Vacances Inoubliables

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Histoire vraie sur ma rencontre avec une ancienne camarade.
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Ce que je m'apprête à raconter ici est une histoire vraie, c'est pourquoi elle peut manquer un peu de romance ou de fantaisie. Je compte décrire les faits tels-quels et ferais petite rétrospective en fin de récit.

J'étais à la fin de mon cursus lycéen. Déjà à cette époque j'avais conscience de quelques curiosités dans ma sexualité exacerbée aux hormones d'adolescent qui n'étaient certainement pas considérées comme "normales" selon la plupart des gens. Parmi ces curiosités : le fétichisme des pieds et un désir de soumission, de chasteté, ou plus précisément des envies de frustration. À ce moment là je ne mettais pas encore un mot sur tous mes désirs. J'avais déjà pu expérimenter un peu sur mon propre corps certaines choses, comme ruiner mes propres orgasmes, gouter ma semence, tenter quelques petites insertions anales etc. J'avais réussi à acquérir ma première cage de chasteté sur internet. Je sentais déjà une prédilection pour cet objet qui répondait à mes envie de restreinte, voire de masochisme (le modèle était livré avec un accessoire à pointes supplémentaire). En solitaire, je m'amusais à la porter des journées durant pour retarder au maximum un plaisir coupable que je m'autorisais à ruiner.

À cette époque, je ne pouvait compter que deux ou trois relations amoureuses étalées sur quelques mois. Relations qui étaient bien souvent à distance (la bonne vieille époque MSN si vous vous rappelez) et qui n'ont jamais abouti à quoique ce soit de physique. Comprenez par là : 18 ans, toujours puceau.

Revenons en à notre histoire. La fin de l'année s'annonçant, il était coutume d'avoir fêtes de fin d'année, kermesses dans les différentes écoles. J'étais habitué à participé à celle de l'école primaire de mon village natal. C'est à cette fête que je fis la rencontre de Floriane. Ou du moins la re-rencontre de Floriane. En effet, nous étions camarades de classe étant enfants; enfin disons plutôt que nous étions ennemis de cour d'école. Allez savoir pourquoi. Cependant je l'avais tout de suite reconnu et c'est avec grand plaisir que j'allais entamer la conversation. Visiblement elle se remémorait mon visage et se rappelait bien de moi. Comme une amitié qui ne s'était jamais interrompue malgré plus de 10 ans de séparation, les petites plaisanteries et taquineries sur notre passé commun remontaient. Je ne me souviens plus les termes qui ont été prononcés, mais je me rappelle avoir été trop loin dans l'une de mes blagues maladroites, ce qui la blessa un peu je crois. La journée se terminait ainsi.

La magie d'internet étant ce qu'elle est, j'ai pu retrouver son adresse de messagerie instantanée sans trop de difficulté. Ainsi je pourrais les présenter mes plus plates excuses. Elle accepta ma requête et nous continuâmes à discuter le soir, puis la nuit. Mes pensées brouillées aux hormones allèrent jusqu'à lui demander si cela lui conviendrait si je l'appelais "maîtresse" pendant une semaine ainsi qu'un massage du dos (ou plus) à effectuer au moment de son choix. Proposition qu'elle accepta. Le jeu était désormais en marche.

Nous continuâmes à discuter de manière régulière de cette façon. Il y avait bien évidemment une certaine tension entre nous. Nous nous prêtions au jeu. Un jour elle me dit : "Je veux mon massage ce soir". Nous nous organisâmes tel qu'elle viendrait me rejoindre chez moi (ou plutôt chez mes parents) en fin de soirée lorsque tout le monde serait coucher. Je la ferais rentrer chez moi en toute discretion. Je ne savais pas vraiment ce qui allait se passer ce soir là, mais j'étais impatient et très excité.

Le soir venu, je la fis rentrer jusque dans ma chambre. Nous étions tous deux extrêmement gênés. J'entamais les hostilités par : "maîtresse, voudriez-vous ôter votre gilet et T-shirt afin que je puisse vous masser?". Elle s'exécuta, puis s'allongea coté ventre sur mon lit pour que je puisse effectuer mon acte de pardon. J'avais préparer le l'huile exprès et prenais mon temps pour que tout soit le plus agréable possible. Après 30 minutes, elle me dit d'arrêter et qu'elle allait repartir. Je lui proposais de la raccompagner à pieds.

Pendant cette petite marche nocturne, je lui faisais part de mon envie de la revoir, et de ma satisfaction à l'avoir à l'avoir servie de la sorte. Floriane me répondait réciproquement. Depuis, nos conversations MSN en furent transformer. Je continuais de l'appeler "Maîtresse" et la vouvoyais. Nous évoquions nos prochaines rencontres, nos éventuels désirs, les suppositions les plus folles comme par exemple, lui faire son prochain massage en étant nu (un esclave ne peut porter de vêtements en présence de sa maîtresse), je pouvais lui lécher les pieds, elle pourrait à loisir m'éduquer à coup de badine, et pourquoi pas même s'en prendre à mes testicules si l'envie lui en disait. Je dévoilais à ce moment là mes différentes envies sexuelles. Le jeu semblait l'amuser. Elle m'avouait ne jamais avoir fait de telles choses, que ses rapports habituels étaient au final très classiques. Contrairement à moi, elle avait une vie sexuelle très active. Mais au final elle voulait bien essayer de jouer.

Dans la semaine nous nous revîmes, mais cette-fois, j'avais préparé le local au dessus du garage (un grenier aménagé si vous préférez) afin que nous ne soyons pas dérangés. La nuit, elle vint me rendre visite, puis nous montâmes au grenier. Je crois que nous étions encore plus gênés que la première fois. Je prenais mon courage à deux mains et lui proposais de me déshabiller afin qu'elle puisse voir son esclave dans le plus simple appareil. J'étais horriblement intimidé, et Floriane terriblement gênée. Petit à petit je me mettais nu. Nu? Presque. J'avais voulu faire bon effet avec ma cage de chasteté. Cela aura eu le mérite de susciter l'interrogation et de débloquer un peu la tension. Je lui expliquais donc le principe et lui montrait aussi la couronne de pics qui passait sous les testicules qui provoqueraient une douleur certaine en cas d'erection. Elle trouvait l'idée intéressante. Je lui proposais de tester quelques activités comme prendre une badine en main pour faire rougir ces fesses qui étaient miennes. Elle déclina la proposition par peur de me faire mal. La gêne était encore très palpable. Elle me questionna donc sur mon fétichisme des pieds. Je lui expliquais donc que je rêvais de pouvoir masser, sentir, embrasser, lécher les pieds féminins. Que je n'avais jamais pu réaliser quoique ce soit de la sorte. Elle me proposa donc de lui retirer ses tennis pour voir comment elle se sentait vis à vis de cela. Je me mettais donc à genoux devant elle pour lui délasser ses chaussures. Je demandais ensuite si je devais continuer avec ses chaussettes. Elle acquiesça tout en hésitant. Je découvrais pour la première fois la sensation de tenir dans mes mains les pieds d'une jeune femme. C'était terrifiant. Floriane me demanda alors : "Alors? Ça va? Ils te plaisent?" Je répondais par l'affirmative sans aucune hésitation. Elle inspira un grand coup et toucha ma cage avec l'un de ses pieds nus. "Est-ce que ça te fait bander si je fais ça?" À ce moment là, aucun risque de devoir démontrer l'efficacité de la cage de chasteté. J'étais tellement stressé qu'il m'était impossible d'avoir une érection.

Quelques instants plus tard, je me rhabillais et raccompagnais Floriane chez elle. Au dernier moment, je lui demandais si à tout hasard elle voulait garder les clefs de ma cage avec elle. Elle les pris volontiers puis ajouta : "La prochaine fois, on ira chez moi, je t'envoie un texto quand tu pourras venir."

Nous refaisions la soirée par MSN en essayant de résoudre les raisons de tout ce stress entre nous. Elle me demandait aussi, si j'acceptais de jouer mon rôle jusqu'à venir faire des corvées chez elle. Chose que j'acceptais bien évidemment. Elle m'expliquait que ce n'était pas facile de se voir chez elle car elle était en collocation avec son grand frère et sa grande soeur (situation familiale compliquée). Le fait de ne plus avoir les clefs de ma cage à portée de main changeait la donne en terme d'excitation au quotidien. Le choix ne m'appartenait plus. Il me tardait d'avoir notre prochaine rencontre.

Après plus d'une semaine à dialoguer sur MSN encore et toujours, avec quelques envois de photos d'elle en collants, puis de ma personne en situation embarrassante, elle m'envoya enfin : "Demain tu peux venir à 15h. Soit prêt." Je n'en dormis pas de la nuit, j'avais les boules littéralement bleues d'anticipation. Le lendemain, lorsque je sonnais chez Floriane, elle m'attendais dans la cuisine, avec un verre de vin blanc. "Tu en veux un?" me demandait-elle. Je refusais. "J'essaye de me déstresser." rajoutait-elle. Floriane prit ma main et m'emmena à l'étage, dans sa chambre, puis me demanda de me déshabiller devant elle. "Ça a été la cage?". Je répondais que oui, mais que les échanges de photos ne m'avaient pas faciliter la tâche. J'expliquais aussi que les érections nocturnes étaient insupportables avec les la couronne de pics. Cela la fit sourire. Elle enchaina avec : "Je crois que je ne me sens pas tout à fait prête pour te donner des coups de bâton et tout ça. Je préfère que cette fois on tente quelque chose de normal". J'acquiesçais en la laissant me guider. "Attention toutefois, je refuse que l'on s'embrasse!". Je hochais oui de la tête à nouveau. J'ajoutais à cela : "Tu te rappelles que c'est ma première fois n'est-ce pas?". Ce à quoi elle répondit que oui, et je n'étais pas le premier puceau à passer entre ses cuisses. Floriane me dévoilait sa poitrine afin de me chauffer un peu. La réaction se fit immédiatement remarquer : la base de mes testicules se faisaient perforer par la couronne de pics de la cage de chasteté. À la vue de mes boules toutes bleues et de mon pénis qui tentait de gonfler elle se mis à rire : "ah, tu veux peut-être que je te retire ça.". Elle se saisit de la paire de clefs rangée dans sa table de nuit, puis ouvrit ma cage. Je dégageais enfin tout cet attirail qui me faisait souffrir en ces circonstances. J'étais face à elle, se saisit de mes testicules et les massaient tantôt avec douceur, tantôt avec fermeté. À ce moment précis, mon inexpérience et mon stress gâchèrent la fête. Mon pénis qui voulait tant sortir de sa cage, se mit instantanément au repos le plus total. Florian semblait un peu déçue. : "Tu as besoin que je chauffe un petit peu?". "Je crois bien que oui" répondis-je. Elle commença à mettre ma mi-molle sans sa bouche. C'était une sensation inédite pour moi. Je découvrais aussi la stimulation qu'un piercing à la langue procurait. C'était juste incroyable. Après seulement quelques secondes je repoussais sa tête gentiment : "Quoi? Ça ne te plaît pas?" "Si, énormément, mais justement, je suis sur le point de jouir, arrête toi s'il te plaît." "Mais? Tu n'es même pas encore dur.? Ok, bon on va essayer comme ça.". Je tentais donc de mettre mon préservatif, mais sans succès à cause de mon manque de vigueur. Après quelques essais infructueux, je m'excusais. Floriane, caressa mes cheveux : " C'est pas grave, je vais te guider. On ne pas s'arrêter là. " me disait-elle. Elle m'indiquait son entre-jambes. J'y allais en suivant mon instinct. J'allais pour la première fois approcher ma bouche de cet endroit si sacré. Elle tenait ma tête et me rassurait en me disant que je me débrouillais bien, que je pouvais continuer comme ceci ou comme cela. Après quelques délicieuses minutes où elle devenait un peu moins bavarde, je lui demandais si je pouvais utiliser mes doigts en même temps. Elle lâcha un soupir : "oui". Je suivais le rythme de son souffle avec des coups de bassin sur son matelas, mais je m'arrêtais rapidement pour me calmer un peu et ne pas éjaculer de cette façon. Cela aurait été ridicule. Pendant un bref instant je m'arrêtais pour demandais si je pouvais rentrer en elle avec mon pénis. "Non, je t'en prie continue comme ça..." fut sa réponse. Après quelques minutes, elle jouit, je continuais encore l'action de ma langue et de mes doigts. Floriane sortit un long râle de plaisir puis me repoussa. "Vas-y, mets une capote et prends moi.". Je m'exécutais et déroulais un préservatif neuf sur toute la longueur de mon pénis. À ce moment précis, nous entendîmes la porte d'en bas claquer puis une voix s'exclamer : "ouhou, il y a quelqu'un?". Floriane, bondit du lit, se revêtit rapidement puis sortit de la chambre. J'étais encore nu... une gaule d'enfer et une capote au bout de la verge...

Elle rentra à nouveau : "habille toi, descend et fais comme si de rien n'était!". Comme mon excitation redescendait, et que je voulais rester dans le cadre de notre relation, je décidais de remettre ma cage en place et de laisser à nouveau les clefs dans la table de nuit.

Je descendais et redécouvrais des visages familiers. En effet, dans la cuisine se tenaient la soeur et le frère de Floriane qui venaient de rentrer. Je n'avais pas vu ces deux personnes depuis la petite école. Cela me faisait plaisir. Ils se souvenaient aussi de moi, et nous profitâmes de ce moment pour échanger quelques souvenirs et prise de nouvelles. Ils ne se doutaient à aucun moment que quelques instants auparavant, ma tête était entre les cuisses de leur soeur en train de jouir.

La nuit tombait, et je rentrais chez moi. Très heureux et aussi très frustré. Une pure sensation de bonheur.

Plusieurs jours passèrent sans que Floriane ne se connecte. Je demandais aussi des nouvelles par texto, mais sans réponse. Une semaine plus tard, je recevais un texto en pleine nuit : "salut" accompagné d'une photo de ses pieds. Je rêvais encore beaucoup de ma précédente aventure avec Floriane, ce qui m'empêchait de dormir sereinement à cause des érections nocturnes à répétition. Nous commençâmes à échanger quelques messages. Je lui demandais si tout allait bien, puis la raison de son mutisme etc. Elle s'était sentie très gênée suite à notre petite entrevue. Elle me rassurait sur le fait que tout avait été très bien et qu'elle avait passé un bon moment. Pour plaisanter, je commentais avec une remarque sur le fait que au final, j'étais encore puceau et en cage. Son message de retour était enjôleur : "Ahah, mais oui c'est bien vrai. En même temps, ta condition ne t'autorise pas à sortir de ta cage. Quelle genre de maîtresse serais-je si je me laissais pénétrer par mon esclave, qu'en penses-tu?". Nous rigolâmes ensuite sur mon épisode d'impuissance. Elle me proposa ensuite de passer chez elle le lendemain : "Je te donnerais du ménage à faire. Ne t'attends pas à pouvoir à essayer de me sauter à nouveau."

Le lendemain vers 14h je sonnais chez Floriane. Elle m'indiqua la cuisine afin de commencer la vaisselle. Je demandais si je devais me mettre nu pour faire mes corvées histoire de rester dans le jeu que nous avions commencé ensemble. Toujours un peu gênée, elle me dit que oui. Elle m'avait gardé une quantité monstrueuse de vaisselle à faire. Mais je m'exécutais avec plaisir. Pendant ce temps, elle restait avec moi, buvant quelques verres de vin blanc et discutait. Elle m'avouait qu'elle s'était peut-être un peu emportée, que nous n'aurions peut-être pas dû etc. Nous ne savions pas vraiment où cela allait nous mener. La gêne lorsque ses frère et soeur sont arrivés à la maison. À ce propos, je demandais quand allaient-ils rentrer. Vers 18h apparemment. La conversation avançant, son regard devenait légèrement lubrique : "passe moi une spatule en bois s'il te plaît". Une fois la cuillère dans la main, elle me dit : "Ne te déconcentre pas. Fais ma vaisselle." Floriane se me mit à caresser mes fesses avec la cuillère. Dès lors que je sentis l'ustensile de cuisine se décoller de mon fessier, mon corps se contracta instantanément. Le reflex fut bon, car c'est bien un claquement sec qui se fit entendre. Je fut cependant surpris par la force que ma maîtresse avait mis dans son geste. "Essaye de ne pas casser de verre. Je vais continuer jusqu'à ce que tu aies terminé.". Mon fessier recevait des coups de cuillères, mais aussi des caresses. Ma cage venait à buter contre l'évier inox tant mon érection était forte. J'appréciais cela.

Une fois ma vaisselle terminée, je frottais mon arrière train qui se révélait être sacrément endolori. "C'est bien bien rouge. Ça doit piquer." fit remarquer mon hôtesse. Je voulais accentuer le jeu et demandais : "Maîtresse, pour vous remercier, puis-je embrasser vos pieds s'il vous plaît?". Elle s'assis sur la table de la cuisine, puis me répondit par l'affirmative. Je me mis à genoux et la remercia comme convenu. Elle rajoutait : "Puisque tu n'as pas encore fait le ménage, mes pieds sont crades, je ne t'autorise pas à les lécher.". Je répondais que j'aimais bien les pieds sales, à quoi, elle retira ses pieds de devant mon visage : "Mais j'ai dis non! Si tu veux me lécher les pieds, je veux que tu fasses le ménage dans toute la maison." Pour rappel, c'est une collocation pour 3 personnes. C'était une grande maison de peut-être 150-200m2. À la vue de cette proposition alléchante, je demandais à revenir le lendemain pour effectuer cette tâche.

Régulièrement, nous faisions de petits apartés afin de connaître un peu le désir et les envies de chacun afin que tout cela puisse aller de l'avant tout en évitant le maximum de gêne. J'étais extrêmement demandeur et je craignais de ne trop bousculer cette personne qui il y a encore peu n'avais connu que des relations très classiques. Pour ma part, je ne faisais que suivre mes instincts les plus bas pour la guider. Aussi nous nous découvrions au fur-et-à-mesure. Ainsi, je lui montrais ma cage et le liquide qui s'en écoulait. J'étais tellement excité que du liquide pré-séminal s'en échappait. Elle me demanda : "Du coup, ça fait combien de temps que tu ne t'es pas masturbé?". Si je comptais, bien cela devait remonter avant le début des vacances. 3 semaines je dirais. En toute franchise, je la questionnais un peu : "Comme la dernière fois, j'ai pas ... enfin, je suis toujours puceau et tout. Si tu ne veux retenter le coup, je comprends. Est-ce que tu m'autoriseras à éjaculer sur tes pieds? " Bien-sûr je lui assurais de tout nettoyer de la manière qui lui plairait (quand on est frustré et excité, c'est toujours dingue les idées qui nous passent par la tête). J'espérais bien évidemment une affirmation avec le secret espoir de pouvoir lécher ma semence sur ses pieds. À sa tête, je voyais que cela lui semblait un peu bizarre quand même. Elle me dit : "Mmh, on verra. Je ne suis pas encore à l'aise avec ça.".

Je lui avouais aussi que j'adorerais tenter des pratiques un peu anales, à l'aide de sextoys. Que l'idée de me faire pénétrer me faisais très envie. Sa réaction fût la même. "Mmh, je comprends, mais ça pour le moment, je ne sais pas."

Le jeu étant retombé en pression, je demandais à me rhabiller. Nous nous donnions rendez-vous le lendemain pour une grosse séance de ménage.

Le lendemain, j'arrivais chez Floriane. Je demandais de nouveau à me déshabiller afin de faire mes tâches ménagères dans le cadre du jeu auquel nous nous prêtions. Elle m'indiqua l'aspirateur, les produits ménagers, le balai et la serpillère : "Pendant que tu t'occupes d'aspirer et de laver par-terre, je serais dans ma chambre. Tu devrais en avoir pour 2h30. Ne bâcle pas le travail. Dès que tu auras terminé, tu pourras me rejoindre. Fais ma chambre en dernier et ne passe pas dans les autres chambres par contre."

Je ne vais pas détailler le travail accompli, mais 2h30 n'étaient pas de trop pour passer partout avec un minimum de conscience professionnelle. Je surveillais quand même l'heure car je ne voulais pas voir arriver les autres habitants de la maison en étant nu et un balai à la main. Respectueux de ma parole, je terminais donc par la chambre de Floriane. Mon hôtesse était allongée sur son lit, habillée en sous-vêtements. Son teint était rouge, et le regard un peu nébuleux. J'entrais en disant : "Service de chambre". Mon entrée la fit sourire : "Tu peux rentrer. Je me suis beaucoup masturbée pendant que tu faisais le ménage. Surtout n'arrête pas ce que tu fais. Fais comme si je n'étais pas là et ne te déconcentre pas." J'étais abasourdi par ce que j'entendais, mais je repris mon aspirateur et commençais le ménage dans la pièce. Tout en conservant mon regard au sol, d'un coin de l'oeil, je voyais Floriane se pencher et sortir un sextoy de bonne taille de sa table de nuit puis se délester de sa culotte. J'étais aux abois. Mes boules étaient littéralement rongées par ma cage et ses pics. Je ne voulais pas manquer un seul instant de ce qui se déroulait dans cette chambre, sur ce lit. Je ne faisais que jeter de petits coups d'oeil furtifs. Floriane se procurait beaucoup de plaisir avec son jouet qu'elle enfonçait dans son entièreté.

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