Valérie - Fin de soirée au bureau

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Une jeune femme se fait prendre par le patron de son fiancé.
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Soupirant, Marc Petitclerc se frottait les yeux pour essayer de se concentrer. L'écran indiquait toutes sortes d'informations sur le contrat qu'il préparait depuis des semaines. Son patron le faisait travailler très tard parce que la rencontre avec le client était pour la semaine prochaine. Laissant de côté ce dossier, il fixa la photo de Valérie en bikini lors de leurs dernières vacances. Cela faisait trois heures qu'il s'acharnait pour terminer la version finale et il sentait ses forces s'épuiser. Il avait hâte de retourner à la maison pour rejoindre sa copine. Malheureusement, l'heure de tombée approchait : maximum minuit. Quelques coups à sa porte le ramenèrent à la réalité.

- Qu'est-ce que je peux faire pour mon chéri?

Marc se précipita sur Valérie et ils s'embrassèrent longtemps. Les rares collègues qui étaient encore là l'avaient vu entrer. Dès sa sortie de l'ascenseur, la démarche de Valérie Montarville avait attiré les regards masculins vers ses longues et jambées. Regardant résolument devant elle, ses talons aiguilles claquaient et renvoyaient vers les hauteurs de son buste les vibrations les plus aguichantes. Sa courte jupe noire laissait tout de même place à l'imagination, mais laissait surtout les hommes rêveurs.

Valérie, la copine de Marc, s'était en premier rendue directement au bureau de M. Leroy. Le patron l'avait invitée à passer visiter le nouveau bureau de son employé. La compagnie de Francis Leroy avait quelques fois fait affaires avec celle de Valérie. C'est comme cela que le jeune couple s'était rencontré. Le grand patron espérait toujours pouvoir tirer avantage de Valérie. Toutes ses avances étaient jusqu'à lors tombées à l'eau. Francis Leroy s'était tapé la charmante rouquine des centaines de fois, en rêves seulement.

- Mlle Montarville! Quel bonheur de vous voir, entrez!

- Bonsoir Monsieur Leroy.

- J'insiste, appelez-moi Francis.

- C'est très gentil de m'avoir invitée, Marc reporte toujours le moment de ma visite à son bureau.

Une des raisons est l'ambiance très macho du lieu de travail de Marc; encouragée par les velléités du grand patron M. Leroy, un coureur de jupon avisé. Il ne se gênait pas pour observer jeune et jolie femme devant lui. Son chemisier blanc laissait deviner de magnifiques courbes.

- D'ailleurs, j'ai adoré la soirée passée en votre compagnie lors du dernier gala.

- Je dois avouer que vous savez organiser des soirées mondaine M. Leroy. J'ai moi aussi un agréable souvenir.

Un ballroom avait été utilisé à plein capacité et les plus fantastiques canapés avaient régalé les invités. Les jeunes femmes avaient toutes dansé avec M. Leroy. Certaines par ambition pour leur mari, d'autres l'avaient fait simplement parce que le patron est un très bel homme dans la quarantaine.

- Ce sont des petites soirées que j'adore. Tout le monde y est merveilleusement heureux et fort joli.

Il avait l'habitude d'inviter les femmes de ses employés et de ses clients. La famille au grand complet y était invitée en tenue de soirée, bien sûr. C'est ainsi qu'il avait pu admirer les jeunes femmes et même les filles, étudiantes universitaires, de son entourage. À plus d'une occasion, il avait pu savourer les corps de ses femmes mariées et presque intouchables. Valérie Montarville avait failli vaciller pour les avances de ce célibataire endurci alors que les coupes de champagnes avaient fait grand effet.

- Votre mari travaille très fort pour moi ce soir, il termine l'écriture d'un contrat.

-Venez, je vous accompagne jusqu'à son nouveau bureau, c'est juste au coin.

Tous les hommes de l'étage avaient rappliqué, rapidement, mais avec discrétion. Ils mataient la fiancée de leur collègue le plus chanceux. Comme elle tournait vers l'autre corridor, Valérie eu la nette impression d'être observée par tous. Une belle sensation naissait en elle dans ces moments. Un coup d'œil vers l'arrière fit voler ses cheveux ça et là. Le bedonnant secrétaire eut presque une crise d'angine à la vue de la jeune femme.

- Nous voici arrivés. Avant que j'oublie, il faut que je vous invite à repasser à mon bureau avant de partir, j'ai une petite surprise pour vous et Marc.

- Très bien, je n'y manquerai pas.

Valérie entra et se jeta sur son fiancé. Ils se caressèrent succinctement, Marc avait remarqué le regard d'aigle de M. Leroy. Il n'aimait pas du tout ce regard. Le patron tardait à partir.

- Je vous laisse entre vous. Terminez correctement et rapidement ce dossier M. Petitclerc.

Alors que le patron partait, Valérie recula sensuellement jusqu'à la porte et la ferma, à double tour. Elle arrivait au bon moment, Marc n'était plus capable de faire quoique soit.

- J'avais en tête de venir diner avec mon amoureux. Mais je vois qu'il est bien occupé...

- Ça ne sera pas bien long, je suis perdu dans la paperasse.

- J'ai un remède pour cela, Marc.

- D'ici quinze minutes, nous serons en route pour le restaurant.

Il avait ses yeux rivés sur son ordinateur ou sur les piles de documents. Par son visage rond et ses courbes fines, Valérie tentait de faire plier l'homme en Marc. Elle approcha la chaise de cuir et se cala dedans, jetant au hasard ses talons aiguilles.

- Tu sais que tu me tentes énormément, chérie.

- Je sais. Laisse-toi emporté par le côté obscur de la force.

Valérie allongea ses longues jambes et entra en contact avec le centre du pantalon de son futur fiancé. Son seul défaut, il adorait beaucoup trop Star Wars. Elle allait lui changer les idées.

- Mais où est la clause 69?

- Déboutonne-moi!

L'employé modèle sortit de son inaction. Marc se plaça derrière l'amour de sa vie et l'embrassa dans le cou. Valérie se laissa emportée par les caresses, son corps épousa mieux les courbes de la dispendieuse chaise. Prenant son temps, il s'agenouilla juste à côté et lui raconta combien elle était importante pour lui. À ce moment, sa compagne n'en a que pour ses douces paroles, mais surtout ses mains et ses doigts s'immisçant sous le tissu. Il était bien excité d'avoir sa bienaimée au bureau. Sensible aux indications de Valérie, Marc était prêt à passer à l'étape suivante.

À ses côtés, sa fiancée semblait déposée sur un nuage. Il y a longtemps que son fiancé ne lui avait accordé de ce temps. Son chemisier reposait sur le sol et sa jupe, Marc la kidnappait. Il se faufila entre ses cuisses enflammées et remonta jusqu'au visage de Valérie.

- T'es tellement coquin.

- C'est toi qui me dis ça? Tu n'as même pas mis de petite culotte!

- C'est bien plus pratique!

Ils avaient hâte de passer à l'acte. Lui surtout. Marc sentait nécessaire de raviver la flamme et de se montrer sous son meilleur jour. En se redressant, il fit tourner la chaise de sa copine rapidement. Enfin, elle était radieuse. Tombant à genoux, il prit possession de ses jambes en passant contre sa joue ses chevilles délicates. Marc passait d'une cuisse à l'autre et Valérie ressentait bien combien son mec lui était dévoué.

Marc était désormais centré sur la mire de Valérie. Cantonnée, sa conjointe savourait le traitement qu'il lui offrait. Elle était venue lui faire un cadeau et c'était lui qui rendait la monnaie de sa pièce. Il était affectueux, attentionné dans ses gestes. Son intimité n'était pas attaquée par un de ses amants occasionnels. Ces gestes l'élevaient au rang de Majesté. La délicatesse de ses doigts, la finesse de son toucher et l'agilité de sa langue créaient d'étincelants feux d'artifice.

- Marc...

N'écoutant que les indices émanant du corps de sa copine, Marc poursuivait ses manèges sensuels. Braquant ses mains sur les accoudoirs, elle remuait ses jambes selon le bon vouloir de son fiancé. Les coups de langue et les doigts fouillaient son ventre et lui faisaient voir des étoiles. Il observait dans les moindres détails comment Valérie réagissait alors qu'il la trifouillait. Trouvant son point faible, Marc astiquait plus fort ou au meilleur rythme. Ultimement, il trouvait toujours et dans un élan s'y engouffrait sans ménager aucun effort.

Avec la force d'un soldat, il fonça tête première dans les cuisses de sa bien aimée. Une synergie grouillait dans Valérie. Marc lui faisait vivre une expérience qui la laissait sans voix. Dans son bureau, elle venait comme lors de leurs premières rencontres. Sans queue, seulement avec son agilité, elle surgit de son siège les dents serrées; elle tomba presque par terre. Un râle de jouissance emplit la pièce monotone.

L'allure de Valérie avait considérablement changé. Alors que son copain s'activait, elle s'était passée les mains dans les cheveux comme envoutée. Sa lingerie avait perdue toute trace de raffinement. La classe des grandes marques couvrant les atours de la rousse faisait place au charme des soutifs dégrafés et des seins joufflu et rougis. Marc l'avait stimulée de toute part sans oublier aucun recoin de sa bouillante chair.

- Marc... c'était magnifique...

- Tu es ma lanterne Valérie. Sans toi, je ne saurais pas ce que je ferais.

Alors qu'ils s'embrassaient tendrement, Valérie prit possession des pantalons de son fiancé. Elle devait lui rendre la pareille et adorait faire ce genre de coquetteries.

- Toi aussi t'as des idées en tête. Coquine!

Comme s'agenouillait Valérie, le téléphone s'imposa entre les deux amoureux.

- Patron?

- Marc, comme ça va avec ta compagne?

Valérie avait en bouche le pénis durcissant de son fiancé. Marc lui souriait tout en tenant le téléphone.

- Très bien. Elle est encore à mes côtés.

Ou plutôt à genoux en train de me sucer. J'ai la plus belle femme du monde. Valérie passait sa langue sur le gland rougit.

- C'est vrai qu'elle est charmante.

- Elle ne porte pas mon alliance pour rien.

- Je veux te parler de choses sérieuses.

- Je vous écoute.

Marc redoutait ce qui allait sortir du combiné. Il souriait néanmoins à Valérie, espérant qu'il allait bientôt pouvoir raccrocher.

- Votre contrat, celui que vous venez de signer avec nos clients.

- Oui?

- Il devait être remis sur mon bureau cet après-midi. Vous savez que je pars très bientôt en vacances.

Le mélange de bonheur que Valérie lui prodiguait et l'horreur de se faire rappeler à l'ordre à un pareil moment devenaient insoutenables. Comment rester l'employé poli et reconnaissant vis à vis son supérieur alors qu'il se faisait tailler une pipe.

- J'ai saisi. Je vous l'apporte dans l'heure. J'en suis à la révision des sous-sections.

- C'est bon de vous l'entendre dire. Continuez à travailler fort. Je compte sur vous.

- Merde...

- Qu'est-ce qu'il y a Marc?

Il ravalait de peine et de misère son amertume. Elle lui avait posé la question entre deux succions.

- M. Leroy veut impérativement le contrat.

- Il peut bien patienter cinq minutes.

- Je m'excuse mon amour, mais il faut vraiment que je le fasse.

- Comment, tu peux patienter cinq minutes?

- Comprends-moi, il faut que je lui remette... Je devais lui remettre cet après-midi.

- Quoi! Et moi?

- Je ne peux pas, il le veut vraiment maintenant.

- Marc! On vivait quelque chose! Tu m'as tout excitée, et là tu veux tout s'arrêter!

Il tentait de la retenir dans ses bras, mais elle rajustait déjà ses vêtements. Sa poitrine avait retrouvé son cadenas velouté et sa taille, ses si belles hanches, la jupe cintrée aux fesses.

- Valérie, ne part pas!

Elle avait déjà fermé la porte derrière. Marc retournait s'assoir face à son ordinateur, l'estomac noué. Valérie claqua la porte derrière elle et Marc resterait seul dans son bureau. L'appel de son patron avait coupé courts ces somptueux moments qui la rétablissaient à son fiancé.

Il ne le savait pas, mais elle l'avait déjà trompé dans le passé. Chaque fois, elle avait voulu se venger des colères entre eux. Elle avait ce côté égoïste qui faisait passer ses besoins avant ce des autrs. Ce soir, Valérie était rogne contre son copain. Rien n'aurait du mettre fin à leur union sulfureuse. Marc aurait du se tenir droit et faire patienter son supérieur. Au lieu de cela, il avait courbé l'échine et cela, elle ne l'acceptait pas.

Dans son bureau, M. Leroy avait le sourire aux lèvres. Son appel avait semé le doute dans l'esprit de Valérie, il en était certain. Son cœur vacilla entre raison et pulsions. Elle ne savait que faire quand Leroy l'intercepta alors qu'elle filait vers la sortie.

- Valérie, vous êtes toujours là?

- Oui et ce n'est pas grâce à vous.

La prenant par le bras, il tentait de l'orienter dans une autre direction, celle de son bureau. Francis Leroy était habile pour trouver différentes solutions aux problèmes des autres. Surtout, il souhaitait lui-aussi prendre le dessus et l'avantage sur autrui.

- Ce n'est pas facile de travailler fort pour moi. Je comprends parfaitement que Marc veuille rester tard à l'ouvrage. Il faut accepter son dévouement.

- Moi aussi je le comprends de vouloir. Il a tellement été bien récompensé.

- Ce que je reçois, je le redonne, je le donne par intérêt.

Il avait fermé la porte de son vaste bureau. La magie avait opéré et Valérie l'avait accompagné tant bien que mal.

- J'ai d'ailleurs un très bon souvenir de cette soirée avec toi Valérie.

- Franck, je ne suis pas sûre de vouloir recommencer ce soir.

- Rien ne t'y oblige. Mais, ce n'est pas moi qui t'ai fait entrer ici ni même invitée à venir ce soir. Par contre, cela me fait tellement plaisir que tu m'aies suivi jusqu'ici. Pour moi, c'est bon signe.

La musique d'ambiance avait un effet apaisant alors que Francis Leroy sortait deux verres d'un cabinet en fines boiseries. Valérie sirotait, pas encore décidée sur l'action juste à faire. Leroy tournait autour comme un renard. Juste pour qui? Pour son couple? Justice pour son désir!

Face à eux, s'étalait la ville lumineuse. Les phares des voitures passaient comme des spectres et les lucioles humaines s'agitaient vers leur maison. Cette réflexion dans le vitrage lui permit de décider. Le désir de petite vengeance et les souvenirs des moments avec ses amants facilitèrent sa décision.

Contre elle, Leroy la ceinturait déjà avec ses mains fortes qui parcouraient ses flancs. Il l'enlaçait et humait son jeune parfum féminin. Il effleurait ses courbes, sa mémoire tactile s'activait alors qu'il pressa les seins enveloppés de Valérie. Cette première fois revêtait un aspect unique et mémorable.

- On le fait ensemble, maintenant.

La suite fut rapide même si le temps ne manquerait pas. Ce soir, les conditions et l'état d'esprit sont favorables aux bousculades. Leroy embrassa sa nouvelle maitresse. Leur étreinte, menée par le patron, les apporta jusqu'à l'immense table qui trônait dans la lumière orange du coucher de soleil.

- Je te trouve tellement belle Valérie. Tu me tombes dessus comme une éclair.

- Arrête de dire des conneries. Elle était habituée aux plus cavaliers comme aux plus brillants compliments.

- Non, je te le jure. Quand tu es entrée tout à l'heure, j'ai repensé à cette soirée mondaine. Je garde encore cette danse en souvenir. Comme toi, ce soir, je ne pensais pas que cela aurait été possible.

- Je le fais par vengeance.

- Elle ne sera pas très amère avec moi.

Francis Leroy poursuivit avec des déclarations toujours plus osées. Valérie eut tôt fait de se retrouver couchée sur le bois frais, l'homme de la situation positionné au carrefour de ses cuisses et de son intimité. Il ne prit pas la peine de s'agenouiller pour gâter la rouquine. Les préambules étaient remis à plus tard. D'un coup sec, il retira la jupe légère et vit son cœur sursauter.

- Je savais que tu étais espiègle, mais à ce point!

- Je m'étais préparée pour Marc.

- Avez-vous consommé?

- Non, sinon pourquoi serais-je ici?

- Parce que je peux remplacer n'importe quel prétendant.

Entre ses mains, le supérieur de son fiancé tenait les hanches dénudées. Leroy vivait un moment d'anthologie avec Valérie. Il ne lui restait qu'à retirer le haut et l'action pourrait commencer.

- Qu'est-ce que t'attends? Que le soleil se lève à nouveau!

- Carpe diem. Faut que je jouisse de chaque instant passé avec toi! À mon âge, j'y fais plus attention.

Au lieu de défaire son chemisier et son soutif, il l'approcha du bord et fit descendre ses pantalons. Sa queue, formidable en tout point, enflait à chaque pulsation de son cœur. Sans plus attendre, il glissa sa trique dans Valérie. Tous deux savouraient l'avancée lente et veloutée du gourdin semi-rigide.

- Tu es comme le plus délicat des desserts.

- J'aime bien comment tu complimentes les femmes.

- Raffinée comme une mousse chocolat à la framboise.

Une fois de plus, les labeurs de Marc serviraient son patron. Tant d'énergie et d'amour avaient permis à son propre patron de prendre possession de sa copine avec facilité. Le pouvoir de Leroy semblait sans limite. En elle, Valérie sentait la pleine taille de la queue de Franck. Il la trouait de bonheur.

Elle se réjouissait d'avoir en elle cette force mature et garante d'action. Il s'activait vivement, il rougissait, pour maintenir contre sa queue le corps féminin. Elle s'ajouta à la longue liste des femmes à qui il avait fait l'amour sur cette table. Valérie resterait spéciale à sa façon du aux circonstances folles et à son incroyable caractère.

La masse de la table suffit à peine à garder surplace les deux amants. Elle vit le regard extatique de son meilleur soupirant la fixer droit dans les yeux. Il planait autour d'elle comme un vautour depuis si longtemps. Les veines de son cou, ses bras tendus et ses mains fermement ancrées de part et d'autres lui témoignaient de toute l'énergie qu'il lui consacrait. Il ressemblait à présent à l'aigle à tête blanche, le puissant carnassier agrippé à sa proie.

- C'est tellement bon Franck. Je veux rester ici toute la nuit avec toi.

- Tu seras ma prisonnière.

Il la battait au pilori de son pénis majestueux. Ce moment portait la trace de l'infini. La classe hors norme de Leroy toucha profondément la rousse. Contre son ventre, il venait s'écraser avec force et témérité. Autre nouveauté, par rapport à son fiancé, qu'elle rechercherait de plus en plus.

Le souffle de leur altercation sensuelle raisonnait dans le bureau. La nuit était tombée et l'éclairage artificiel couvrait leur corps d'une lueur crue. Face à l'intensité d'avoir la chatte de Valérie le serrer si vigoureusement, le patron buta encore et encore. Ses dernières entrées dans le fin rubis furent difficiles tellement le bonheur gagnait son corps en entier. Il gardait depuis longtemps sa queue le plus contracté possible pour perdurer en sa moule.

Elle n'avait pas atteint son maximum, mais avait en elle la plus formidable queue qu'elle eut connue. La fiancée se pinça les seins à travers ses vêtements. La torpille zigzaguait en elle, son sonar faisait résonner son écho à travers ses chairs.

- Vas-y ma belle, laisse toi aller. Prends tes gros seins joufflus. Sors-les pour le patron de ton fiancé

Ils rebondirent sous le chemisier sans jamais s'enfuirent. Prise d'assaut, la rousse s'en sortit en joignant ses doigts aux efforts de son amant.

- C'est tellement beau de te voir te caresser.

Elle rudoya son bouton d'or selon les mesures du maestro Leroy. Les bourses du supérieur de son copain cognèrent lourdement contre son cul. Le long de sa moule ruisselait des fluides, témoins des bonheurs de Valérie. Francis prit possession de la poitrine si convoitée. S'y agrippant sans gêne, il pressa avec ses pouces et doigts les seins de sa jeune maitresse. Une chaleur se dégageait vivement du couple improbable.

Dans une seconde d'excès, le mâle plongea dans le mince joug de Valérie. Tapant puissamment le fond. Leroy éjacula voracement. Déjà calé, le ventre dodu contre la pêche, il eut le réflexe de tous les hommes. Par à-coups, l'administrateur donnait du bas-ventre, épanchant son vit pour chercher, inconsciemment, à féconder sa proie.

- Mon gros loup a beaucoup travaillé ce soir.