Vengeance de Femme

Première partie, d un récit qui me donne assez de mal, car, dans celui-ci, je me lâche vraiment, j'essaye de faire en sorte qu'il soit lisible pour vous, n'étant pas d'origine française, certaine expression serait totalement, je pense, inconnus pour vous, merci aussi à cette personne qui a corrigé mes fautes de français, il se reconnaîtra

Je suis arrivée à la chambre d'hôtel, un hôtel basique connu pour les couples illégitimes, et où certaines professionnelles exercent, un hôtel où l'on vous remet les clefs sans poser trop de questions.

Bernard n'arrivera que dans quelques heures, je veux que tout soit parfait comme à chaque fois que nous nous voyons, le vin est au frais, quelque bougies allumées, je me glisse dans la douche, avant de passer mon joli déshabillé.

Devant le miroir, je me contemple, 1m63, 56 kg (un peu rondelette, je sais) mes longs cheveux roux, des yeux bleus qui m'ont déjà évité bien des ennuis, à moins que ce ne soit ma poitrine, car la nature a été plus que généreuse, (100D) des mamelons roses vraiment pâles, des nichons de vraie rousse comme dirait un ancien amant.

Je suis assise sur le bord du lit, quand j'entends ses pas arriver, puis, les clés dans la serrure, lorsque la porte s'ouvre, je me décompose immédiatement, et, bouche grand ouverte, ce n'est pas Bernard, mais, sa femme, Denise, ainsi que 3 autres femmes.

Je me lève d'un bond

- Quel est le problème chérie, tu attendais quelqu'un d'autre ? mon mari sûrement ? Denise parlait d'un ton sarcastique

-Eh bien, il ne viendra pas ce soir, ni plus jamais aucun autre soir

rouge de honte, je cherche une explication à ma présence dans cet hôtel

-Chopez là, et les 3 femmes se jettent sur moi, je ne suis pas à la hauteur face à ses 3 furies, l'une attrape mes cheveux, une autre mes poignets qu'elle bloque dans mon dos, et me retourne face à Denise, qui s'est approchée, et a commencé à me gifler le visage

-Lâchez-moi, qu'est-ce que cela signifie ?

Denise fouilla dans une enveloppe kraft, et jette des photos sur une table, les femmes m'obligent à regarder ses photos, on me voit avec 4 hommes différents, main dans la main, ou une main posée sur mes hanches

-Nos maris, j'avais des soupçons sur Bernard, et j'ai engagé un privé, il a suivi Bernard pendant 1 mois, et vous a donc surpris avec des hommes différents, vous aussi, appelons cela un dommage collatéral, mais il s'avère qu'ils sont tous mariés, je te présente, Vanessa, Nancy,et Isabelle, leur épouse.

J'aurais voulu me glisser dans un trou de souris, à part Bernard, les autres n'étaient que des suites de soirées arrosées.

-Je suis vraiment désolée, j'ignorais qu'ils étaient mariés, lâchez-moi svp, je voudrais rentrer chez moi

Alors que les femmes continuent de me tenir les bras dans le dos.

-Tu n'iras nulle part SALOPE, tu vas apprendre ce qui se passe quand tu t'amuses avec les hommes mariés, à la fin de ce week-end, tu y réfléchiras à 2 fois avant d'écarter les cuisses, et offrir ta moule aux premiers hommes qui se présentent.

Terrifiée, j'osai poser une question.

-Qu'allez-vous me faire?

-D'abord, tu vas nous montrer ce qui semble tant intéresser nos hommes, ricana Denise en sortant une paire de ciseau de son sac, elle commença par le bas de la nuisette, et allait vers ma poitrine.

-Non, ai-je crié, vous n'avez pas le droit!

-Foutez-moi cette pute à poil.

Les femmes m'arrachèrent ma tunique me laissant en mini string, les commentaires dégradants ont alors commencé.

"nichons de grosse pute"

"Mamelles de truie"

"pis de vache"

mon mini string a alors été tiré vers le haut, s'incrustant entre mes lèvres, écrasant mon clitoris au passage, tiré tellement fort, que le gousset se déchira

-Voilà comment tu devrais vivre, A POIL!

mais en parlant justement de poil, les filles, allongez là sur le lit, cuisses écartées au maximum!!

Denise attrapa une bouteille d'un alcool fort dans le minibar, et m'en versa sur le pubis, je sentais le liquide s'infiltrer partout dans ma toison, taillée court, ainsi qu'entrer entre mes lèvres vaginales, dans chaque recoin, et dans ma raie cuillère, je ne comprenais vraiment pas ce qu'elle cherchait à faire, jusqu'à ces paroles qui me glacèrent le sang

-On n'a jamais vu de gazon pousser sur une autoroute, ta piste d'atterrissage pour bite va être bien dégagée

elle approcha un briquet, et, la suite ne se fit pas attendre, ma toison s'enflamma.

-Je vous l'ai bien qu'elle avait la chatte en chaleur, et le feu au cul!

Aucun poil ne résista, je me suis retrouvée avec un bas ventre aussi lisse qu'à ma naissance.

-Voilà, me dit-elle, maintenant les mecs verront bien où leurs bites rentrent pour décharger leurs couilles !

je n'avais en effet aucun poil pour dissimuler ma fente, ni l'entrée de ma vulve, Denise planta 2 doigts en moi.

-Tu es serrée pour une putain, combien de mecs ont visité ta chatte ?

ne me voyant pas répondre, elle attrapa mes tétons et commença à les tirer, les autres femmes me bloquant les épaules sur le lit, je n'avais pas seulement mal à cet endroit, mais une douleur immense dans toute ma poitrine.

-Réponds ou je t'arrache les tétines et je te tranche les mamelles et ton clito, tu n'auras plus que ta chatte et tu cul pour attirer les mâles, et espérer prendre un peu de plaisir!

vu qu'elle m'avait déjà mis le feu à la chatte, je compris qu'elle en serait capable (je ne vais pas vous dire que j'en aurai mis ma main au feu, mais bon)

-COMBIEN!!!!

-7

-Pas beaucoup pour une catin, on va arranger cela, donc 7 hommes, plus nos 3 maris

-Non 7 avec vos maris, dis-je

-Ben voilà, tu avoues, mais à 38 ans, je suis sûre que c'est 7,plus nos maris, donc 10 hommes, les filles, on va devoir appeler du renfort pour la suite de la leçon.

Je commençais vraiment à paniquer (la suite me dira que j'aillais vraiment niquer, enfin me faire niquer)