Une Mère Sévère (Suite 01)

Informations sur Récit
Sévère mais pas de bois.;;
1.1k mots
4.44
2.8k
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Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 03/26/2024
Créé 03/21/2024
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UNE MERE SEVERE (suite 1)

Ce texte est la suite de traduction adaptée en français du récit de Metooiseeyou paru en anglais dans Litérotica sous le titre « Converting my religious mother ».

Ma mère a pris un air dégoûté et m'a dit :

"Désormais, petit pervers, tu ne te toucheras plus en cachette. Si tu ne peux pas contrôler ces désirs révoltants, tu devras le faire en ma présence. Peut-être que si je parviens à t'humilier suffisamment, tu pourras, avec l'aide de Dieu, venir à bout de ces actes écoeurants. Suis-je claire?"

J'ai hoché la tête en signe d'assentiment et j'ai émis un timide :

-Oui Maman...

-Bien, a-t-elle poursuivi. N'oublie pas que si tu dois faire ça, tu devras me le dire et le faire devant moi, dans l'intimité de ta chambre. Et tu n'en parleras jamais à personne!

J'ai là encore acquiescé.

Sans perdre son air dégoûté, elle s'est alors levée et est sortie de ma chambre.

Plusieurs jours se sont écoulés avant que j'aie le courage de dire à ma mère que je devais me soulager. Elle était dans la cuisine en train de faire la vaisselle.

-Maman, ai-je commencé, j'ai besoin de... enfin..., tu sais... me toucher.

Elle s'est tournée vers moi.

-Eh bien, me dit-elle, j'avais peur que cela se reproduise. Très bien, va dans ta chambre, je monterai bientôt.

Elle a recommencé sa vaisselle et je suis allé dans ma chambre.

Quand elle est entrée, j'étais assis sur le bord de mon lit. Violemment ému à la pensée de ce qui allait se passer, je n'avais pas osé me dévêtir.

-Qu'est-ce que tu attends? m'a-t-elle demandé, je n'ai pas de temps à perdre, lève-toi et déshabille-toi!

J'ai obéi, en hésitant pour finir à ôter mon slip, honteux de devoir montrer ma queue déjà dressée.

-ENTIEREMENT! Arrête de me faire perdre mon temps! Commence!

J'ai commencé docilement à me branler, en m'arc-boutant debout devant elle. Ses yeux, soudain, se sont rivés à mon membre. Ils luisaient de cette lueur étrange que j'avais déjà remarquée. Il m'a semblé que sa respiration se faisait plus rapide.

Au bout de quelques minutes, je n'avais pas encore joui et j'eus l'impression que Maman devenait de plus agitée.

-Je dois retourner nettoyer la cuisine, je vais t'aider puisque tu n'y arrives pas!, dit-elle d'une voix qu'on aurait dit comme enrouée tout à coup.

Français

Et elle a retiré ma main de ma bite et l'a remplacée par la sienne. Je ne pouvais en croire mes yeux!

Ce dont je me souviens le plus, c'est à quel point aa main était à la fois douce et ferme. La sensation était indescriptible. Je voulais désespérément me retenir mais au bout de quelques secondes j'ai explosé Mes couilles tremblaient encore et encore. J'ai cru un moment que j'allais m'évanouir.

Ma mère a continué à tenir ma bite jusqu'à ce que je cesse de juter. Elle s'est alors levée comme un automate sans me regarder ni me dire un mot, est sortie de ma chambre et s'est dirigée vers la salle de bain juste devant ma porte. J'étais dans un tel état d'excitation que j'ai alors osé l'impensable : j'ai quitté moi aussi ma chambre, sans bruit, et j'ai collé mon œil à la serrure de la porte de la salle de bain. A mon grand désappointement, je vis que ma mère l'avait fermée à clé. Celle-ci en bouchant le trou. Il m'était impossible de voir quoi que ce soit... A mon grand désappointement et à mon grand étonnement : jamais je n'avais entendu ma mère s'enfermer ainsi. Je crus tout juste percevoir comme un gémissement, mais je me dis que je me trompais sans doute : ma mère n''était pas du genre à gémir. Je regagnai alors ma chambre et me couchai, troublé malgré tout...

Au cours des semaines suivantes, nous avons répété le même rituel, d'abord tous les deux ou trois jours puis quotidiennement. Peu à peu, cependant, nos séances se sont allongées à mesure que je m'habituais aux masturbations maternelles. Aussi excitantes qu'elles soient, je voulais pouvoir jouir davantage du corps de ma mère. Même si sa robe les recouvrait entièrement, je lorgnais ses seins. Puis ce fut le tour de son bas-ventre (oh la pensée de sa chatte!) et à ce que je pouvais voir de ses fesses. Son regard à elle ne quittait jamais ma bite, comme hypnotisé. Jusqu'au jour où elle a finalement levé les yeux.

Elle s'est écriée d'un ton courroucé :

-Tu regardes ma poitrine?

Je sursautai instantanément.

-Ton vice va jusque là??? Je ne suis pas une fille des rues, je suis ta MÈRE!

Cependant sa main n'avait pas quitté ma bite et elle continuait à me branler.

-A quoi pensais-tu en regardant me seina? a-t-elle demandé sur un ton glacial;

-Oh je... je... je te regardais juste... juste comme ça... ai-je balbutié, sur les charbons ardents. C'est juste que je... je n'ai jamais vu de seins en vrai, à... à part ceux que j'ai vus dans... dans les magazines.

Maman a alors demandé d'une voix acerbe :

-Et je suppose que tu veux voir les miens, c'est ça? Penses-tu que je suis une prostituée?

-Oh non, Maman, oh non!, ai-je répondu précipitamment.

Elle a arrêté de me masturber quelques secondes, et m'a regardé directement dans les yeux. Un instant plus tard, elle se levait et passait la main derrière son dos. Après avoir dézippé sa robe, elle en a baissé le haut et a rabattu les bonnets de son soutien-gorge. Puis elle s'est assise sur le lit et a recommencé à me branler.

Alors que sa main montait et descendait sur ma bite, ses seins tremblaient au rythme de son branlage. Comme auparavant, ses yeux étaient fixés sur mon membre pendant que je regardais désormais ouvertement ses seins. Ses nichons...

Bientôt je ne pus plus m'en empêcher et je portai ma main à son sein gauche. Elle a été prise au dépourvu mais elle n'a pas arrêté de me masturber.

-Jusqu'où faudra-t-il aller pour te débarrasser de tes pulsions insanes? Ta dépravation n'a donc pas de limites? a-t-elle simplement dit en soupirant. Eh bien, s'il faut pour délivrer ton esprit pervers boire le calice jusqu'à la lie, touche-les... Puisse la honte te submerger après cela!

Le coeur battant, je me suis alors penché sur sa poitrine, que j'ai empoignée à pleines mains. Je l'ai malaxée maladroitement, et au bout d'un moment, j'ai senti ses mamelons se durcir. La respiration de Maman s'est faite hachée. La pression de sa main sur ma queue s'est faite plus forte et son mouvement s'est accéléré... Je n'ai pas pu maîtriser le jet qui jaillissait de mes couilles. Ma mère a alors émis le même petit gémissement que j'avais déjà entendu...

(à suivre)

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 28 jours

Excellent et belle traduction

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