Un footballeur au sang chaud 02

Une semaine déjà que Delphine a fait la brusque connaissance de Luc.

Une semaine qu'elle ressasse les évènements et qu'elle hésite à revoir ce macho qui l'a sauté sans hésitation dans un banal vestiaire sportif.

Mais Delphine au fond d'elle y a pris du plaisir. Elle en a honte, mais cet homme rustre l'a fait jouir, et cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas vécu cela. D'ailleurs a-t-elle vécu cela au moins une fois dans sa vie?

Delphine, se rend bien compte qu'elle est face à un beau dilemme.

Retourner dans ce vestiaire et s'afficher finalement comme une fille facile qui en redemande, où tirer un trait sur ses sous-vêtements au profit d'un ensemble sportif masculin, mais surtout reprendre sa bonne petite vie rangée.

On est dimanche, Luc est plutôt content de son match. Il n'a certes pas marqué mais au moins il ne s'est pas énervé avec l'arbitre et a pu ainsi jouer 90 minutes.

Luc a pourtant une petite insatisfaction. Il aurait bien aimé retrouver dans les vestiaires la petite allumeuse qui s'était pointé et qui lui avait permis libérer son trop plein d'hormones entre autres.

Cette petite contrariété l'amène à refuser de boire un verre avec ses coéquipiers. Une fois douché et habillé il salue ses amis et part rapidement à sa voiture.

Une fois sur le parking, Luc s'aperçoit qu'une femme le regarde longuement. Il la sent hésitante, gênée.

En se rapprochant, il comprend qu'il s'agit de Delphine. Au fond de lui il est heureux qu'elle soit revenue.

Mais il aime la voir dans cette attitude embarrassée voir dominée.

L : Bonjour Delphine. C'est bien cela?

D : Oui c'est bien mon prénom.

L : Tu es revenu pour me rendre mes affaires. C'est bien, par contre je n'ai pas les tiennes ... tu vas donc me suivre pour les récupérer. Ok?

D : OK mais ...

L : Si tu les veux suis moi sinon donne-moi mes affaires et reprends ta petite vie de bourgeoise...

Luc sent bien qu'il a une occasion unique. Il sent qu'il a affaire à la femme de ses rêves.

Une femme moderne, indépendante mais avec un tempérament de soumise.

Une femme pleine de principes, de bien séances dans la vie de tous les jours.

Mais une femme qui si le masque tombe ... est capable de se décoincer diront certains, d'être une sacrée cochonne diront d'autres.

Toujours est-il que Luc avec sa voix roc reprend l'ascendant sur Delphine.

Delphine en est bien consciente mais n'est-elle pas là pour cela aussi?

Ce n'est pas pour rien qu'elle s'est habillée avec une belle jupe légère et ondulante et un beau pull moulant afin de rappeler à Luc ses belles formes.

Delphine n'a pas envie de retourner à sa vie ranger. Elle aura tout le temps de dire stop et retomber dans la monotonie de son couple.

C'est pourquoi Delphine répond d'une voix timorée à Luc qu'elle le suit.

Au moment de s'asseoir dans sa voiture, Luc l'apostrophe.

L : Pas si vite Delphine. Je veux vérifier une chose.

D : Quoi?

L : Pas la peine de venir chez moi si tes dessous ne sont pas en adéquation avec ta jupe d'allumeuse.

D : vous voulez que je lève ma jupe ici sur le parking?

L : Mieux que cela Delphine. Avant de monter tu dégrafes ta jupe et tu me la donnes.

D : Mais je ne peux pas on risque de me voir!!

L : C'est ce qui fait le charme de ma demande Delphine. Ce n'est pas l'amour du risque mais le plaisir du risque. Sinon ne t'ennuie pas, reste là et je te les enverrai par la Poste.

Le rouge aux joues, Delphine descend la fermeture éclair et le plus rapidement possible et fait tomber sa jupe.

Elle s'apprête à s'accroupir pour la saisir et la redonner. Mais Luc lui murmure que ce n'est pas la manière idéale pour lui révéler sa culotte. Delphine comprend et se penche, les jambes bien droites. Son pull remonte, elle expose distinctement son tanga ajouré aux yeux de Luc.

Elle n'ose plus se relever de peur de devoir affronter son regard. Elle a honte de ne pas résister à de telles demandes. Jamais elle n'a fait cela ... ce n'est pas dans son caractère et pourtant elle le fait sans qu'il n'ait fait le moindre chantage ou geste agressif.

Malgré l'embarras et de peur d'être aperçue par d'autres personnes elle se relève néanmoins. Luc a un visage approbateur. Il prend sa jupe et lui fait comprendre qu'elle peut s'asseoir dans sa voiture.

Son regard plongeant admire les jambes écartées, les jambes lisses de Delphine. Cela le fait bander de voir son physique ainsi dévoilé.

Mais ce n'est rien au regard de sa réaction lorsqu'il découvre qu'au niveau des seins le pull laisse transparaitre que ses seins pointent outrageusement. Sa verge est au bord de l'explosion.

Il monte vite dans sa voiture de peur de laisser ses pulsions prendre le pas et se ruer sur Delphine, ici en plein milieu du parking.

Delphine est soulagée en découvrant qu'elle se retrouve dans le parking de l'immeuble. Cela sera plus simple vu sa nudité.

Ces 10 minutes en voiture en tout cas n'ont rien fait pour la calmer. Elle est excitée face à l'autorité et l'audace de ce Luc.

Et puis son physique d'athlète ne réduit en rien son charme.

Une fois arrêtée, elle attend qu'il vienne la voir, espérant qu'il va lui rendre sa jupe pour aller jusqu'à son appartement.

Mais il n'en n'est rien. Il faut dire qu'il y a à peine 20 mètres entre la voiture et l'ascenseur. Et à l'heure qu'il est les voisins sont tous à table. Mais ces éléments Delphine ne les connaît pas.

Son visage s'empourpre à nouveau, son sexe humidifie, ses tétons dardent. Elle n'ose y croire.

Ce que la bienséance ou son cerveau refuse à considérer comme moyen de prendre du plaisir, son subconscient lui rétorque qu'il en prend actuellement.

Delphine les fesses à l'air se met à suivre Luc. Mais Luc préfère l'idée de pouvoir mater ses fesses fendues de son tanga blanc.

Il se délecte par ailleurs de l'ouverture de la porte du garage et de l'ascenseur. Il voit Delphine retenir son souffle à l'idée de se retrouver nez à nez avec un voisin, puis son soulagement quand elle s'aperçoit qu'ils sont seuls.

Une fois entré dans son domicile, Delphine est tout autant épuisée qu'excitée. Cette exhibition « forcée » a casser des barrières invisibles.

Elle se rue dans les bras de Luc pour l'embrasser. Mais Luc ne l'entend pas de cette oreille.

L : enlèves ton Pull et ouvre les rideaux du séjour!

D : Mais pourquoi.

L : J'ai lavé tes dessous mais je les ai laissés sur le balcon pour qu'ils sèchent. Va les chercher!

D : Sans mon pull?

L : Oui. Vu que t'exhiber te fait mouiller je te prépare à une belle jouissance.

D : ce n'est pas vrai.

L : alors pourquoi ta culotte fait apparaitre une tache sombre et ton soutif révèle des tétons bien durs?

Delphine est sur le cul par la perspicacité de Luc. Elle est vaincue. Et à nouveau elle agit comme il lui demande.

Jamais elle n'aurait pensé se balader ne serait-ce que 30 seconde quasi nue sur un balcon. Et pourtant elle le fait avec toujours cette sensation ambivalente qui lui chauffe le bas ventre et secoue sa tête.

De retour dans l'appartement, Luc la prend par le bras et l'amène dans sa chambre. Avec un ton autoritaire il lui dit que ce sera cette fois ci ici mais qu'il n'est pas pour faire dans le classique.

Sans mot elle baisse sa culotte. Elle fait bien attention à ne pas plier ses jambes pour qu'il ait une belle vue de ses fesses. Il apprécie le geste et d'une petite tape suivi d'une longue caresse goute à ce joli fessier.

Le soutien-gorge ôté, elle s'allonge sur le dos puis écarte les jambes pour le recevoir. Sa touffe par contre déplait à Luc.

Il lui fait comprendre que cela doit changer si elle veut profiter de sa bouche sur son abricot.

En attendant, Luc qui s'est déshabillé en un éclair s'écrase sur elle.

Delphine a le souffle coupé par ce monstre de chair.

Un bref instant après elle a de nouveau le souffle coupé. Le membre de Luc vient de prendre possession du vagin de Delphine.

Tel un papillon elle est clouée au lit par ce footballeur.

Il se met à aller et venir dans son sexe sans ménagement. Il s'enfonce jusqu'à la garde pour ressortir quasiment totalement. Seul le gland laisse la voie ouverte.

Il la besogne sans retenue, puis d'un geste brusque la fait se relever et s'empaler sur sa tige.

Delphine jouit sur le champ, elle lui mordille l'oreille de plaisir. Elle est heureuse.

Libérée de l'emprise, Luc colle ses lèvres à son oreille :

L : maintenant que tu as pris ton plaisir tu vas m'en donner.

D : Que veux-tu que je te fasse.

L : tu n'as pas une petite idée? Tu vas me sucer bien évidemment.

D : Vu le plaisir que tu m'as procuré je ne peux pas te le refuser.

L : tu ne peux rien me refuser, suce moi maintenant et prépare toi à avaler ma petite salope.

Delphine, reçoit ses derniers mots comme une décharge. Dans un contexte classique elle se serait énervée. Mais là non.

Elle qui n'a que très exceptionnellement bu le jus de ses amants, elle qui ne comprenait pas comment dans des livres à l'eau de rose des mots crus pouvait être dignes d'un aphrodisiaque, elle comprend à ce moment que la relation avec Luc rende ces demandes et mots érotiques.

Avec ardeur et volonté de donner un maximum de plaisir Delphine s'agenouille et se met à lécher la verge de Luc. Son pénis durcit en un instant

Avec ses mains Luc prend la tête de Delphine pour positionner son gland entre ses lèvres. Mais au lieu de se laisser faire Delphine, anticipe et uniquement avec sa buche commence à masturber Luc. Elle veut être à la hauteur de ses termes : sa petite salope.

Elle accélère le rythme. Elle enfonce sa membre de plus en plus profond dans sa bouche.

Elle serre ses lèvres , sa bouche est devenue une main pour Luc. Il n'y tient plus, sa verge soubresaute pour laisser jaillir sa semence.

Comme demandé Delphine en bonne élève avale son nectar puis nettoie la hampe de Luc.

Luc n'en revient pas. Cette femme aux allures de bourgeoise est devenue une toute autre personne juste en la poussant à s'exhiber. Il a un diamant entre ses mains qu'il va falloir sculpter.

Mais comment faire pour conserver une telle relation?

Aura t'elle un abricot lisse pour lui?