Une Professeur Comblée

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Une professeur séduite par un des ses élèves.
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Tetsuya
Tetsuya
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J’avais terminé mon doctorat en littérature assez jeune. Déjà à 28 ans, j’étais enseignante dans une université. Un de mes amis avec qui j’avais étudié, était aussi en poste à ce même endroit. Je m’entendais avec lui très bien, nous avions fait ensemble tous nos travaux d’équipe, et plusieurs croyaient que nous étions amoureux tellement nous avions une grande complicité. Mais nous ne l’étions pas. Bien sûr, ils nous arrivaient à l’occasion de baiser un peu ensemble, mais jamais bien plus, car nous savions que la vie de couple entre nous deux aurait été impossible. Martin était plutôt polygame, alors que moi, je ne pouvais pas croire à l’amour en dehors de la monogamie.

En plus de cela, Martin n’est pas quelqu’un avec qui s’était possible de vivre. C’était un célibataire né qui ne vivrait que de petites aventures d’un bord et de l’autre. Dommage, car Martin avait tout pour me plaire, il est vraiment très séduisant en plus d’être intelligent, cultivé et drôle. Il était toujours habillé avec des vêtements pour le mettre en valeur et par une chance inouïe de la nature, il avait un très beau corps et un magnifique visage. Je me rappelle d’une chemise bleu pale qu'il portait avec des pantalons bleu marin. La chemise montrait bien la carrure de ses épaules et le bleu faisait ressortir le regard, le bleu intense de ses yeux. Et le pantalon … hum! Il laissait voir la magnifique courbe de ses fesses et lorsqu’il était bandé je pouvais voir son érection sans que le pantalon soit trop moulant. Nous avions lui et moi le même bureau d’enseignants. J’aimais les parties de jambes en l’air dans notre bureau, mais il reste que j’avais besoin d'un copain plus sérieux et plus stable.

Cela faisait une session que j’occupais ce poste, nous commencions la deuxième session. Les étudiants étaient très intéressants, je donnais un séminaire sur la littérature fantastique. Je remarquai un jeune homme particulièrement intéressant dans ce séminaire. Il était vraiment charmant. Le regard intense qu’il portait sur moi, avait tout pour m’exciter. Il était grand et il avait de long cheveux blond attachés en arrière et de superbes yeux noisettes. Des petites lunettes rondes le rendaient plus intellectuel et plus séduisant. Il était très intéressé au cours et même à plus. Il restait souvent après le cours pour me poser des questions sur la littérature, nous allions même souvent casser la croûte dans un petit resto à deux pas de l’université. Sans même m’en rendre compte, je mis à porter des jupes de plus en plus courtes et des gilets qui avantageaient de plus en plus ma poitrine. C’est Martin qui me fit un jour la remarque. Je lui répondis en bredouillant que j’avais rencontré un professeur du département de mathématique très intéressant. Il me dit que comme d’habitude il était las de sa dernière conquête,

« et tu m’attise tellement belle Julia, stp donne-moi encore un peu de plaisir ». Toute la nuit, j’avais rêver de mon bel étudiant et je m’étais réveillée en me caressant le bout de mes seins durs et mon clitoris. J’avais vraiment envie de lui, mais je savais qu’avec Martin pour le rendre plus excité, il fallait le laisser me désirer un peu. Il s’approcha de moi avec lenteur et douceur, mais je m’éloignai de lui. Il alla fermer la porte de notre bureau pour ensuite revenir en se dandinant un peu le bassin et il posait sur moi un charment regard et un joli sourire. Il retira doucement sa chemise en enlevant un par un les boutons, ce qui laissa à découvert ses pectoraux.

- Belle Julia. Allez…

- Non Martin pas aujourd’hui.

- SVP mon dieu laissez-moi enfiler la belle demoiselle callipyge qui est devant moi déjà toute excitée par mon beau corps taillé au couteau tel le David de Michel-Ange.

- Martin …

Il disait vrai déjà ma fente était très mouillé, en plus je ne portais pas de petites culottes sous ma jupe. Alors l’humidité se répandait sur mon vêtement. Il porta sa main sous ma jupe, et lorsqu’il découvrit la double surprise ma nudité et mon excitation, je perçu un frisson de jouissance le parcourir. Je caressai alors ses épaules et doucement ma main descendit le long de son corps pour arrêter sur son énorme phallus. Martin caressa du bout des doigts mes seins qui devenaient de plus en plus durs sous le passage de ses mains. Nous nous embrassions avec fouge et désir dans de longs baisers langoureux. Je suçai un peu son pénis, puis il voulu me pénétrer, mais il fut arrêter par quelqu’un qui frappait à notre porte. « Un instant », réussis-je à bredouiller pendant que le beau Martin et moi replacions nos vêtements. J’ouvris la porte et je découvris de l’autre côté l’étudiant de mes fantasmes.

-As-tu quelques secondes, Julia? Je voulais te montrer mon essai sur Lovecraft.

- Oui bien entendu, Antoine.

- Julia, je vais aller dîner, je te rapporte quelque chose?, me demanda Martin.

- Oui une salade, merci Martin.

Il me fit un petit clin d’œil avant de fermer la porte. Antoine s’assit devant moi et nos chaises étaient assez prêt l’une de l’autre. J’avais le corps en sueur par la montée de désir autant par le début d’ébats avec Martin qu’à cause de la présence du jeune homme. Mes seins étaient encore durcis et cela paraissait à cause de l’humidité qui collait mon chandail déjà assez moulant sur ma poitrine. Mon vagin me piquait encore un peu, j’avais énormément envie de caressé mon clitoris qui était encore tout désirant. J’avais les jambes légèrement écartés ce qui permettait presque à Antoine de voir sous ma petite jupe. Il me donna son travail avec son regard ferme qui semblait lire à travers moi. Je commençai même si la concentration était très difficile à conserver. Le jeune homme abordait une barbe de quelques jours absolument magnifique. Toutes les paroles qui sortaient de sa jolie bouche me troublait. De plus, je sentais son désir monter. Nos genoux se collaient à cause de la proximité de nos corps. Nos mains se touchaient souvent, lorsque je lui montrais des extraits de son texte.

- Tu es très belle, me chuchota-t-il à l’oreille en étirant le cou vers moi.

- Toi aussi, tu es beau Antoine, lui répondis-je en plaçant sa main sous ma jupe.

Il eu la même réaction que Martin lorsqu’il découvrit ma nudité et mon excitation. Je continuai de lui parler de son travail pendant que sa main exécutait d’excellentes caresses. Je plaçai ma main sur son pénis très dur pour commencer une bonne masturbation. Il semblait fortement approuver mon geste. Mais malheureusement, j’aurais du dire la vérité à Martin, car ce dernier revint alors dans le bureau avec le lunch sans même cogné. Antoine se leva brusquement, me salua et il quitta la pièce.

- Espèce de salaud, nous allions faire l’amour, dis-je à Martin.

- Toi! Julia! Et ton éthique?!?

- Il est majeur et puis t’as pas de leçon à me faire, tu te rappelles quand je t’ai trouvé dans le bureau avec trois de tes étudiantes.

Effectivement, ce jour-là, j’étais entré dans le bureau comme lui sans cogner. Et je l’avais trouvé nu étendu sur le bureau, pendant qu’une jolie blonde lui suçait le pénis en se faisant sucer les seins par une autre étudiante, durant qu’une troisième fille placée à quatre pattes sur lui offrait ses seins dans sa bouche. Il me raconta par la suite que trois de ses étudiantes étaient tombées amoureuses de lui. Profiteur comme il est, il leur avait fait des avances aux trois, puis les avaient invités au même rendez-vous. Chacune pensant être seule avec lui, c'était habillée sexy pour l'exciter, mais lorsqu'elles sont arrivés, elles furent déçues de rencontrer des rivales. Avec son charisme incroyable, il a réussit à les convaincre de le faire à quatre.

- Baise-moi pour te faire pardonner. Enfonce ta bite au plus vite, je suis encore toute chaude.

- À vos ordres belle dame.

Martin descendit son pantalon pour découvrir son joli phallus qui n’attendait que l’instant où rentrer dans ma fente. Il souleva ma jupe pour caresser d’une main mon vagin et de l’autre un de mes seins. Je plaçai mes jambes autour de sa taille et j’étais couché sur le dos sur le bureau. Il me pénétra d’un coup. Et quel coup, aaaah! J’hurlais de plaisir sous le mouvement de ça va ça vient de sa bite.

- Caresse-moi les seins, ça m’excite.

Il s’exécuta. Il caressa mes seins en me pénétrant. Une horde de jouissance me parcourait intensément sous mes hurlements de plaisirs. J’eu un orgasme magnifique et très relaxant lorsque Martin éjacula. Nous nous couchâmes nus ensemble sur le sol. J’avais la tête sur sa poitrine pendant qu’il me caressait les cheveux. Je jouais d’une main sur son petit pénis, un peu fatigué.

- Je m’excuse Julia. J’espère que j’ai réussis à me faire pardonner.

- Comme toujours, Martin, t’es le meilleur amant.

- Tu es amoureuse de lui?

- Je pense que oui. Il est vraiment très intéressant, il connaît plein de choses et …

- Oui mais physiquement, il t’attire aussi?

- Bien sûr, tu ne l’as vu? Il est absolument craquant.

- Un petit jeunot avec une vieille comme toi.

- Heille toi le vieux con! Je n’ai même pas trente et lui dois avoir vingt-deux, vingt-trois ans.

Nous avions discuter longtemps ainsi l’un contre l’autre. Ensuite j’envoya un courriel à Antoine pour m’excuser de l’intrusion de mon collègue dans notre entretien [sic]. Je rencontrai Antoine plusieurs fois, dans la semaine nous allions dans des restos pour discuter littérature, cinéma, théâtre et art. Nous sentions tout deux de plus en plus le désir entre nous, mais aussi l'amour. J'étais follement amoureuse de lui et cela semblait réciproque. Aucun de nous deux semblaient vouloir faire un mouvement encore timide à cause des événements dans mon bureau. Après un de nos cours qui suivait ces évènements, Antoine vint enfin me voir.

- Je me suis acheté Clockwork Orange en fin de semaine. Est-ce que tu voudrais venir l’écouter chez moi? Tu avais dis l’autre jour au café que tu l’avais jamais.

-Oui, c’est certain que je veux. Je connais presque pas Kubrick et un de mes étudiants me dépasse là-dessus alors par défi, je dois le visionner au plus vite.

Il me donna son adresse en m’adressant son sourire envoûtant. Avant d’y aller je me mis beaucoup de temps devant la glace pour que appas soit des appâts. Je ne me maquillais pas, car je n’aime pas vraiment le maquillage, je préfère le visage naturel, de toute façon mon visage n’est pas laid du tout. Mais je replaçais mes cheveux, mes vêtements (pour le peu que j’avais) et ma posture. Je partis donc en direction de son appartement urbain. Il était seul, dans un splendide studio rempli de films et de livres. Il m’invita à prendre un verre. Il me fit un Sex on the Beach que nous burent ensemble en plaçant la casette. Le film n’est pas pornographique, même s’il y avait une tonne de corps nus, mais somme toute cette suggestion de corps dénudé et la présence d’Antoine suffit pour m’exciter.

Nous écoutâmes le film en silence et rendu à la moitié, il passa sa main sous ma jupe pour continuer se qu’il avait commencé quelques semaines plus tôt. J'avais encore aucune petite culotte sous ma jupe, je n'en portais jamais. Je lui caressais timidement le pénis par dessus son pantalon en continuant d'écouter le film. Plus le film avançait et plus ma main était dans son pantalon. À la fin du film, nous étions tout deux extrêmement excités. Il commença par m'embrasser avec vivacité, passion et désir. Je plaça ses mains sur mes seins. J'adore me faire caresser les seins lorsque je suis excitée. Il fit se que je lui demandais. Et puis je me penchai pour prendre son phallus dans ma bouche. Je le la lécha d'abord de tout son long. Je me plaçai pour qu'il puisse bien voir les mouvements de ma langue. Ensuite je l'enfonça dans ma bouche. Il avait maintenant une main entre mes cuisses et une sur ma poitrine. Je continuai de le sucer et lorsqu'il fut sur le point d'éjaculer. Nous entendîmes un bruit qui provenait du corridor.

" Merde, ma coloc", dit-il pendant que nous tentions de nous rhabiller correctement. Par une quasi-incroyable coïncidence, la coloc d'Antoine était nulle autre que la nouvelle flamme de mon ami Martin. Ils entrent ensemble dans le salon. Antoine paru un peu gêné, lorsqu'il reconnu Martin. Ce dernier semblait fort heureux, lorsqu'il me vit. Nous passâmes tous les quatre la soirée ensemble. Martin proposa d'aller prendre un verre dans un bar tout près de l'appartement d'Antoine et de Mélissa. Nous y allâmes et selon sa plus chère habitude Martin transforma une conversation hautement intellectuel, en discussions sur nos fantasmes.

- Les filles, est-ce que vous êtes déjà allée dans un bar de danseurs?

- Non, pas vraiment, lui répondis-je.

- Moi oui, dit Mélissa.

- Pourquoi t'es allée là?, demanda le soupçonnable Martin.

- Parce que c'était un de mes phantasmes de faire danser plusieurs gars devant moi.

- Et puis couché avec plusieurs gars, j'imagine que c'est dans tes fantasmes aussi, lui demandais-je.

Martin très heureux que la conversation vire sur ce point me fit un clin d'œil.

- Oui bien sûr, pas toi?

- Hum… ouin peut-être bien. Et vous les gars?

- Avec plusieurs gars, non, dis à la blague Antoine.

- Plusieurs filles c'est certain que oui, dis Martin avec son regard enjôleur.

- Tu l'as déjà fait?, lui demandais-je avec un air de défi.

- Hum ouais. Et toi Antoine?

- Non mais c'est pas que j'aimerais pas ça.

- Comme on est aux confidences, dit Mélissa qui semblait un peu réchauffée, Julia et toi, Martin est-ce - que vous avez déjà sortis ensemble? Vous semblez bien vous connaître.

- Disons qu'on couche ensemble, répondit Martin.

- T'es con, toi!, dis-je à l'endroit de Martin.

Antoine me caressa la cuisse sous la table pour me signifier que cela ne le dérangeait pas. Ce qu'il ne savait pas c'est que sur l'autre cuisse j'avais déjà la main de Martin. Je donna un coup de pied à Martin , je ne voulais surtout pas qu'Antoine se rende compte de se qu'il faisait.

- Pourquoi ça te gêne qu'il dise ça, il n'y a pas de mal à voir des "fuck friends" quand on est célibataire, en Antoine?, dis Mélissa.

Ce dernier sembla plutôt gêné de l'annonce publique de sa coloc.

- Et bien, comme on se connaît tous déjà on pourrait …, se lança Martin.

- Ouin, dit Antoine avant de me chuchoter à l'oreille, si tu le veux bien entendu.

- Oui, mais toi Martin, tu vas payer.

- Haaaaa! Juliaaaaa! J'adore quand tu me fais payer.

Nous allions en direction de l'appartement de Antoine et Mélissa, lorsque Martin proposa d'aller au Mont Royal. Nous allions prendre le métro, en direction de la montagne qui se trouve au centre même de l'urbanité de Montréal, lorsque Antoine proposa le jardin botanique, c'est mieux surtout la nuit en plus c'est interdit. Nous prîmes alors le métro en direction des vieilles installations olympiques de 76 et du splendide jardin. Il fallut passer sous plusieurs barrières avant d'arriver dans ce bel endroit. Donc les quatre étendus sur la petite montagne dans le jardin chinois, nous complantions le petit lac. Antoine m'embrassa d'abord. Je m'allongeai sur lui et je sentais son pénis bien bandé dans son pantalon. Nous nous embrassions en nous roulant dans l'herbe et les fleurs. Je voyais à côté Mélissa qui suçait déjà le phallus de Martin.

Antoine aussi semblait regarder à côté. Il me caressait les seins en regardait ceux de Mélissa que Martin découvrait. Moi je regardais le magnifique corps musclé de Martin éclairé par le faible clair de lune. Antoine m'enleva mon gilet en laissait découvert mes seins qui attirèrent immédiatement l'attention de Martin. Antoine semblait un peu perdu ne savant plus où mettre mon regard sur mon corps ou sur celui de Mélissa. Je me plaça alors derrière lui, les seins nus collés contre son dos et je le masturbais pour qu'il puisse regarder Mélissa. Un peu déçu de ne plus pouvoir me voir, mais il avait le magnifique spectacle de la langue de Mélissa sur le pénis de Martin.

Celui-ci sembla heureux d'avoir des spectateurs et il redoubla d'ardeur dans les caresses à Mélissa, ce qui ne laissait pas Antoine indifférent même il paraissait un peu jaloux. Antoine me poussa un peu pour aller vers Mélissa, et Martin s'approcha de moi. Il m'entendit sur le sol pour me faire un cunnilingus. Pendant que Martin me léchait, Antoine posa une main sur un de mes seins et l'autre sur un de Mélissa. Antoine était couché près de moi pendant que Mélissa lui faisait une fellation. Je regardais le corps splendide de Martin entre mes jambes et le joli visage d'Antoine illuminé par la jouissance à côté de moi. Il en voulait plus et il demanda: "Allez les filles venez toutes deux sur moi". Mélissa continua son travail tandis que moi, je lui massais la poitrine tout en étant assise sur Martin qui me caressait l'entrejambe. J'étais vraiment mouillée et cela sembla plaire à Martin, car je sentis son pénis se durcir contre mes fesses. Mélissa était vraiment gourmande, on aurait dit qu'elle mangeait le pénis de Antoine et que c'était son premier repas depuis plusieurs mois. Au plus grand bonheur de Mélissa, Antoine éjacula dans sa bouche et elle nettoya tout son membre délicatement avec plusieurs coups de langue. Nous le laissâmes se reposer seul sur l'herbe, pendant que nous occupions de Martin. Après la merveilleuse prestation de Mélissa en suceuse, Martin voulait un rappel sur sa queue.

Elle lui obéit avec un intense plaisir. Décidément cette fille raffolait de l'amour orale. J'étais contente d'avoir le reste du corps de Martin pour moi. Je n'avais sur mon corps qu'une jupe et je me mis à cheval sur son torse. Il avait les mains sur mes seins, et je jouissais le liquide vaginale lui coulait sur le ventre. Il appréciait vraiment cette humidité qui émanait de moi, symbole de mon excitation. Antoine qui semblait de retour en force avec le pénis au garde à vous, revint vers nous. Mélissa me lassa les deux gras, pendant qu'elle allait se masturber seule en nous regardant. Antoine me pénétra. Aaaaah! Enfin, j'étais beaucoup plus fan de la pénétration que de la fellation. Et pendant ce temps, Martin m'embrassait sur le reste du corps. Il allait avec sa langue et sa bouche, sur mon front, sur mes joues, sur ma bouche, sur mon cou, sur mes épaules, sur mes seins, sur mon ventre… et en même je savourais pleinement le pénis de Antoine qui s'amusait entre mes jambes.

Antoine éjacula en moi et j'eus un intense orgasme. Mélissa se laissa pénétrer par Martin qui voulait soulager enfin son pénis lourd de sperme et d'excitation. Ils jouirent ensemble dans des cris orgasmiques profonds. Antoine se coucha nu contre moi et il me chuchota à l'oreille: "Tu commences ça intense tes relations avec tes étudiants". Nous nous sommes réveillés dès les premières lueurs du matin pour quitter rapidement le jardin avant d'être découvert par les responsables de l'endroit. Nous étions tous attendu à l'université pour une grosse journée de travail.

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