Une Expérience Homosexuelle Suite

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Alain commence à me prendre en main.
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Alain ne me laisse pas le temps de réfléchir, à peine ai-je répondu, qu'il m'informe qu'il prend le train pour venir me voir chez moi! Je suis en pleine érection rien que de le lire. Je dois lui préparer un jeu de clé, sous le paillasson, et l'attendre dans la chambre, à 4 pattes sur le lit, le cul bien offert. C'est très excitant. Je ne sais rien de plus de ce qu'il a prévu, et de ce que nous allons faire, je me laisse porter. J'ai du mal à ne pas me masturber pour me soulager, Alain me l'a interdit et je me dis que si je ne suis pas capable de lui obéir maintenant, je suis mal parti!

J'entends la porte claquer, il est là, je transpire, deux heures que j'attends, je suis à moitié endormi, mais le sexe toujours aussi dur. Je l'entends faire le tour de l'appartement, ouvrir le frigidaire, décapsuler une bière, ouvrir tous les placards. Il entre dans la chambre, sans un regard pour moi, fait le tour de la penderie, vide mon coffre à jouets, il repart dans le salon, je l'entends passer un coup de fil, sans percevoir ce qu'il dit. Quelle torture d'attendre!

- Si tu ne sais pas quoi faire, prend ton plus gros plug et enfonce le dans ton cul, je ne veux plus le voir béant comme cela, jamais, tu as compris?

- Oui

- Oui?

- Euh... Oui Maître, bien Maître

Il retourne au salon, et je me précipite, me demandant quel plug je vais mettre. J'ai envie de lui faire plaisir et il m'a dit le plus gros. Il est en métal, a une forme comme une grappe de raisin, deux kilos sur la balance et huit centimètres à passer. Il est juste magnifique à regarder et porter, mais il défonce incroyablement la rondelle par son poids, je deviens vite fou de douleur, ou plutôt de défonce.

Comme je suis fermé, il me faut du temps pour arriver à le mettre. En temps normal je m'ouvre d'abord avec un gode, mais là je me dis qu'il faut que j'y aille directement. Le temps passe, je crains qu'Alain s'impatiente, je force, je me fais un peu mal, rien de grave, heureusement je me suis vidé profondément. Quand enfin il rentre j'ai le souffle coupé, je ne suis plus qu'un cul rempli, c'est envahissant, même si pas très profond. Un anneau émerge de la large base, pratique pour y attacher encore plus de poids ou bien une laisse.

J'attends à nouveau sur le lit, je me souviens d'un esclave qui disait que la vie d'esclave était faire d'attente et de souffrance, c'est exactement cela, la souffrance étant la délivrance de l'attente et donc vécue comme un cadeau et un bienfait! Enfin Alain m'appelle, je descends avec précaution du lit, et je vais le voir à quatre pattes. Pas seulement pour l'exciter, mais aussi parce que me relever est vraiment difficile. Il me fait tourner pour voir ce que j'ai, et me dit que je suis définitivement une salope, et que je suis bien tombée, car il n'y a pas pire que lui, je vais le découvrir. Je n'en crois pas un mot, l'expérience des mecs que je peux lire sur le web est très soft je trouve en général.

Il me tend des vêtements que je dois mettre pour sortir. Il les a emmenés pour moi, je l'en remercie. Il rigole, sachant qu'effectivement ce n'est pas un cadeau. Pour le haut cela va, c'est juste un maillot de corps en stretch tellement moulé que je vois mes tétons et mes petites auréoles au travers. Cela fait terriblement gay sans aucun doute. Et pour le bas, un short de cycliste, dans la même matière, un peu plus épaisse heureusement, mais mon paquet est complètement moulé et visible, et mêle ma base du plug et le crochet se dessinent. C'est atrocement moulant, humiliant, excitant, je ne peux même pas cacher mon excitation, mon sexe est bien moulé. Je le regarde en suppliant, je ne sais quoi, même un slip ne le cacherait pas beaucoup plus.

Il me traite de batard, me serre un collier en cuir blanc, lui aussi, en quelques grammes de vêtements je fais complètement gay. La vision dans le miroir de l'entrée est affolante, ce qui ne fait rien pour calmer mon érection. Heureusement qu'il fait nuit, peut-être cela sera plus discret, d'autant que j'ai du mal à marcher avec ce plug. Je lui dis qu'il me fait déjà très mal, il me sourit, et me souhaite la bienvenue dans ma nouvelle vie! Puis me rappelle qu'aucun retour en arrière n'est possible, que je suis engagée pleine et entière, et que cette nuit sera ma véritable nuit d'initiation. Je vais toucher du doigt la salope que je suis et demain matin je le remercierai d'avoir fait de moi sa salope.

Il me fait chausser des espadrilles, blanches aussi, et nous sortons, direction le Marais tout proche, je ne suis guère surpris. Premier stop dans un bar extrêmement animé, avec plus de mecs dehors que dedans. Alain m'envoie chercher deux bières et je me fais papouiller dans tous les sens, à tel point que je me demande si je vais arriver au comptoir. En attendant ma commande, un mec se colle contre moi, le sexe bandé et impressionnant collé contre moi, me massant pour me faire encore plus bander. Je n'ose bouger, tandis qu'il agrippe un téton et le presse doucement, je suis à deux doigt d'exploser dans mon short, heureusement la commande arrive. Le retour est encore plus périlleux, les mains qui caressent mon sexe sont nombreuses, je crois que c'est pire que si j'étais nu! Plus d'une cherche à découvrir ce qui déforme l'arrière de mon short, mais personne ne semble surpris. Alain me voit revenir rouge pivoine, et rit de la situation.

- Tu vas te faire dévorer ce soir, tu vas voir. Ici c'est nettement plus chaud qu'à Nantes.

Il me fait parler de mes amis, ma famille, mon travail, et me fait avouer que tout cela est sans intérêt par rapport à ce qui se passe maintenant.

- J'aurais dû te punir avant de partir

- Oh pourquoi?

- Juste que tu saches à quel point mes punitions sont terribles, et que tu fasses tout pour les éviter.

- Oh je vous crois sur parole

- Mais tu vas oublier, il n'y a que le souvenir qui fonctionne. Cela dit, je veux que quand je te donne un ordre, comme celui que je vais te donner, tu n'hésites pas, tu ne discutes pas, tu te mettes en marche immédiatement. La moindre hésitation, même un dixième de seconde, me contrariera et tu auras droit à la punition.

- Oh, je comprends Maître (J'ai le regard baissé, je n'ose regarder personne)

- Tu es prête?

- Oui Maître.

- Bien, bonne femelle, tu vois le colosse barbu qui te mate à droite?

- Oui Maître

- Tu vas le voir maintenant et tu lui demandes s'il accepte de jouir dans ta bouche, tu lui dis qu'il est magnifique et que ce serait un grand plaisir pour toi.

- Bien Maître

Je suis tétanisé, je m'ébroue immédiatement, me rappelant sa remarque, le cerveau vide de toute pensée, me sentant tellement impudique ainsi, le visage baissé vers le colosse qui a compris que mon Maître venait de m'envoyer vers lui. Je bafouille maladroitement, essayer de retrouver les mots exacts d'Allain. Il ne me répond pas, me prend par l'anneau du collier et m'amène à l'intérieur, direction les toilettes. Nous ne rentrons pas dans une cabine, et malgré la présence d'autres mecs, je me mets accroupis pour ne pas salir le short blanc, je sors sa bite, effectivement énorme, et déjà bien dure. Je suis tétanisé qu'il sente que je suis peu expérimenté. Je lèche son gland, l'odeur est forte, je trouve cela excitant, mais très vite, trop vite, le goût disparaît.

Dans cette position le gode pèse incroyablement, et j'ai l'anus très douloureux, c'est atroce. Il prend ma tête, fait une pression, et j'engouffre une partie de son membre dans ma gorge, il est énorme. Je caresse le reste d'une main, tandis que de l'autre je sors ses couilles pour les caresser, les serrer légèrement, il imprime son rythme, et à ma grande surprise, jouit très vite. Je ne bouge pas, j'avale tout sans penser au goût, puis je le lèche doucement. Sans un mot, il me repousse, et va se soulager aux urinoirs. Je ne sais pas quoi faire, aussi je reviens vers Alain, qui me félicite. Je suis bêtement heureux, et je lui dis comme j'ai mal au cul. Son visage se ferme, je me prends une méga gifle devant tout le monde, j'ai les larmes aux yeux.

- Tu ne dois jamais te plaindre de rien. La douleur est ta vie, tu ne vas faire que souffrir, et chaque fois que tu te plaindras, ce sera pire. Là, pour que tu comprennes, tu ne pourras l'enlever que dans, laisse-moi réfléchir, vingt-quatre heures.

- Oh mon Dieu! (Je me reprends tout de suite pour ne pas réfléchir) Merci Maître de me dresser ainsi.

- C'est beaucoup mieux, tu vas vite apprendre.

Je n'ose regarder personne après cette gifle, déjà que je me sentais terriblement honteux dans cette tenue, et toujours ce sexe si bandé, comment est-ce possible? Je suis terrorisé de croiser quelqu'un que je connaisse. Paris est très grand, mais on ne sait jamais. Alain me tire par le collier, nous bougeons pour aller un peu plus loin, nous rentrons dans une sorte de restaurant / bar, je suis soulagé de pouvoir m'asseoir, même si cela enfonce le plug, la tension est moins forte. J'adorerais que la base rentre pour qu'il soit tout entier en moi, ce serait ainsi plus supportable, mais sa taille l'interdit, malheureusement.

Alain sort des menottes de son cabas, je me retrouve les bras attachés dans le dos, là encore au vu et au su de tout le monde. Beaucoup me regarde, et comme l'a dit mon Maître, j'ai l'impression que le repas ce sera moi! Il commande à manger pour lui, me donnant parfois une bouchée comme à un bébé. J'adore cette impression qu'il me nourrisse, que je suis totalement dépendant de lui. Je bave de ce qu'il mange, mais je n'ai aucun contrôle sur ce qu'il décide de me donner. Et je me garde de demander quoi que ce soit, j'ai retenu la leçon! Un couple vient se joindre à nous, engageant la conversation, me trouvant très à leur goût, la femme avouant que son plaisir c'est de voir son mec défoncer une lopette comme moi, et qu'elle peut être très sadique. Je n'ose soutenir son regard, et Alain me force à montrer mes fesses au travers du short, pour qu'elle constate comme je suis défoncée. Ils conviennent de se revoir, Alain note leurs coordonnées, propose au mec, qui décline, une pipe au sous-sol. Il m'explique, une fois partis, que le mec est en fait le soumis de la femme, ce qui m'avait en effet échappé. Je suis dans un univers de stupre et de vice, et je m'y sens à ma place!

Prochaine étape à deux rues, le Keller, un club SM qui organise une soirée SM et fessée, voilà un programme clair, je comprends que je vais déguster. Une fois entrés, je surprends moins, il y a pas mal de mecs soumis, la plupart intégralement nus, qui déambulent, cherchant un Maître fouetteur apparemment. Alain m'accroche une laisse et je le suis, nous déambulons ainsi pendant une demi-heure, avant qu'une croix ne se libère. Je m'y retrouve attaché, face au mur, après avoir enlevé mes vêtements. Le plug fait sensation et quelques mecs s'assoient sur la banquette pour nous regarder.

Je préfère garder la tête baissée, ne rien savoir ce qui m'attend. Alain s'est servi des instruments mis à disposition, et c'est mon dos qui est sa première victime. Je manque d'expérience, c'est certain, mais le premier coup est très violent : il me faut quelques secondes pour reprendre mon souffle et hurler de douleur. Celle-ci se propage longuement et profondément, mon dos est strié en diagonal, c'est sauvage. Alain laisse passer le temps, je me suis remis de la douleur, terrorisé maintenant par la suite. Le second est tout aussi violent, sinon plus, dans l'autre diagonale, mais cette fois-ci Alain ne me laisse pas reprendre mon souffle et m'assène cinq coups de suite, je hurle, je supplie, je pleure. Rien n'y fait, il reprend l'autre diagonale qu'il complète. Les coups pleuvent, je ne les compte plus.

Quand il m'annonce que les prochains seront plus durs, je n'en crois pas mes oreilles. Et pourtant, je suis certain que ma peau éclate, c'est tellement douloureux, insupportable que je ne fais que pendre dans mes attaches, je suis incapable de rien. Je reçois les autres coups sans bouger, j'entends le bruit de l'instrument, terrifiant, la brûlure, les larmes coulent, je ne peux plus rien, je ne suis plus rien, je n'aspire qu'à baiser ses pieds, ses mains qui me torturent.

Je sors de ma torpeur par des coups sur mes fesses. Une sorte de raquette en bois, cela fait beaucoup de bruit. C'est très supportable. Au début. Ensuite cela fait mal, très mal, les coups tombent par centaine, je sens la foule qui nous regardent, qui contemplent ma mise à mort! Une canne prend le relais une fois que mes fesses sont brûlantes, et gonflées. Je ne fais rien pour me protéger, mes fesses sont détruites méthodiquement, quand Alain passe la main, ce ne sont que crevasses et boursouflures, je ne pourrais jamais m'asseoir à nouveau. Cela n'en finit plus, Alain vient parfois me susurrer des mots d'encouragement, je crois qu'il est satisfait de mon abandon, du spectacle que je donne.

Je réalise à peine qu'il me détache, nous remontons au rez-de-chaussée, il est assoiffé. Il repère un crochet au plafond, demande une corde et attache l'anneau de mon plug en le tirant vers le haut. Je suis obligé de me mettre allongé sur le dos, les jambes à la verticale, il m'interdit de faire sortir le plug! La position est atroce, j'ai du mal à respirer, j'ai mal partout et le plug tire très fort mon anus vers le haut, je pleure, ce qui fait rire tout le monde. Un homme que je ne vois pas, en profite pour fouetter mes pieds offerts, je me tortille, je hurle, mais rien n'y fait, chacun semble ravi de la décoration que je fais. Alain discute avec tout le monde, on m'oublie, et je passe ainsi deux heures dans des affres monstrueux.

Quand enfin Alain vient me détacher, je me précipite pour lui baiser les pieds, lui dire que je ferai tout ce qu'il voudra, que je suis à lui, et plein de mots de dépendance. Je me sens brisé, ce qui le fait rire, car il me dit que c'était une soirée somme toute plus calme que prévue. Il avait d'autres projets pour la suite de la soirée, mais il est fatigué, ce sera pour une autre fois. Je suis déçu, curieux des projets qui sont les siens, mais je ne dis rien, je me rhabille, les marques sur mes fesses se voient au travers du caleçon, je n'en peux plus du plug, mais je n'ai pas le choix, il me faut rentrer en le suivant. Je me sens tellement vulnérable ainsi, dans ce quartier, à cette heure. Sans Alain, je suis certain que je n'arriverai pas jusqu'à chez moi!

Je suis juste épuisé, je m'affale sur le tapis, les fesses relevées pour me soulager, ce qui le fait rire.

- Quand tu es à l'intérieur, tu es nu toujours, exécution.

Je me bouge rapidement, je me rappelle ce qu'il a dit des punitions et des ordres, et quand je sens mon dos et mes fesses, je me demande ce qu'une punition peut être. Dès que je suis nu, je me mets à quatre pattes et je viens lui lécher les pieds, il apprécie.

- La semaine prochaine nous ferons les choses que j'avais prévues ce soir, tu verras, cela va te plaire.

- Merci Maître

- Bien quelques règles et demandes, écoute bien, tout manquement c'est une punition.

- Bien Maître

- Tu ne parles pas si je ne t'y invite pas, en aucune occasion. Je dois te poser une question pour que tu puisses parler.

-...

- Bien tu es intelligent. Demain matin je vais partir tôt, mon train est à six heures. Toi tu vas travailler comme d'habitude, et ton plug tu ne l'enlèves qu'en rentrant le soir. Tu te souviens ta punition de m'avoir demandé?

- Oui Maître, bien Maître (Je ne vais jamais pouvoir travailler ainsi, c'est inhumain. Mais c'est ma vie)

- Je sais cela va être terrible, tu réfléchiras à deux fois maintenant. Je te fais confiance, je ne serais pas là pour vérifier, ou peut-être que je t'appelle et te demande d'aller aux toilettes me montrer tes fesses. Tu sais ce qui arrive si elles sont vides?

- Oui Maître, je Vous obéirai scrupuleusement

- Bien, je vois d'ailleurs que tu aimes cela, tu es toujours en érection comme cela?

- Oh non Maître, au contraire normalement j'ai du mal à bander!

- Je crois que tu as trouvé ta place, en tous cas c'est ce que dit ton sexe. Bien je reviens samedi chez toi, d'ici là je veux que tu débarrasses ton appartement de tout ce qui est inutile. Absolument tout : Pour tes vêtements tu ne gardes que jeans, basket, T Shirt et sweatshirt, tout le reste tu le donnes. Compris?

- Oui Maître (Mon Dieu, cela devient sérieux)

- On continue, tu mets dans une pochette tous les papiers importants, il ne doit pas en y avoir beaucoup. Tout le reste, poubelle, crayons, papiers, livres, objets décoratifs, je ne veux plus rien de personnel. Dans la salle de bain tu gardes serviette, déodorant, dentifrice et brosse et gel douche, tout le reste à la poubelle. Dans la cuisine, tout va à la poubelle, une chienne ne mange pas dans des assiettes et ne se fait pas à manger, je te dirais comment cela se passe samedi. Tu as quelque chose à dire chienne?

- Euh... Non Monsieur (Je suis juste un peu plus effondré, je ne pensais pas que cela irait jusque-là quand même, mais pourquoi? Je ne peux lui demander)

- Salon, tu vires la télévision, les enceintes, toute la déco, les livres, les journaux, ta tablette, rien, il ne te reste que ton téléphone. Est-ce compris?

- Oui Maître, bien Maître

Il se lève, me fait mettre à 4 pattes et sans prévenir me décoche un énorme coup de pied entre les cuisses. Je me tords de douleur, c'est... Je me relève et je vais baiser ses pieds, je le supplie de recommencer, je veux m'offrir, je suis tellement excité. Il recommence, encore et encore, j'ai le goût du sang dans la bouche, je voudrais le supplier de pouvoir jouir, mais je n'ai pas le droit. Il m'envoie dormir dans la baignoire, par pur sadisme, le contact est tellement froid, difficile de faire plus désagréable. Mais je suis tellement épuisé, mon plug fait de gros bruits dès que je bouge, il m'interdit de bouger, au chaud sous la couette, je pleure doucement, je me demande combien de temps je tiens, et je réfléchis si je vais faire tout ce qu'il me dit. Je trouverai bien une solution demain matin!

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3 Commentaires
mecdualmecdualil y a 8 jours

très intense,

par contre je pense que pour la douleur aussi il faut un apprentissage avant d’être capable d'en supporter autant que ça. là ça me semble un peu abrupt

ebanestalebanestalil y a 12 jours

J'adore

Hate de lire la suite

dieter40sndieter40snil y a 12 jours

sehr geile Story, danke. Freue mich auf die Fortsetzung

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