Un magnifique cadeau de Noël

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Un ex élève s'envoit son ex prof de maths.
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Coulybaca
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Un magnifique cadeau de Noël

Jock Got a Christmas Carol

Coulybaca / Black Demon

Scott Berger avait couché avec beaucoup jeunes ados dans ses dernières années de lycée et depuis qu'il se trouvait en première année de fac.

Mais la seule femme dont il rêvait chaque nuit c'était cette jeune prof maths de maths qu'il avait eu ses dernières années de lycée.

La ravissante madame Carol Hasting, chaque jour il bandait comme un âne à sa vue ce qui rendait difficile de se concentrer sur les figures de maths, il préférait d'ailleurs et de loin se la représenter entièrement nue.

Elle était toujours vêtue d'élégantes tenues et chaussait de hauts talons.

Il bavait de concupiscence en se la représentant entièrement nue, il écartait alors l'entrejambe de son caleçon pour pouvoir se branler tout à son aise.

Son désir avait encore grandi quand cette jeune prof de 32 ans était venue s'installer avec son mari dans son voisinage alors qu'il entrait à la fac.

Il avait eu le coup de foudre dès qu'il l'avait vue ce jour où les camions de déménagement s'étaient garés devant la maison voisine de la sienne.

Lorsqu'ils se croisaient, cette ravissante jeune femme lui lançait un "bonjour" amical, toute souriante et lui faisait des petits signes amicaux de la main.

Trois semaines après leur déménagement l'école avait repris et Scott en était presque tombé sur le cul en voyant, le premier jour de classe, qu'elle était sa nouvelle prof de maths.

Chez elle il voyait toujours cette ravissante porter des tenues ordinaires, ce qui lui avaient déjà chaviré les sens.

Et voila qu'il la voyait vêtue d'une de ses tenues de classe, hauts talons et robe élégante, Il s'était payé une bandaison comme il n'en avait jamais connu, en imaginant caresser ses appâts aussi somptueusement mis en valeur.

Une nuit, en l'absence de sa sœur et de ses parents, il s'était habillé de chaud et avait grimpé sur le toit de leur maison.

La lumière était allumée dans la salle de bain des voisins, il avait pris des jumelles ce qui lui permettait d'observer leur sale de bain en détail, malheureusement la buée couvrait la vitre de la et il ne pouvait voir que le haut de la stalle de douche.

Scott vit alors une main menue sortir de la buée doigts finement manucurés tendus, puis une autre, puis le chemisier vert tendre qu'il lui avait vu porter cet après-midi.

Le haut de la porte de la douche s'ouvrit, la buée s'éleva jusqu'au haut de la vitre.

Scott haletait alors que son imagination lui peignait sa magnifique voisine nue sous la douche.

Dans la maison voisine, madame Carol Hasting savourait la chaude humidité de la douche qui se répandait sur son corps, elle pensait au jeune étudiant qui demeurait dans la maison voisine.

Les yeux fermés elle souriait en se rappelant son expression éberluée lorsqu'il était entré dans la salle de maths cet après-midi même.

Bien qu'il soit visiblement très timide, elle devait admettre qu'il avait un certain charme et elle avait entendu bien des jeunes ados soupirer d'amour après son jeune voisin.

Carol frémit en se souvenant soudain à quel point le jeune Scott Berger ressemblait à son premier amour de lycée, un jeune ado nommé Johnny Meeks qui la faisait défaillir.

Elle était devenue sa petite amie lors de sa première année en fac, elle lui avait offert sa virginité, ils avaient fait l'amour sur le siège arrière de sa voiture.

Pendant des années, après avoir rompu avec son petit ami elle avait évité toute liaison avec d'autres garçons, puis Carl était arrivé.

La douche tirant à sa fin, la porte de la petite stalle s'ouvrit à nouveau, à nouveau Scott put admirer sa main et ses longs doigts fuselés tandis que la ravissante prof se séchait dans un drap de bain, il se branla de plus belle, son imagination travaillant ferme.

Quelques instants plus tard, la lumière s'éteignit dans la salle de bain, Scott haletait sur le toit de sa maison alors qu'un filet de chaude semence s'écoulait dans la gouttière.

Depuis qu'elle avait vu son mignon voisin Carol se sentait attirée par lui, vacillant sur ses jambes elle lui avait adressé un surire candide ainsi qu'un signe de la main.

C'était peu de dire que Scott était timide et peu sur de lui pendant sa première année, en soupirant Carol constatait que c'était le contraire de sa toute première impression ce qui lui permettait de se sentir forte et confiante en elle-même.

Pendant toute cette première année où elle lui enseigna les maths Carol sentit que ce jeune homme avait une certaine inclination pour elle mais pas vraiment différente des relations habituelles de prof à élève.

Carol se doutait Scott la désirait, que cela dépassait maintenant les traditionnelles relations prof / élève, tout comme il était le seul dont elle rêvait la nuit.

En dépit de toutes ces photos de pin-up s'étalant dans "Playboy", et autres magazines pour hommes, c'était son image qui venait le hanter toutes les nuits.

Elle s'était débrouillée pour dissimuler ses pensées illicites tout au long de la première année, le jeune Scott semblait avoir mûri cette nouvelle année et était devenu la coqueluche de toutes les jeunes ados de la fac qui tout comme Carol mouillaient le fond de leur culotte rien que de penser à lui.

Il avait mûri, pris du muscle et était devenu le flanqueur droit de l'équipe de football de l'université ce qui renforçait encore sa ressemblance avec le premier amour de Carol.

Lorsqu'il passait dans les couloirs, il avait toujours une charmante jeune file au bras, à chaque fois le cœur de Carol tressautait de jalousie.

- Comment une femme mariée... Et heureusement mariée... Peut-elle ressentir de tels émois? s'admonestait-elle.

Au cours de ses trois dernières années de lycée, Scott avait travaillé correctement ce qui lui avait permis de rentrer brillamment à la fac.

Par ailleurs il était devenu un beau jeune homme, il tirait avantage de sa prestance, s'efforçant de se faire le plus de filles qu'il le pouvait, se comportant comme un séducteur né.

Il ne limitait son terrain de chasse aux jeunes et jolies filles de la fac, mais il avait élargi son horizon en se faisant quelques ravissantes mères de son quartier, ce qui avait cependant compliqué ses approches.

Il s'était par ailleurs tapé pas mal de filles majeures et en avait même engrossé deux, qui s'étaient fait avorter, au cours de ces trois dernières années.

Il était maintenant souvent à l'affût des jeunes femmes mariées dans la mi-trentaine, il adorait leur expérience et de plus se sentait libéré du risque de les engrosser.

Cependant il avait toujours gardé en tête l'image de sa ravissante voisine, son adorable prof de maths.

Ces derniers quatre mois à la fac, Scott avait largement eu le temps de contempler la femme de ses rêves, sur les annuaires de collèges et dans son album photo, il avait réussi à prendre quelques clichés d'elle au télé-objectif.

Entre autre, l'été dernier, il avait réussi à la prendre en bikini prenant un bain de soleil au bord de sa piscine.

Bien qu'il ne soit capable que de rêver d'elle, il avait décidé de prendre le vol retour pour les vacances d'hiver, espérant la revoir à nouveau.

Atterrissant le lendemain de la fin des classes, il fur reçu avec enthousiasme par ses parents qui s'étaient arrangés pour venir l'accueillir à l'aéroport bien qu'une épaisse couche de neige couvrait le sol.

Ils rentrèrent tout doucement chez eux sur dans le véhicule à quatre roues motrices de ses parents, la route était dégagée et le trafic très fluide.

Dès arrivée chez lui, Scott eut la chance de tomber sur madame Hasting pelletant la neige pour se ménager un chemin permettant à sa voiture de gagner la rue principale, il se demandait si, pendant ce temps, l'heureux mari de son adorable voisine était recroquevillé sur une chaise dans la douillette chaleur de son salon.

La voiture rangée dans le garage, Scott traversa la pelouse couverte de neige et vint saluer son voisin d'un sonore :

- Joyeux Noël monsieur Hastings!

- Hey Scott ça fait plaisir de te revoir! ... Joyeux Noël pour toi aussi! répondit-il gaiement.

- Vous avec un drôle de boulot pour dégager votre allée de garage! commenta Scott.

- Sur, j'aurai bien aimé que ma femme n'ait pas de soirée de Noël à "l'hôpital pour enfants de Sainte Bénédicte.... Je vais devoir lui prêter mon véhicule et il faut que je lui pose des chaînes tant qu'elle est dans le garage avant d'aller au boulot... murmura le voisin.

Une fois qu'il sut que madame Hastings faisait cuire une dernière fournée de cookies, Scott dit à son mari de lui souhaiter un joyeux Noël de sa part, puis il retourna chez lui en réfléchissant à toutes ses informations.

Il se souvint alors d'une copine de classe, Lisa Nolan qu'il avait retrouvé à la fac, elle lui avait confié qu'elle participerait avec un groupe d'anciennes du lycée à une fête de Noël organisée pour les enfants de l'hôpital Sainte Bénédicte.

Se pourrait-il qu'il s'agisse du même groupe dans lequel devait intervenir madame Hastings? ...

Cependant lorsque Lisa l'avait invité à se joindre à eux, il avait considéré que cela serait trop fatigant et qu'il avait mieux à faire.

Il était presque certain maintenant que madame Hastings devait se joindre à ce groupe.

Une fois rentré, Scott appela Lisa et lui demanda si c'était dans le même groupe de madame Hastings qu'elle devait intervenir à l'hôpital Sainte Bénédicte, comme elle le lui confirmait, il lui demanda si son invitation de se joindre à eux tenait toujours et sur sa réponse affirmative, il lui annonça qu'il les rejoindrait au moment voulu à l'hôpital.

Se pressant de sortir de sa maison il traversa le sentier enneigé menant chez les Hastings et interpella son voisin :

- Hey monsieur Hastings... Un instant... et il se posta contre la petite haie qui séparait les deux maisons, puis il ajouta :

- Une des filles de groupe qui se rend à Sainte Bénédicte vient de m'appeler pour m'inviter à me joindre à eux...... Cela ne vous sert à rien de dégager votre allée de garage puisque je dois me rendre aussi à l'hôpital Sainte Bénédicte... je serai très heureux d'y emmener madame Hastings dans mon 4x4... Puisqu'elle doit ren-contrer le groupe qu'elle encadre à 19 heures, nous devrions y être à temps en partant à 18 heures!

Dans sa chambre, Scott regardait la maison de sa voisine, sa bite tressautai de joie à l'idée de se trouver seul avec sa ravissante voisine.

- Peut-être bien que je pourrais feindre de m'enfoncer dans une congère ou quelque chose comme ça! .... Et quand elle commencerait à frissonner de froid je serai très content de la réchauffer en la serrant dans mes bras! pensait Scott plein d'espoir.

- Me balancerait-elle une baffe si je la serrais de trop près? ... Suis -je capable de la séduire ou me surestimerai-je? se demandait-il en son fort intérieur.

Dans la maison voisine Carol Hastings frémit d'excitation et de peur mêlées une fois que son mari l'eut mise au courant du nouveau développement, elle trempa soudain le fond de sa petite culotte.

Carol avait commencé par dire à son mari qu'elle préférait y aller seule, mais elle cessa rapidement en réalisant que ses explications n'avaient aucun sens d'autant plus que cela lui imposerait une autre heure de travail pour dégager l'allée du garage.

Si elle lui avait dit la vérité, qu'elle était tombée amoureuse de leur jeune voisin et qu'elle se sentait incapable de résister à d'éventuelles avances qu'il lui ferait, Carl aurait immédiatement empoigné la pelle et serait retourné nettoyer l'allée du garage.

- "Ah Carl, si seulement tu savais l'effet que e fait ce beau jeune homme... cela fait des années que je me débrouille pour ne pas le côtoyer de trop près, je me sens chanceler sur mes genoux lorsque je me trouve à proximité de lui... Et voilà que tu m'annonces que je vais rester seule avec lui cette nuit!

- Tu es en train d'offrir ta femme à ce jeune homme, qui a déjà une belle réputation de séducteur! frémissait-elle nerveusement.

Alors que son serviable jeune voisin lui tenait la porte ouverte, Carol jeta un regard en arrière sur la sécurité régnant dans sa maison où son mari confiant était assis devant le poste de télévision avant de prendre son boulot avec l'équipe de nuit de l'hôtel.

- Je te remercie de m'emmener Scott! ..... J'ignorais que tu faisais partie de la chorale qui allait chanter à Sainte Bénédicte ce soir... le remercia-t-elle en empruntant le sentier menant à l'allée de garage des Berger.

- Je n'avais pas l'intention de participer à cette soirée... Jusqu'au moment où j'ai appris que vous faisiez partie de ce groupe!

Cette réponse renforça sa nervosité.

Lui tendant une paire de sacs qui contenaient des thermos de chocolat chaud, elle demanda à Scott de les poser à l'arrière de la voiture.

Carol se rendait compte de son extrême nervosité.

A l'idée de rester seul avec ce charmant jeune homme elle se serrait les mains l'un contre l'autre, serrait les genoux pour endiguer les affolantes sensations agitant son entrecuisses.

Une seconde de silence s'écoula, puis quelques minutes avant que Carol parvienne à balbutier :

- Je sais, tu voudras probablement sortir avec ta petite amie lorsqu'on rentrera de cette soirée... Je... Je pourrais sûrement demander à une des filles de me ramener!

En l'entendant balbutier de nervosité, dans une attitude extrêmement différente de celle qu'elle avait lors des ses années collège, Scott conçut l'effet qu'il lui faisait.

- Il n'en est pas question madame Hastings! ... Cela me fait plaisir..... Sinon je ne vous l'aurai pas proposé..... Je sais que je vais adorer être seul... Avec vous! répliqua-t-il suavement.

Et comme le trafic ralentissait à quelques kilomètres de la banlieue, il se tourna, sourit à la ravissante jeune femme qui tremblait à ses cotés et commenta alors qu'ils passaient devant des motels qui semblaient n'attendre qu'eux :

- N'aimeriez-vous pas faire un détour par cet endroit?

S'étant tournée vers l'endroit que Scott désignait d'un signe de tête en faisant son dernier commentaire, Carol frémit en voyant l'insigne "Notel Motel" comprenant exactement ce qu'il sous-entendait, elle sentit son jus poisser le fond de sa petite culotte à cette idée.

- Mon Dieu comment peut-il se montrer aussi entreprenant? ..... J'aurai du lui coller une paire de gifles pour me suggérer ça! ...... Que pense-t-il que je suis? ..... Une petite salope, une fille facile?

- Je suis son ancienne prof de math et il habite juste à coté de chez moi! ..... Il devrait me montrer un certain respect! fulminait Carol, mais ses yeux se focalisèrent sur l'enseigne de l'hôtel alors qu'ils s'éloignaient.

En la voyant détourner la tête alors qu'ils passaient devant l'hôtel, Scott comprit que s'il était entré dans le parking du motel elle s'en serait accommodé.

Quelques bâtiments plus loin, il entendit sa ravissante compagne pousser un gros soupir.

Sa bite frémissant dans son caleçon tant il avait envie de sa ravissante prof et adorable voisine, Scott se demandait s'il pourrait attendre encore quelques heures pour la toucher lorsqu'ils seraient de nouveau seuls ensemble.

Même s'il faisait chaud, ce n'est pas pour cela que Carol tremblait de nervosité à force d'être si prêt de ce séduisant jeune homme.

Comme les sièges arrières du 4x4 étaient rabattus, elle voyait que le grand coffre était vide à l'exception d'une taie d'oreiller qui retint son attention.

Un coup d'œil par-dessus son épaule confirma ce qui avait attiré son attention, non seulement le siége était en position couchée mais on pouvait observer une pile de couvertures soigneusement pliées rangées sous la taie d'oreiller.

Toute tremblante, Carol se demandait

- Croit-il qu'il peut me traiter comme une jouvencelle de l'université qu'il sauterait à l'arrière de sa voiture?

Le cœur battant la chamade Carol espérait qu'ils arriveraient rapidement à l'hôpital Sainte Bénédicte qu'elle apercevait maintenant dans le lointain.

Scott trouva un emplacement vide dans le parking, Carol descendit de la voiture pour saluer les choristes déjà arrivés, demandant à Scott d'ouvrir rapidement le coffre pour leur offrir du chocolat chaud qu'elle avait leur avait amené.

Comme Scott levait le haillon arrière, une idée lui traversa l'esprit en pensant qu'elle ferait mieux de retourner avec une des filles qui se trouvait là, puis elle pensa au désappointement de Scott après ce qu'il lui avait laissé entrevoir lors de l'aller.

En fait ne voulait-elle pas elle aussi profiter de la proximité de son adorable voisin et ex-élève.

Scott assis sur le rebord du coffre à coté de la succulente beauté prit la tasse de chocolat qu'elle lui tendait.

Comme le vent soufflait en tempête lors de leur départ, elle avait enfilé un chaud blouson de ski orange et une épaisse combinaison de ski pour avoir chaud ainsi qu'un bonnet de laine.

Assis juste à coté d'elle Scott sentait grandir sa nervosité à son imperceptible balbutiement et aux tremblements de ses mains.

Bien qu'elle soit confortablement engoncée dans ses vêtements Scott était convaincu qu'il lui suffisait de la prendre dans ses bras pour qu'elle fonde entre ses mains.

Aussi confiant qu'il soit, ce n'était ni le bon moment, ni le bon endroit, Ils étaient au chœur d'un groupe de choristes qui ne pouvaient être témoins de leur émoi.

Il est sur qu'ils changeraient de point de vue s'ils découvraient l'adorable madame Hastings à l'arrière du 4 x 4 faisant l'amour avec un de ses ex-élèves.

Alors qu'ils étaient seuls, Scott posa audacieusement un bras sur ses épaules alors qu'il annonçait :

- Ne serait ce pas bien mieux si nous étions pelotonnés l'un contre l'autre devant un feu de bois?

Scott cachait son sourire en la sentant trembler d'émoi à la suite de cette dernière remarque.

Et son désir de se faire cette adorable prof s'intensifia encore lorsqu'elle tendit la main pour saisir la sienne pour l'enlever de ses épaules en lui répondant l'air sévère :

- Oh oui Scott, mais pelotonnée contre mon mari... Tu sembles oublier que je suis mariée et heureuse en mariage! ..... Et de plus que je suis une de tes anciennes professeur d'école! .....

Lorsqu'ils entamèrent la traversée du hall de l'hôpital pour rejoindre les gosses qui fêtaient Noël, le temps continua son vol.

Ayant refusé de se joindre au étudiants qui se rendaient à la pizzeria, Carol trouva l'excuse de devoir terminer la cuisson de gâteaux chez elle, son cœur battait la chamade alors que son chauffeur la pressait de monter sur le siège passager à son coté.

Une fois sorti du parking, sur le chemin du retour, Carol se mit à trembler lorsque Scott la confronta à son mensonge.

- Je croyais que vous aviez terminé la dernière série de cuisson cet après-midi! ..... Vous aviez bien fini, n'est ce pas? ....

- Euh... Je... Je n'avais pas tout fini! Balbutia Carol d'une voix tremblante qui trahissait visiblement le fait qu'elle mentait, puis elle frotta ses mains l'une contre l'autre alors qu'un frisson la faisait frémir.

Carol avala sa salive et se mit à trembler à la vue de l'enseigne du « Notel Motel » visible de loin, son cœur cognait dans sa poitrine alors qu'elle se demandait ce qui passait par la tête de son étudiant si charmeur.

Lorsqu'il tendit audacieusement la main pour s'emparer de la sienne tout en conduisant, elle se mordit les lèvres alors que le véhicule se rapprochait de ce maudit hôtel. Scott jouait avec son alliance et sa bague de fiançailles et cela l'énervait fortement.

Mais lorsqu'il ralentit et que son clignotant gauche s'alluma Carol hurlait dans sa tête :

- Nonnnnn..... Nonnnn..... Ne te gare pas sur le parking!

Nate Manning était assis derrière le bureau du "Notel Motel" et maudit le voyant qui venait de s'allumer indiquant qu'il devait se bouger le cul et accueillir les nouveaux clients.

Il ne s'agissait ni d'un hôtel familial, ni d'un hôtel réputé, mais bel et bien d'un hôtel de passe et connut en tant que tel..

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