Un Souvenir de Jeunesse

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Un homme se souvient de ses premiers émois de jeune garçon.
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L'histoire se situe à la fin des années 60.

J'étais encore au collège et je devais avoir 13 ou 14 ans, pas tout à fait 14 en réalité. J'allais passer une partie des grandes vacances chez un oncle dans le bordelais, vers le Bassin d'Arcachon. J'y retrouvais une cousine de Dordogne, une petite blonde très vive, fine et délurée qui s'appelait Annie et qui elle, avait un peu plus de 15 ans. C'était déjà une jeune fille : elle avait déjà toutes ses formes, presque une femme, elle était juste au lycée, alors que moi, encore au collège, j'étais un gamin tout juste pubère...

Nos relations étaient très amicales et même très étroites sur le plan filial, nous ne nous quittions pas de la journée. Elles étaient même très ambiguës. Bien sûr, les adolescents de l'époque des années soixante, étaient nettement moins émanciper que ceux de maintenant, et aussi bien moins informés sur les choses du sexe...De ce fait, je n'analysais pas du tout ces choses là, et elle non plus probablement. En effet, sans doute dans sa phase de puberté conscience et d'éveil de ses sens, elle laissait davantage libre cours à ses pulsions, et n'avait pas de calcul par rapport au trouble qu'elle déclenchait chez moi...

Toujours est-il qu'elle ne prenait aucune précaution pour cacher sa nudité et même ses envies de très jeune femme... Ainsi lorsqu'elle faisait sa toilette les matins ou les soirs elle ne fermait pas la porte de la salle de bain qui était en face de ma chambre. Certes, la maison de l'oncle était une maison ancienne assez vétuste et avec peu de confort, en particulier sur le plan du sanitaire. La salle d'eau, sans aération, qui au bout de 3 minutes tenait plus du sauna que d'une salle de bain. L'air y était rapidement irrespirable, d'ou la nécessité de laisser la porte ouverte...

Souvent, elle s'arrangeait dans telle ou telle opportunité pour me faire sentir la pointe de ses seins qu'elle avait très fermes et déjà dressés, jolis et bien formés, de surcroît ; ou encore a frotter ses fesses sur mon ventre ou mes fesses dans certains croisements... Ou bien, quand nous promenions dans la forêt de pins elle ne se gênait pas pour laisser s'envoler sa jupe légère et me laisser voir sa petite culotte de coton blanc, ou encore de s'asseoir face à moi, assise en tailleur, jambes écartées. Et là bien sûr, les bords du fond du slip n'étant pas très élastiques ou très "collants", il m'arrivait fréquemment d'apercevoir sa fente et ses poils naissants. Ce qui me mettait dans l'état que l'on devine. Parfois encore, il lui arrivait de me demander de lui faire la courte-échelle pour grimper aux arbres ou pour passer les clôtures... Il lui arrivait même de baisser sa culotte, de s'accroupir sans aucune formalité et d'uriner ainsi devant moi, sans gêne ni honte...

Il faut dire que ces situations m'excitaient sans doute malgré moi, et il n'était pas rare qu'elles génèrent des érections de mon jeune sexe, déjà correctement développé pour mon âge, sans que je sois vraiment conscient qu'elles pouvaient en être le déclencheur. J'étais sûr qu'elle s'en apercevait et cela provoquait chez moi une gêne, presque une honte et je tentais bien souvent de lui dissimuler ma situation disons, " avantageuse ", ce qui l'amusait beaucoup... Cet amusement, l'amenait le plus souvent à provoquer chez moi, par de nouvelles situations, de nouvelles érections...

Mais je la soupçonne quand même d'avoir tout fait pour favoriser ces moments d'érotisme, certes un peu enfantins, mais pour le moins ambiguës. Elle n'avait pas de frère et je pense que j'étais pour elle, à ce moment là du moins, sa seule "référence mâle" de jeunesse et donc un peu l'objet d'étude de sa séduction, de son charme sensuel, et disons-le carrément, un objet d'étude anatomique tout court... Je dois dire que même à presque 14 ans, j'étais assez mignon, un peu plus grand qu'elle, je pouvais sûrement lui plaire, plus sans doute par curiosité et comme exercice de son charme, que par attirance amoureuse profonde et romantique... Elle-même était très mignonne, châtain clair, presque blond, avec de grands yeux bleus et un joli corps souple et fin. Une "beauté du diable" comme l'on dit...

Un matin alors que nous étions arrivés en vacances depuis quelques jours, vers les 5 heures, je fus réveillé par un orage violent, qui éclatait dans des fracas de tonnerre et des trombes d'eau, comme il y en a souvent dans les Landes et en particulier sur le Bassin d'Arcachon... Je sentis quelqu'un ouvrir le drap et venir se blottir contre mon corps. C'était Annie. Elle me dit avoir peur seule dans sa chambre et me demanda si elle pouvait attendre la fin de l'orage dans mon lit. Je n'en croyais pas un mot et je ne comprenais pas bien sa démarche... Elle colla son corps contre le mien. Sa chemise de nuit s'était remontée jusqu'à sa poitrine, je sentais ses seins et son ventre contre ma hanche.

Je m'éveillais complètement et je pris conscience dans l'instant que j'avais une superbe érection. Une de ces érections matinales, inconscientes et irrépressibles, contre lesquelles il n'y a rien à faire... Je redoutais qu'elle s'en aperçoive, ce qui ne tarda pas à arriver. Lorsqu'elle glissa son bras contre ma poitrine pour venir chercher chaleur et sécurité, sa main rencontra mon sexe tendu. Je sentis ses doigts en effleurer toute la longueur, tandis qu'elle disait :

- " Eh toi, dis donc, on peut dire que l'orage te coupe tes effets!....Eh bien, tu ne perds pas de temps dès le matin! Oh là, là!!... C'est moi qui te fais cet effet là?" Je ne savais plus quoi dire, j'étais mort de honte, et je bredouillais presque m'excusant :

- " Non, non tu sais..., c'est tous les matins comme ça...Tu sais, j'y peux rien, ça vient tout seul! "

- " Tout seul?..., me dit-elle visiblement très étonnée... Comme ça sans raison?... Ben tu sais, y a des choses qui se perdent!" Et elle continua de m'effleurer subtilement et avec une certaine admiration, je crois... Mon érection ne cessait pas évidemment, surtout avec de tels attouchements. Je sentais son souffle dans mon cou et interdit, je n'osais ni répondre ni bouger... Elle ajouta en se pressant plus fort contre moi :

- " S'il te plaît, je n'ai jamais eu l'occasion de voir vraiment un garçon de près, laisse-moi toucher et regarder!" Je la sentais sincère, mais je ne dis rien trop désemparé par son initiative et je ne bougeais pas... Je sentis ses doigts me saisir doucement mais fermement le sexe, le caresser lentement et le parcourir tout entier depuis les couilles jusqu'à la pointe du gland... Son autre main rejoignit bientôt la première et s'occupa de tout le bas-ventre, du haut des cuisses, du sexe et des couilles... C'était une sensation nouvelle agréable et qui me déstabilisait physiquement. Tout mon corps était tendu, à l'écoute de la caresse et en même temps sur la défensive... Je sentis qu'elle soulevait le drap et que son regard plongeait par dessous, sur mon corps nu et en particulier sur mon sexe. Elle eut une remarque admirative à mon égard :

- " Ben dis donc, toi, tu auras ce qu'il faut pour plaire aux filles! Oh, super! Vrai, tu es bien équipé..., et de plus ton sexe est très beau!... Ils sont tous comme ça les autres?".

J'étais bien incapable de répondre tant j'étais noué et honteux et sans doute aussi parce que je n'en avais pas vus assez pour avoir des références très sûres! Avec beaucoup de tendresse et de douceur, elle me fit une bise longue et appuyée, sur la joue mais très près de mes lèvres ; petit baiser dont j'ai encore le souvenir précis... Ce qui ajouta encore à mon trouble et à mon émoi. Puis, se levant à demi sur le lit elle se mit à genoux, tout à côté de mon flanc gauche, dans la lumière montante du petit matin qui rendait sa chemise de nuit très légère et transparente.

Je voyais ses formes, ses beaux seins et ses épaules en silhouette dans la lumière blafarde et humide, qui de temps à autres s'intensifiait brutalement par des restes d'éclairs. Je la trouvais belle et excitante. Sa chemise de nuit trop courte, lui arrivait à peine en bas du pubis, de sorte qu'elle me fit voir toute son intimité lorsqu'elle reposa ses fesses sur ses talons, les cuisses écartées, de trois quarts face à moi, sa jambe repliée sous elle, appuyée sur ma hanche gauche. Je distinguais à peine sa toison pubienne. J'avais déjà eu l'occasion de voir à plusieurs reprises lors de nos situations de jeu. Mais là, je ne distinguais pratiquement pas sa fente féminine derrière ses poils plutôt sombres et du fait de la très faible lumière....

Dans cette position, de sa main droite, elle continuait la caresse sur mon sexe hyper-bandé, tandis qu'elle mit la gauche sur sa chatte, les doigts joints, en coquille... Je la vis amorcer un mouvement de la main depuis le haut de son pubis jusqu'entre ses cuisses ouvertes... Je compris enfin qu'elle se masturbait, en même temps et au même rythme que la caresse qu'elle me prodiguait... Je n'avais jamais vu de femme se masturber auparavant, et je dois dire que pour moi, cette situation était d'un érotisme torride, même pour un novice! Tout son corps se balançait maintenant doucement d'avant en arrière et accompagnait les mouvements de descente et de montée de sa main droite sur son sexe. Son visage portait les stigmates de la tension qu'elle exerçait à son corps, sa respiration était plus forte, plus marquée et s'intensifiait au fil des mouvements. Je sentais ses doigts serrer davantage mon sexe et sa caresse se fit plus forte, plus intense, plus rapide...

J'étais en proie à une sensation bizarre : la pointe de ma verge me démangeait terriblement. En même temps j'étais assailli un désir fou d'avoir le bout du sexe refroidi, frotté davantage et surtout humidifié... Je souhaitais qu'elle me le prenne dans sa bouche, et j'avais dans le même temps la sensation d'avoir le cœur au bord des lèvres ... J'avais comme un vertige qui me semblait venir de mon bas-ventre et qui me donnait une drôle d'impression comme si j'allais me trouver mal... Bien sûr, je m'étais déjà masturbé à plusieurs reprises, vous pensez bien et j'avais éprouvé une sensation un peu similaire lorsque j'étais au bord de l'éjaculation... Mais là, c'était différent : c'était à la fois plus cérébral et avec un désir brûlant au creux du ventre... Peut-être, me dis-je alors, parce qu'elle me masturbait d'un mouvement différent de ma propre masturbation?... C'était une sensation bizarre, inhabituelle, qui tout en me mettant mal à l'aise, me donnait très envie d'être sucé, ce qui ne m'était jamais arrivé auparavant lorsque je me branlais seul...

Annie avait intensifié ses mouvements et sa respiration était de plus en plus saccadée. Je percevais des râles légers dans ses soupirs. Sa main droite quitta mon sexe et rejoint la gauche entre ses cuisses. Elle appliquait fermement ses deux mains ouvertes, l'une sur l'autre sur son entrejambes, et tout son corps allait et venait autour de ce point de pivot que constituaient ses mains... Je la distinguais maintenant de mieux en mieux dans le jour naissant. Les yeux mi-clos, elle était centrée sur elle-même et sur la montée de son plaisir. Plus rien ne semblait plus exister autour d'elle... Elle allait et venait presque frénétiquement, frottant littéralement tout son pubis et son entrejambes sur ses mains, s'arc-boutant avec force sur elles et tendant tout son corps... Ses mouvements devenaient très amples et on avait l'impression qu'à chaque aller et retour, son corps allait basculer tant le déséquilibre et l'ampleur du mouvement étaient grands...

J'avais le bout du gland en feu, même si aucune caresse ne lui était plus prodiguée. Je vis le corps d'Annie se tendre une fois encore, rester en suspend et elle explosa comme une coque sous pression dans un râle fort et continu... Je sentis une forte humidité chaude le long de ma cuisse gauche, quelque chose coula sur ma peau et roula au creux de ma hanche... Je vis le corps d'Annie fondre doucement, s'amollir et elle s'écroula sur ma poitrine en travers de mon corps, molle, sans ressort et toute en profonds soupirs... C'était la première fois que je voyais jouir une femme. J'avais parfois entendu ma mère, et plus souvent ma tante qui elle, criait très fort dans ces moments intimes, mais je n'avais jamais vu, ni assisté de si près à une masturbation féminine. Mon sexe me faisait mal et j'avais plus que jamais envie de me vider. Ma bite très dure et très dressée touchait le corps chaud d'Annie et je sentais son flanc palpiter à l'endroit du contact avec ma verge. J'eus une envie furieuse de la prendre et lui mettre ma bite dans la chatte...

Heureusement, était-ce grâce à ce que je venais de voir ou du simple contact avec le corps alangui d'Annie, mais je déchargeais abondamment, comme jamais encore me semblait-il, inondant la hanche droite d'Annie, sa chemise, mais aussi son dos et ses cheveux. Un ou deux jets étaient même passés au-dessus de son corps et avaient atteint l'oreiller sur lequel je reposais... Je fus soulagé et très apaisé. Nous restâmes ainsi, un long moment elle sur moi, moites et chauds, habités de nos jouissances... Puis Annie, m'embrassa encore et me remercia :

- " C'est la première fois que je touche le sexe d'un homme et que je vois un homme éjaculer... Merci mon grand."

Je me revois en train de protester que je n'étais pas encore un homme, tout au plus un adolescent et encore à peine. Elle protesta à son tour :

- " Mais si tu es un homme! Comme moi je suis une femme! La preuve, nous aurions pu faire l'amour là tout de suite! L'âge n'a rien à voir! Et je vais te dire aussi : c'est la première fois que je me masturbe devant quelqu'un! Cela ne m'est jamais arrivé. Même devant une copine. Tu es le premier!... Je te dis cela, car j'ai des copines qui font ça souvent ensemble..." Je dû paraître très étonné par sa remarque car elle ajouta :

- Si, c'et vrai, je t'assure!... J'en connais deux, Réjane et Arlette, qui se font ça l'une à l'autre... Tu aimerais voir?"

Je me contentais de hausser les épaules pour montrer que je ne savais pas trop, mais ce que je savais par contre, c'est que je l'avais, elle, trouvée super!

Domi... En souvenir du début des années 60

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 8 ans
noir

c etait il y a 40 ans avec ma peite amie patricia 21 ans et nous allions sur la plage naturiste de mousterlin 29

ellle portait un bikini jaune canari et elle avait une belle touffe de poils sous les aisselles qu elle exhibait fierement

d un geste brusque elle ota son maillot et la j ai eu un choc

j ai vu du noir mais pas n importe quel noir un noir riche compact intense

une veritable foret vierge large un veritable tablier de sapeur

elle compris immediatement qu il fallait d urgence faire qu elque chose pour me soulager

elle absorba mon gland reluisant dans sa bouche jusqu a la garde et en moins de 2 mn elle avala une grande quantite de sperme sans perdre une goutte

ensuite elle s allonga sur sa serviette de bain et commenca a se masturber

tout doucement d abord puis rapidement a une cadence inouie

elle se cabra et se tordit de douleur tant le plaisir fut intense et elle se termina dans un long cri en ejaculant un jet puissant de cyprine sur sa superbe chatte

que c est beau e exitant de voir une jeune fille se masturber ainsi decouvrant ses petites levres humides et son clitoris volumineux

pandant ce spectacle hallucinant je me suis encore masturber et meme parvenu a extraire une petite dose de semence...

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