sur mon visage qui la stimulait, plus qu'autre chose.

-Merci Mag, » me dit Debbie, en se relevant. Elle parti, puis revint peu après avec la clé de ma ceinture. J'étais soulagée.

-Je note que tu as fait des efforts, » me dit-elle, avant à son tour de se glisser entre mes cuisses. Dix ans d'esclavage lui avaient donné l'expérience et l'agilité de glisser sa langue dans tous les replis de mon sexe. Elle savait aussi stimuler mon clitoris, puis ensuite se promener entre mes lèvres, darder sa langue en moi, et me laisser comme une masse gémissante, bloquée à la porte de l'orgasme. Après tout elle avait déjà joué de moi comme ça lors de visite du centre de conservation des roux.

-Ce serait amusant de s'arrêter là, non? » me demanda Debbie.

-Oh non, s'il te plait... Maitresse »

-Alors, demande l'autorisation! »

-Maitresse, puis-je jouir? » demandais-je honteuse. Ce ne fut plus qu'une formalité. Mais cela me fit peur. Et quand Debbie répondra non?

Peu après Debbie défi les menottes, et nous endormirent, l'une contre l'autre.

-Tu remet la ceinture? » me demanda Debbie le lendemain matin. Jouions-nous encore? Je voulais dire non. Mais je n'osais pas.

-Enfin si tu souhaites aller au travail sans le collier, » Nous jouions donc encore. Et, comme vous vous y attendez, je suis partie travailler sans le collier, donc dans la ceinture.

Les jours suivants Debbie m'a fait porter la ceinture de plus en plus longtemps. D'un côté j'étais exaspérée, mais de l'autre j'appréciais mes moments de libération.

Et puis, Debbie m'a libérée.

-Mag, je pense que tu as une idée de ce que c'est... Et peut-être tu as envie d'inverser les rôles? »

-Euh... je ne voudrais pas te faire revivre des choses pénibles, » Dis-je un peu troublée. En fait j'aimais bien être la chose de Debbie.

-Tu sais ce que je voudrais? »

-Dis moi? »

-Quelques jours de vacances, toutes les deux, dans un endroit, où il fait chaud! »

-Tu as une idée, toi »

-Oui, on pourrait aller en Floride! »

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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2 Commentaires
LePandaSeLaRaconteLePandaSeLaRaconteil y a 11 moisAuteur

Merci pour cette critique positive.

J'essaie de publier un épisode par semaine.

Le temps entre le moment où je publie, et où le site ré d fisponible est assez variable. J'imagine que ça dépends du nombre de textes publiés.

Bref, la partie 4, est partie de mon côté.

Mag y découvre la Floride.

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

J'aime beaucoup la tournure que prennent les choses, hate d'avoir la suite

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