Un Centre Pour Roux Ch. 07

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Mag subit l'évaluation, étape importante pour une esclave.
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Partie 7 de la série de 15 pièces

Actualisé 10/06/2023
Créé 05/18/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en Anglais.

Ceci est une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

C'est le 7eme épisode de la série, il y a un rappel des épisodes antérieurs, mais évidement c'est mieux d'avoir lu depuis le début, mais je ne pense pas que ce soit indispensable.

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Steve referma la cage derrière moi. Le jeune homme était le seul dans cette cage.

-Bonjour, » dis-je d'une petite voix.

-B...Bonjour, je ne sais pas si nous avons le droit de parler » me dit-il. Son érection l'embarrassait. Et de voir un jeune homme dans cet état, ça n'arrangeait pas mon état à moi.

-C'est quoi votre nom? »

-Christopher Rees. Enfin 6566, » me dit-il.

-Meg, 5113. Pourquoi tu es évalué? » demandais-je

-Pour avoir un prêt étudiant » m'expliqua-t-il. Je pensais à Debbie et Rachel.

-Et vous? »

-C'est... Pour valider le titre de propriété de ma maitresse » dis-je, un peu embarrassée.

A la base, j'étais une policière Canadienne en charge de lutter contre les trafics humains. J'avais rencontré Debbie à l'occasion d'un séminaire à Atlanta. Rousse comme moi, elle était esclave au centre de conservation des roux. Des mois plus tard, Debbie, tout juste libérée avait décidé de me rejoindre, après avoir lu article sur une arrestation exemplaire à laquelle j'avais pris part. Elle s'était installée chez moi, et m'avais appris ce que c'était que d'être esclave. Nous avions décidé d'aller prendre des congés en Floride. Là Debbie avait profité de la légalité de l'esclavage, pour me traiter en esclave dans les rues. Pour le retour, notre avion ayant été annulé, nous avons pris un vol avec une longue escale à Atlanta. Debbie y a vu une dernière occasion de me promener en ville comme une esclave. J'ai été surprise de me retrouver dans le bureau d'un juge, et devenir pour 5 ans l'esclave de Debbie. Le titre de propriété n'était que temporaire. Debbie m'a donc emmené dans un marché aux esclaves pour me faire évaluer, et rendre son titre définitif. Les préparatifs de cette évaluation venaient de finir.

La porte s'ouvrit, et le jeune homme derrière moi lors du slave yoga entra. Lui aussi aurait manifestement aimé cacher son érection.

-Bonjour? Evaluation pour prêt étudiant, aussi » demandais-je. Il me fit oui de la tête.

L'anxiété de savoir ce qui allait suivre montait. A moins que ce ne soit de me trouver nue entre deux jeunes hommes excités.

La porte s'ouvrit encore, et une petite blonde entra.

-Bonjour? Evaluation pour prêt étudiant, aussi » demandais-je encore.

-Oui, » dit-elle en regardant les sexes turgescents de nos camarades de cage, et en faisant un pas en arrière, contre la porte fermée.

Presque aussitôt, une seconde porte s'ouvrit de l'autre côté de la cage. »

-Allez, on avance. » Dirent deux manipulateurs d'esclaves qui nous firent nous agenouiller sur des ronds en velours rouge. Il y avait des crochets pour attacher nos genoux écartés, nos pieds. Il y avait aussi une sorte de mas qui permettait d'attacher nos mains haut au-dessus de nos têtes.

Après avoir mis quelque chose dans la bouche de Christopher, l'un des deux s'approcha de moi.

-Ouvrez la bouche » l'obéis, il y glissa un objet. Cet objet devait avoir un ressort, car il de se déploya dans ma bouche en prenant appuis sur mes dents et mon palais en haut, sur ma langue et mes dents en bas. Pour en prendre la mesure j'ouvris la bouche, et je sentis quelques déclics : je ne pouvais plus la refermer.

-Je le retire ensuite » me dit-il en souriant. J'imaginais déjà que ma bouche était ouverte et accueillante pour un homme.

-C'est bon Peter? »

-C'est bon Paul! »

La plateforme sur laquelle nous étions se leva. Je réalisais alors que nous étions à l'opposé du grand escalier de l'entrée du Slave's Cock&Cunt Market. A cet endroit la plateforme supérieure dédiée aux acheteurs et aux Visiteurs s'abaissait en face de l'endroit où notre plateforme se levait. Ils pouvaient donc passer entres les ronds sur lesquels nous étions disposés.

Quand notre plateforme fut à niveau, je pouvais voir l'espace supérieur, et son sol luxueux en marbre noir. En réalité un revêtement de sol étendu sur du béton. La partie centrale était ouverte sur les cages des esclaves qui attendaient d'être évalués, vendus, ou rendus à leurs propriétaires. Les clients du marché pouvaient donc déambuler en voyant le traitement des esclaves, en attendant la vente, ou l'évaluation d'esclave qui les intéressaient. Quand j'étais venue à Atlanta je m'étais refusée à venir me prosterner dans ce temple de l'esclavage. Bien entendu ce marché était moins grand que le Big D à Dallas qui avait été conçu pour traiter un grand nombre d'esclaves. Le flux y était optimisé. Le Long Horn aussi était plus grand, plus industriel. Clairement le Cock&Cunt Market était tourné vers le spectacle.

La partie basse traitait les esclaves sur du béton brut, et en faisait un divertissement pour ceux du haut, sur le faux marbre. Juste en face du World of Coca-Cola, le Cock&Cunt Market avait repris le logo rouge et blanc en inversant les couleurs. Là, à l'étage ils en jouaient : les pinups années 50 de la célèbre marque de soda était reprises, déshabillées et enchainées, en décoration des murs sombres.

D'ailleurs sur mon « canapé de velours rouge » n'étais pas une forme de pinup?

L'entrée du marché était interdite aux moins de 18 ans. Ceux qui se précipitèrent vers nous avaient-ils cet âge? Rapidement, ils nous entouraient. J'aurais voulu leur dire d'aller voir ailleurs, mais ma bouche ouverte et ma langue calée en bas de ma bouche limitait les bruits que je pouvais faire.

Je pensais que la phase préparatoire était humiliante, mais le processus de deshumanisation était à l'œuvre, et cette évaluation n'était de l'apothéose d'une descente aux enfers. Heureusement, pour moi, comme pour ceux qui étaient avec moi, nous n'allions pas vivre la vente aux enchères.

Un gamin s'amusa à tester mes seins. Mes tétons étaient en béton. Si la phase préparatoire était humiliante, elle était aussi très excitante. Je me demandais quel était la poule et l'œuf. Manifestement l'humiliation m'avait excitée. Mais être vue, affichée aussi excité était humiliant aussi. Mon lubrifiant naturel commençait à couler le long de mes cuisses. J'espérais que les gamins ne s'en rendraient pas compte.

Il y avait surtout des garçons, mais pas que, et typiquement, je voyais Christopher dont l'érection avait excité la curiosité d'une jeune fille. Elle avait commencé par en tester la rigidité, et maintenant, elle le branlait lentement. Lui soufflait, d'excitation et de honte.

-Regardez, comme elle mouille! » dit un des gamins, à genoux sur le rebord de mon support. Il glissa sa main à l'intérieur de ma cuisse. Etais-je bien différente de Christopher?

Finalement il y eut une petite sonnerie. Deux employés du C&C firent déguerpir les gamins. Une nouvelle vague d'observateur arrivaient vers nous. Eux n'étaient pas des curieux, ils avaient des tablettes ou des calepins, et venait donner un prix sur des esclaves qu'ils souhaiteraient acheter. Aucun de nous quatre n'était à vendre, mais devant une évaluation positive, un propriétaire pouvait changer d'avis. A ce propos j'étais surprise de ne pas voir Debbie. Je pensais que ma propriétaire serait là à enrichir sa collection de photos.

A quoi pensaient les autres? J'imagine que Christopher se doutait que sa mère ne le vendrait pas. Mais Eléanor, que j'avais rencontré au centre de conservation des rousses n'avait pas eu cette chance. Son petit ami avait préféré l'argent. N'était-ce son but depuis le début? Ne l'avait-il pas fait évaluer que pour la vendre. Lui laissant entendre que ce ne serait une évaluation que pour la mettre en confiance? Une inquiétude monta en moi : et si Debbie changeait d'avis? Je chassais cette idée absurde, et j'attendais la fin de cette évaluation. Si Debbie avait voulu me vendre elle l'aurait dit dès notre entrée au C&C. L'idée qu'elle puisse changer d'avis me fit un nœud dans l'estomac qui fut vite changée.

-Elle n'est pas à vendre, et quand bien même elle le serait le centre de conservation des roux surenchérirait sur nous. » dit la femme de ce couple qui évaluait ensemble les esclaves.

-On est censés évaluer tous les esclaves » répondit simplement son mari.

-Marque 'juteuse', alors » dit sa femme avant de passer à l'esclave suivant.

J'avalais ma salive. Voilà que j'étais comme une viande résumée à cet adjectif : 'Juteuse'.

Un homme fit le tour de mon ilot et me regarda. Je fus surprise qu'il m'adresse la parole.

-Canadienne? » demanda-t-il. Je supposais que ça devait être écrit sur sa tablette. Je confirmais d'un mouvement de tête. Peut-être cet homme allait-il m'aider connaissant ma nationalité?

-Tu ressembles à la policière du journal. C'est toi? » je confirmais encore.

-Il n'es pas question que je te laisse retourner au Canada. Je vais trouver ta propriétaire » me dit-il, avec un sourire louche. D'un coup, je me demandais si ce chevalier 'blanc' me voulait vraiment du bien.

Les autres évaluateurs passaient entre les esclaves. Quelques fois il regardaient nos dents, ou évaluaient la sensibilité de nos organes.

Je pensais qu'aucun autre ne viendrait me parler, et pourtant ce fut le cas. Un homme en complet blanc à fines rayures noires. Il me regardait en cochant des cases sur sa tablette.

-Rousse naturelle? » me demanda—t-il. Je confirmais de la tête, avant de me dire que je venais d'attirer l'attention du centre de conservation des roux.

Puis, Paul, ou Peter, prit la parole.

-Messieurs et mesdames, l'heure d'évaluation est finie, je vous prie de vous éloigner des esclaves. » les évaluateurs s'éloignèrent, et, le plateau sur lequel nous étions se remit à descendre dans la partie basse. Puis les deux manipulateurs nous détachèrent, nous retirèrent les dispositifs dans nos bouches.

-5113? » me demanda le mien. Je fis oui la tête ayant mal à la mâchoire, et la bouche sèche.

OK, me dit-il en me guidant à la suite des autres. Il enleva l'étiquette de mon collier et en colla une autre. Je n'osais pas lui demander pourquoi.

Christopher et les autres entrèrent dans une cage, que l'on referma devant moi.

-Non, toi, tu passes là » me dit-on. Et j'entrais dans une autre cage. Que s'était-il passé? Il y avait d'autres esclaves là.

-Quand sait-on quel note on a eu? » demandais-je à voix basse.

-Je crois que tu le sauras quand ils te le grilleront sur les fesses » me dit une fille avec des tatouages.

Je fus pris d'un début de panique. Et si l'étiquette avait été changée car Debbie avait demandé à ce que je sois marquée, comme elle l'avait été. Je serrais les fesses. Pourtant cela lui ressemblait bien.

Une manipulatrice entra dans la cage avec une bouteille d'eau.

-Qui a soif, mettez-vous à genoux autour de moi. » Shirley Reid après son badge, nous désigna du doigt, et celles qui levait la tête avaient un peu d'eau. Quand on a eu la bouche ouverte pendant une heure ça fait du bien.

Dans la cage d'à côté des manipulateurs allaient chercher tour à tour les esclaves qui avaient été évalués avec moi. Eux partaient, j'imagine pour rejoindre ceux qui les avaient accompagnés ici.

Je pensais que bientôt il fallait que Debbie et moi partions pour ne pas être en retard dans l'avion.

Je pensais aussi à la douleur de la brulure, et à ce que j'endurerais dans l'avion. Je maudissais Debbie. Mais sans rien dire, pour ne pas m'attirer plus de soucis que je n'en avais déjà.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Sacré chapitre, bravo

Donc pas sur qu'elle reparte au Canada. .......

Rudy

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