Une certaine après-midi en juillet.

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Elle s'informe un étranger à propos d'une vieille grange.
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Aujourd’hui, j'aimerais vous faire partager une aventure qui m'est arrivé l'été dernier. En cette journée très ensoleillée, je marche depuis une quinzaine de minutes dans un camp pour aller cueillir quelques fraises.

Aussitôt que je suis rendu dans ce champ de fraises, je commence la cueillette des fraises qu'il y a tout autour de moi. Et, comme d'habitude quand je cueille des fraises je m'assois directement par terre et avant que je vois le temps passé, j'ai déjà un plat de remplit.

J'arrête souvent pour regarder le beau paysage qui s'étend de l'endroit où, je suis jusqu'au lac des Quinzes qui est situé à environ un demi-mille plus au nord.

Quand mes deux plats sont pleins de belles et juteuses fraises des champs, je m'étire et je m'aperçois que mes jeans sont tachés à de nombreux endroits sur les genoux, le long de mes cuisses et ce qui serrait gênant si une personne m’apercevrait ainsi, c’est que mes jeans sont tout tachés à la hauteur de mon entre-jambe, car, j’ai dû me gratter souvent à cet endroit à cause de tous ses maudits maringouins. Franchement, même si, je voudrais le cacher, mes jeans sont teint de jus de fraises à la hauteur de ma masculinité.

Et, ces jeans me collent de plus en plus aux fesses tellement ils sont imprégnées de fraises juteuses que j’ai écrasé avec celles-ci tout au long de ma cueillette. Mes mains, elles, sentent le bon jus de fraises. Je les lèche. Je goûte le si bon goût des fraises. Et, avec celles que j'ai mangé tout au long de l’après-midi, je me doute que mon visage est tout barbouillé de rouge et que je dois ressembler à un jeune enfant ou à un clown avec toutes ces taches dans mon visage, mais, comme je suis seul dans ce champs, je souris en me disant que ça ne dérange personne.

Durant mon trajet de retour à la maison, j'arrête souvent pour en manger d'autres qui poussent le long de la route. Et, pour me protéger contre le soleil et contre les moustiques, j'avais mis une de mes vieilles chemises blanche à manche longue(au sujet de laquelle j’avais averti mon épouse de ne pas la jeter pour pouvoir m’en servir d’au moins encore dans des occasions comme celle-là. ) Je porte un vieux chapeau de paille de ma belle-mère qui est tout déformé avec tout le vécu qu’il a depuis le temps. Mais, maintenant que je marche tout seul sur cette route déserte, je veux profiter le plus possible du soleil. Je déboutonne les deux derniers boutons qu’il reste à ma chemise pour que le soleil me dore l’estomac.

Je viens juste d'enlever mes jeans qui me collaient sans cesse aux cuisses et aux fesses quand j'entends une automobile venir en ma direction. Quelques secondes plus tard, je la vois qui arrive en haut d'un petit coteau. Cette automobile s'en vient si rapidement, et, avec le fond de la route qui est mou, je m’aperçois qu’elle commence à déraper d'un coté à l'autre de cette route de gravelle pour ce qui me semble une perte de contrôle.

Soudain, cette automobile saute les quatre roues en l’air et pour quelques secondes, je la surveille comme si elle ferait une cascade dans un film d’action.

Aussitôt qu’elle retouche le sol, l’auto zigzague d'un coté à l'autre de la route quand je vois que le conducteur panique encore plus en m’apercevant à la dernière seconde, sur le bord de cette route. Le conducteur applique les freins à fond.

Son automobile dérape de plus en plus avant que le conducteur ne vienne à bout de reprendre le contrôle du véhicule pour de bon à seulement quelques pieds de moi. Ouf!, et, pour la première fois je remarque que le conducteur est une femme.

Et, plus cette automobile s’approche de moi, plus je suis intéressé par la vue de cette femme qui doit être âgée d’une quarantaine d’année. Je gagerais même qu’elle revient de la plage parce que ses cheveux sont encore tout mouillés.

En arrivant à mes côtés, la femme arrête le moteur de son automobile et elle me sourit très amicalement, mais, je peux lire dans ses yeux qu’elle est au bord des larmes. La femme respire profondément et elle regarde souvent du côté de la petite butte où, elle a failli perdre le contrôle de son automobile. Pour quelques instants, elle me redit sans cesse :

‘Merde!, j’ai failli vous blesser.’

Après quelques instants, la voyant encore toute perturbée, je lui demande si elle se sent bien? Elle en rit, mais, je crois apercevoir des larmes au coin de ses yeux. Je lui redit qu’elle a été chanceuse de ne pas avoir eu un accident. Malgré ses yeux embrouillés de quelques larmes, la dame essaie de me sourire.

Après quelques instants, lorsqu’elle commence à respirer plus normalement, elle me dit pendant qu’elle se tient la tête à deux mains qu’elle a eu si peur de me frapper avec son automobile. La dame répète cela chaque fois qu’elle se retourne la tête pour regarder en direction d’où elle est arrivée.

Au bout d’une couple de minutes, la dame me dit qu’elle se sent mieux, et, elle en profite pour me demander si la ferme abandonnée où, il y a une vieille grange est encore loin d’ici.

Cette dame me dit qu’elle est née sur cette ferme il y a plus de quarante ans, et, comme elle est dans la région pour une semaine de vacances, elle veut la revoir. Je lui réponds que la vieille grange dont elle parle, est à moins d’un demi mille de l’endroit où nous sommes.

‘Madame, vous aller la voir, lorsque vous serez rendu dans la courbe.’

Mais, je l’averti que la route sera encore en plus mauvaise état pour au moins la majeure partie du parcourt pour se rendre jusque-là.

Pendant que je lui parle, la dame n’arrête pas de regarder en direction des deux plats de fraises que je tiens encore dans mes mains. La dame me remercie pour lui avoir donné ces informations et elle me dit: ‘Maintenant, que je suis rendu si prêt de ce je crois être la ferme de mon enfance, je vais m’y rendre de toute manière.’

Mais, curieux à propos de cette étrangère, je lis dans ses yeux qu’elle hésite réellement à emprunter une route en si mauvaise état.

Après nous être dit au revoir, la dame me quitte après m’avoir fait son plus beau sourire, mais, quelques instants plus tard, elle immobilise son automobile au milieu de la courbe et je la vois qui me surveille dans son miroir.

Elle semble avoir changé d’idée parce qu’après un moment d’hésitation, son automobile fait marche arrière jusqu’à mes côtés et sans même arrêter le moteur de son auto, la dame me demande:

‘Dites-moi, combien vous demandez pour un de ces plats de fraises?

‘Madame, ils ne sont pas à vendre. Mais, si vous en voulez, vous pouvez en cueillir n’importe où dans ces champs. Il y en a partout aux alentours et vous n’aurez qu’à vous pencher pour en cueillir et ne vous inquiétez pas, personne ne le saura.’

Et, je lui dis qu’elle peut en cueillir autant qu’elle en voudra. Pendant que je lui parle, la dame ouvre sa sacoche et elle me montre un billet de dix dollars, puis, en argent américain à part de cela. Je lui laisse à nouveau savoir que je ne suis pas intéressé à vendre ces quelques fraises. La dame essaye à nouveau de me donner son billet de dix dollars, mais, je refuse une deuxième fois et je lui dis que je ne les vendrai jamais, surtout pas pour de l’argent.

La dame continue à vouloir marchander et elle me dit qu’elle veut me faire une offre que je ne pourrais pas refuser.

De plus en plus curieux à propos de cette étrangère, je veux en savoir un peu plus sur elle, je dépose mes deux plats de fraises sur le sol et je prends même le temps de m’approcher encore plus prêt de son auto et de jeter un bon coup d’œil à cette dame.

J’aurai dû faire cela plutôt! La dame porte une robe d’été en tissu très léger et à demi transparent. Cette robe a un profond décolleté qui attire mon regard instantanément!

Et, comme les trois premiers boutons de cette robe sont déboutonnés, je vois tout de suite qu’elle ne porte pas de brassière.

Je dois prendre un bon respire pendant que la dame me sourit et que ses yeux me surveillent pendant que les miens ne cessent de loucher vers sa poitrine plantureuse.

De plus en plus fasciné par cette femme très attirante, je prends même tout mon temps pour jeter un bon coup d’œil à tout son corps. Sa robe est retroussée si haut sur ses jambes que je lui vois le haut des cuisses jusqu’à la chair nue de ses fesses.


Et, je sais que si ce n’est de sa main qu’elle retient entre ses cuisses, je pourrais même voir sa petite culotte. Cette femme éveille mon instinct instantanément. Je vois une flamme brillée dans ses yeux, pendant que j’ose lui dire qu’elle est une femme bien en chair ce qui éveille son attention, car, la dame me remercie par un sourire encore plus sensuel et plus accrocheur.

Voyant que la dame regarde souvent vers les fraises, j’en choisis une et je l’amène à ses lèvres. Et, en continuant à me regarder dans les yeux, la dame l’avale en entier. Moi, je suis de plus en plus fasciné par ses belles lèvres rouge que la dame lèche du bout de la langue comme pour me laisser voir qu’elle est du genre très gourmande en tout ce qu’elle déguste dans la vie.

Et, moi, pour faire durer le plaisir, je prends une pleine poignée de fraises et je les dépose délicatement une par une dans sa bouche aux lèvres si pulpeuses.

Pendant qu’elle les déguste, ses yeux ne cessent de me draguer, et, avec la bouche encore toute pleine de fraises, la dame me remercie à nouveau. Elle me dit en me faisant un clin d’œil que ces fraises goûtent si bonnes! Quelques instants plus tard, elle me dit:

Je trouve étrange de rencontrer un homme qui fait la cueillette des fraises! Je m’étais toujours imaginer que seulement les femmes et les enfants prenaient le temps de faire cela, la cueillette des fraises!’

Madame, je suis bien assez vieux pour prendre soin de moi-même! Mais, laissez-moi vous parler un peu de moi. Premièrement, madame, j’aime cela, moi, prendre le temps de cueillir des fraises. Vous savez, chère madame, que quelques fois, cela fait du bien de faire quelque chose juste pour soi, ou, simplement pour le plaisir de le faire.

Deuxièmement, je vais voir dire ma petite madame que je suis le genre de gars qui aime parfois être seul. Je travaille à la semaine longue avec tous les genres de pressions. Quelque fois, comme cet après-midi, j’aime cela prendre une marche en pleine campagne et j’aime surtout cela quand je n’ai rien de spécial à faire.

Troisièmement, ma petite madame!, je vais vous parler un peu de moi. Pour vous dire toute la vérité, je crois que j’ai un peu l’esprit d’un écrivain et, cet après-midi, en cueillant des fraises, j’ai eu en images toutes les inspirations que aime avoir. Je vous garanti qu'avec tout ce que j’ai fantasmé dans ce champ de fraises, cet après-midi, j’en aurai des pleines pages à écrire. Et, c’est fois-ci, les petites dames qui font la critique vont pouvoir en profiter pour se mouiller le doigt à mon goût avec ce que je vais leur concocter, ou, elles ne sont pas les vraies jouisseuses ou les vraies salopes que je m’imagine. Ou bien, c'est moi qui vais devoir arrêter tout mon cinéma.

La femme rit à s'en serrer le ventre lorsque je lui dis cela pendant que moi, j’en profite pour regarder sauter la chair pulpeuse de ses seins qui bougent sous ces soubresauts. Je prends le temps d’enlever mes lunettes de soleil pour pouvoir mieux regarder ces deux globes de chair qui se dévoilent d’une façon presque impudique. Ho, la, la!, mon regard est attiré par une partie visible du brun foncé des auréoles. Je regarde les mamelons qui se durcissent et qui se pointent fièrement tous les deux au travers du léger tissus.

Les yeux de la femme suivent mon regard qui est de plus en plus fasciné par ces deux volumineux globes de chair qui cherchent à bondir à l’extérieur de la robe pendant que la dame enlève elle-aussi ses lunettes de soleil. Elle me fait un clin d’œil tout en jetant un regard en coin pour vérifier si les deux derniers boutons de son corsage résistent toujours.

Comme ça, vous écrivez? Et, la dame semble toute impressionnée par ce que je viens de lui dévoiler. Elle me demande si c’est stressant de recevoir des critiques.

Bah!, il y en a qui s’écrase après cela. Mais moi, ça me fait même toujours rebondir d’au moins une coche plus haute. Peut-être que c’est le coup de pied au cul qui m’aide et qui me stimule à aller toujours un peu plus loin.

En tous les cas, ça m'aide à me creuser les méninges pour écrire encore plus avec mes tripes au lieu de toujours me fier à mes maudites bonnes manières. Des fois, quand je veux être trop politiquement correct, c’est moi qui fini par me péter la gueule.


Ma petite madame!, cet après-midi, aussi vrai que je suis devant vous, je dois vous dire que j’en ai fantasmé tout un coup, à chaque fois que j’ai trouvé des fraises aussi grosses qu’un mamelon en érection.

La femme en rit encore à s’en plier en deux lorsque je lui ai dis cela, et, je vois encore surgir des étincelles qui pétillent dans ses yeux de plus en plus espiègles. Et, la compagnie de cette charmante et si ricaneuse femme me fait me sentir de plus en plus comme avec un vieux copain.

Je dois vous dire ma chère madame, que cet après-midi, aussitôt que je suis entré dans mon fantasme, j’ai touché délicatement à chacune des fraises comme si elle était un gros mamelon en érection d’une femme d’âge mur. Et, avec mes doigts, j'ai joué délicatement avec le fruit mûr avant de le presser lentement entre mes lèvres.

Vous auriez dû me voir, car, j’ai beaucoup aimé cette douce sensation! Pour vous dire toute la vérité, je me suis senti comme lorsque je me réveille d’un de mes fameux rêves érotiques. Et, croyez-moi sur parole, les fraises doivent certainement avoir un effet aphrodisiaque, car, il y avait de l’action dans mon caleçon!

La dame en rit. Ses yeux n’arrêtent pas de me draguer. Ils descendent instinctivement à la hauteur de mon caleçon qui comme de raison est lui aussi tout taché de jus de fraises. Après s’être exclamée d’un profond: Ho, la, la. Étonnée autant de mes propos que de me voir en érection, la dame garde la bouche toute grande ouverte pendant quelques secondes en regardant la bosse dans mon caleçon.

Et, de la manière que je suis placé près de son automobile, la dame n’a qu’a ce penché la tête en cette direction pour voir quasiment tous mes poils pubiens, les contours de mes testicules et la partie exposée de mon membre qui est déjà en pleine érection. Même si mon gland, lui, est bien camouflé dans le matériel du caleçon qui naturellement est lui aussi tout déformé par l’âge, (j’aurais du le jeter depuis longtemps, car, les élastiques ne font plus convenablement leur ouvrage. Mais, comme je suis en vacances, j’aime ça être dans mes vieux vêtements).

La dame se lèche les lèvres en continuant à garder ses yeux sur mon membre en découvrant sa grosseur et sa longueur.

Et, comme cette dame ne semble pas plus pressée que moi, je lui dis que moi en tant que macho, je trouve cela bien étrange de voir une femme seule emprunter une route en si mauvaise état, surtout, au volant d’une automobile sport, et, une belle auto neuve en plus.

Pendant que nous continuons à placoter, à quelques occasions, je me sens un peu mal à l’aise parce que la dame me surprend à jeter de nombreux coups d’œil vers sa poitrine à demi dénudée et encore plus souvent vers ses belles cuisses de chair si invitantes!

Mais, jamais, la dame ne cesse de me sourire pendant qu’elle me regarde la déshabiller des yeux et que je m’en lèche les lèvres pendant qu’elle me laisse voir de la façon qu’elle me regarde qu’elle lit tout le désir dans mon regard.

Cette dame me laisse savoir qu’elle est en vacances dans la région avec son mari et ses trois enfants.

‘Cette après-midi, moi aussi, je prends le temps de m’occuper de moi’

‘Hier, j'ai revu la ferme et la vieille grange de mon enfance quand avec toute la famille nous avons fait une excursion en bateau sur le lac des Quinze. Monsieur, vous ne pouvez deviner combien revoir cette vieille grange, me tient à cœur! Mais, je ne m'en fais pas du tout pour cette section de route en si mauvaise état. Je dois vous dire que cette auto sport est tout un bijou pour mon mari.

Pour vous dire toute la vérité, mon homme passe plus de temps à cirer et frotter son automobile qu'il n’en passe à s'occuper de moi, sa femme.

Et, elle me dit comme si nous serions de vieux copains, qu'elle a eu une bonne engueulade avec son mari au début de l'avant midi.

J'étais si furieuse contre mon homme, c'est pourquoi que j'ai pris l'automobile et j'ai roulé sans savoir où aller. Et, je remercie mon subconscient qui m’a guidé sur la route de la vieille grange.

Monsieur, je m'en fiche comme de ma première bobette de ce qui peut arriver à son auto.

Je suis certaine que mon mari va encore perdre le contrôle de ses nerfs, si seulement, il entend dire que j'ai emprunté une route de gravier avec sa belle auto neuve.

Et, si jamais, il vient à savoir que j'ai roulé avec son auto, sur une route en si mauvaise état, je crois que le macho va encore en profiter pour me donner la fessée. Je lui touche l'épaule de ma main, pendant qu'elle me dit cela.

Le macho me trompe à chacune des fois qu'il en a l'occasion. Le pauvre chou!, il ne peut dire non à aucunes des femmes en chaleur qu'il croise sur sa route. Depuis la fin de semaine, nous sommes en vacances avec toute la famille et je l'ai même entendu se vanté à un voisin qu'il a trouvé le temps de sauter une de nos voisines, au moins une fois à chaque jour. Monsieur, peut-être que mon homme pense que je suis une de ces femmes si stupides, mais, je sais, moi, que je ne suis pas si naïve qu’il le croit. Hier, au soir, j'ai encore essayé d'avoir une discussion avec lui, mais lui, le macho, au lieu de discuter en adulte, il en a profité pour s’enivrer encore plus et pour virer cela en une bonne chicane de couple.

Et, moi, pour une fois, hier soir, j'en ai profité pour lui dire qu'il est à peu prêt temps qu'il paye pour toute ces stupidités.

Ce matin, en nous levant, nous avons eu une autre chicane, et, cela m'a tellement perturbé que je n'ai même pas pris le temps de déjeuner, j'ai sauté dans son auto et je voulais être seule pour pouvoir pleurer sur mon sort.

Grafigner son auto, ce n'est pas assez. Quand, je pleurais sur moi-même, cette avant midi, à la plage, j'étais si enragé contre mon mari que je me suis imaginé qu'un jour, j'aurais le courage de me venger et je me suis imaginé que je me ferais sauter comme il dit, si souvent en parlant de ses maîtresses. Puis, je vais me faire plaisir en faisant cela sur le capot de son auto neuve.

Mais, en premier lieu, je vais vous dévoiler un de mes secrets. Monsieur, un de mes fantasmes, c'est que si cela vient à arriver un jour, j'espère que j'aurais aussi le courage de demander à une troisième personne de prendre des photos de moi et de mon invité du jour.

Monsieur, je pense de plus en plus souvent à tout cela, mais, je crois que je suis bien trop peureuse et que jamais, je n'aurais le courage de le faire. J'en profite de ce qu'elle vient de me dire pour lui dire que moi, je m'imagine souvent dans mes fantasmes que je suis un voyeur. Et, justement un de mes fantasmes, c’est qu'un jour, j'espère de tout cœur que j’aurai la chance d’être dans la même pièce qu’un autre couple et qu’ils m’inviteront à les surveiller en toute tranquillité pendant qu'ils seront en pleine action.

En lui disant cela, je revois encore des étincelles scintiller dans ses yeux qui me sourient pendant que la dame rit à gorge déployée. Ces yeux suivent mon regard qui descend à la hauteur de ses seins qui ne cessent de sautiller pendant que tout le haut de son corps est secoué à force de rire.

Pendant que nous discutons, je lui donne d'autres fraises.

Elles sont si juteuses. Et, elle a encore insisté que je devrais lui vendre au moins un plat de fraises. Et, elle me dit pendant que je vois qu’elle fait exprès pour se passer la langue sur ses lèvres sensuelles: