Vacances au "Club Med"

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Une femme fait le récit de ses vacances à une amie.
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Ma Chère Cathy,

Comme tu vois, je ne perds pas de temps pour t'écrire dès mon retour de vacances... Ces quelques jours passés en Italie m'ont fait beaucoup de bien. Moi qui craignais un peu de partir dans un club, je reviens ravie...

Tu te souviens combien j'étais crevée et combien j'avais besoin de prendre des vacances... Nous venions de finir d'installer notre commerce et nous étions décidés à partir en Italie par le "Club Med'". Mais mon mari s'est dit que finalement, il ne pouvait s'absenter si tôt après cette ouverture, et a décidé de rester... C'est donc seule que je suis partie pour Napitia, en Calabre.

J'étais déjà allée plusieurs fois en Italie, mais c'était la première fois, tu le sais, que j'y allais dans un club et seule. En effet, je n'aurais pas eu le temps, ni le courage, d'organiser un voyage par mes propres moyens comme je le faisais auparavant... Je souhaitais surtout me reposer... L'ambiance de club de Napitia n'était pas désagréable; c'était celle de beaucoup de clubs de vacances : On va sur la plage quelques heures l'après-midi, petit cocktail sur les bords de la piscine à partir de 17 - 18 heures, dîner un peu tardif, souvent agrémenté d'un spectacle, puis l'on termine dans l'une des deux boites de nuit du club... Après cela, on dormait souvent jusqu'à midi... Ce fut mon programme dès le premier jour. Je fis quelques connaissances, surtout parmi les couples car il y avait peu de "célibataires" et de plus, ceux-ci ne m'inspiraient pas vraiment.

Le soir en boite, je ne fus cependant pas longtemps seule, car les employés Italiens et Grecs du club (plagistes, moniteurs, barmen, etc...) passaient évidemment toutes leurs soirées là. Tous parlaient très bien le Français et se montraient toujours très aimables avec la clientèle. Je dansai avec plusieurs d'entre eux, puis sans que j'aie vraiment fait un choix (mais peut-être en avaient-ils fait un, entre eux?), Georgio, un moniteur de voile séduisant et bronzé (la " caricature " de l'athlète Grec!), se montra plus persévérant et je flirtais un peu avec lui... Il me caressait et me tripotait gentiment au travers de la robe légère que je portais. Il faisait encore chaud, même la nuit et on ne portait pas grand chose.... Sur le coup de trois heures du matin, je me dis qu'il fallait quand même que j'aille me reposer et je pris congé... J'eus droit à un long baiser auquel je me prêtais volontiers...

Il faisait très chaud dans le bungalow que j'occupais au point que je fus tentée d'aller dormir sur la plage, mais je n'en eus pas vraiment le courage... Me demandant si je parviendrais à dormir malgré cette chaleur, je me mis complètement nue et m'allongeai sur le large lit très bas.

J'étais ainsi étendue depuis une dizaine de minutes, me demandant si j'allais réussir à trouver le sommeil, lorsque j'entendis frapper à la porte du bungalow.

- " Oui?... Qui est-ce? "

- " C'est Georgio... " me répondit mon cavalier de tout à l'heure. Cela ne m'étonna pas vraiment ; c'était assez dans leurs façons de faire...

-" Je peux entrer? " insista la voix.

Je n'hésitai pas vraiment, car sans être venue dans ce club pour baiser, je n'avais pas non plus l'intention de faire œuvre de chasteté pendant toute une semaine. Une aventure sans lendemain, sans problème, se présentait, pourquoi la refuser...

- " Oui, entre ... " lui dis-je, sans même prendre la peine de me couvrir d'un drap. Après tout, en le laissant entrer à cette heure dans ma chambre, nous savions tous les deux ce que nous faisions... Enfin " tous les deux " c'est une expression, car lorsque la porte s'ouvrit et qu'il entra, je ne tardai pas à me rendre compte que d'autres ombres accompagnaient la sienne.

- " Mais tu n'es pas seul!..." m'exclamais-je, car, par contre, je ne m'attendais pas à cela.

- " Oui..." me répondit-il d'une voix douce, " J'ai amené quelques amis "

- " Des amis!... Mais... Mais pourquoi? ".

D'une voix toujours aussi calme et douce, il me dit:

- " C'est le cadeau que l'on réserve aux femmes mariées... qui viennent ici sans leur mari... Un cadeau pour leur faire un beau souvenir de vacances... ". Cela aurait pu me choquer mais il m'avait dit ça si gentiment que je ne pus m'empêcher d'en sourire. Je me redressais dans le lit jusqu'à me retrouver à genoux au milieu des draps. Cinq... Ils étaient cinq... Pas tous aussi beaux que Georgio mais pas mal quand même.... Ils s'étaient placés de chaque côté du lit et m'entouraient maintenant. Tous sans exception, avaient sorti leurs sexes par leurs braguettes. Tous ne bandaient pas mais je m'aperçus que tous les cinq avaient un membre plus imposant que celui de mon mari, soit en longueur, soit en grosseur, soit souvent les deux... Ce n'était pas pour me déplaire ; tant qu'à le tromper, autant que cela en vaille la peine...

- " Ah oui... Un souvenir... Et vous offrez cela à toutes les femmes mariées qui viennent ici seules? "

- " A pas mal, oui... Surtout si comme toi, elles sont mignonnes..." me dit Georgio. Puis un autre ajouta :

- "Et surtout si elles ont l'air d'aimer ça!... ". Je souris et pour montrer qu'il avait vu juste, je pris une bite dans chaque main. Je me mis à branler doucement l'une d'elles et avant que de commencer à sucer l'autre, je posai la question qui me brûlait les lèvres:

- " Et vous trouvez que j'ai l'air d'aimer ça?... ". Ils rirent de ma question et l'un d'eux, sans doute plus courageux que les autres me dit:

- " Oui... Tu as une jolie petite gueule de salope!... ". Je ne sais pourquoi mais sa remarque m'excita et sans doute à cause de cela, j'engouffrais la bite que je suçais le plus loin que je pus, durant un bref moment. J'entendis l'homme gémir... Alors, reprenant mon souffle, je dis:

- " Vous trouvez que j'ai l'air d'une pute?... ". La réponse ne se fit pas attendre :

- " D'une pute non!... Mais d'une salope, ça c'est sûr...! ". Il y eut de nouveau un éclat de rire, puis les types commençant à prendre de l'assurance, l'un d'eux s'exclama :

- " Ah les mecs ça va être la fête! ". Ce qu'un autre corrigea par :

- " Ca va être SA fête...! ".

- " Je veux être le second à me faire sucer..." dit encore un troisième...

- " Et moi, je vais aller goûter cette petite..." dit un autre en s'allongeant sur le lit et en glissant sa tête entre mes cuisses. Je suçais toujours les deux autres, alternant la fellation de l'un pendant que je branlais l'autre.

- " Pompe-moi bien le dard! " me dit le type dont j'avais la bite dans la bouche et il me l'enfonça jusqu'aux amygdales... J'en suffoquais un moment puis me mis à gémir.

- "Prends-moi dans ta bouche moi aussi..." me demanda un autre qui s'était approché, le sexe sorti et dressé à la main. Je me mis à pomper les trois bites alternativement. La bouche de celui qui s'était glissé entre mes cuisses était loin de me laisser indifférente... Bientôt cela devint même très sensible et je dus abandonner un court instant mes fellations pour pousser un râle libérateur... Avant que de ré-enfourner leurs queues je lui dis :

- " Ah oui... Lèche moi bien...Ah...hum...huummm... C'est bon!!"

- " Pipe!... Continue à piper..." me dirent les autres, me bâillonnant en m'enfonçant leur bite de nouveau dans la bouche. Très excitée je me mis à les pomper avidement, comme une vraie professionnelle... L'un des types se mit à son tour à gémir :

- " Ah putain, la salope!... Ah oui, elle va me faire jouir... Ah, je vais te ventouser la chatte, moi, tu vas-voir!!... Je vais te faire monter au septième ciel!... "

Mon suceur céda volontiers la place et dit :

- " La place est libre, je te la laisse... Amon tour de me faire pomper le poireau!... ". Dès que l'autre eut installé sa tête entre mes cuisses, il s'exclama :

- " Ah... C'est pas une chatte ça!... C'est les grandes eaux... ". Et je me rendais bien compte qu'il avait raison... Je mouillais comme une folle. Dès qu'il se mit à me bouffer le coquillage, un premier orgasme me submergea... :

- "Oh oui...oui!... Oh!... Oooohhh!... Comme c'est bon!... Aaahh!... Aaaahhh!". Je tremblais de tout mon corps secouée par le plaisir.

- " Ah oui les mecs, elle est chaude... Elle est chaude!". Dès que l'orgasme s'estompa un peu j'engouffrais dans ma bouche la première bite qui se présentait... L'homme parut apprécier...

- " Ah oui... Tu me turlutte comme une vraie pute! " me dit-il. Il se mit à gémir puis dit à ses compagnons :

- " Et bien, il n'y en a pas un pour la culbuter?... "

- " Moi... Je vais lui défoncer la chatte... " dit Georgio. Mais comme il voulait que je continue à sucer les autres, il se glissa entre mes cuisses et me fit m'empaler sur sa bite dressée. Elle était plutôt grosse et bien raide... Mais dans l'état où j'étais je n'eus aucun mal pour l'accueillir en moi... Mon con accueillant et trempé dut lui plaire car il s'exclama :

- " Hum... On est bien là dedans... ". Comme tout cela était bon. Je leur dis à mon tour :

- "Ah vous savez divertir les femmes mariées, messieurs les moniteurs... Hum... Donne-moi encore ta bite toi, j'en veux plein la bouche... "

- "Ah vous me faites bander comme un dingue! " s'exclama Georgio, j'ai la queue dressée sur le nombril ". Et il ne mentait pas ; j'avais rarement senti dans le plus profond de mon trou, une bite aussi raide et aussi tendue. Je montais et descendais sur elle comme sur un pieu d'acier. Son gland dur me cognait au fond du con ouvert comme jamais et un second orgasme, plus fort que le premier, me fit me tendre et trembler de tout mon corps.

- " Ah les mecs..." soupira Georgio, je ne vous dis pas comme c'est bon, j'en ai les couilles trempées... Ahhh!...". J'étais ruisselante de sueur, mais le plaisir et le désir ne cessaient de croître.

- " Ah tais-toi et baise moi fort! " m'exclamais-je, et je me mis à le chevaucher comme une furie, montant et descendant violemment sur toute la longueur de sa bite dressée... J'avais pris appui de mes mains sur ses cuisses bronzées et je me soulevais jusqu'à presque ressortir sa bite de mon con pour me laisser retomber de toute mes forces, m'empaler violemment sur sa queue si raide... En cet instant là, je ne voyais même plus les autres, je ne voulais qu'une chose : me défoncer...! Me planter de toutes mes forces sur cette bite, à m'en faire mal, jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus, jusqu'à ce qu'il crache! Je m'empalais à fond, à lui en écraser les couilles...

- " Changez de position..." dit une voix, je veux voir son cul ma jolie... ". Je me contentais de me retourner face à Georgio mais restais empalé sur lui... Cette position lui laissait plus de liberté, et c'est lui qui se mit alors à aller et venir en moi. Cette bite qui montait et descendait en moi, c'était si bon, que je m'entendis leur dire :

- " Oh c'est bon... Oh oui... Je ferai tout ce que vous voudrez, tout... "

- "Ah ce cul!... " dit un des types, derrière moi, oui vas-y! Déchire-lui le minou!... Défonce-la!... " Mais Georgio ne voulait pas encore jouir. Ils me firent me mettre sur le côté... Et tandis que deux d'entre eux me donnaient leurs bites à sucer, un autre, celui qui avait sans conteste le plus gros braquemart, se plaça entre mes cuisses et me pénétra... Sa grosse bite s'enfonça en moi sous les yeux des autres... J'étais honteuse d'accueillir si facilement un pareil morceau, mais aussi tellement excitée!... De sa main, le type me forçait à écarter les cuisses au maximum et me limait d'un mouvement puissant... Je me mis à gémir comme une folle...

- "Ah! Elle est déchaînée..." s'exclama un autre, j'ai une de ces gaules!". Ils me firent alors me mettre à quatre pattes en travers du lit... Deux étaient devant moi pour se faire sucer et les autres, derrière. La queue qui me pénétra alors et se mit à aller et venir en moi me prenait si complètement que son paquet de couilles venait claquer contre mes cuisses. Je jouis une nouvelle fois violemment en tremblant de tout mon corps... En revenant à moi, j'étais encore si excitée que je m'entendis lui demander :

- " Ah! Je suis toute ouverte... Bon Dieu que j'aime!... Ah, sodomise-moi s'il te plaît... Prends-moi dans le cul". Il ne se fit pas prier. Je le sentis empoigner son membre et me le darder entre les fesses. Son gland était gros et forçait contre mon anus... Je ne pouvais plus me retenir :

- " Oui, vas-y... Enfonce-la moi!... Vas-y, bien à fond!... N'aies pas peur de me faire mal... Oh ouiiiiiii!!... ". La grosse queue s'enfonça entre mes fesses et immédiatement le type se mit à aller et venir de toute sa longueur. Son paquet de couilles cognait contre mes fesses maintenant. Une bite s'enfonça dans ma bouche tandis qu'une main fouillait mon sexe ouvert en y tournant trois de ses doigts.

- " Vas-y, défonce la!..." s'exclama un des hommes, et mon enculeur accéléra encore le rythme, me défonçant, me bourrant le cul, de toute ses forces... Je gémis et jouis... Encore... Je haletais:

- " Oui... Ouuiii!... Vas-y... A fond... Ouuiiii!!! "

- " Elle aime ça cette chienne... "

- " Ah oui... oui... j'adore ma faire baiser par tous les trous... ". L'homme accéléra brusquement et me bourra le cul pendant plus d'une minute au rythme d'un piston de locomotive... J'en hurlais de plaisir...

Ils me remirent alors sur le côté et le type à la très grosse bite me prit à nouveau, mais par le cul cette fois... Je compris pourquoi ils semblaient tant affectionner cette position en voyant tous leurs yeux fixés sur cette grosse bite qui allait et venait dans mon cul... C'était à coup sûr, la position qui leur permettait le mieux de VOIR... Il me ramona ainsi le cul pendant plus de dix minutes, puis il se mit sur le dos, bite dressée, et je dus m'empaler sur son énorme sexe dressé, tout en maintenant mes cuisses bien écartées, afin qu'ils voient tout... Mon clitoris dardait ; un des types le caressa et le branla... J'eus un orgasme fulgurant qui me fit hurler et décharger de longs jets de cyprine chaude... Mon anus se contracta si fort sur la grosse bite que le type n'y résista pas... Sa queue se tendit, vibra et je le sentis éjaculer au fond de mon cul en deux ou trois belles giclées successives... Les autres non plus n'en pouvaient plus; ils se branlaient tous au dessus de mon visage... le sperme giclait de partout! J'en recevais sur le visage, dans la bouche, sur les seins, le ventre... J'étais comme folle, maculée de semence chaude, je les suçais encore, leur arrachant leurs dernières gouttes, les obligeant à se branler et à se vider les couilles sur moi, bien à fond...

Ah... Ma Chérie, je te raconterais bien la suite tant je me laisse facilement emporter par ces confidences que je te fais, mais mon mari ne va pas tarder à rentrer et je ne veux pas qu'il me trouve encore en train d'écrire... Surtout d'écrire cela... J'ai juste le temps de me branler avant qu'il n'arrive tant de t'avoir écrit cela, m'a excité!...

J'espère que la lecture de ces lignes t'inspirera la même chose!...

Je te fais mille bises...

Ton amie Sophie...

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  • COMMENTAIRES
2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 11 ans

J'adore tes histoires,j'ai particulièrement apprécié "je suis une salope",un délice!

Encore

AnonymousAnonymeil y a presque 11 ans
comme

la catégorie stupide n'existe pas, je pense il faut prende Non-Erotique. le cadeau qu'elle apporte a la maison serais sida, hépatite ou une autre maladie sexuellement transmissible. joyeuse vie.

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