Week-End Avec Ma Soeur

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Quelque chose se brisa en moi lorsque je goûtai ma grande sœur pour la première fois. Pendant un instant, je me demandai si la chatte de chaque fille était si douce, humide et chaude, si le jus d'une autre femme pourrait être aussi délicieux que celui de ma sœur. Puis je décidai que je m'en fichais totalement. Tant qu'elle voudrait de moi, je n'aurais jamais besoin d'une autre femme. Ma douce Anna bien-aimée était la seule que je voulais.

Elle se tordait comme un serpent alors que je me perdais dans mon adoration orale, déchaînant avec enthousiasme toutes mes compétences linguistiques sur son vagin trempé. Je lapais, buvais et embrassais la jolie petite chatte d'Anna, pressant mes lèvres sur son entrée et sondant son trou humide aussi profondément que possible, la baisant avec ma langue pendant qu'elle gémissait sans arrêt et attrapait ma tête plus fort, me poussant contre sa fente douce et torride avec un désir passionné.

Anna cria alors que j'enfonçais ma langue au fond d'elle et que je remuais ses hanches, étalant sa chair mouillée sur tout mon visage. Je gardai ma langue en elle, la faisant tourner et gémissant en goûtant à son sexe.

-- Lèche cette chatte! » dit-elle. « Tu aimes le goût, bébé? » Elle gémit alors que je serrais ses cuisses pour la maintenir immobile pendant que je faisais entrer et sortir ma langue rigide dans sa chatte dégoulinante. « Je peux encore te sentir! Hmm, le sperme de mon frère dans ma bouche ; ta soeur est une grosse salope, pas vrai?

-- Hmm-mm » acquiescai-je car je ne pouvais pas dire beaucoup de choses avec le sexe de ma soeur pressé contre mon visage.

Anna déplaça ses hanches contre mes bras et je desserrai ma prise, libérée, délivrée, elle balança en arrière, faisant glisser ma langue à travers ses lèvres épaisses et vers son clitoris gonflé. Anna soupira et continua à se balancer, faisant passer ma langue de haut en bas sur sa douce chatte collante.

-- J'adore ça », gémit-elle, « Je voyais ça tout le temps sur OnlyFam, mais je n'avais jamais eu l'occasion d'essayer.

Je levai les yeux pour la voir me sourire.

-- Merde, tu es vachement bien tout en bas! » gémit-elle quand elle s'attarda assez longtemps pour que me voir tourner ma langue autour de son clitoris.

Anna demeura immobile et je pris son clitoris dans ma bouche. Elle gémit son approbation et voyant que je ne pouvais pas utiliser mes doigts sur sa chatte comme ça, je relâchai ses cuisses, glissai mes mains sur son ventre plat et musclé et pris ses seins en coupe.

-- Hmm, j'aime ça, joue avec mes tétons, bébé. » Elle posa ses mains sur les miennes et recommença à se balancer.

Elle ferma les yeux et respira fortement tandis que ma langue parcourait sa chatte de haut en bas. Ses lèvres étaient entrouvertes et je n'arrivais pas à me remettre d'à quel point elle était sexy. Pas seulement pour son physique, mais pour tout le reste ; ma soeur chevauchait mon putain de visage! Même moi, je n'avais jamais pensé à un truc comme ça!

Chaque fois que ma langue frappait son clitoris, Anna haletait et tremblait, des secousses de plaisir pur parcouraient son corps exquis. Elle se leva un peu et je poussai doucement deux doigts dans ses plis trempés tout en concentrant mon assaut oral sur son épais clitoris palpitant. Ma sœur se redressa et serra ses cuisses autour de ma tête, ses cris devenant plus aigus, plus forts et plus désespérés à mesure qu'elle approchait de son orgasme. Je continuai à passer ma langue sur tout son clitoris, à sucer fort ses lèvres lisses et à pomper mes doigts dans son trou lisse. Puis je léchai la chatte trempée de ma sœur avec des coups de langue plus longs et plus profonds, la léchant de son clitoris le long de ses lèvres, poussant dans son trou puis passant plus bas au-delà de son périnée lisse, et Anna me surprit encore plus lorsqu'elle s'avança en glissant ma langue sur sa chatte et... dans son cul! Quand le bout de ma langue toucha son joli petit anus rose, Anna cria et se tortilla. Elle respirait plus fort pendant que je léchais et suivais le petit pli rond entre ses fesses avant de remonter jusqu'à son nœud.

Je me concentrais de plus en plus sur son sphincter à chaque passage de ma petite routine clitoris-chatte-anus, mouillant et taquinant un peu plus son fondement. Alors que j'essayais de pénétrer son petit trou tabou avec le bout de ma langue, Anna haleta et frissonna. Je glissai finalement contre son anneau musculaire froissé, enfonçant avec impatience ma langue dans son cul et Anna cria de joie. Elle soupira de déception lorsque j'arrêtai mes attentions linguales obscènes sur son anus lisse.

-- Tu aimes ça, Anna? » demandai-je en recommençant à lécher la chatte. « Est-ce que ça va si je te lèche ton anus?

-- Oh mon Dieu, oui! Ouais, c'est incroyable! C'est tellement... sale! » Elle rit. « Tu peux parier que Steve n'a jamais voulu mettre sa bouche là.

Je fis un effort pour ne pas du tout penser à son connard d'ex et je me concentrai sur l'action surréaliste consistant à donner un anulingus à ma propre soeur. Anna ria pendant que je sondais son bouton de rose et le son fit trembler ma bite encore dure.

Entendre ma douce Anna parler ainsi me rendit encore plus dur et augmenta mon rythme cardiaque jusqu'à ce qu'il tambourine follement dans mes oreilles. Tout cela était tellement incroyable. Je léchais le cul de ma sœur et elle aimait ça et elle en demandait plus. Mon esprit s'emballait alors que je contemplais les possibilités qui s'ouvraient à nous. J'avais le vertige quand je pensais à toutes les choses incroyables qu'Anna et moi allions pouvoir faire, s'amuser, faire l'amour et être ensemble, explorer nos corps et se donner du plaisir.

Je continuai à pomper sa petite chatte serrée avec mes doigts pendant que je me perdais dans une séance tourbillonnante et baveuse de dévotion anulingale. Je léchai le sphincter de ma sœur pour le détendre, embrassant et léchant les bords froissés de son anus jusqu'à ce qu'ils soient trempés de salive et que je puisse facilement glisser ma langue dans et hors de son petit trou de cul.

-- Oooohhh ouais aahh! » cria Anna alors que j'enfouissais mon visage entre ses fesses charnues, essayant d'enfoncer ma langue aussi profondément que possible dans son cul fabuleux. « C'est génial-oohh-ooohhh! Lèche-moi le cul, Maxence, pousse ta langue dans mon cuuuuuul!

Sentant qu'elle était proche, je décidai d'innover. En aspirant et en lui lèchant l'anus comme un homme possédé, j'arrêtai de pomper la chatte de ma sœur et repliai plutôt mes doigts vers le haut. Je plaçai mon pouce sur son clitoris lisse et palpitant et je commençai à le frotter pendant que je cherchais la zone à l'intérieur de son tunnel vaginal qui correspondaient à l'emplacement de son nœud, en visant son point G.

Je dus faire quelque chose de bien, ou peut-être que c'était la stimulation multiple qu'elle recevait sur sa chatte, son cul et son clitoris. Quoi qu'il en soit, ça fonctionna. En moins d'une minute, Anna frissonna comme une feuille, gémissant de manière incohérente et agrippant les draps alors qu'une énorme vague orgasmique s'écrasait sur elle.

À ce stade, mon nez était fermement planté dans sa chatte humide et même si la respiration n'était pas facile, son odeur me rendait fou, tout comme la sensation de sa chair lisse presseé contre mon visage.

Je capturai ses tétons entre mes doigts et je l'entendis gémir pendant que je les roulais. Elle plaça ses mains sur les miennes et glissa en arrière pour que ma langue travaille à nouveau sur son clitoris et cette fois, elle resta immobile pendant que je traçais des cercles humides tout autour.

-- Oh, chéri, c'est si bon de se faire bouffer la chatte! » Elle enfonça sa chatte contre mon visage pour souligner cette remarque. « Suce ce clitoris, Maxence! Lèche la chatte de ta grande soeur jusqu'à ce qu'elle jouisse partout sur ton visage!

Je déplaçai ma langue plus rapidement autour de son bouton dur et, toutes les quelques secondes, je l'aspirai fort dans ma bouche avant de la relâcher et de le battre à nouveau avec ma langue. Anna se pencha en arrière sur moi, enfonçant son clitoris plus fort contre mon visage, et mit sa main sur mes cuisses pendant que je lui suçais la chatte.

-- Oh... c'est encore meilleur vu comme ça. » soupira-t-elle en balançant ses hanches contre ma langue.

J'étais cent pour cent d'accord car je regardais maintenant je voyais son ventre jusqu'à ses seins. Ses cheveux me chatouillaient les cuisses et mes hanches bougeaient aussi, poussant ma bite dure dans le vide pendant que ma soeur chevauchait mon visage. Les gémissements d'Anna devenaient plus aigus et ses hanches bougeaient dans un mouvement circulaire, m'aidant à caresser son bouton rose enflé avec ma langue.

-- Juste là. » Elle respirait, les yeux écarquillés et ses seins se soulevaient sous mes mains. « Continue à lécher ce clitoris, bébé... oh s'il te plaît, continue de me lécher!

En l'entendant dire « s'il te plaît », ma langue passa à la vitesse supérieure et je pinçai ses mamelons plus fort qu'auparavant. Anna cria, mais cela fut suivi d'un long gémissement et ses doigts s'enfoncèrent durement dans mes cuisses. Anna courba le dos, se penchant davantage et le bout de ma bite frotta contre son dos.

-- Je sens ta bite bien dure » gémit-elle. « J'ai hâte de jouir pour pouvoir m'y remettre et vraiment te baiser!

J'étais tout à fait d'accord et alors que je poussais mes hanches, frottant mon gland dégoûlinant le long de son dos, je pris son clitoris dans ma bouche avec tellement de force que mes lèvres claquèrent. Anna haleta et je la suçai à un rythme rapide tout en lui tordant les tétons.

-- Oui, oui... oh... oui!

Comme auparavant, Anna rejeta la tête en arrière et poussa un cri qui aurait probablement pu être entendu dans toute la maison. Ses cuisses se serrèrent autour de ma tête et elle rua sauvagement contre mon visage. J'eus du mal à garder ma langue en mouvement pendant qu'elle chevauchait mon visage et je pouvais sentir la sueur couler sur mon front et mes joues, mêlée avec le jus de sa chatte.

Anna criait encore et encore et au fond de mon esprit, je me disais que je jamais Steve ne l'avait jamais fait jouir comme ça, sinon je l'aurais entendu. Anna demeura silencieuse et alors que sa chatte frémissait devant mon visage, je sentis ses jambes se tendre. Elle lâcha un cri explosif et une vague de jus chaud et collant remplit ma bouche et dégoulina sur mes joues.

-- Oh chéri! » Anna haleta alors qu'elle se redressait et posait ses mains sur la tête de lit. « J'ai joui si fort!

-- Merde, Anna. » soupirai-je. « Tu m'a fait un soin du visage.

-- Hmm, pauvre petit frère, il a tellement souffert... Pour me faire pardonner, je vais lui donner ce qu'on veut vraiment!

Anna repoussa ses jambes et attrapa ma bite contre son cul, s'accroupit et alors que la tête de ma bite écartait ses lèvres, elle s'empala. Elle cria alors que ma bite était enfouie au fond d'elle et commença à claquer ses hanches de haut en bas encore plus sauvagement que tout à l'heure.

Je gémis, mais en saisissant ses hanches, je poussai les miennes aussi fort que possible en elle. Anna cria encore et encore alors que nous claquions nos hanches l'une contre l'autre, envoyant ma bite plonger au plus profond de son ventre. Anna se pencha sur moi et me choqua non seulement en m'embrassant, mais en enfonçant sa langue dans ma bouche et en suçant la mienne.

-- Mon Dieu, ma chatte a tellement bon goût! » Elle gémit et commença à me lécher le visage, en aspirant son jus.

Cette réaction sauvage me rendit complètement fou et, en enroulant mes bras autour de sa taille, je la tirai contre moi et commencai à la baiser aussi fort que possible.

--Putain ouais! » cria-t-elle. « Baise-moi Maxence! Baise ta soeur, exactement comme tu rêvais!

Je la pénétrai aussi fort que possible et elle cria à chaque poussée. Ses seins étaient écrasés entre nous et je la tenais si fort qu'elle ne pouvait pas bouger. Anna se laissa faire et resta allongée là, gémissant et couinant pendant que je continuais à marteler sa chatte chaude et trempée.

--Je... je veux être sur le dos! » gémit-elle à mon oreille puis elle s'appuya contre le lit.

Je la lâchai et Anna se tourna. Je m'assis et, me mettant à genoux, attrapai ses jambe, les soulevai et m'enfonçai en elle.

--Putain, donne moi du dur! » gémit-elle alors que je bougeais mes hanches aussi fort que possible.

Je repoussai ses jambes et tendis les miennes jusqu'à ce que je sois en position de pompes et commencai à utiliser des mouvements plus lents mais plus longs, savourant la sensation de sa chatte dévorant chaque centimètre carré de ma bite dure.

--C'est oh, regarde ça! » gémit Anna, son regard fixé entre nos jambes.

Je baissai la tête et regardai l'incroyable spectacle de ma bite glissant dans et hors de ma soeur. Je brillais à cause de son humidité et je pouvais voir ma longue bite épaisse l'ouvrir pendant que j'allais et venais en elle. Ses lèvres roses étaient étroitement serrées autour de ma queue et semblaient m'aspirer à chaque fois que je glissais.

--Plus fort! » cria Anna. « Allez, bébé! Baise-moi comme tu l'as toujours voulu ; baise-moi comme j'en ai besoin!

Je déplaçai mes bras derrière ses genoux et me penchai en avant, pliant ses jambes en arrière jusqu'à ce que ses pieds soient au-dessus de sa tête. Anna hurlait de plaisir et j'entendais maintenant ma bite plonger dans son trou humide. Je regardai ma soeur et je souris. Les yeux d'Anna étaient écarquillés et brillants de désir. Son visage était maintenant rouge de passion et elle transpirait tellement que ses cheveux lui collaient aux joues.

Ses lèvres parfaites étaient ouvertes en un « O » permanent alors qu'elle gémissait continuellement pendant que son propre frère la baisait comme une bonne petite salope. Je commençai à faire plus de bruits alors que mes assauts sur sa chatte construire mon orgasme. Je commençai à ralentir pour profiter d'elle plus longtemps et Anna me sourit :

-- Tu es proche, bébé?

-- Je peux jouir à l'intérieur? » demandai-je.

--Bien sûr que tu peux! »me dit-elle, puis elle glapit alors que je la pénétrais violemment. « C'est ta nuit, bébé, mais pas comme ça.

-- Pas...

-- Oh, allez, Maxence, tu ne veux pas que ta salope de soeur soit à genoux avec le cul en l'air pour toi?

-- Putain ouais! » m'exclamai-je et me penchai en arrière.

Sa chatte fit un bruit humide alors que ma bite en sortit. Anna s'assit et se mit à genoux. Elle me fit crier de surprise lorsqu'elle se pencha et me prit dans sa bouche. Elle hocha rapidement la tête et j'attrapai ses cheveux dans mes mains, poussant sa bouche sur ma bite. Elle gémissait et suçait fort et vite. Mes jambes tremblaient et je pensais qu'elle allait me faire exploser dans sa bouche une nouvelle fois, mais elle s'arrêta et je lâchai rapidement ses cheveux.

Anna se retourna et, en baissant la tête sur le lit, elle poussa ses fesses en l'air. Je me léchai les babines à la vue de ses fesses rondes et lisses, je les attrapai, je les écartai et enfonçai ma langue dans son derrière.

-- Oh, mauvais garçon! » cria Anna. « Lécher le cul de ta soeur! Mais j'adore ça!

Je baissai ma langue et je la glissai dans sa chatte maintenant suintante et je bus, gagnant une gorgée de son jus ainsi qu'un autre petit cri aigu de sa part. Puis, j'attrapai ses hanches pleines, les serrant si fort que mes jointures blanchirent et j'envoyai ma bite à la maison.

Anna leva la tête et cria « Putain! » alors que je rentrais dans sa chatte. Je m'arrêtai un instant pour prendre une profonde inspiration, puis je me déchaînai. Anna hurlait encore et encore alors que de longs mois de frustration sexuelle remontaient à la surface et que je la baisais si fort que mes couilles frappaient douloureusement contre sa chatte.

Mais cet inconfort mineur ne pouvait pas m'empêcher de marteler la chatte de ma soeur comme si j'essayais de la casser. Anna criait et gémissait, tout en repoussant ses hanches vers moi, ajoutant encore plus de force à mes poussées. Elle tourna la tête, faisant s'étaler ses longs cheveux sur son dos et elle a cria :

-- Tire mes cheveux!

Je les attrapai dans une main, les enroulant autour de mon poing et tirai. Anna se redressa sur ses mains et hurla pendant que je la baisais.

-- Putain, putain! » cria-t-elle. « Fesse-moi le cul avec l'autre main! Rends-le rouge! Vas-y Maxence, punis ta vilaine grande soeur! Je suis peut-être l'ainée mais c'est toi l'homme de la maison maintenant!

Même si je l'avais entendue et que je savais que ma soeur était loin d'être prude au pieu... elle m'époustouflait! Lui lécher le cul, lui tirer les cheveux, lui donner une fessée? Je lui frappai violemment la fesse droite, puis la gauche.

-- Plus fort, plus vite! » cria Anna.

Je fis des allers-retours en donnant à chaque fesses plusieurs claques dures qui firent effectivement rougir son cul. Je pouvais voir l'emprunte de mes doigts se dessiner sur sa peau autrefois crémeuse et ma bite palpitait comme jamais en elle.

-- Oh, putain chéri! » cria Anna. « Continue! Je... je vais encore jouir!

Je déglutis difficilement et continuai à la baiser, en espérant pouvoir me retenir assez longtemps pour qu'elle puisse jouir. Je regardai ses fesses et me focalisai sur son anus.

Et pourquoi pas?

Sans avertissement, j'enfoncai mon doigt dans son cul et Anna décolla comme une fusée.

Lâchant un gémissement qui avait une chance de briser les fenêtres ; Anna se jeta sur moi, écrasant ses hanches contre moi alors que sa chatte se convulsait.

--Putain oui! » cria-t-elle. « Putain, Maxence! Oh, putain!

Je ne pouvais pas me lasser de la vue de ma sœur sous moi, si chaude et belle alors qu'elle gémissait de plaisir, se mordant la lèvre inférieure, ses gros seins lourds se balançant alors qu'elle continuait d'écraser sa chatte sur ma bite et à bouger son cul d'avant en arrière pour laisser mes doigts glisser dans son anus étroit.

Sentant son anneau s'ouvrir et céder à chaque fois que mon pouce poussait contre sa magnifique croupe, mon esprit devenait de plus en plus obsédé par une seule pensée perverse. Je devais l'avoir, j'avais besoin de baiser son cul, maintenant.

Incapable de résister plus longtemps, j'enfonçai deux doigts, plus profondément dans son anus, fessant et attrapant son cul dodu avec l'autre main,la faisant gémir de plaisir, alors que je lâchais:

-- Grande soeur, je veux ton cul maintenant, je veux te sodomiser.

Anna se tortilla et trembla, gémissant alors que mes mots vigoureux et mes caresses intenses continuaient à s'ajouter à son excitation. Elle ronronnait, ses yeux flous et son esprit probablement enflammé, envisageant déjà ma bite plutôt que mes doigts étirant son trou serré. Sa voix était rauque quand elle répondit :

-- Oh ouais, bébé, je le veux aussi, je te veux au fond de mon cul...

Je m'arrêtai à mi-course en me demandant si même elle pouvait être si sale. Anna éloigna alors sa chatte de moi puis poussa ses hanches en arrière, jusqu'à ce que la tête de ma bite soit pressée contre son cul.

-- Allez! » gémit-elle.

J'attrapai ma bite puis la regardai, abasourdi, alors qu'elle reculait.

-- Tu es sûre que tu es prête, Anna? » demandai-je en la regardant. Son beau visage rayonnant de plaisir était appuyé sur son oreiller, tout son corps penché m'était livré. Quelle fille incroyable! Je l'aime tellement. Une giclée de pré-sperme suinta alors que je poussais mon gland contre son sphincter docile. « Dis-moi quand tu veux que j'arrête, d'accord? Je vais y aller doucement grande soeur, essaie juste de ne pas te crisper.

-- D'accord » acquiesça Anna, me regardant avec un mélange de désir, d'amour et de confiance dans ses yeux pétillants. « Tout va bien Maxence. Je suis tellement prête et détendue, tu m'as tellement fait jouir avec tes doigts et ta langue incroyable et ta grosse bite! Maintenant, prends mes fesses et fais moi jouir sur ta bite. Vas-y, mets-la, prends mon cul vierge!

1...345678