Une Mère Sévère

Ce texte est la traduction adaptée en français du récit de Metooiseeyou paru en anglais dans Litérotica sous le titre « Converting my religious mother ».

Ma mère avait été profondément marquée par son éducation religieuse. Sa tenue vestimentaire était d'une rigueur absolue et tout, dans on comportement, semblait indiquer qu'elle n'avait jamais montré d'intérêt pour les « plaisirs de la chair ». La modestie était son mot d'ordre et la piété sa devise.

J'attribue cette attitude à l'emprise de son défunt père, un ministre de l'Église qui adhérait strictement aux principes de la Bible. Comme lui, elle ne tolérait aucune déviation de la sainte doctrine et m'avait même inscrit dans une école paroissiale pour que je ne sois pas exposé aux « mauvaises fréquentations ». Elle se faisait un devoir d'assister à chaque cérémonie religieuse, avec moi à ses côtés bien entendu.

À bien des égards, elle était la dame d'église par excellence dans toute sa splendeur, toujours vêtue de robes à fleurs en coton uni qui lui arrivaient sous le genou et étaient toujours boutonnées jusqu'en haut. Elle avait toujours proscrit les décolletés, en public comme à la maison. Cela n'empêchait pas pour autant sa silhouette d'avoir quelque chose de sensuel. Même sous les robes pudiques qu'elle portait, ses seins pointaient et remplissaient pleinement le haut de ses robes. Elle ne se maquillait jamais et coiffait ses cheveux en chignon. Elle ne se permettait qu'une simple eau de toilette, qu'elle vaporisait dans son cou avec parcimonie.

Son caractère s'accordait en tous points à son apparence extérieure. Je l'ai rarement vue rire ou même sourire. La frivolité n'était pas dans sa nature, et, évidemment, elle n'aurait permis aucune allusion à la sexualité. Les rapports (exclusivement conjugaux!) devaient pour elle être strictement destinés à la procréation et à rien de plus. L'âpreté de son caractère avait augmenté d'année en année après le départ de mon père. Elle semblait consumée par la colère et le ressentiment.

Pour ce qui est de mon père, je ne l'ai jamais vraiment connu et n'ai que de vagues souvenirs de l'époque où il était avec nous. Il est simplement parti un jour, alors que j'avais quatre ans, et je ne l'ai plus jamais revu. Je me souviens par contre très bien que lui et ma mère se disputaient énormément. Chaque fois que je posais des questions sur lui à ma mère, elle me disait que c'était un pécheur et qu'elle et moi étions mieux sans lui.

A mesure que je grandissais, ma mère me paraissait dans un état d'agitation également grandissant. J'étais un fils dévoué, toujours soucieux d'obéir à ses volontés, et à mes yeux elle était une mère sévère mais aimante qui me protégeait contre les égarements. Je faisais toujours attention à ne pas la contrarier de quelque manière que ce soit et à éviter tout conflit avec elle.

C'est au mois d'avril de ma dernière année de lycée (je venais d'avoir dix-huit ans) que ma relation avec elle a pris une tournure inattendue. En rentrant après mes cours, je suis monté dans ma chambre comme d'habitude, mais j'ai eu cette fois la surprise de trouver ma mère debout au pied de mon lit, les mains sur les hanches.

"TU PEUX ME DIRE CE QUE C'EST QUE CA? » a-t-elle crié en désignant les magazines Playboy et Penthouse posés sur mon lit. Même si je les avais soigneusement cachés dans mon placard sous une valise, ils n'avaient pas échappé à son inquisition.

"Qu... quoi?", ai-je balbutié.

Elle a répété, toujours en criant :

: « J'AI T'AI DEMANDE CE QUE C'ETAIT QUE CA! » en continuant à me regarder, une main sur la hanche et l'autre pointés sur les magazines... Qu'aurais-je pu répondre? J'ai gardé le silence.

Elle a continué :

"Alors, jeune homme, tu aimes regarder des photos de prostituées? N'as-tu rien appris à l'église? Ces photos mènent droit en enfer! »

J'ai cru voir une lueur bizarre s'allumer au fond de ses yeux quand elle a prononcé ces mots et c'est d'une voix devenue rauque qu'elle a poursuivi :

"Est-ce que tu t'es déjà... touché...? Je suppose que oui, n'est-ce pas?

-Ou... oui Maman", ai-je répondu d'un air penaud.

Elle a repris sur le même ton :

. "Je ne permettrai pas que mon fils se touche devant ce genre de cochonneries! Elles vont aller directement à la poubelle! Reste à espérer que personne ne se doutera jamais de ton comportement de pervers! » Sa voix était allée en en crescendo.

« Un comportement que je ne tolérerai pas chez moi! Désormais, fines i les masturbations en cachette!. Si tu dois te toucher, tu le feras devant moi. Si tu as suffisamment honte.,. peut-être arrêteras-tu tes saletés? »

Elle s'est assise sur le lit, les jambes croisées, et m'a dit d'approcher. Je lui ai obéi.

"Baisse ton pantalon."? a-t-elle ordonné.

"Mais Maman... » ai-je protesté en tremblant.

"Tu m'as entendu? Baisse ton pantalon! »

Mon humiliation était à son comble, J'ai commencé à tâtonner ma ceinture.

"Pour l'amour du ciel, dépêche-toi!" grogna-t-elle en se levant. Elle a rapidement débouclé ma ceinture et baissé mon pantalon, puis elle s'est rassise en m'intimant :

"Maintenant, baisse ton slip et montre-moi ce que tu fais, petit pervers!."

J'ai hésité un moment avant qu'elle ne répète à nouveau :

"J'ai dit, montre-moi! MAINTENANT!!"

J'ai baissé mon slip, le visage d'autant plus brûlant de honte que malgré la situation... ou qui sait à cause d'elle par masochisme, ma bite était à moitié dressée. Je l'ai saisie de la main droite et j'ai commencé à me branler debout devant elle. Trop effrayé pour la regarder, je gardais les yeux fixés sur le sol.

Cependant, ma jeune libido a commencé à prendre le dessus lorsque j'ai pleinement réalisé que je me masturbais devant ma propre mère. Cette pensée a brusquement porté mon excitation à son paroxysme et j'ai osé relever la tête pour la regarder.

Son air sévère n'avait pas disparu, mais elle ne regardait pas mon visage mais ma bite, avec dans les yeux la même lueur étrange que j'avais précédemment remarquée. En la voyant me regarder, je me suis tout à coup senti sur le point de jouir devant elle. J'ai essayé en vain de me retenir, mais je n'ai pas pu tenir plus longtemps. J'ai giclé...

(à suivre)