Une Fantaisie d’un Cowboy

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Une fille de la ville languit pour un homme dans un Stetson.
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(translated by DJ_Maximus)

Je ne suis pas entièrement sûr où il a commencé. Peut-être c'était la musique country ma maman écoutais quand je grandissais. Je pense qu'il a eu un rapport avec les films de cowboy qu'elle regardais…Urban Cowboy peut avoir été ce qui l'a conclu pour me…mais d'où il est venu, j'avais toujours une chose pour des cowboys. Des jeans de querelleur serrés, des chapeaux de cowboy, les mains d'un homme qui travaille dur comme métier - ne sont là aucun plus grands allument pour moi. Malheureusement, c'était une fantaisie qui n'avait jamais été vécue. Bien, pendant une longue période de temps il était, de toute façon. Jusqu'à cet été.

Je suis une fille de la ville, née et élevé, mais je voulais toujours aller à la campagne. Quand le cousin de ma mère Gwen m'a demandé si j'ai voulu venir passer l'été sur son ranch du Dakota du Sud, j’ai pratiquement tombée sur moi pour arriver là. J'avais cette petite fantaisie tout mis au point dans ma tête. Je pourrais juste l'image moi-même descendant la rue et la découverte d'un cowboy dur magnifique, peut-être arroser ses chevaux à l'extérieur d'une salle. Je flânerais là-bas et me présenterais et ce serait l'amour à première vue.

Regardant derrière soi, c'est drôle juste comment mal j'étais. Quand je suis descendue de l'avion dans la Ville Rapide, les choses ont regardé autour du droit de moi. Bien, c'était un aéroport, mais il y avait des types dans des chapeaux de cowboy et deux ou trois femmes dans des jupes de manche à balai. Il y avait des souvenirs de cowboy dans le magasin de cadeau. La plupart des personnes ont là regardé autour de soi comme moi, dans des jeans et un t-shirt, mais je l'ai laissé échapper et j'ai seulement vu ceux qui adaptent l'image que j'avais créée.

Gwen m'a aidé avec mes sacs et nous sommes entrés dans un vieux camion Chevy qui a été garé à côté de l’aeropart. Il y avait la saleté sur les planchettess, une balle de foin dans l’arriere et il m'a tout fait sourire. J'étais étourdi avec l'attente. Je ne pouvais pas attendre pour rencontrer mon cowboy!

La chaleur était insupportable et la conduite était éternelle. Je n'ai jamais vu tant de champs de rien dans ma vie entière. Nous avons conduit et avons conduit et conduit…bien, vous avez l'idée. Cela doit avoir été trois heures avant que nous n'ayons finalement arrivé a l’entrée poussiéreuse de Gwen - si vous pouvez l'appeler que, c'était à peine un chemin de terre battue - et a commencé vers la maison. Regardant autour de soi, je ne pouvais pas voir une autre maison pour des milles et des milles, sans parler d'une ville. C'était d'alors que la réalité a commencé à me frapper. Comment allais-je jamais rencontrer un cowboy ici ?

Il se métamorphosait en long été très rapidement. Gwen me mit a travailler faisant des choses je n'avais jamais entendu parler - de vaches alimentantes et tout le reste - mais alors un jour, après que j'avais été là environ deux semaines, elle m'a envoyé à la ville pour des parties. Un tracteur avait ete détruit et la main embauchée (un jeune homme j'avais pensé pourrait avoir un peu de potentiel jusqu'à ce que j'aie vu sa femme et cinq enfants) étaient occupés sur d'autres projets.

Excité partir du ranch et entrent dans la ville, je suis entré dans le camion et ai fait ressortir en bas que le long chemin de terre battue vers la ville. J'avais les fenêtres en bas entièrement et le vent soufflait dans mes longs cheveux bruns comme j'ai roulée le long. Le vent s'est senti ainsi bien - il avait roussi toute la semaine. J'ai été vétie - à peine - dans le petit short de jean minuscule et une moitié t-shirt blanche avec les manches coupées. J'ai ressemblé à Daisy dans les Ducs de Hazzard et je sais que j'ai semblé sexy comme l'enfer.

Condussant le long si rapidement que le vieux camion pourrait me porter, je chantait avec la radio et découvrait mes doigts sur le volant quand je l'ai découvert. Il était un grand morceau d'un homme, la peau sombre jetant un coup d'oeil d'au-dessous d'une chemise de travail de plaid avec les manches coupées. Les muscles ont ondulé en haut et en bas de ses bras comme il a été debout derrière son camion et a jeté une balle de foin de l’arriere. Un chapeau de cowboy blanc couvri sur ses yeux a bloqué son visage, mais je savais qu'il était lui. C'était mon cowboy.

J'ai résisté à la forte envie de claquer sur les freins, mais je me suis vraiment détendu du gaz et ralentis comme je me suis approché de lui. Il travaillait non loin de la route et d'où j'ai été assis j'avais une vue parfaite de son cul de cowboy excellent, accentué par une paire de jeans de querelleur bleus, durcis avec la poussière du travail d'un jour dur. Je ne pouvais pas m'aider. J'ai tiré au côté de la route et ai chipé un regard à moi dans le miroir. J'ai semblé plutôt délicieux, j'ai pensé et mon ensemble donnais peu à l'imagination.

Avant que je ne puisse même sortir du camion il était là, s'appuyant contre l'encadrement de la porte et poussant sa tête dans la fenêtre. Il sentait de sueur et la saleté et une sorte d'eau de Cologne je n'avais jamais sentue auparavant, mais avais imaginé un million de fois. J'ai senti le morceau minuscule de matériel entre mes jambes cultivant l'humidité comme il a parlé.

"Hé là, petite dame, puis-je vous aider avec quelque chose ?" Il a demandé. Il avait des yeux bleus perçants, le plus bleu bleu j'ai jamais vu et des jous parfaits. Une moustache sombre, sexy a fait un arc sur sa lèvre et je l'ai observé comme il a parlé. Les années avaient seulement ajouté à son beau visage. J'ai souri un peu comme j'ai pensé à moi qu'il était au moins deux fois mes 20 ans, peut-être plus.

Je lui ai souri en haut et ai senti mon picotement de peau. "Oui, en réalité, je pense peut-être que vous pouvez," ai-je dit.

Il a regardé un peu a confondu, mais a marché non loin de la porte comme je suis allé le pousser ouvert. Dans un moment j'étais debout là à côté de lui, son encadrement puissant lançant une ombre sur le mien. Je savais d'où il a été debout, au moins un pied plus grand que moi, qu'il pourrait voir dans ma chemise. J'ai tirée le matériel un peu donc il pourrait obtenir un meilleur regard et a souri à moi comme il a profité de l'occasion.

"Ce quoi est vous ont besoin de l'aide avec ?" Il a demandé, ne prenant pas ses yeux de mes seins ronds.

"Hé cowboy …" Je dis, mettant mes mains dans mes arrières poches et m'appuyant contre le camion. "Veut devenir chanceux ?"

J'ai observé son baisser tomber un peu, mais il y avait un scintillement dans son oeil comme il a pris des mesures en avant et a appuyé son corps contre le mien. "Vous voudriez vous avoir un cowboy?"

J'ai incliné la tête emphatiquement comme il a penché pour m'embrasser durement sur la bouche, descendant en même temps à mon cul ferme dans ses grandes mains fortes. Ses doigts ont fouillé dans la peau au-dessous de mon short et j'ai senti une montée d'électricité par mon corps.

Sa langue a poussé mes lèvres à part et c'est trouvee dans ma bouche…dévorer moi dans un baiser dur, puissant. Mon corps a fait mal à la chance de se soumettre à son baiser puissant. Sans dire un mot il sa retiré brusquement et a saisi ma main, me tirant à travers le champ à son camion.

Il m'a laissé debout là comme il a ouvert la porte et a poussé le siège avant, en tirant une couverture. Je l'ai suivi comme il a marché autour à l'autre côté du véhicule, pour que le camion ait bloqué la vue de la route et du véhicule de Gwen et ait répandu la couverture. Il s'est assis sur la couverture et m'a saisi par la tailleson visage enterré entre mes seins.

Sa moustache chatouillais et brûlais ma peau comme il m'a embrassé durement, déchirant ma chemise pour que deux seins ronds, se soulevant avec l'excitation lui aient été exposés. D'une main il les a frottés comme il a sucé et s'est embrassé et je l'ai observé, chaque seconde de cette réalisation de ma fantaisie.

J'ai ri sottement à moi un peu comme je me suis rendu compte que je n'ai pas même su son nom. Qu'allais-je hurler quand il m'a fourer solidement ?

"Je suis Skyla," ai-je gémi, comme il m'a poussé en bas sur le terrain et a déchiré mon short ouvert. J'ai soulevé mon cul donc qu’il pourrait les enlever et il les a jetés a cote.

"Bob," il a dit dans mon estomac comme il a embrassé sa descente au sommet de mes sous-vêtements de lanière noirs, qui a été maintenant très exposé. Il a poussé mes jambes à part grossièrement et a enterré son visage entre eux, la langue se précipitant dans mon chat rapidement comme il a poussé mon slip. J'ai ressemblé j'étais mangé vivant et j'en ai aimé chaque seconde.

J'ai été si enthousiasmé, je pourrais me sentir l'orgasme prochain qu'il m'a baisé avec sa langue et il n'avait pas même elevé ses vêtements. J'ai crié de son nom comme le monde a commencé à filer et je suis devenu d'une façon impossible vertigineux. Mes cris perçants l'ont conduit dans moi plus solidement…fourer moi avec sa langue dans une facon que je n'ai jamais sentie auparavant. Je l'ai senti enveloppent ses lèvres autour de mon clit et la morsure en bas et subitement je suis venu durement, saisissant la couverture et écriant. Il a poussé sa langue dans moi deux fois plus et a été récompensé avec un cri perçant de moi chaque fois, alors il s'est balancé en arrière sur ces genoux et a commencé à défaire sa ceinture.

Je me suis mi sur mes coudes et l'ai observé comme il a déboutonné ses pantalons et je pourrais dire qu'il ne pouvait pas les enlever assez vite. Ses pantalons ont été tendus serrés contre son coq dur et je ne pouvais pas attendre, non plus. Quand il a finalement sorti cette belle chose dans l'ouvert où je pourrais le voir, je me suis senti tremblant avec l'excitation.

Je me suis étendu et l'ai saisi dans ma main et l'ai poussé dans ma bouche. Il a libéré un peu de cri d'excitation comme j'en ai dirigé ma langue le long de la longueur et ensuite l'ai poussé durement au dos de ma gorge. Enveloppant ses mains dans mes cheveux il m'a tiré contre lui, me forçant de le baiser avec ma bouche. J'ai bâillonné un peu comme il s'est poussé profondément dans ma bouche, ma langue se frottant contre lui à plusieurs reprises comme ses hanches déplacées contre mon visage. Il a gémi comme nous avons déplacé l'un contre l'autre et je pourrais le sentir venant à un orgasme frénétique, mais avant qu'il soit arrivé là il a arrêté et m'a poussé, durement, par terre. Mon slip a été parti dans un mouvement rapide et il a poussé mes jambes à part.

Pour un instant il a regardé fixement voracement mon chat exposé, rasé propre, s'ouvrir maintenant et dégouttant avant lui et ensuite il a poussé son coq dans moi dans un mouvement rapide. J'ai libéré un peu de cri comme il a été assis là sur ses genoux, des mains fortes enveloppées autour de mes cuisses et a déplacé ses hanches contre moi, se conduisant profondément à l'intérieur de moi.

"Bien sûr, foures-moi cowboy!" J'ai crié comme il a glissé dans mon chat serré dans des mouvements profonds, durs.

J'étais vertigineux avec l'extase et mon chat palpitait avec l'excitation comme il a commencé à gémir et dire mon nom. Je ne pouvais pas croire qu'il allait toujours, c'était un frisson qu'un homme son âge pourrait aller plus long que la plupart des hommes la moitié de son âge et qui m’excitais.

Juste quand j'ai pensé qu'il était sûrement sur le point d'éclater avec l'intensité du moment, il a retiré et m'a livré pour que mon cul rond, cul ferme soit en air. Il y a donné une tape durement et je me suis écrié et ensuite il a mis ses mains sur mes hanches et a conduit dans moi de nouveau. J'ai crié son nom et ai enterré mon visage dans la couverture comme il m'a fouré, ses boules contre mon cul et ses jambes contre mes jambes comme il m'a tiré contre lui à maintes reprises dans une frénésie donnant le vertige.

"Oh mon Dieu, je vais jouir," j'ai crié et comme il a déplacé une main de ma hanche au doigt mon clit, nous avons éclaté à l'unisson. Je sais que je suis venu plus durement que j'avais jamais jouie dans ma vie, plus durement que n'importe lequel d'entre ceux des garçons du collège à la maison pourraient jamais me faire. Il m’a lâché et j'ai tombée par terre dans un tas. Quand j'ai levé les yeux, il bouttonais ses pantalons.

"Comment était cela, petite dame ?" Il a demandé, renversant le chapeau qu'il portait toujours .

Mon corps a tremblé comme il m'a jeté mes vêtements et je me suis agité encore dans eux. Je sais que j'ai été rougi avec l'excitation du moment, mais il a semblé calme et a composé comme il a mis ses gants. Je l'ai regardé retourner dans l’arriere de son camion et retourner a travailler.

Comme j'ai été debout là l'observant, il m'a regardé derrière soi comme il a été étonné j'étais toujours debout là. "Je serai dans ce champ fini là-bas demain a cette fois," a-t-il dit, indiquant à travers la chaussée.

J'ai incliné la tête et ai lentement retounee au camion de Gwen, garé le long du côté la route où je l'avais laissé. Quand j’ai passé par cette endroit en route en retournant de la ville, je savais que ce ne serait pas la dernière fois je verrais mon cowboy, mais le jour suivant où je me suis glissé loin pour rouler par … il n'était pas dans le champ. Il n'était dans aucun des champs. C'était la dernière fois je l'ai vu.

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