Valérie - Son meilleur ami

La copine de Marc recule son cul contre le missile de Phil mais à mi-chemin, il pose ses mains sur ses fesses et bloque son mouvement. La regardant dans la glace murale, il lui dit, voilant à peine ses mots :

- Supplie-moi

- Non, prends-moi!

- Supplie-moi! Il tourne son pénis en elle, la titillant, mais sans la pistonner plus profondément.

- Oooo! Baise-moi... Je n'en peux plus d'attendre! PHIL! Prends-moi avec ta queue d'enfer! Défonce ma chatte dans la maison de Marc!

Elle ne cesse de l'encourager avec les paroles les plus vulgaires et nettement peu discrètes.

- GOAL! cria Marc! Tu es en train de perdre Phil!

- Euh... Ce n'est pas grave, je le dois à Valérie.

Ses tétons sont rejoints par le fin toucher de Phil. Les effleurant et les caressant, ils se voient mutuellement dans le miroir juste en face. D'un pincement de doigts, il cogne sa trique dans le fond de Valérie, rétablissant les injustices et foudroyant la coquine.

Marc aurait dû entendre le cri de Valérie. La radio, la télévision et l'importance du match le sidéraient. Il y a tant en jeu : honneur, argent et l'Histoire! Chaque instant peut marqué un tournant dans l'histoire de l'une ou l'autre des équipes de foot.

Sa matrice est accidentée par le goujon de Phil qui continue sans arrêt de pistonner sa nouvelle princesse rousse. Les vingt quelques centimètres de son épée noire luisent hors d'elle. Vingt-cinq centimètres qui retraitent, ou plutôt, attaque aussitôt en elle.

Valérie rue son cul contre la verge de Phil avec ses bras étirés sur la paroi de verre. Elle se pousse rapidement contre le ventre musclé de son Black. Il s'étire pour saisir les deux larges mamelles qui grouillent sous Valérie, cette sulfureuse maitresse rousse. Phil les serre fort et continue son galop dans la jeune rouquine en liesse en prenant bien soin des ses fermes melons.

Elle est si mouillée ; ses bourses à lui en sont recouvertes. Phil reprend ses hanches et la pistonne au centuple. Il aurait vraiment voulu filmer toute cette scène. Il remarque dans le miroir les paupières closes, par le plaisir, de celle fabuleuse femme. Valérie ne peut plus supporter les assauts enivrants.

Sa satisfaction masculine est à son comble. La femme qu'il emboutit est elle aussi au seuil de l'explosion d'adrénaline et de dopamine. Leurs racines ancestrales — néanderthaliennes — s'assouvissent. Ses larges seins ont repris leur course folle, frottant au passage sur le verre froid ou l'air tiède selon qu'elle s'arc-boute vers lui pour l'embrasser ou s'étire de tout son long sur la table comme une tigresse.

- Moui moui moui MOUI!

Phil comprend son langage. Il la passe au pilori : les sons des claquements émanent de leurs corps torrides. Il veut la faire crier plus fort encore. Il veut que Marc se lève pour voir son meilleur ami transformer sa femme en peluche rousse tordue par l'extase. Valérie est soumise à son merveilleux et décadent traitement.

Les craquements de la table s'ajoutent au barouf de leur respiration haletante et de la succion de son vagin sur son pénis. La table couine comme Valérie et elle smashe son cul contre Phil ; toujours de plus en plus vite. Elle le supplie de ne pas arrêter. De revenir la prendre quand il le voudrait!

-Hey! Qu'est-ce qui se passe derrière?

-Oui chéri?

-Qu'est-ce que vous foutez?

-Phil me prend des cornichons...

-Venez, la partie est excellente!

-Bientôt...

-Phil, tu vas me devoir 100$!

- Je te dois un jonc...

- Quoi?

- J'te crois pas!

Finalement, le plaisir est trop fort pour Valérie et elle s'effondre sur la table. Phil poursuit ses attaques dans le fin et onctueux passage de Valérie. Elle est une vraie championne et il sait qu'il viendra lui aussi très bientôt : en elle.

Valérie, la femme de son meilleur ami, est penchée au-dessus de la table en verre de la cuisine, totalement nue. Phil contemple son dos nacré de perles de sueurs et des multiples rougeurs dues à ses assauts sexuels. Sa chaude peau monte et descend selon sa respiration arythmique. Il a autour de son sexe une jeune rouquine si étroite de la chatte et si ouverte d'esprit!

En plus, elle a une poitrine très cintrée, comme il les aime. Il la maintient comprimée sur le verre surchauffé d'une main appuyée sur le creux de son dos. La saillie ronde de ses seins aplatis l'excite énormément : un critère essentiel chez tout femme, selon lui! Son buste dépasse de part et d'autre de son corps de déesse, aplatit par Phil le bienfaiteur.

Valérie a le visage contorsionné par l'ectasie. Phil se réjouit des grommèlements et des soupirs qu'elle produit. Il la pompe fortement, cognant durement contre des fesses. Elle gémit son nom ; seule la télé empêche Marc et le reste de la maison de les entendre. Comment peut-il penser qu'elle cuisine encore? Que Phil l'aide! Oui, il fait de sa chatte des œufs brouillés avec son batteur incroyable! Mais en plus, elle a pu le sucer longuement et profondément dans sa gorge, aspirer une partie de sa sauve vitale. Et maintenant, Phil va lui procurer un orgasme monstre avec sa queue de grandeur divine.

- Uh -- uh -- uh -- uh -- Phil! Prends-moi!

Continuant de l'assaillir, Phil s'avance et reprend possession des seins de Valérie. À pleine main, il masse la ferme poitrine de sa concubine. Son fantasme ne semble jamais prendre fin : sauter sa femme de son meilleur ami!

- Je vais te sauter quand je veux, où je veux et de la façon que je veux OK?

- Oui Phil! Oui, prend-moi! N'importe quand Hmf hmf n'importe comment!

Agrippant la table à pleine main blanchie par la libido, Valérie sent venir la déferlante. Le tumulte de halètements et couinements, les yeux fermés fort elle jouit finalement! Phil, dans son trou, a donné un dernier coup. Le visage tordu de bonheur, il parle les dents serrées pour ne rien échapper aux oreilles de son ami. Néanmoins, il ne peut cacher tant de testostérone. La mâchoire serrée, il cria :

- MARC! Je saute ta femme! Je baise Valérie! Marc! Je jouis dans ta Valérie!

Phil est enfoui profondément dans Valérie, le gland écrasé par la mince chatte et buté au plus creux du col. La première salve électrise le corps de Valérie qui ne bouge ni ne respire depuis plusieurs longues secondes. Le chaud liquide gicle dans la vulve et entre leur corps. Émoussée, Valérie sent l'épaisse liqueur, qu'elle avait avalée si goulument, baver contre sa moule. Entre ses fesses, contre la verge de Phil, des filets blancs se sont mis à couler au sol et le long des cuisses de la jeune femme. Mélange d'amour, de sexe, de jouissance, cette combine réelle d'eau-de-vie chaude témoigne de l'incroyable force de Philippe.

Phil a tiré la tignasse couleur soleil couchant de Valérie au moment où il jouissait. Quand il tire son coup, c'est le corps rabattu vers l'arrière, le visage contre celui de Phil que Valérie explose dans son orgasme. Dans l'extase, les proéminences de Valérie ont été prises à pleine main par son amant : les tétons rivés vers le ciel, si clément aujourd'hui. La rouquine tressaille encore entre les bras de Phil qui a caché sa queue profondément en elle.

- Tellement bon, roucoule Valérie. T'es incroyable!

Leur corps pulsent à l'unisson. Son corps nappe la table, elle resterait couchée ainsi quelques minutes encore. Contre le verre, maintenant chaud, son cœur bat fort. Valérie peut sentir la semence de Phil en elle. Sa fatigue est immense d'avoir été baisée si exhaustivement. Sensations indescriptibles de flottement car Phil a approfondi ses moindres recoins -- découvrant d'excitantes nouvelles zones.

Il s'assoit sur une chaise, entrainant dans son mouvement sa compagne. Il ne reste que cinq minutes au match. Entre les deux amants, l'espace temporel n'existe plus. Seul un cri de joie de Marc les ramène à l'urgence de la situation. En son con, la queue de Philippe a finalement ramolli, laissant sur le tissu une flaque aussi indélébile que les souvenirs de Valérie. Leur position permet un des derniers baiser de la soirée, aussi bon que de fumer une cigarette.

Toujours fragile, Valérie remet son soutif contre ses seins gourds et reprend son chemisier tout froissé. Ses tempes rouges battent encore au rythme effréné de son cœur. Elle ne pense même pas à l'alibi pour Marc puisqu'elle vole encore sur un nuage nommé Phil.

Titubant vers le miroir, elle replace ses mèches et ses vêtements. Assis, Phil l'admire et se réjouit de son rêve devenu réalité. Elle revient à lui pour l'embrasser, le décolleté plus ouvert que jamais sur sa poitrine essoufflée et généreuse. Elle jette un dernier coup d'œil sur sa queue ramollie et toujours fière. Ses mamelons hérissés, excités, transpercent le soutif pour de longues minutes encore.

- Magique! Prochaine fois, je te saute dans ton lit... quand Marc est ici.

- Je suis tout à toi, n'importe quand, n'importe comment!

- Et porte ton alliance quand tu vas crier mon nom alors je te pénétrerai.

- Je pourrai finalement m'éclater comme je le souhaite.

Valérie se place à genoux et reprit une dernière fois la queue de Phil. Le nettoyage est nécessaire! Les goûts mélangés de ses propres effluves à celles de son amant la surprennent. Elle est déçue quand Phil remballa son attirail. Mais une promesse est une promesse et ils se rencontreront très bientôt. La jeune femme est presque présentable avec le visage rose et les vêtements froissés. Phil remet son haut et vérifie que rien ne manque. Il lui lance une serviette pour qu'elle s'essuie les jambes de sa semence féconde.

Alors que les deux amants finissent tout juste leur séance de baise et que leurs lèvres venaient tout juste de se séparer, Marc, béat, entra en titubant dans la cuisine.

- Quel match! Alalala! Quelle partie!

S'assoyant à côté d'eux, il s'ouvre une dixième ou douzième bière, tout content de la victoire de son équipe. Invitant Valérie sur ses genoux, il remarque son aspect différent. Elle vient vers lui sur ses pieds chevrotants.

- Qu'est-ce qui t'est arrivé?

- On a fricoté à manger...

- Tu es toute chaude chérie. Es-tu certaine que tout va bien?

- Je suis un peu étourdie mon amour, Phil m'a monté une recette de sa Louisiane natale.

- Voyons, il sait juste mettre du KraftDinner au micro-ondes.

- Tsk tsk Marc, je sais garnir de crème quelques gueuletons.

Marc s'en fout déjà et il raconte comment le PSG a culbuté l'équipe de Philippe. Il s'en frotte les mains. Entre ses cuisses chaudes, sa fournaise palpite encore des souvenirs de la queue de Phil. Valérie se colle à lui et l'embrassa, sa langue glissant contre celle de son fiancé. Elle a dû préparer la bouffe avec trop de sel : sa langue goutte salé se questionna Marc. Phil se régale d'avoir réussi à tromper son ami. Après tout, il ne sait rien et surtout, il lui a présenté Valérie en premier. Il se doit bien en profiter un peu, voire beaucoup!

- Tu n'aurais pas aimé. Les chips et la bière sont meilleures. Mais Phil a adoré. Mais moi, j'en ai pris trois portions ce soir. Je te ferai essayer sans trop de piments, t'aime les plats doux.

- Tu te sentais gourmande! Faut la surveiller Phil.

- Oui, c'était riche et crémeux la première fois. J'en ai même échappé ici. Pointa-t-elle dans le creux de ses seins.

- Tu ne l'as pas laissée tout faire Phil? Faut être moderne. Tu as aidé la copine de son meilleur ami dans la cuisine?

- Bien sur Marc... bien sûr. Plus que tu ne le crois, parce que je sais que tu te fais des idées sur ma situation de célibataire à répétition.

Et il l'embrasse à nouveau, inconscient de la provenance des liqueurs qu'il suçote de sa femme. Du moins, future femme, il se marierait très bientôt, c'était au programme.

- C'est triste que je n'aie pas pu en prendre plus. Tu connais mon appétit.

- Phil n'a pas été du genre à se plaindre -- moi non plus!

- Il me semble que je vous ai entendu. Ça criait un peu, je suis certain que Phil à fait foirer quelque chose.

Phil fat des efforts pour ne pas trop rire des sous-entendus de la conversation de sa nouvelle maitresse. Il la sait prête à le baiser encore souvent. Ils ont tous les deux hâte.

- Moi, je pense que tu en bu pas mal de Budwiser ce soir et que tu entendrais des farfadets. i ça existait!

- Si on se faisait une fête la semaine prochaine les gars. Vous pourriez inviter vos amis, je ferai encore à manger pour tous...

- Excellente idée, on appellera les gars.

- Je m'en charge, mon amour.

La vie devenait très, très excitante pour Valérie Montarville!