Un Couple Pas Comme Les Autres 06

Informations sur Récit
Les aventures de Lulu et Al ainsi que de leurs amis.
3.9k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 6 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 12/04/2019
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La ballade

Il est l'heure de déjeuner, après avoir mangé et tout rangé, Véra, connaissant mes petits penchants, nous propose d'aller en ville montrer un peu nos culs. Nous acceptons avec grand plaisir, elle nous dit qu'elle adore s'exhiber, et qu'elle aime par-dessus tout se balader en ville avec des micros-jupes plissées raz les fesses sans rien dessous.

Ça tombe bien, nous aussi, Véra nous propose trois jupes qui nous couvrent à peine cinq centimètres sous les fesses, accompagné d'un tee-shirt blanc seconde peau, le tout sur nos chaussures.

Nous prenons ma voiture pour nous rendre en ville. Nous sommes en juillet, il fait très chaud et il n'y a pas beaucoup de monde en ville. J'ai l'impression de promener mes filles, elles peuvent en effet toutes les deux plus jeune que ma fille aînée, mais je ne suis pas la dernière à prendre mon pied.

Nous marchons le long d'une avenue, il y a une très légère brise, mais c'est suffisant pour soulever légèrement nos jupes et dégager le bas des fesses. Je fais semblant de regarder quelque chose sur mon visage avec un petit miroir, je vois deux femmes et deux hommes derrière nous, les yeux rivés sur nos fesses. J'en fais part à mes amies. J'accentue un peu mon mouvement de hanche pour faire balancer ma jupe un peu plus haut. Véra et Aïcha m'imitent.

--Et les filles, d'accord pour une petite partie de jambes en l'air avec les personnes qui nous suivent?

--Bien sûr.

--Oui, mais pas question qu'un homme me touche.

--Ne t'en fais pas, nous y veillerons, de toute manière, ça ne peut que bien se passer, on peut ameuter tout le monde en hurlant, ils le savent.

Nous arrivons dans un parc, je le connais un peu et je sais qu'il y a des bosquets vers le fond. J'y amène tout le monde, nos suiveurs sont toujours derrière nous. Je repère un bosquet assez grand, mais ouvert que sur une petite largeur, idéal pour ce que je compte faire.

Nous entrons et nous nous asseyons sur un des deux bancs de pierre. La rugosité du banc sur mes fesses m'excite un peu, mais je suis surtout excitée par ce que j'imagine si le groupe entre derrière nous. C'est le cas, ils entrent dans le box. Ils ont tous maximum vingt-cinq ans, tous beaux, les femmes comme les hommes.

Les filles doivent être jumelles, on dirait deux fois la même personne. Elles sont grandes, portent la même robe, courte, ample, laissant deviner leurs seins libres. Les garçons se ressemblent beaucoup, certainement des frères, eux aussi habillés pareil, short de sport et tee-shirt. Une des femmes viens vers moi.

--Salut, vous faites souvent ça?

--Quoi donc?

--Montrer vos magnifiques fesses.

--En groupe, rarement, mais moi seule, très souvent, j'adore montrer mon cul, tu ne le trouves pas beau?

--Magnifique, et je crois que mes copains le trouvent très beau et appétissant.

--Et pas mes copines.

--Si, bien sûr, vous êtes toutes les trois très appétissantes, et je crois qu'ils aimeraient s'occuper d'une d'elles.

--Qu'attendent-ils pour nous le prouver, nous sommes à leurs disposition, sauf mademoiselle, elle préfère les femmes.

--Ça tombe bien, nous adorons les femmes.

Les deux hommes se regardent, ils se dirigent vers Véra, la prennent par les mains et la font lever. Les deux femmes font lever Aïcha, elle lui soulève la jupe pour poser leurs mains sur ses fesses. Je reste seule à regarder mes copines se faire entreprendre. Véra descend les shorts des mecs, elle dégage deux belles bites bien raides. Elle les masturbe pendant que l'un d'eux lui chatouille le clitoris et l'autre lui passe un doigt entre les fesses.

--Il faudrait rendre ça plus glissant.

--Ne t'en fais pas Véra, j'ai ce qu'il faut.

Je sors un tube de mon sac, j'ai toujours un tube de gel anal dans mon sac, Véra enlève sa jupe et son tee-shirt, j'enduis son fion copieusement. Un des hommes se met devant elle et l'autre derrière.

--Ensemble frérot.

Ils donnent un coup de rein synchronisé et la pénètre en même temps d'un seul coup.

--Oh putain que c'est bon, se faire embrocher des deux côtés en même temps, oui, oui, j'aime.

Ils se déchaînent dans son cul et son sexe, pendant ce temps, les deux femmes ont déshabillé Aïcha, elles l'allongent sur l'autre banc. L'une d'elle lui écarte un peu les jambes, mais je les laisse, j'ai envie d'autre chose. J'imite mes copines et enlève mes vêtements. Je m'allonge sur le banc et me caresse le clitoris. Je vois Véra qui profite au maximum de la situation, elle est déchaînée, elle se tortille dans tous les sens.

--Oui, oui, allez-y les mecs, baisez-moi, enculez-moi, j'aime, oui, j'aime, oui, je vais jouir, allez, venez, venez, je veux votre jus, aaaaaaahhhhhhh, oui, ouiiiiiii.

Elle se raidi, mais les hommes ne sont pas en reste, je vois à leurs attitudes qu'ils jouissent aussi.

--Oh oui, remplissez-moi de votre foutre, oui, ouiiiiiiiiii.

--AAAAAAAAAHHHHHHHHH, oui, oui, oooooooohhhhhhh.

Là, c'est Aïcha qui jouit sous les langues des deux femmes. Je suis à bout et je jouis à mon tour, mais en silence.

Seule une des femmes remarque que mon corps se raidi, mes fesses sont à deux ou trois centimètres du banc. Elle vient vers moi, se penche sur mes cuisses et lèche la cyprine qui coule dessus. J'écarte les jambes, sa langue remonte et se glisse entre mes lèvres pour lécher le reste de mon nectar d'amour. Mais elle atterri ainsi sur mon clitoris, ses lèvres se referment dessus et me l'aspirent, sa langue me le titille. Dans l'état d'excitation dans lequel je suis, je ne peux résister à un second orgasme en moins de deux minutes, mais cette fois-ci, je m'exprime.

--AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH, oui ouiiiiiiiiiiiii, OOOOOOOHHHHHHH.

Je reviens à moi lentement, je réussi à m'assoir sur le banc, Véra et Aïcha s'assoient à côté de moi. Nous sommes toutes les trois à poil devant les deux femmes toujours habillées, les hommes sont culs nus avec leurs bites qui pendent. Un des hommes vient vers Véra.

--Tu as aimé à priori.

--Oui, et j'en redemande, mais il y a ma copine, je crois qu'elle aimera aussi beaucoup.

Il se tourne vers moi, sa main tombe sur mon sein gauche. Elle le caresse, passe à l'autre, descend vers le nombril pour remonter vers mes seins.

--Pas mal, je crois que je vais honorer madame avec beaucoup de plaisir.

Je tends la main pour me saisir de sa bite qui commence à se redresser. L'autre homme se met à côté de lui, je lui saisis sa bite aussi. Je les branle lentement, les deux bites se redressent pour finir par pointer vers le ciel. Je me lève, tourne le dos à Véra en lui tendant mon tube de gel. Sa main me badigeonne les fesses et l'anus, je suis prête. Comme pour Véra, l'un d'eux se met devant moi, l'autre derrière. Je sens les deux glands se positionner, le premier juste au contact de mes lèvres, le second s'est glissé entre mes fesses pour s'arrêter sur mon anus.

--Ensemble frérot.

D'un seul coup, deux pieux me transpercent pour venir se frotter dans mes entrailles. Les deux bites se touchent juste séparées par une mince couche de chair. Quand l'un s'enfonce, l'autre se retire, ce qui donne un effet extraordinaire, je sens ces deux bites se masturber entre elles dans mon sexe et mon cul.

J'ai tout de même assez de présence d'esprit pour voir Véra et Aïcha s'occuper des vulves des deux femmes, toujours habillées, mais les fesses à l'air, assises sur le banc les jambes ouvertes. C'est la dernière image que je peux analyser, mon esprit cède la place à mon sexe et mon cul, eux seuls comptent, ils dirigent mon cerveau pour l'amener à l'extase.

Des petits picotements partent de mon bas ventre, se répandent dans mon corps jusqu'à se transformer en un gigantesque feu d'artifice, je suis en transe. Ils continuent de me labourer jusqu'à ce que je sente leur sperme m'inonder. Je ne tiens plus sur mes jambes, ils m'enlacent pour me maintenir en place. Ils ne se retirent que quand leurs bites me quittent, devenues trop molles. Ils me font asseoir sur le banc, à côté des deux femmes.

Je récupère lentement, en profitant de mon corps qui garde la mémoire de ce qui vient de se passer. Les femmes se lèvent, Véra s'approche de l'une d'elle et fait passer sa robe par-dessus sa tête. Apparaît un superbe cul bien rond et des seins à damner un saint, le tout sur un corps glabre et bien bronzé. Aïcha s'occupe de l'autre, tout aussi belle. Elles les font tourner sur place pour les laisser nues au milieu de nous. Il ne reste plus que les hommes qui sont en tee-shirt, mais ils se regardent, remettent leurs shorts et nous quittent.

--Au revoir les filles, amusez-vous bien.

Je suis complètement abasourdie, ils nous laissent tomber comme des vielles chaussettes. L'une des femmes vient vers nous.

--Ne vous en faites pas, c'était prévu, ils devaient juste vous baiser si vous étiez d'accord et nous laisser avec vous, mais vous pouvez aussi partir ou rester avec nous, nous aimerions bien vous faire jouir toutes les trois, et il en reste deux que nous ne connaissons pas.

--Et qui sont à votre disposition.

--Nous nous occupons toujours d'une fille ensemble, nous sommes les sœurs de ces messieurs, nous dragons ensemble, mais nous ne faisons rien entre nous, nous n'aimons pas les autres hommes, par contre, nous aimerions bien nous occuper de vous.

--Qu'attendez-vous?

Véra et Aïcha vont vers l'autre banc, Véra s'allonge dessus sur le dos et Aïcha sur elle en soixante-neuf, elles vont se donner du plaisir. L'une des filles me fait allonger sur le banc, elle m'ouvre un peu les jambes. Je sens sa bouche se poser sur ma vulve au moment où apparait au-dessus de moi une vulve brillante de cyprine. C'est la seconde fille qui a passé ses jambes de chaque côté du banc et qui avance sur moi. Elle plie légèrement ses jambes pour me présenter son sexe que je m'empresse de lécher. Elle le pose littéralement sur ma bouche, je suis enivrée de son odeur, mais mon sexe me rappelle qu'une autre bouche s'occupe de lui. Ma langue s'affole sur un clitoris tandis qu'une langue s'affole sur mon clitoris. Je profite un maximum les yeux fermés. Tout à coup, je suis inondée d'un liquide chaud, la fille au-dessus de moi est une femme fontaine, elle m'inonde en jouissant.

--OOOOOOOOHHHHHHHH.

Je ne suis pas prête à jouir quand la langue me quitte, la fille au-dessus de moi s'en va, je reste seule, en manque, je veux jouir, mais elles me laissent tomber. J'ouvre les yeux pour voir un sexe juste au-dessus de mon visage, il descend sur moi, le contact s'établi juste au moment où une bouche se pose sur le mien. Elles ont changé de position, et cette fois-ci, je veux jouir. Au bout de quelques minutes, mon corps est envahi par une multitude d'explosion, je jouis en buvant le merveilleux liquide qui sort plus abondamment du sexe de cette superbe femme.

--AAAAAAAHHHHHHH.

Elle aussi a joui, mais pas comme sa sœur. Quand j'émerge, je vois que Véra et Aïcha sont maintenant assises sur l'autre banc.

--Ça va les filles?

--Très bien.

Une des femmes va vers Véra.

--A votre tour belle dame.

--Mon corps vous appartient pour quelques minutes.

Aïcha se lève, Véra s'allonge sur le dos en écartant légèrement les jambes. Une des femmes se glisse entre ses cuisses, l'autre lui présente son sexe. Elles agissent comme avec moi, Véra jouit deux fois sous les mains et les bouches de ces femmes. Pendant ce temps, Aïcha m'a fait allonger sur le dos et s'est positionnée tête bêche. Je me suis régalé de sa cyprine comme elle et nous avons joui ensemble. Quand je me redresse, Véra est toujours entre les mains des deux femmes, celle qui s'occupe de son sexe nous offre une vue imprenable sur son anus et sa vulve bien brillante. Je glisse ma main entre ses cuisses pour lui titiller le clitoris. Elle lève la tête une seconde.

--Oui, oui.

Elle replonge sa tête sur le sexe de Véra, mais moi, je me penche sur elle, lui prend les fesses dans les mains et plonge ma tête pour lui lécher l'anus et le périnée. Elle réagit en bougeant, j'insiste quand je sens des mains me prendre les fesses et une langue glisser sur mon anus et aller jusqu'à ma vulve. C'est Aïcha qui me fait ce que je fais à la femme. Véra jouit en s'exprimant assez fort.

--AAAAAAAHHHHHHH, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, aaaaaahhhhh.

La femme se raidi en même temps que moi, nous jouissons en même temps, Aïcha me retient, elle voit que je ne suis pas très en équilibre. C'est à cet instant qu'un couple d'une trentaine d'années entre dans le bosquet avec un dog allemand. Ils nous regardent d'un air amusé. Nous restons figées complètement scotchées par cette apparition, mais l'homme nous sourit.

--Ne vous en faites pas mesdames, nous nous promenions quand nous avons entendu des gémissements spéciaux, nous avons voulu nous rendre compte par nous-même. Je dois dire que le spectacle dépasse toutes mes espérances, vous êtes toutes plus belles les unes que les autres, magnifiques, n'est-ce pas chérie?

--Oui chéri, magnifiques.

Tout le monde se détend, Aïcha me libère, je libère la femme qui libère Véra, l'autre est déjà à côté de moi. Nous nous regardons toutes, la tension érotique est tombée, les deux femmes se rhabillent. Elles nous saluent et quittent le bosquet un peu précipitamment. L'homme nous regarde, il s'approche un peu moi.

--Vous ne partez pas?

--Ça dépend de la suite.

--Qu'en penses-tu Zeus?

Le chien vient vers moi, il pose sa truffe sur mon sexe et donne un grand coup de langue. Je suis électrisée, un énorme frisson parcoure mon corps.

--Je vois que madame réagit bien à la langue de mon chien, serait-il possible qu'il vous honore autrement?

--Si c'est pour me baiser ou m'enculer, pas de problème, je suis sa chienne.

--Laissez-moi en être juge.

Il s'approche, ses mains parcourent mon corps, il me caresse les fesses, le ventre, les seins, revient entre les fesses pour glisser un doigt entre elles, il reste un peu de graisse.

--Je vois que quelque chose est déjà passé par là.

--Oui, une belle bite.

Sa compagne nous rejoint, elle pose sa main sur ma vulve qui commence à dégouliner de cyprine, je réagis au contact de son doigt sur mon clitoris. Elle me regarde droit dans les yeux et fait tourner son doigt à toute vitesse sur mon bouton d'amour. Très vite, je me raidi pour jouir sur son doigt.

--Oui, oui, aaaaahhhhh.

Je reste la plus discrète possible, mais le moment est fort. Je suis encore à moitié dans les vaps que je sens la langue de Zeus me lécher la vulve. Il passe derrière moi, je pense comprendre ce qu'il veut et me mets à quatre pattes sur un coin recouvert d'herbe.

Il s'avance sur moi, il est tellement grand qu'il passe au-dessus de mon dos. Sa bite se glisse entre mes cuisses, mais ce n'est pas mon sexe qu'il transperce, c'est mon cul, heureusement encore un peu lubrifié. Il donne des coups de rein à un rythme effréné, c'est la première fois que je me fais enculer par un chien, je profite au maximum du moment. Il n'en finit pas, je me caresse et viens de jouir une première fois, mais il continue au même rythmer.

Je commence à être fatiguée, je replie mes bras pour poser ma tête sur l'herbe, ça a l'air de l'exciter encore plus, sa cadence accélère encore, je jouis une seconde fois, juste au moment où il s'arrête, donne un dernier coup de rein pour m'introduire une énorme boule dans le cul et me remplir de son sperme.

--AAAAAAAHHHHHHH, OOOOOHHHHH.

Cette fois-ci, c'est moins discret, mais je ne peux faire autrement. Au bout de cinq ou six minutes, il se retire en faisant marche arrière, ce chien est bien dressé. L'homme me fait lever, me prend dans ses bras et m'allonge sur le ventre sur un banc, sa compagne m'écarte les cuisses pour poser sa bouche sur mon cul. L'homme me regarde.

--Elle récupère le sperme de son chien.

Mais, récupérer le sperme dans un cul se transforme toujours en broute minou. Une fois qu'elle a fini de récupérer le sperme, elle me fait mettre sur le dos et me gobe le sexe. Ses lèvres se collent aux miennes et aspirent. Je sens du liquide sortir de mon vagin, c'est le sperme des mecs. Sa langue commence à s'occuper de mon clitoris, ses lèvres l'emprisonnent et aspirent, sa langue le titille, je jouis une nouvelle fois.

--aaaaaaaaahhhhhhhhh, oui, oui, assez, assez, je n'en peux plus.

La femme se redresse, elle vient vers ma tête, se penche et pose un rapide baiser sur mes lèvres.

--Je ne laisse jamais le sperme de mon Zeus dans d'autres orifices que les miens, mais je dois dire que j'ai adoré ton jus d'amour, je m'en souviendrais longtemps.

Quand elle se retourne, c'est pour voir Zeus s'occuper de Véra, à première vue, il l'encule elle aussi, sa bite est assez haute. Je vois Aïcha allongée sur l'autre banc, les jambes ouvertes qui se chatouille le clitoris. La femme va vers elle, se penche sur son sexe, Aïcha enlève sa main, elle le gobe. Zeus se déchaine sur Véra, elle donne de grands coups de rein en arrière, elle semble dans un autre monde. Zeus s'immobilise au moment où Véra s'exprime.

--Oui, rempli moi, je jouis, je jouis, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiii.

Zeus ne donne plus que de petits coups de rein, mais je sais qu'il rempli Véra de son sperme. Elle a fait comme moi, posé sa tête par terre, offrant une plus grande latitude à Zeus. Je me lève pour m'approcher, je vois que son bulbe est presque entièrement entré dans son cul.

--Oui, ce monstre dans mon cul, il me l'ouvre en grand, quel pied.

--AAAAAAAAAHHHHHHHHH, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

C'est Aïcha qui exprime son bonheur. Zeus finit par laisser Véra, elle reste en position sachant que la femme va venir la nettoyer. C'est ce qu'elle fait. Quand elle juge qu'il ne reste plus de sperme de son chien dans son cul, elle dépose une bise sur chaque fesse et se redresse. Aïcha se lève, elle immobilise la femme.

--Tu crois que tu vas t'en tirer comme ça?

La femme la regarde en souriant.

--Je commençais à me dire que j'allais repartir sans avoir pris mon pied.

Aïcha déboutonne son corsage lentement. Elle l'ouvre pour libérer deux seins un peu gros, au moins bonnet C, mais encore hauts, elle défait la ceinture de la jupe, fait glisser le zip et la libère. La jupe tombe à terre, dévoilant un sexe glabre et blanc, sur de très belles jambes. Elle l'allonge sur le banc libre, lui écarte les jambes et se jette sur son sexe.

--AAHH oui, oui, j'aime, fais-moi jouir.

Je vais vers elles, enjambe le banc pour venir présenter mon sexe à sa bouche. Elle m'agrippe les fesses pour me faire descendre dessus. Sa langue s'active sur mes lèvres, dans mon vagin et sur mon clitoris. Je le sens devenir de plus en plus saccadé, elle finit par exulter en me mordant le sexe.

--AAAAAAHHHHHH, OOOOOOOHHHHHHH, AAAAAAAHHHHHHH.

Sa légère morsure me fait moi aussi partir, elle se reprend et m'aspire la cyprine qui coule de mon sexe. Quand elle est totalement remise, elle me lèche l'endroit où elle m'a mordu. En fait, je n'ai pas mal, ce n'était pas une morsure forte, plutôt un pincement, heureusement. Je la libère, elle se redresse, se lève et vient vers moi pour me poser un baiser sur la bouche.

--Excuse-moi, j'espère que je ne t'ai pas fait mal.

--Non, rassures toi, mais ça t'arrive souvent ce genre de comportement?

--Assez, une fois, j'ai mordu très fort la bite d'un mec quand j'ai joui. Il m'en veut encore.

--Je dois dire que je le comprends un peu.

--Moi aussi, en tout cas, je le répète, j'adore ton jus d'amour.

--Ne bouge pas, moi aussi je veux goûter ton jus d'amour.

Je m'agenouille devant elle pour lui gober la vulve, mais elle m'arrête, va vers le banc et s'allonge en écartant les jambes.

--On sera mieux.

Je me jette sur son sexe, il est ruisselant, je l'aspire, le lèche, le mordille, je bois son jus d'amour avec délice. Aïcha fait comme moi, la femme s'occupe de son sexe, j'espère qu'elle ne va pas la mordre. Quand je la sens se raidir, je constate qu'elle libère Aïcha pour jouir.

--OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII, AAAAAHHHHH

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