Un Couple Pas Comme Les Autres 09

L'hypermarché

Sara enfile sa tunique mais oublie le string, j'enfile directement sur ma peau une robe légère, très courte et Aïcha sa micro-jupe plissée et le tee-shirt super moulant qu'elle a enlevé en arrivant. Nous voilà parties pour bien nous amuser.

Arrivées à l'hyper, nous prenons un caddy et flânons dans les allées. Nous avons jeté deux ou trois articles dans le caddy, c'est moi qui le pousse. De temps en temps, je me penche par-dessus pour bouger un des articles, se faisant, ma robe remonte découvrant la moitié mes fesses.

Au bout de quelques minutes de ce manège, nous avons deux mecs qui nous suivent partout. Aïcha prend le relais, elle fait la même chose, mais sa jupe ne remonte qu'à un tiers de ses fesses, les mecs, que je surveille du coin de l'œil, paraissent déçus.

--Sara, tu prends le relai?

Elle hésite, regarde autour d'elle, fait un mouvement brusque de la tête.

--Ok, dans le fond, je suis là pour ça, monter mon cul.

--Qui est superbe et appétissant.

--Je confirme, d'ailleurs, j'en ai mangé.

Nous rigolons à cette boutade, Sara prend les commandes du caddy. Nous la laissons prendre un peu d'avance pour pouvoir mieux apprécier le spectacle. Elle fait comme nous, sa tunique monte au-dessus de ses fesses, mais quand elle se redresse, la tunique ne redescend pas, coincée en haut des fesses. Je vais pour lui rabattre.

--Non, laisse, qu'ils en profitent.

Dix secondes plus tard, la tunique retombe couvrant ses fesses. Les mecs sont hilares, mais je remarque que deux femmes sont derrière eux et nous regardent. Elles les doublent et viennent vers Sara, l'une d'elle s'approche d'elle.

--Certainement le plus beau cul qu'il m'a été donné de voir dans ma vie, vraiment, une merveille.

--Merci, mais je n'y suis pour rien, ce sont mes parents qu'il faut féliciter.

--Vous le ferez de ma part quand vous les verrez.

--Je n'y manquerais pas.

--J'aimerai faire plus ample connaissance avec lui.

Sara se penche en avant tout en marchant sans aller aussi loin qu'avant, sa tunique ne dévoile que le bas de ses fesses. La femme qui lui a parlé se suce le majeur, pose sa main dessus et les caresse devant tout le monde en remontant la tunique, son majeur se glisse entre elles et bouge d'une manière qui ne laisse aucun doute sur l'action.

Sara semble y prendre beaucoup de plaisir, je ne comprends pas, en début d'après-midi elle n'osait pas se déshabiller devant moi, et maintenant, elle se fait peloter les fesses et enfoncer un doigt dans le cul par une inconnue dans l'allée d'un hypermarché un mercredi après-midi, jour de grosse affluence. Il faudra qu'elle m'explique ça quand nous rentrerons, mais pour l'instant je profite du moment.

Sara se dirige vers le rayon « femme », nous la suivons ainsi que les deux autres femmes qui se sont mises devant nous, elles sont assez jeunes, dans les trente ans, belles, grandes, et portant toute les deux la même robe blanche très courte. Je ne peux distinguer ce qu'il y a en bas, mais elles ne portent pas de soutifs, c'est très clair vu le décolleté du dos qui descend presque jusqu'à la taille. Les deux mecs abandonnent, certainement trop de femmes entre elles pour eux. Arrivés au rayon, Sara se met entre deux porte habits remplis de robes, la femme la suit, quand j'arrive moi aussi, Sara est en train de faire passer sa tunique par-dessus sa tête. J'hallucine, elle est à poil dans un hyper bourré de monde. Je regarde tout autour pour constater qu'en fait, il n'y a personne à vingt mètres à la ronde.

Nous sommes seules.

Je me retourne pour voir ou est Aïcha et je tombe sur une scène ahurissante. Elle n'a plus sa jupe et l'autre femme est agenouillée devant elle et lui fait une minette. Aïcha a ses mains sur sa tête, les yeux fermés, elle est totalement dans son trip. Je reste comme une conne, habillée à ne rien faire. Je regarde de nouveau vers Sara, elle est appuyée sur un meuble bas, les jambes ouvertes avec la femme accroupie devant elle qui lui bouffe la vulve.

J'ai une boule au ventre, je sens un liquide couler sur mes cuisses. J'entends la respiration de Sara qui augmente jusqu'à ce qu'elle jouisse en silence, secouée de spasme. Quand je me retourne sur Aïcha, la femme est debout, elle tient sa jupe à la main. Elle a dû, elle aussi, prendre son pied, je n'ai rien entendu. Les deux femmes se rejoignent, nous sourient et s'en vont. Je me sens un peu conne, je devais être trop vielle pour elles.

Sara comprend mon état d'esprit, elle vient vers moi, s'agenouille, passe sa tête sous ma courte robe et pose sa bouche sur mon sexe ruisselant. Je ne mets que quelques secondes à jouir. Quand elle se redresse, c'est pour poser sa bouche sur la mienne et échanger un baiser. Aïcha vient me caresser les fesses, je suis bien. Elles se rhabillent, quand nous nous retournons pour sortir du rayon, les deux mecs de tout à l'heure sont là, ils devaient nous attendre. Ils viennent vers nous et l'un d'eux s'adresse à moi.

--Bonjour mesdames, nous avons pu constater que vous faites vos courses d'une drôle de manière, nous pouvons vous aider?

--Faut voir.

--Quoi?

--Devinez.

Ils se regardent et descendent leur fermeture éclair. Ils sortent deux énormes sexes dont l'un possède un gigantesque gland. Je tends les mains pour les saisir et les caresser, mais ils sont déjà bien raides. Les filles s'éloignent un peu, elles ne veulent pas de contacts avec des hommes. Moi, je ne suis pas dans le même état d'esprit, j'aime les bites et je veux profiter de ces deux monstres. Je fais passer ma robe par-dessus ma tête, ils comprennent et enlèvent leur pantalon. Je sors mon tube de graisse et m'en badigeonne le cul. Ça va faire la seconde fois en cinq jours que je me fais baiser et enculer en même temps par deux mecs, j'adore.

--Ensemble s'il vous plait.

L'un d'eux se met devant moi et l'autre derrière, un gland se pose sur ma vulve et entre doucement, l'autre enfonce mon anus qui s'ouvre pour l'accueillir. Ils s'activent synchrones, ils entrent et sortent en même temps. Ils sont jeunes, ça ne va pas durer, mais je m'en ai cure, je suis trop excitée et je veux sentir leur sperme m'inonder le vagin et le rectum.

Comme je l'avais prévu, ils jouissent assez vite, je sens leur sperme chaud et je jouis quand même en même temps qu'eux, j'étais trop en attente. Ils se retirent, mais celui qui était derrière vient devant et s'agenouille pour me gober la vulve et aspirer le sperme de son copain qui fait la même chose sur mon cul en m'écartant les fesses.

Ça dure deux bonnes minutes et je jouis une nouvelle fois. Ils se redressent, me sourient, enfile leurs pantalons et nous quittent. Je reste les yeux fermés, les bras ballants un peu dans les vaps, Sara et Aïcha en profite pour me caresser et m'embrasser sur tout le corps.

Quand j'ouvre les yeux, c'est pour tomber sur le regard perçant d'un homme dans quatre-vingts ans voire plus qui me fixe. Il s'approche tout contre moi, les filles s'écartent. Toujours en me regardant, il pose ses mains sur mes seins, les caresse, les soupèse, me pince légèrement les tétons, je le laisse faire. Enhardi, il laisse ses mains descendre vers le bas de mon corps, une main sur mon sexe, l'autre sur mes fesses. Un doigt se glisse entre mes fesses toujours graissées, un autre se pose sur mon clitoris gonflé. Il s'active sur ses deux cibles, mon clito et mon anus. Il les titille, les caresse, enfonce un doigt dans mon anus, me pince le clitoris, c'est un homme d'expérience, je vois dans ses yeux sa joie de s'amuser avec moi. Je résiste le plus longtemps possible, je veux qu'il prenne un maximum de plaisir avec mon corps.

Ses doigts s'activent, je résiste cinq minutes, je fini par me laisser aller, et j'explose dans un merveilleux orgasme qui me traverse le corps entier. Quand il sent que je me détends un peu, il s'agenouille devant moi pour plaquer sa bouche sur mon sexe. Sa bouche m'aspire, sa langue lèche entre mes lèvres, s'enfonce dans ma vulve et vient titiller mon clitoris, sa bouche se referme sur lui, l'aspire pour le tendre au maximum, sa langue excite son extrémité plus que sensible, c'en est trop, je repars dans un nouvel orgasme. Après avoir bu tout ce qui sortait de mon sexe, il se redresse, dépose un baiser sur chaque sein, me tapote les fesses et s'en va. Je ne connais pas le son de sa voix, mais je viens de vivre un moment exceptionnel avec un vieil homme qui m'a fait jouir deux fois en moins de trois minutes. J'espère que lui aussi a pris un grand plaisir à ma faire jouir. Les filles me regardent, elles se tiennent par la taille, elles ont l'air contentes pour moi.

--Alors les filles vous avez pris votre pied?

--Absolument, elles savaient s'y prendre.

--Moi aussi, j'ai pris mon pied, et je peux vous dire que le vieux savait aussi s'y prendre, on voit bien que c'est un vieux pervers expérimenté.

J'enfile ma robe et nous quittons le rayon.

--Quel dommage d'être obligé de s'habiller pour aller en ville, je déteste.

--Tu aimerais te balader à poil au milieu de plein de gens?

--Oui, j'adorerais, tu connais un endroit où je pourrais le faire?

--Oui, mais attention, c'est un endroit hard, si tu te mets à poil, tu vas te faire baiser par plein de mecs, ou te faire bouffer la moule par plein de femmes c'est la règle, en revanche si tu es habillée, personne ne te touche. J'y suis allé une fois avec une coloc nymphomane, nous y sommes restées trois heures et elle s'est fait baiser plus de vingt fois, et devant comme derrière. En plus, elle a dû faire une bonne dizaine de fellation, elle dégoulinait de foutre de partout, mais elle était heureuse.

--Ce coin devrait me plaire, c'est loin?

--Une petite heure de route, ça s'anime à partir de vingt heures.

--Ça vous dit d'y aller ce soir les filles, à priori, si vous restez habillées, vous ne risquez rien.

--Ok pour moi, j'ai déjà fait l'expérience, si nous partons vers dix-neuf heures, nous y serons quand il n'y a pas encore trop de monde.

--Moi, je ne sais pas, ça me fait un peu peur.

--Ecoute Sara, si tu ne le sens pas, on n'y va pas, je pourrais y aller une autre fois avec Aïcha.

--Je te promets que tu ne risques rien, j'y suis allé une fois habillée, et personne ne m'a touchée.

--Ok, ok, je vais vous accompagner, ça me fera voir autre chose.

--Allez, on rentre.

Nous rentrons chez moi, nous avons une heure pour nous préparer, nous le faisons tranquillement. Aïcha prépare un petit sac qu'elle met dans son sac. Vers dix-neuf heures, nous partons guidés par Aïcha. Au bout d'une heure et quart, nous arrivons sur une aire de repos, je trouve une place sur un des parkings, j'y gare la voiture. Il y a des chemins qui s'enfoncent dans un sous-bois, on distingue une lueur à trois ou quatre cents mètres. Aïcha sort de la voiture.

--Tu dois te déshabiller, si nous arrivons toutes habillées, ils ne nous laisseront pas entrer.

--Ok.

J'enlève ma robe, je ne garde qu'un tout petit sac que je mets en bandoulière, il contient mon tube de graisse. Aïcha sort son petit sac, elle en extrait un collier de chien avec une laisse. Je ferme la voiture et donne les clefs à Sara qui a l'air un peu affolée, je me penche vers elle, dépose un rapide baiser sur ses lèvres.

--Ne t'en fait pas, ça va bien se passer.

--Je sais, mais c'est quand même un peu bizarre non?

--Je te l'accorde.

Aïcha vient vers moi.

--Tu accepte que je te le mette, tu n'es pas obligée, ils nous laisseront entrer si tu es à poil, mais j'ai vu quelqu'un le faire la fois ou je suis venu, et j'aimerais amener mon esclave se faire défoncer par des inconnus.

Je suis un peu surprise, mais l'idée me plait.

--Ok, je suis ton esclave, fais de moi ce que tu veux.

Aïcha me met le collier et l'attache à la laisse, nous nous dirigeons vers la lueur. Nous arrivons dans une sorte de clairière, il y a entre quarante et cinquante personnes, beaucoup plus d'hommes que de femmes, presque toutes les femmes sont nues, j'en vois huit ou dix qui se font baiser, six ou sept autres se font enculer et deux couple de lesbiennes qui se broutent le minou.

Deux autres femmes sont habillées. Deux hommes sont habillés, cinq hommes sont nus, ils se font enculer. Tous les autres hommes ont un tee-shirt et le bas nu, une grande partie s'occupent des femmes trois ou quatre sont seuls.

--Je pense que tu as compris que les personnes à poil sont là pour se faire baiser ou enculer, hommes comme femmes, les hommes culs nus, sont les baiseurs ou enculeurs.

--J'avais compris, mais il n'y a pas beaucoup de femmes et d'hommes habillés.

--En général, ils viennent en couple pour participer tous les deux.

Deux hommes sont à l'entrée, ils nous regardent à peine et nous laissent entrer. Aïcha me guide au milieu de tout le monde, je sens des mains qui me touchent, un sein, une fesse, une hanche... un homme cul nu, monté comme un âne, vient vers moi. Il veut prendre la laisse des mains d'Aïcha, mais elle refuse.

--C'est mon esclave, c'est moi qui la tiens en laisse, où veux-tu que je m'amène?

--Au milieu de la clairière.

--Ok.

Aïcha donne deux petits coups sur la laisse et m'amène au milieu de la clairière. L'homme nous suit en me pelotant les fesses.

--Une nouvelle femelle qui veut s'amuser, je vais lui montrer ce qui se passe ici.

Mais je sais que je ne serais pas le seul.

Je tends la main pour me saisir de son sexe encore un peu mou. Je le masturbe un peu, il se dresse vers le ciel.

--Tu as ce qu'il faut pour ton cul?

--Oui.

--Alors, prépare-le.

Je m'enduis le cul de graisse, une fois prête, il s'avance, se colle à moi, je sens sa bite contre mon ventre. Il se recule un peu, descend un peu sa bite pour qu'elle soit à la bonne hauteur et me l'enfonce d'un seul coup dans le vagin. Je passe mes bras autour de son cou pour me maintenir contre lui. C'est à ce moment que je sens une autre bite se glisser entre mes fesses. Une nouvelle fois, je suis prise par deux mecs en même temps, j'adore. Les deux mecs me labourent avec entrain, ils ne mettent pas très longtemps à se vider en moi, je sens leur sperme me remplir le vagin et le rectum. Celui qui est derrière se retire, j'attends que celui qui est devant en face autant, d'autant que je vois un autre mec venir vers nous, avec un très longue bite bien raide.

Au moment où il se retire, des mains se posent sur mes hanches et une nouvelle bite s'enfonce dans mon anus. Le mec donne de grands coups de rein à une vitesse folle, il devait être très excité car il se vide dans mon cul en moins de trente secondes. Il se retire très vite. Celui qui venait vers moi me sourit, pose ses mains sur mes hanches et m'attire à lui, son sexe me perfore sans délicatesse, jusqu'à toucher mon utérus. Il dure un peu plus longtemps, mais lui aussi n'a pas beaucoup de résistance. Il jouit en moi assez vite. Je viens de me faire baiser et enculer par quatre mecs qui n'ont pas été capables de me faire jouir, je suis un peu déçue. Aïcha le comprend et m'entraine dans un coin de la clairière.

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