Un Couple Pas Comme Les Autres 04

Informations sur Récit
Les aventures de Lulu et Al ainsi que de leurs amis.
2.6k mots
4.17
4.6k
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Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 12/04/2019
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La ferme

--Allo?

--Al? C'est Ludo, tu es libre samedi, j'ai une proposition à te faire?

--Attends, je mets le haut-parleur pour que Lulu entende, ......., tu peux y aller.

--Ne t'en fait pas, c'est une proposition honnête. Ce week-end, j'organise une sortie pêche, départ le samedi matin, retour le dimanche avec nuit en bivouac dans la nature, je la fais avec deux copains, mais comme je sais que tu aimes pêcher, j'aimerais que tu viennes avec nous, ça te dit?

--Bien sûr, mais que vont faire Lulu et Véra?

--Ne t'en fais pas, elles trouveront bien quelque chose à faire, Véra m'a dit qu'elle avait une idée qui devrait bien plaire à Lulu, mais elle ne veut pas me dire de quoi il retourne.

--Ok, je suppose qu'il faut partir tôt le samedi matin, donc, nous arrivons la veille.

--Tu as tout compris, vous ne serez pas seuls, j'ai invité mes amis, à vendredi.

--Nous arriverons un peu tard, Lulu fini vers dix-huit heures.

--Ce n'est pas grave, on vous attendra.

--Ok, à vendredi.

Al raccroche le téléphone, je m'approche de lui.

--C'est toujours la même chose pour le quota de truites?

--Oui, pas plus de cinq, nous n'avons pas le droit d'en garder plus par jour, et en plus, il faut qu'elles aient vingt-quatre centimètres au minimum, mais c'est surtout le plaisir de la sentir au bout de la ligne. J'espère en prendre beaucoup plus, je ne garderais que les grosses, de toute manière, on rejette toutes celles qu'on prend le premier jour, question de fraîcheur.

--Vous ne pouvez pas aller pêcher en France?

--Oui, mais c'est à peine différent, la taille minimum est de vingt-trois centimètres et on peut en garder six, mais les rivières sont moins poissonneuses.

--Ok.

Nous retournons à nos occupations, je finis de préparer le repas pendant qu'il dresse la table et met de la musique. Il fait chaud, mais je décide d'enfiler une gandoura en coton très fin que j'ai ramené de Marrakech sans rien dessous. Je suis occupée à couper le pain quand deux mains viennent emprisonner mes seins par-dessus le tissu.

--Toujours aussi bandante.

Il appui son bas ventre sur mes fesses, je sens son sexe libre se coller entre mes fesses. Je mets mes mains derrière moi et je tombe sur ses fesses nues. Je commence à mouiller grave. Je remonte ma gandoura pour dévoiler mes fesses. Je sens une belle bite se glisser dessous pour venir se frotter à mes lèvres intimes. Je la guide de ma main droite et la sens s'enfoncer en moi doucement.

--Toujours aussi accueillante ma chérie.

--J'aime beaucoup accueillir ta bite dans mon petit puits d'amour mon chéri.

--Et j'aime beaucoup y passer un petit moment.

La bite d'Al va et vient dans mon fourreau, je m'immobilise pour apprécier au maximum ce moment de bonheur. J'aime sentir la verge de mon homme me besogner, j'aime sentir ses mains sur mon corps, j'aime sentir le poids de son corps sur mon corps, je l'aime tout simplement. Il glisse ses mains sous le tissu pour les promener sur ma peau. Je sens sa verge frémir, une main vient me titiller le clitoris, c'est le signal qu'il ne va pas tarder à jouir, je me libère pour l'accompagner juste au moment où je sens un jet de sperme me remplir le vagin. Je l'accompagne.

--Oui, oui, je te sens, oui, ouiiiiiiiiiiii.

Il jouit en silence comme d'habitude, moi, je m'exprime plus facilement. Au bout de quelques minutes, nous nous retrouvons sous la douche. Il me prend dans ses bras pour m'embrasser. Nos langues s'amusent toujours autant entre elles, bien qu'elles se connaissent depuis plus de trente ans. Il se baisse pour venir poser ses lèvres sur mon pubis.

--Oh là, c'est un peu râpeux cette peau.

--Je dois me raser.

Sa langue sort pour venir exciter mon clitoris, il n'en faut pas plus pour me faire décoller pour un nouveau voyage au pays du plaisir. Me connaissant par cœur, il ne met que quelques minutes pour me faire jouir une nouvelle fois. Sa bouche remonte le long de mon corps pour s'attarder un peu sur mes seins et finir sur ma bouche. Un long baiser nous uni. Une fois sortis de la douche nous finissons tout de même par manger. Après le repas, nous allons nous coucher, une longue semaine de travail nous attend.

Le vendredi nous arrivons à la ferme de Ludo et Véra vers dix-neuf heures. Ce sont des amis libertins que nous avons rencontrés il y a une dizaine d'années, ils ont la trentaine, lui, grand, athlétique avec une très belle bite, elle très belle, belle poitrine et cul d'enfer. Nous venons souvent chez eux pour des soirées coquines, mais ce soir, je ne sais pas qui sera là, nous verrons bien une fois arrivés.

Evidemment, nous nous sommes préparés comme d'habitude, toilette complète et lavement intime, on ne sait jamais. Nous sommes habillés comme d'habitude quand nous venons, lui, pantalon et chemisette sans rien dessous, moi, jupe plissée courte, corsage ample n'est pas très opaque, sans rien dessous, montée sur des escarpins. Véra vient vers nous pour nous accueillir.

--Bonjour les amis, c'est bon tout le monde est là, mais je dois vous prévenir, il y a un couple qui n'est pas du tout libertin, ce soir, ce sera soirée copains.

--Ok, pas de problème.

Nous suivons Véra nos sacs à la main, j'ai un peu de mal à marcher sur le chemin avec mes chaussures, mais il faut ce qu'il faut. Dans le salon, nous attendent Ludo, deux hommes et une femme.

--Les amis, je vous présente Lulu et Al.

Tout le monde vient vers nous.

--Je vous présente, Guy, le pêcheur fou, il ne pense qu'à ça et comme vous pouvez le constater, il est seul, et Louis accompagné d'une magnifique jeune femme, Aïcha.

Tout le monde vient m'embrasser, mais je constate qu'Aïcha se serre un peu trop contre moi. Je m'arrange pour me trouver seule avec Véra dans la cuisine.

--Dis donc, Aïcha, elle n'est pas un peu lesbienne?

--Je ne sais pas, elle vient de rompre avec son copain, mais je ne la connais pas, c'est la première fois qu'elle vient, c'est une amie d'enfance de Louis, il l'a amené car elle vit chez lui en ce moment en attendant de trouver un appart, je ne connais que Guy et Louis qui sont des collègues de Ludo et vont souvent à la pêche avec lui.

--Mais Louis est bien jeune.

--Oui, il n'a que vingt-deux ans, il travaille avec Ludo depuis six mois, mais ils sont très vite devenus potes.

--Ok, nous ne serons que toutes les trois demain?

--Oui, que nous trois pendant deux jours.

--J'espère qu'elle n'est pas trop coincée.

--On verra bien.

Nous retournons avec les autres, la soirée se passe relativement bien, un peu terne à mon goût, mais j'espère me rattraper demain. Je regarde Aïcha, je suis inquiète, j'ai envie de bien m'amuser avec Véra, nous nous entendons très bien côté sexe, je pensais passer le week-end seule avec elle.

Aïcha est une magnifique femme d'une vingtaine d'années, très mat de peau, un joli visage fin, pas très grande, brune aux yeux bleus superbement maquillés, très belle poitrine que l'on devine nue sous son corsage et des fesses superbes moulées dans un short plutôt réduit, je ne vois aucunes traces de slip ou string, le tout sur des escarpins géants.

Ce n'est pas du tout l'idée que je me fais de la femme magrébine, mais j'aime beaucoup, et ça me rassure pour demain. Vers onze heures, tout le monde va dans sa chambre. Je suis étonnée, Aïcha a sa propre chambre, je pensais qu'elle partagerait celle de Louis. Je me démaquille dans la petite salle d'eau attenante à la chambre, je sens la bite raide d'Al se glisser entre mes fesses. Elle est enduite de graisse. J'attends qu'elle se fraye un passage entre elles pour venir frapper à la porte de mon anus. Le gland force un peu, la porte s'ouvre le laissant s'introduire lentement jusqu'au plus profond de mes entrailles.

--Oui chéri, vide-toi dans mon fion, rempli le de ton foutre.

Al me pistonne de plus en plus rapidement jusqu'à ce que je sente sa bite palpiter et se vider en moi. Mon doigt n'a pas été en reste sur mon clitoris et je réussi à jouir en même temps que lui, en serrant les fesses pour lui comprimer la bite, le tout en silence, ce qui n'est pas le cas d'Aïcha que j'entends s'exprimer dans la chambre d'à côté. Nous nous endormons dans la foulée.

Le lendemain, Al se réveille très tôt, il se lève en essayant de ne pas faire de bruit, mais je me réveille quand même. Quand il voit que je suis réveillée, il vient vers moi, mais pas pour ce que j'espérais.

--Pas le temps chérie, il est même un peu tard, j'ai trois minutes pour les rejoindre, que comptes tu faire ces deux jours.

--M'amuser avec Véra, j'espère qu'Aïcha n'est pas trop coincée.

--Vu sa tenue d'hier et ce qu'on a entendu cette nuit, je ne pense pas.

--Que le grand esprit du sexe t'entende mon chéri, bonne pêche.

Il se penche sur moi pour un rapide baiser et me quitte. Les hommes partent vers six heures du matin, je me rendors, je ne me lève qu'à neuf heures, nous sommes en week-end tout de même. J'enfile un tee-shirt qui me couvre à peine les fesses, je veux voir comment Aïcha réagit. Quand j'arrive dans la cuisine, Véra et Aïcha finissent de préparer le petit déjeuner. Elles sont toutes les deux habillées comme moi, en tee-shirt longs arrivant juste sous les fesses. Je les devine nues dessous. La journée va être belle, je le sens.

--Ah, te voilà, nous étions sur le point d'aller te réveiller.

--Je récupère de la semaine.

Véra vient vers moi et pose ses lèvres sur les miennes pour un rapide baiser. Je vais vers Aïcha qui me fait la même chose, en appuyant même un peu plus. Je la regarde étonnée.

--Ne sois pas étonnée, nous parlons depuis plus d'une heure, je sais comment vous fonctionnez toutes les deux, et ça me plait, je veux que vous agissiez comme d'habitude.

--Tu n'as pas été très discrète hier soir, tu t'exprimes toujours comme ça quand tu jouis?

--Oui, je m'exprime, surtout quand je me masturbe en pensant à quelqu'un avec qui j'aimerais faire l'amour.

--Et tu pensais à qui?

--A toi évidemment.

Je la regarde, je reste à une trentaine de centimètres d'elle et pose mes mains sur ses cuisses, juste en dessous de la lisière du tee-shirt. Je remonte mes mains en lui caressant la peau jusqu'à ce qu'elles arrivent au niveau de sa taille. Je vois un pubis lisse comme une peau de bébé, mais surtout, bronzé, aucune trace de maillot.

--Tu bronze à poil?

--Oui, dans le sud de la France.

--Au Cap d'Agde?

--Oui, je connais pas mal de monde là-bas.

Je remonte mes mains jusqu'aux seins. Ils sont magnifiques, hauts, ronds, fermes, des seins d'une fille de vingt ans. Je me penche un peu vers eux, elle avance son buste pour mieux me les offrir. Je les embrasse, les lèche, les suce, les titille avec ma langue. Je la sens réagir à mes caresses. Quand je me redresse, Véra est derrière elle en lui caressant les fesses. Je fais passer le tee-shirt par-dessus sa tête, le pose sur une chaise. Elle ne bouge pas, les yeux fermés semblant apprécier ce moment. Je la fais tourner doucement sur elle-même pour apprécier sa silhouette et voir ses fesses hautes, fermes, bronzées, sublimes. Je l'immobilise face à moi, m'accroupie devant elle, avance ma tête vers son pubis. Ma bouche tombe sur une peau qui vient juste d'être épilée, douce à souhait, je descends sur le haut de ses lèvres pour les embrasser. Je sens son clitoris se gonfler. Ma langue le titille, mes lèvres l'aspirent, mes dents le mordillent. Elle ne résiste pas longtemps, et explose.

--OOOOOOOOHHHHHHHH oui, oui, j'aime, oui, ouiiiiiiii, AAAAAAAHHHHHHH.

Son corps est raide, Véra a rabattu ses mains sur ses seins et les pince doucement. Aïcha est en transe. Elle se calme doucement, me fait relever, me regarde droit dans les yeux, pose ses mains sur le bas de mon tee-shirt, le fait passer par-dessus ma tête et le jette sur la chaise. Elle avance sa tête, nos lèvres se soudent, nos langues font connaissance, s'aiment et s'amusent entre elles. Elle se colle à moi en m'enlaçant. Nous sommes seins contre seins, pubis contre pubis.

Je sens son corps contre le mien, j'ai envie de plus, mais je ne donne complètement à ce baiser. Elle s'écarte un peu, me sourit, s'accroupi pour poser ses lèvres sur mon sexe. Je suis traversée par un frison de plaisir. Ses lèvres aspirent mon clitoris, ses dents le mordillent, sa langue l'excite. Je ne veux pas résister et me laisse aller à un violent orgasme qui me secoue de la tête aux pieds.

--Oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiii.

Véra s'occupe de mes seins en pinçant mes tétons pour accentuer mon plaisir. Mes jambes flageolent, elle m'enlace pour me retenir. Quand mon corps se calme, elle me libère pour aller dans la cuisine. Aïcha est face à moi, elle me sourit d'un air complice et se dirige vers Véra.

--Tu ne vas pas t'en sortir comme ça.

Elle la plaque contre la table de la cuisine, lui enlève son tee-shirt et la fait mettre sur le dos sur la table les jambes vers le ciel grandes ouvertes. Elle me regarde.

--Tu permets?

--Bien sûr.

Elle se jette sur son sexe pour le recouvrir de sa bouche. Je vais à l'autre bout de la table pour me pencher sur elle et poser mes lèvres sur ses seins. Je les suce, les mordille, les aspire, Véra se laisse faire en fermant les yeux. Son corps vibre, ondule. Très vite elle se raidi pour exploser dans un superbe orgasme.

--AAAAAAHHHHHH, oui, oui, je vous aime, encore, oui, ouiiiiiii.

Quand elle se calme, nous la libérons, elle se redresse pour rester assise sur la table.

--Merci mes chéries, mais maintenant, il faut prendre notre petit déjeuner, je vous ai préparé une journée d'enfer, il faut prendre des forces.

--Moi je trouve qu'elle a très bien commencé.

--Moi aussi.

Elle descend de la table pour finir de préparer le petit déjeuner. Une fois fini, nous débarrassons tout pour aller prendre une douche ensemble. Nos mains se promènent sur des fesses, des ventres, des seins, des pubis.

Après avoir chacune jouit une fois de plus, nous sortons de la douche pour nous habiller. C'est un bien grand mot pour désigner la djellaba fine et quasiment transparente que Véra avait réservée et modifiée pour nous. Elle nous arrive à peine sous les fesses et a un grand décolleté qui descend jusqu'au nombril laissant entrevoir nos seins.

--On va faire des courses?

--Pas tout à fait, on va voir Jules.

--C'est qui ce Jules?

--Mon amant.

--D'accord, et il est où ton amant?

--Chez lui, il nous attend.

--C'est loin?

--Cent-cinquante mètres environ.

Je la regarde étonnée, il n'y a pas une maison à moins de trois ou quatre kilomètres.

--Il habite ici.

--Je ne le connais pas, il est là depuis longtemps?

--Depuis trois mois.

--Ah, ok, il est sympa?

--Oui, et très ouvert, en plus, il aime le sexe.

--Et il est bien monté?

--Pour ça, on peut le dire, il a un sacré braquemard.

--Alors, je suis partante.

--Moi aussi, j'aime les belles bites dans le cul, mais tu crois qu'il sera assez performant pour nous trois?

--Ne t'en fais pas, il assure.

--Et il aime enculer les meufs?

--Il adore.

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3 Commentaires
EuphrasiaEuphrasiail y a environ 4 ansAuteur
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EuphrasiaEuphrasiail y a plus de 4 ansAuteur
Peut-être

Bonsoir a toutes et tous, suite aux peu d'enthousiasme de beaucoup, une suite ne sera plus publiée. Nous verrons dans un futur.

Merci

EuphrasiaEuphrasiail y a plus de 4 ansAuteur
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