18 Maîtres Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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- Je vais bien Maître. Je ne veux pas partir sans avoir été baisée par vous, par vous tous.

- Ok, nous continuons. Qui n'a pas eu l'occasion de fouetter la pute?

Il ne reste que trois hommes à passer. Je suis un peu énervé contre Barry qui tout de suite me remet sur la sellette. Mais je me rappelle que ça fait partie de l'accord. Je veux être leur esclave alors je vais obéir. Je serre les dents et me soumet aux coups de fouet. Je suis contente quand ça finit.

Ensuite, au lieu d'une baise effrénée et désorganisée, Barry mit en place une file d'attente bien ordonnée. Pas étonnant qu'il ait commencé avec mon trou du cul, c'est sa personnalité. Une colonne se forme. Ils m'enchaînent à la table où ils m'ont obligée à avoir trois orgasmes. Cela me semble idiot car ils ne peuvent pas vraiment me toucher à part mon sexe. Mais je suis contente que mes fesses reposent sur la couverture sur la table et qu'elles soient hors de portée. Mes chevilles sont liées aux étriers, mes poignets sont attachés au niveau de mes épaules, laissant mes seins exposés. Mes cuisses sont aussi attachées afin que mes jambes soient bien écartées, me laissant vulnérable à toutes ces bites. Ils remontent légèrement la tête de la table afin que je puisse bien voir la file d'attente pour me violer.

Barry est le premier. C'est bien qu'il ait une grosse bite. Je la sens bien dans ma chatte humide. Après quelques coups de reins, il réussit à mettre un doigt dans mon cul. Mon anus est plus lâche donc avec sa bite travaillant ma chatte, le doigt ne me fait pas autant mal. Mais suis un peu effrayée de l'avenir en pensant qu'il me sodomisera peut-être un jour. Il me baise durement et il ne lui faut pas longtemps avant de déverser son foutre dans mon ventre. Dès qu'il a fini, Chris prend sa place. Je n'ai pas eu de plaisir avec Barry, mais maintenant que Chris me pilonne et me lance son regard intense, je suis excitée. Le regardant droit dans les yeux, je me sens jouir profondément. Chris éjacule un moment plus tard, en grognant comme un tigre alors qu'il pousse sa bite en moi au plus profond qu'il le peut.

Je suis encore sous le choc de mon orgasme si bien que je ne sais pas qui vient ensuite. Dès que Chris se retire, une autre bite bien raide me remplit. C'est tout à fait ce que je voulais ressentir quand je fantasmais d'être soumise à un gang-bang. Je suis remplie encore et encore. La plupart des hommes éjaculent assez rapidement. Mais certains me baisent, se retirent et retournent au bout de la file pour faire durer leur plaisir.

Bien que je me délecte des queues qui glissent dans et hors de moi, je reste immobile, enchaînée à la table. Alors je regarde les hommes qui me baisent, détaillant leur visage au-dessus de moi. J'aime danser et draguer pendant que je danse. Je ferme les yeux et j'imagine que mon partenaire me baise. Je fantasme que j'ouvre les yeux et que je vois son visage sous l'effort. J'ai baisé avec quelques danseurs mais ça n'a jamais été aussi bien que dans mes fantasmes. Mon ancien petit ami était un partenaire de danse qui m'avait paru prometteur, mais l'illusion s'est évanouie rapidement.

Aucun de mes baiseurs de ce soir n'ont eu un contact visuel avec moi, à part Chris. Ils ferment les yeux ou regardent mes seins ou ma chatte.

Je regarde la file et je constate qu'il ne reste qu'une douzaine d'hommes. L'homme actuel décharge dans mon ventre et laisse la place à un autre. Celui-ci a de beaux yeux noirs, des cheveux noirs et une peau d'olivier. Il ne me regarde pas non plus. Je fléchis mes jambes contre les liens. J'aime être étendue comme ça, J'aime ne pas pouvoir protéger ma chatte, ne pas pouvoir fermer mes jambes contre ses hommes et leurs queues.

Je tire sur mes bras et mes poignets, souhaitant passer mes mains sur mes seins. Et j'ai un mini-orgasme rien qu'en y pensant.

Puis vient un autre homme, puis un autre. J'ai préféré la dernière fois où j'étais entourée par tous ces yeux avides de sexe, attendant leur chance de me baiser. Avec cette file d'attente bien ordonnée, chaque homme se vide et s'éloigne ensuite dans la pièce. J'entends une télé avec une émission sportive. De temps en temps, un gars commente quand un autre me baiser durement, l'encourageant à le faire encore plus fort. Quelque fois, quand mon baiseur n'arrive pas à jouir assez vite, quelqu'un derrière lui lui dit de se presser ou de reprendre la file d'attente.

Finalement, il ne reste plus qu'un gars. Ma chatte est badigeonnée de sperme. Je peux le sentir sortir de mon ventre et couler vers mon cul sur le bord de la table. Tandis que le dernier homme me pilonne, Barry demande si quelqu'un veut passer une deuxième fois. Quelques hommes se remettent en ligne. Cette fois ils prennent plus de temps avant d'éjaculer. Et je souhaite qu'ils se dépêchent. Mais dès qu'ils ont fini, je souhaite qu'ils n'aient pas été aussi pressés.

Quand tout le monde a fini de jouir autant qu'il le voulait, Barry vient se tenir au-dessus de moi. Le regard qu'il me lance est glacial. J'ai une boule qui se forme dans mon ventre. Il attrape mes cheveux et se penche vers moi :

- Qu'est-ce que je t'ai dit à propos de jouir salope?

Vlan, la cravache tombe sur mes seins, juste sur mon mamelon le plus sensible, celui qui avait été déjà un peu entaillé. J'essaie de remettre mon cerveau en route, mais mon esprit est aussi abîmé que le reste de mon corps.

Vlan, encore un autre coup sur mon mamelon brûlant. Je hurle de douleur. L'autre main de Barry couvre ma bouche.

- je t'ai dit que tu devais demander la permission de jouir!

Vlan.

- As-tu demandé la permission sale pute?

Vlan.

Je réfléchis. Je me rappelle vaguement avoir joui mais ça me semble si loin. Et je ne peux pas lui répondre car sa main couvre ma bouche et me bâillonne.

Vlan! Je lutte contre mes liens, mais je sais que je ne peux pas protéger mes seins.

Vlan! La douleur est atroce.

Vlan! Je commence à penser aux mots qui peuvent arrêter mon martyre et comment je peux les dire avec ma bouche couverte par la main quand j'entends la voix de Chris.

- Elle n'a pas besoin d'être plus fouettée Barry. Elle ne le sent même plus tellement elle a mal. Tu peux peut-être la punir autrement.

- A quoi penses-tu?

Barry semble méfiant. Je crois qu'il n'aime pas être mis au défi. Mais la suggestion suivante de Chris réussit à lui faire croire que l'idée est bonne pour lui.

- Tu te rappelles combien tu as aimé la semaine dernière lorsque nous l'avons mise sous la douche. Tu te souviens à quel point elle a détesté. Refais-lui ça!

Barry me regarde avec un air vicieux. Il ordonne que l'on me détache et que l'on n'emmène dans la salle de bain. Merde, non, pas encore! J'ai adoré humiliation et la dégradation de la pute que je suis, mais je ne veux pas la douche froide ou la pisse.

Ils me remettent debout et alors qu'ils commencent à marcher vers la salle de bain, je m'échappe en criant :

- NON, NON, NON, NON, NON...

Je m'éloigne en agitant les bras.

- Attrapez-la! Crie Barry.

Je continue à hurler « NON » et je me débats. Barry essaie encore de couvrir ma bouche et je le mords. Je ne crois pas avoir traversé la peau mais je l'ai bien mordu. Alors que je lutte et que je suis épinglée sur le sol, j'entends Chris demander au docteur de regarder la main de Barry. Je me débats encore, futilement, contre les gars qui me tiennent. Mes émotions partent dans tous les sens. Je veux ça, je ne veux pas ça. Je suis excité par toutes ces mains qui me tiennent et je suis malade à la pensée de ce qui va suivre. Je ne sais pas vraiment ce que je veux.

Chris me chevauche pour m'empêcher de ruer et il me gifle durement. Ça me fait taire.

- Regarde-moi! Ordonne-t-il.

Je ne peux pas lui obéir. Je me sens comme un animal piégé. Alors je recommence à me débattre en criant « NON », pas tout aussi fort pourtant. Chris me gifle à nouveau.

- REGARDE-MOI! Commande-t-il.

Je le regarde.

- Utilises-tu tes mots de sécurité?

Je suis confuse. Je ne sais pas. Je ne dis rien.

- Es-tu blessée?

Je suis maintenue durement au sol. Je suis couverte de balafres dues au fouet, Mon visage me brûle à cause des gifles. Ma chatte dégouline de sperme.

- Non! Murmuré-je.

Je suis giflée de nouveau.

- Non Maître! Dit Chris.

- Non Maître! Répété-je.

Je me calme.

- Voilà ton problème. Tu es arrivée avec des idées sur ce qu'il allait se passer ce soir. Une partie de toi pensait que tu pourrais tout contrôler. Mais tu ne désires pas avoir le contrôle, tu le sais très bien. Pourquoi viens-tu ici? Pourquoi te faut-il tant d'hommes? Parce qu'un seul homme qui te contrôle ne te suffit pas. Tu fixes des limites, mais ce que tu veux vraiment c'est que nous contrôlions tout ce qui se passe ce soir. Tu te débats depuis que nous t'avons sodomisée ce soir. Arrête! tu ne vas pas aimer tout ça, mais tu peux le tolérer et tu le toléreras. Si tu te soumets à tes Maîtres, tu peux en retirer du plaisir même si tu n'aimes pas.

Je dois avoir l'air intriguée.

- Oui exactement. Tu as eu mal la semaine dernière lorsque nous t'avons fouettée?

- Oui. Murmuré-je.

- Oui Maître! Ordonne-t-il en me tirant les cheveux.

- Oui Maître.

- Et tu as aimé même si tu as eu mal?

- Oui Maître.

- Je sais ce que tu aimes, je t'ai donné ce que tu voulais parce que tu aimes être dégradée de la façon dont je l'ai fait. Barry ne se soucie pas de ce que tu aimes. Mais ce qui compte c'est ce que nous aimons. Tu es ici pour nous servir, tu es ici pour nous faire plaisir. Nous allons t'utiliser comme nous le voulons même si ça ne te plaît pas. Barry aime bien te faire des choses que tu n'aimes pas. N'est-ce pas Barry?

- Putain c'est vrai! Approuve Barry.

- Tu ne veux pas aller dans la douche n'est-ce pas?

Je sens la panique monter en moi de nouveau à la pensée de la douche. Je commence à frissonner en pensant à l'eau froide et à la pisse chaude. Je secoue la tête, incertaine de pouvoir parler pour lui répondre.

- Chut, calme-toi, écoute ma voix, regarde-moi!

J'arrête de secouer la tête et je le regarde.

- Tu es ici dans une suite d'hôtel. Tu es nue. Il y a 24 hommes nus qui veulent tous te baiser comme tu peux l'imaginer. Regarde autour de toi, sens comme tu es coincée par terre, sens leurs mains sur ton corps.

Je regarde autour de moi et je ne vois que des hommes nus. Je sens la moquette de la suite sous mon dos, sous mes fesses. Je sens les mains me retenir. Peut-être que j'irai sous la douche, peut-être pas, mais je n'en suis pas encore là. Je sens ma respiration ralentir. Je n'avais même pas réalisé que j'étais à court de souffle.

- Pourquoi es-tu ici esclave?

Je réfléchis un moment. Parce que mon petit copain a rompu avec moi? Parce que je sais que je vieillis? Parce que j'ai aimé la séance de la semaine dernière? Mais, tandis que Chris me regarde, je connais la bonne réponse :

- Parce que je veux vous plaire Maître.

- Crois-tu que ça nous plaise que tu paniques comme ça?

- Non Maître.

- Alors? Demande Chris dans l'expectative.

- je suis désolée Maître, je n'aurais pas dû faire ça.

- Mérites-tu d'être punie?

- Oui Maître, je mérite d'être punie.

Il attrape mon visage, ses doigts creusant mes joues.

- Ne répète pas ce que je te dis esclave. Réfléchis à ce que tu as fait, réfléchis à la façon dont tu as protesté quand on t'a enculé! Tu as voulu crier et j'ai dû te couvrir la bouche. Est-ce ainsi que se comporte une bonne esclave?

- Non Maître.

- Quand nous t'avons fouetté, tu t'es évadée dans ton esprit n'est-ce pas? Tu as cessé d'être là et de ressentir ce que nous te faisions. Puis quand on t'a baisée, j'ai vu tes yeux. Tu étais là sans être là. Tu dois être ici, tu dois tout ressentir, TOUT.

Il a raison. Je me suis débattue car ça ne s'est pas passé comme je le pensais. J'avais aimé la semaine dernière, j'avais beaucoup aimé. Mais si les autres soirs, semaine après semaine, c'est simplement une répétition de la première soirée alors ça va m'ennuyer. Je repense à ce que m'a dit Chris quand il tenait ma tête sur le canapé, que j'avais besoin d'être sodomisée pour complètement les accepter. Lutter contre la douleur ne m'aide pas. Je pense que la manière dont Barry dirige les choses est ennuyeuse mais peu importe ce que je pense.

Avec cette prise de conscience, je sens que mon corps se détend et se dénoue. Chris remarque le changement. C'est alors qu'un immense sentiment de honte m'envahit. Bizarre. Je n'ai pas honte d'être le jouet de 24 hommes nus, mais j'ai honte d'avoir déçu mes Maîtres par mon comportement. Pire encore, je l'avais fait devant les autres hommes qu'ils avaient invité ce soir. Chris lit dans mes pensées :

- Oui tu nous as déçu, tu le comprends maintenant. Mais ça va, nous allons te punir et nous serons contents et toi tu te sentiras mieux après. En fait tu vas te sentir de mieux en mieux. Mais nous devons te punir et ce doit être quelque chose que tu ne veux vraiment pas, ou cela ne compensera pas ce que tu nous as fait.

Je sais exactement quelle doit-être ma punition. Et je sais aussi combien ça ne me plaît pas. Je prends une profonde inspiration et je dis :

- Vous devriez m'emmener sous la douche Maître et m'arroser d'eau glaciale.

- Pendant combien de temps?

- Tant que vous le voudrez Maître. Je dois subir jusqu'à ce que vous décidiez d'arrêter.

- Bonne réponse! Et c'est tout?

- Non! Vous devriez tous me pisser dessus aussi, Vous tous.

- Vas-tu te débattre?

- Non Maître.

- Avons-nous besoin de t'attacher?

Je réfléchis. J'aime être attachée. Mais il s'agit d'une punition. Ça va être difficile de supporter sans contraintes mais je sais que je dois le faire.

- Non Maître, je resterai immobile sans être ligotée.

- Vas-tu t'évader dans ta tête?

- Non Maître, je vais rester consciente de tout.

- Si tu te mets à rêver une seule seconde je le saurais

Je hoche la tête.

- Alors, « FEU VERT » pour être punie? Et si tu te comportes bien nous te récompenserons en te baisant comme tu aimes.

- Oui Maître « FEU VERT »

Chris demande aux autres hommes de me relâcher. Quand ils se préparent à m'aider pour me relever Chris intervient :

- Non, elle peut très bien ramper! Avance esclave!

Je me mets à quatre pattes et lentement je commence à ramper vers la porte de la salle de bain. Je sens une main me fesser le cul assez fort, puis une autre. Je continue à avancer. Je me concentre sur la sensation de la moquette sous mes genoux et mes mains. Je me concentre sur le claquement des mains sur mon cul nul et douloureux. Je me concentre sur ce que j'avais fait et comment j'allais compenser. En suivant les ordres de mes Maîtres, je trouve la salle de bain et je me couche sur le dos dans la douche pour attendre ma punition.

La douche de cette suite est encore plus grande que celle du dernier hôtel. Elle a trois pommes de douche et une douchette que s'empresse de prendre Barry. Il ouvre en grand l'eau et je suis frappée par quatre sources d'eau glacée. Je veux crier, mais je ne le fais pas. Je veux me rouler en boule, mais je reste allongée à plat. Je me concentre sur ma respiration et je sens l'eau froide couler sur mon corps. Je repense à ce que Chris m'a dit, que je peux le tolérer même si je n'aime pas. Je me rappelle que ce que j'aime a peu d'importance, que seul compte ce que mes Maîtres aiment. Je peux haïr ma punition, mais aimer me soumettre à cela.

Je ne sais pas combien de temps ça a duré. Je tremble. J'ai l'impression que ça dure depuis longtemps mais ce n'est sûrement pas le cas.

- Alors esclave? Veux-tu que je m'arrête? Demande Barry.

Je prends une profonde respiration du mieux que je peux sous le jet froid et je réponds :

- Peu importe ce que je veux Maître. Vous le faites aussi longtemps que vous le voulez.

- Bien esclave.

Malgré l'eau froide, je ressens un peu de chaleur. L'homme laisse couler l'eau quelques secondes de plus. Quand il éteint, mes dents claquent et je frissonne, mais je me sens mieux. Je prends une autre profonde inspiration en me rappelant que je ne peux échapper à ce qui va suivre.

Je n'ai pas réalisé à quel point l'endroit est chic. Il y a une grande baignoire dans cette salle de bain. Un homme me prend et me met dans cette baignoire. Puis les autres m'entourent complètement. Il n'y a pas assez de place pour tout le monde, mais ils peuvent se relayer.

Je sais que l'urine est antiseptique. Je sais que ça ne va pas me faire de mal. Je ne peux pas sincèrement fixer une limite à ça. Mais je déteste quand même. Ça réveille certains tabous au fond de mon esprit. Je m'allonge dans le fond de la baignoire et je sens des jets chauds de pisse venir de tous les côtés à la fois. Même si j'avais voulu me recroqueviller ou me cacher, il n'y avait nulle part où aller. Ils me couvrent d'urine des pieds aux cheveux. Plusieurs fois, je me retiens de m'évader, de partir dans un autre fantasme. Ceci fait partie de mon fantasme, je sens que mon visage commence à se tordre de dégoût, mais je me force à me relaxer. Je me concentre sur les sensations sur ma peau, sur l'odeur, sur les commentaires que font les gars. Ils ne disent pas tous quelque chose, mais certains disent que c'est une chose qu'ils voulaient faire depuis toujours mais qu'ils ne croyaient pas pouvoir faire un jour. Je n'aime toujours pas cette idée mais je sens que ma chatte mouille en sachant que je réalise leur fantasme.

Barry revient quand le dernier homme a secoué les dernières gouttes de sa queue :

- Encore un esclave!

- Oui Maître, j'attends le dernier.

- Tu es la dernière. Pisse-toi dessus esclave!

Oui, encore une humiliation. Je laisse mes muscles se détendre et je me force à uriner. Je sens ma propre urine s'accumuler autour de moi alors que je suis encore allongée. Je lève les yeux et je vois Barry et Chris sourire de satisfaction.

- De l'eau chaude maintenant et on la sèche. Mais on ne la baise pas encore. Qui veut la laver? Demande Barry.

Quatre hommes se proposent. Il règle l'eau à une température agréable, pas trop chaude et ils se relaient pour me savonner et me rincer. Ils ne me baisent pas, mais ils ne se gênent pas pour me sonder avec leurs doigts. Pour bien me laver, ils me font mettre dans toutes sortes de positions intéressantes. Quand ils en ont fini, je me sens encore plus excitée qu'au début de la nuit lorsque j'ai eu mes trois orgasmes.

Ensuite ils m'essuient et me conduisent hors de la salle de bain, Ils me font mettre à quatre pattes sur une couverture qui est déjà sur une bâche, peut-être la même que la dernière fois.

Puis Barry annonce que c'est l'heure du bukkake. Ils ont commencé à me prendre en levrette et se faire sucer pour que leurs queues soient prêtes. Ensuite ils m'allongent sur le dos et se vident sur moi. Tout le monde a l'occasion d'éjaculer sur la partie de mon corps qu'il préfère. J'ai beaucoup de sperme sur mon visage et mes seins, mais ils arrivent à couvrir le reste de mon corps. Je suis épuisée. Je veux fermer les yeux et m'endormir, mais je sais bien que je ne peux pas. Je dois rester consciente. En fin de compte, je trouve beau ces jets blancs qui me tombent dessus.

Barry n'est pas le dernier à jouir cette fois. Il est le premier à laisser tomber un énorme tas de foutre pour couvrir mon visage. Chris a plâtré mes seins. Je crois que c'est Andy qui a trouvé mes pieds. 24 hommes, ça fait beaucoup de sperme même s'ils avaient déjà joui plus tôt. Je suis trempée. Je sais que j'ai l'air d'une actrice porno, recouverte d'une blancheur laiteuse sur une couverture bleu foncé. Je commence de nouveau à avoir chaud. J'espère que quelqu'un va me baiser.

- Ok les gars, faisons une pause, laissons-la sécher.

Barry emmène les hommes dans une autre pièce de la suite en me laissant là.

- Ne bouge pas, ne t'essuie pas, ne te gratte pas, reste comme ça! Ordonne Barry avant de me laisser seule.

Je dois avoir somnolé. Je me réveille quand je sens les doigts de quelqu'un dans ma chatte.

trouchard
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