Un Couple Pas Comme Les Autres 07

Sara

Trois jours après être entré de la ferme, en début d'après-midi, je suis dans la salle de bain, je viens juste de finir de me raser, je suis un peu excitée, mon doigt se pose sur mon clitoris, mais la sonnette retentit. Je me couvre avec une serviette de bain et vais ouvrir, c'est Sara. Sara est ma voisine immédiate, juste la maison d'à côté. C'est une magnifique black d'origine malgache, vingt-cinq ans, grande, jolie, superbe poitrine, beau cul de black et très belles jambes, c'est tout ce que je peux en dire, je ne la vois qu'habillée.

Elle est juste revêtue d'une tunique blanche lui arrivant tout juste dix centimètres sous les fesses, elle est très bandante. Je dois admettre qu'elle ne me laisse pas indifférente, j'ai une envie folle de connaitre ce corps que je devine si beau. J'ai toujours une petite boule au ventre quand je la vois, elle s'habille assez court et j'ai déjà vu ses fesses magnifiques, mais c'est tout, il est évident que l'amour entre femmes n'est pas son trip.

--Bonjour Sara, qu'est ce qui t'amène?

Quand elle me voit dans cette serviette, elle a un mouvement de recul.

--Bonjour Lulu, je te dérange peut-être.

--Non non, pas du tout, j'ai pris la semaine de congé, mais Al a du s'absenter pour son boulot, je suis seule et libre de toute contrainte.

--En fait, moi aussi je suis seule, les enfants sont chez leurs grands-parents pour la semaine, Chris est en déplacement jusqu'à vendredi et pour tout te dire, j'ai chaud et je m'emmerde.

--Ça tombe bien, moi aussi je m'emmerde, Al est lui aussi parti jusqu'à vendredi, il rentre en début d'après-midi, entre on va discuter un peu devant une boisson fraîche.

--Tu allais prendre une douche?

--Non, mais j'étais à poil, je me déshabille toujours quand il fait si chaud, je suis mieux nue et je prends une douche froide de temps en temps.

--Ok, c'est vrai que cette chaleur est difficilement supportable, mais tu peux faire comme tu veux, ça ne me dérange pas.

Elle entre, je la fais s'installer dans le jardin sur un transat sous un arbre. Je retourne dans la cuisine pour prendre des boissons fraîches, j'enlève ma serviette et retourne dans le jardin. Elle est sur le dos, sa tunique est remontée pratiquement jusqu'à son sexe. Je me penche pour poser son verre devant elle, j'ai une vue imprenable sur les lèvres roses de sa vulve dépassant de chaque côté de son micro-string.

Elle voit la direction de mon regard, elle resserre un peu ses jambes et descend sa tunique. Je m'allonge à côté d'elle, j'enrage, j'aurais bien aimé être en face d'elle pour mieux la voir, mais comme nous sommes sur des transats, c'est difficilement explicable. Une banale conversation s'engage, elle arrive très vite sur la chaleur écrasante du moment. Je lui explique que je suis tout le temps à poil chez moi quand il fait chaud, je n'ai pas de vis-à-vis. Elle me dit qu'elle ne peut pas le faire, il n'y a pas de haie entre elle et son autre voisin et que sa maison est assez proche.

--Comment tu fais?

--Je vais prendre des douches comme toi, mais je suis obligé de m'habiller, j'enfile cette tunique.

--Sinon tu serais nue?

--Je ne sais pas, je ne suis pas très à l'aise quand je suis nue, un manque d'habitude peut-être. Quand je vois le naturel avec lequel tu te ballade à poil, je suis presque jalouse.

--Et qu'est ce qui t'empêche de te mettre à poil ici, je suis une femme, et je suis moi-même à poil.

Elle parait gênée, je n'insiste pas.

--Tu fais comme tu veux.

Au bout d'une demi-heure de blablas, nous sommes toutes les deux en nage, je décide d'aller me rafraîchir sous la douche.

--Je t'accompagne, moi aussi j'ai besoin de prendre une douche.

--Ok, mais ensemble.

Elle me regarde d'un drôle d'air mais finit par sourire.

--Ok, ensemble.

Arrivées dans la salle de bain, elle fait passer sa tunique par-dessus sa tête. Je suis devant un magnifique corps comme j'en ai rarement vu, on frise la perfection dans les proportions.

Tout est parfait, la grosseur de ses seins ronds, hauts et fermes par rapport à son corps, son ventre plat, ses fesses rondes, hautes, fermes, ses jambes de rêve, Naomi peut aller se rhabiller. Elle fait glisser son string le long de ses jambes, je trouve le geste un peu lent, je dois me faire des idées. Quand elle se redresse, je découvre son pubis glabre qui cache un petit bouton rose que je trouve un peu trop gonflé pour une personne calme, l'ensemble sur une couleur de peau sombre et cuivrée magnifique. Ma machine à cyprine démarre.

Nous prenons notre douche ensemble, mais je ne la touche pas, je ne fais rien qui puisse la choquer. C'est encore pire quand nous sortons de la douche. Ce même corps ruisselant de gouttelettes d'eau me chavire, j'ai envie de lui sauter dessus, de la couvrir de baiser, de lui brouter le minou, mais je me retiens. Je lui donne une serviette, elle se sèche et s'enveloppe dedans. Elle récupère sa tunique et son string, nous retournons sur les transats, elle pose ses affaires par terre à côté du transat et s'allonge, mais à ma grande surprise, elle ouvre sa serviette.

--Je ne vais pas jouer les chochottes, tu m'as vu nue, je n'ai plus rien à cacher.

Je saute sur l'occasion.

--Dis donc, toi aussi tu m'as vu nue, et j'ai eu l'impression que ça ne te laissait pas totalement indifférente.

--Pourquoi tu dis ça?

--Simplement, j'ai vu que ton clitoris était un peu trop proéminent.

Elle blêmi.

--Ne soit pas gênée, moi-même j'ai réagi à la vue de ton corps.

--Comment.

--Si tu veux le savoir, tu n'as qu'à poser ta main sur mon sexe.

--Sur ton sexe!!

--Ou mieux, mettre un doigt entre mes lèvres.

--Mais tu es folle Lulu, je ne suis pas lesbienne.

--Non, mais mon corps ne te laisse pas indifférente, je le sais, tu le sais et je ne vois pas pourquoi tu ne l'admets pas, nous sommes entre nous.

J'enfonce mon majeur dans mon vagin, fait deux aller-retour, je ressors et lui montre, il brille.

--Tu vois, tu m'excites.

Elle se redresse, pose ses pieds par terre se lève, elle se penche pour prendre ses affaires, me dévoilant sa rondelle brune et sa vulve rose, elle veut s'en aller, mais je ne sais quoi la retient encore.

--Pourquoi tu me dis ça?

--Parce que j'aime caresser les corps des belles femmes et que je te trouve extrêmement belle. Je ne sais pas si j'ai déjà vu un corps plus beau que le tien, donc, j'aimerais bien caresser le tien, et plus si affinités.

--Tu es lesbienne?

--Non, mais j'aime caresser un corps de femme et faire l'amour avec une femme, je trouve ça très doux et très sensuel, ça n'a rien à voir avec l'amour entre homme et femme.

--Je n'ai jamais touché le corps d'une femme.

--Tu n'en as jamais eu envie.

--Non.

--Tu es sûre, tu n'as jamais ressenti une espèce de gêne au bas du ventre quand tu croisais une belle femme?

--Je ne sais pas, mais c'est vrai que quelquefois, à la vue d'une femme, mon corps réagit tout seul, une drôle de sensation.

--Comme tout à l'heure sous la douche?

Elle me regarde, elle hésite, sa réponse peut entraîner bien des réactions. Elle se décide au bout d'une bonne minute de silence.

--Oui, comme tout à l'heure sous la douche.

--Alors, pourquoi résister?

--Je ne veux pas tromper Chris.

--Tu ne le trompes pas, je ne suis pas un homme.

Elle est un peu perturbée. Je la regarde, me lève. Je reste debout devant elle à quelques centimètres, nos seins se touchent presque. Elle soutient mon regard, mais je vois qu'il s'adoucie. Je prends sa main droite et la pose sur mon sein gauche. Elle a un léger mouvement de recul, mais reste en place. Je pose une main sur son sein gauche. Elle ne bronche pas.

Ma main glisse vers l'autre sein. Le caresse, le soupèse, revient au premier pour le caresser. Ses seins sont fermes et doux, je suis de plus en plus excitée, mais j'essaie de ne pas le laisser voir. Sa main bouge, elle me caresse le sein. Je la regarde droit dans les yeux, son regard a changé, il est plus malicieux. Sa main s'enhardie, passe à l'autre sein, deux doigts pressent un peu mon téton érigé, c'est gagné!!

Je pose ma seconde main sur ses seins, je les caresse, pince légèrement ses tétons, descend sur ses hanches, sa peau est incroyablement douce. Elle pose sa seconde main sur ma hanche. Maintenant ses mains parcourent mon corps, le dos, les côtés, le ventre, les seins, les fesses, les hanches. Les miennes font pareil, mais finissent sur son pubis. Je sens un léger mouvement de son bas ventre, une de mes mains descend sur ses lèvres. Un doigt se glisse entre elles, elles sont ruisselantes, mon doigt est recouvert de cyprine. Je le porte à ma bouche et le suce.

--Délicieux.

Je lui souris et pose ma bouche sur un de ses seins. Je plie lentement mes jambes en embrassant son corps si doux, je veux qu'elle devine ce que je vais faire et qu'elle m'arrête si elle ne veut pas. Elle ne fait rien. Ma bouche arrive au niveau de son sexe, mon nez est enrobé d'une odeur très excitante, je vois sa cyprine couler légèrement le long de ses cuisses. Elle est au bord de l'extase. Ses mains se posent sur ma tête, mais ne font rien pour m'arrêter.

--J'ai envie de te bouffer le sexe.

--Oui, vas-y, je crois que j'en ai envie.

A ces mots, je plonge sur ses lèvres, les écarte avec ma langue pour aller gober son clitoris. J'ai à peine mis mes lèvres dessus et aspiré qu'elle explose dans un superbe orgasme.

--AAAAAAAHHHHHHH, oui, oh lala, oh lala, oui.

Ses mains me plaquent sur son sexe, j'agrippe ses fesses pour augmenter la pression. Elle jouit sans retenue, arquée sur la pointe des pieds. Je la maintiens en place pour m'abreuver de son merveilleux nectar. Elle revient à elle lentement, je me redresse, la prends par les épaule et l'allonge sur sa serviette. Elle se laisse faire un léger sourire aux lèvres.

Elle est calme, détendue, sereine, ses bras pendent de chaque côté du transat, elle s'abandonne. Je me redresse pour admirer ce corps parfait qui m'est promis. Je me penche sur elle, mes mains parcourent son corps, elle se laisse faire les yeux fermés, je me penche sur ses seins pour les embrasser et les aspirer. Je vois son corps commencer à réagir. Ma bouche descend le long de son corps, jusqu'à son nombril que je titille avec ma langue.

Ma bouche se pose juste en dessous, son ventre ondule légèrement. Je vais au bout du transat, embrasse ses pieds, remonte en passant d'une jambe à l'autre sur ses tibias, ses genoux, ses cuisses qu'elle ouvre un peu, me laissant le passage vers son sexe, elle en veut encore. Ma bouche atterrie sur sa vulve. Je m'attarde un peu sur ses lèvres, les lèche, les suce, les mordille. Elle réagit de plus en plus.

Ma bouche finit par arriver sur son petit bouton, ses jambes m'enserrent le cou et me plaque dessus. Je le titille, le mordille, l'aspire, le lèche.

Je sens son corps de plus en plus mobile jusqu'à ce que ses jambes me serrent à m'en étouffer. Son ventre se soulève, je reçois de plus en plus de cyprine, elle jouit en silence cette fois. Je n'arrête de l'exciter avec ma langue que quand je sens la pression de ses cuisses se relâcher. Elle me libère, ses mains me prennent la tête et tirent.

--Viens.

Elle tire, mon corps ruisselant de sueur glisse entre ses cuisses et sur son corps ruisselant de sueur, nous sommes maintenant peau à peau, sexe à sexe, seins à seins. Elle appuie sur ma tête pour la poser sur la sienne, nous sommes bouche à bouche. C'est elle qui prend l'initiative de ce baiser. Sa langue entre dans ma bouche, titille la mienne qui le lui rend bien. Ses mains parcourent mon dos et mes fesses, glissent sur ma peau qui ne demande que ça. Elle me fait reculer la tête, me regarde.

--Merci.

--Mais de quoi?

--De m'avoir fait découvrir ce qui me manquait.

--Je ne comprends pas très bien.

--Tu sais que je suis parfaitement heureuse avec Chris, nous nous entendons merveilleusement bien physiquement et dans la vie, mais, malgré ça, j'avais toujours l'impression d'un manque, que mon corps demandait autre chose, un complément. Et tu viens de me faire découvrir ce que c'était.

--Tu avais des penchants lesbiens sans le savoir?

--Je crois que je le savais mais que je ne voulais pas l'admettre, j'ai toujours apprécié un beau corps de femme, mais je me disais que c'était l'esthétique du corps qui me plaisait, or, je réalise maintenant que c'était plutôt une attirance physique.

--Tu ne regrette pas j'espère.

--Pas du tout, mais je dois aller plus loin, et je ne sais pas si je pourrais.

--Prends ton temps, rien ne presse, mais Chris ne t'a jamais fait de minette?

--Oui, mais ce n'est pas pareil, avec toi, c'est autre chose, comme tu disais, plus doux, plus sensuel.

Je descends du transat, passe ma main sur son corps ruisselant de sueur.

--Il nous faudrait bien une douche tu ne crois pas?

--Allons-y.

Nous allons dans la salle de bain, cette fois-ci, je m'occupe de son corps, je passe du gel sur toute sa surface en insistant un peu entre ses fesses. A ma grande surprise, elle réagit bien en donnant un petit coup de rein. Je m'accroupie derrière elle, lui écarte les fesses et pose ma langue sur sa rondelle.

--Oui, j'aime.

Je lui titille la rondelle, enfonce légèrement ma langue dans sa grotte, je vois qu'elle a posé une main sur son clitoris. J'insiste sur son anus et elle jouit de nouveau.

--AAAAAAAHHHHHH, OOOOOHHHHH, oui, ouiiiiiiiiiii.

Je lui aspire l'anus jusqu'à ce qu'elle se détende un peu. Je me redresse.

--Tu es très sensible du cul.

--Oui, j'aime me faire sodomiser par Chris.

--Moi aussi, mon Al aime me transpercer le cul et j'aime bien.

Le téléphone fixe sonne, je vais dans le salon pour répondre.

--Allo?

--Lulu, c'est Aïcha, tu m'as dit que je pouvais venir chez toi si j'étais sans toit, c'est le cas, la copine de Louis s'est installée chez lui et m'a fait comprendre que j'étais de trop, je peux venir?

--Oui, bien sûr.

--Ok, je suis chez toi dans une grosse demi-heure.

--Ok, la porte sera ouverte, tu entres sans sonner, il y a quelqu'un avec moi, je t'expliquerais tout à l'heure, mais tu entres, tu poses tes affaires dans le salon, tu te déshabille et tu viens nue dans le jardin.

--D'accord, mais tu oublies que je ne suis jamais venu chez toi.

--C'est simple, quand tu entres, tu es directement dans le salon et la grande baie vitrée à gauche donne sur le jardin, elle sera ouverte.

--Ok.

--Tu arrives comme si c'était prévu depuis longtemps, je ferais semblant d'avoir oublié.

--Ok, elle est belle j'espère.

--Magnifique.

--Et je pourrais y goûter?

--Ça, ça dépendra d'elle.

--Ok, à tout à l'heure.

Pas beaucoup voire aucun commentaires sur les précédents chapitre, est-ce que cette histoire vous intéresse? Nous attendons vos commentaires.

Nous faisons encore une publication qui était déjà prête, nous verrons quel accueil lui sera réservé.