Addiction à la Fessee

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Une jeune mariée découvre le plaisir de la fessée.
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ADDICTION A LA FESSEE

Ce texte est la traduction française adaptée du récit en anglais de Quin, « A spanking good time ».

Je suis une femme au foyer de 36 ans, mariée depuis dix ans, et je vis dans une banlieue calme. Cette lettre relate qui s'est passé juste après mon mariage. J'étais alors très naïve en matière de sexe et je n'avais jamais rien vécu d'excitant même si je me rendais compte que j'attirais l'attention des hommes. J'avais alors des cheveux blonds qui tombaient jusqu'aux épaules et une poitrine de 36c qui paraissait plus grosse à cause de la finesse de ma taille.

Après six mois de mariage, j'ai perdu mon emploi et mon mari m'a suggéré de rester à la maison un moment avant d'en chercher un autre. Au fil des mois je commençai à m'ennuyer un peu et l'une des choses que j'attendais avec impatience était la compagnie de deux hommes, l'un de presque 65 ans, l'autre de 60. Ils étaient à la retraite et s'occupaient des jardins pour se faire un peu d'argent supplémentaire et pour rester occupés.

Parfois, je les faisais entrer dans la maison pour prendre un verre ou je discutais avec eux dans le jardin. Rien de sexuel ne m'avait jamais traversé l'esprit jusqu'à ce qu'un après-midi, alors qu'ils partaient, l'un d'eux a laissé tomber un magazine. Je l'ai ramassé et j'étais sur le point de les rappeler quand j'ai réalisé que c'était un magazine de sexe. Au lieu de le rendre, j'ai commencé à le feuilleter. Je n'avais jamais rien vu de pareil auparavant ; il mettait principalement en vedette des femmes fessées. J'étais abasourdie. Je n'avais jamais associé le plaisir sexuel à ce genre de choses et j'ai été choquée de voir ces hommes âgés lire de telles choses. Une photo montrait une femme penchée sur les genoux d'un homme et la jupe relevée, se faisant fesser avec la main. Les pages suivantes montraient une série de photos où une femme était entourée de plusieurs hommes. Au fur et à mesure, ils la touchaient, puis ils la courbaient sur une chaise et baissaient sa culotte à tour de rôle pour lui donner une fessée.

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Celles qui m'ont vraiment fait ressentir une drôle de sensation se trouvaient à la fin du magazine. Elles montraient des hommes avec leur sexe sorti et qui se masturbaient pendant que les femmes recevaient la fessée. Certaines montraient la femme tenant une... une queue à la main. Cela m'a électrisée et je me suis installée pour me caresser en les regardant, hypnotisée. J'étais très excitée de voir ces photos de sexes d'hommes et fascinée par la façon dont ces femmes se laissaient traiter. C'était un spectacle très pervers L'idée de recevoir une fessée m'a tout à coup traversé l'esprit...

Le lendemain, alors que les deux hommes étaient sur le point de terminer la journée, j'ai appelé le plus âgé et, rassemblant mon courage, je lui ai tendu le magazine en disant : « Vous avez laissé tomber ça hier. »

Il a été choqué et a passé les cinq minutes suivantes à s'excuser. Comme il semblait plus gêné que moi, je me suis sentie assez courageuse pour lui dire que tout allait bien et que je l'avais regardé et trouvé intéressant.

« À mon âge, c'est juste pour un peu d'excitation, a-t-il alors dit. Puis il m'a demandé de ne rien dire à sa femme. J'ai répondu que je ne lui en parlerais pas. En fait, cela m'émoustillait de partager un tel secret avec un homme. Avant de partir, il a dit qu'il était heureux que j'aie trouvé que la lecture du magazine valait la peine et que je ne sois pas ennuyée. Dès qu'ils furent partis tous les deux, je me précipitai dans ma chambre à l'étage et m'allongeai sur mon lit, ma main dans la culotte pour une masturbation frénétique.

Pendant les jours suivants, je ne cessai de penser au magazine. Cela m'avait excitée plus que de simples photos de couples faisant l'amour. Je n'avais jamais eu envie de regarder des magazines pornographiques mais celui-ci avait eu un effet étrange sur moi.

La fois suivante où l'homme est venu faire le jardin, seul cette fois, j'étais surexcitée. Je me demandais si le sujet de la fessée serait à nouveau évoqué, même si je n'osais pas lui demander s'il avait d'autres magazines. Quand j'ai entendu frapper à la porte et que je l'ai vu, je l'ai invité à entrer. Il s'est encore excusé en me disant qu'il espérait que je n'étais pas dégoûtée par ce que j'avais vu. Je l'ai rassuré en lui disant que tout allait bien, que je trouvais cela intéressant et que c'était la première fois que je voyais une telle chose.

Il m'a demandé alors si j'avais regardé le magazine jusqu'au bout, et quand j'ai hoché la tête, il a semblé un peu agité. Il m'a ensuite demandé quelles parties j'avais trouvées les plus intéressantes. Maintenant, c'était moi qui me sentais gênée et je lui ai dit que je ne savais pas que la fessée pouvait être cause de plaisir sexuel. J'ai ajouté que j'étais surprise que les femmes fessées aiment autant ça. J'avais lu la section contenant les lettres des lecteurs... et des lectrices...

Il m'a alors dit que beaucoup de gens s'adonnaient à la fessée, et il a ajouté avec insistance :

« Egalement dans d'autres passe-temps inhabituels liés au sexe. »

Sans réfléchir, j'ai laissé échapper :

" L'avez-vous déjà fait? Je veux dire... donner une fessée à une femme? "

Ce n'était en réalité qu'une pensée qui m'avait traversé l'esprit et je savais que je n'aurais pas dû l'exprimer.

"Oui, a-t-il répondu calmement, plusieurs fois quand j'étais plus jeune, mais plus tellement maintenant. Moins d'opportunités à présent » a-t-il ajouté.

Sa réponse m'a fait rougir et alors que je baissais les yeux, il m'a demandé si j'aimerais voir un autre magazine pendant que son ami et lui travailleraient au jardin. Je n'osai dire un mot mais je ne pus m'empêcher de hocher la tête. Il a posé sur la table un magazine montrant en première page une femme cravachée par un homme sur ses fesses nues tandis qu'un autre se tenait devant elle, sexe dressé et sur le point de l'insérer dans sa bouche ouverte. Je suis devenue cramoisie et j'ai haleté en laissant échapper un petit cri.

L'homme a ri doucement et dit, en me tutoyant pour la première fois :

« Celui-ci est un peu plus hard que l'autre. Si tu ne veux pas regarder, rends-le quand je pars. »

Puis il est sorti et m'a laissé là, abasourdie.

Donc, le vieil homme qui entretenait notre jardin s'excitait en regardant des femmes recevant la fessée et le fouet Je l'imaginais sur les photos, nu ou avec son sexe à la main. Avait-il amené les femmes à mettre son sexe dans leur bouche ou les avait-il pris par derrière? Connaissait-il des femmes qui aimaient être entreprise par plusieurs hommes ensemble, des hommes qui les utilisaient à leur volonté? Je devenais folle en y pensant, en particulier quand je me demandais s'il avait le fantasme de me donner la fessée à moi...

Le magazine était dégoûtant, montrant même quelque chose que je pensais que personne ne serait autorisé à photographier et à publier. Un homme avec son sexe dans les fesses d'une femme et qui les lui claquait pendant qu'elle suçait celui d'un autre. Je n'en avais jamais vu d'aussi gros! Sur une des photos, une femme était agenouillée à quatre pattes avec le sperme de trois hommes dégoulinant sur son visage. Et ce vieil homme qui faisait notre jardin m'avait donné ça à regarder!

Je ne sais pourquoi je n'en ai rien dit à mon mari.

Au cours des trois semaines suivantes, le vieil homme m'a apporté des magazines similaires et je n'ai pas cessé de fantasmer. J'ai commencé à me tenir différemment, comme si je cambrais mes fesses pour une fessée. Quand il était seul, je le laissais me regarder l'œil brillant et j'ai porté à plusieurs reprises des jupes plus courtes que d'habitude. Les magazines avaient sur moi un effet étrange. J'imaginais le vieux jardiniers me donnant une fessée, et, en m'efforçant à la discrétion, j'ai trouvé excitant de me pencher parfois devant lui en me cambrant et de faire semblant pendant une seconde qu'il était sur le point de m'en donner une.

Puis un jour tout s'accéléra. Il était arrivé le matin comme il le faisait toujours à présent. C'était son habitude de passer me laisser un nouveau magazine avant de revenir en fin de matinée avec son ami pour prendre un café. Je lui rendais le magazine au moment où ils partaient. Ce jour-là, il n'est pas ressorti pour travailler au jardin. Il m'a tendu le magazine alors que j'étais assise à table, a tiré une chaise et s'est placé à côté de moi.

J'ai été un peu surprise. Il m'a dit de feuilleter le magazine, ce que j'ai fait. J'étais nerveuse de le lire devant lui. C'était le plus hard qu'il m'ait jamais apporté et montrait bien plus que des fessées. Il y avait au long des pages beaucoup de relations sexuelles anales...

Il a souri de mon embarras et m'a demandé si j'avais déjà vu ça. Ma voix a tremblé lorsque je lui ai répondu que non. Puis il m'a demandé si les magazines m'avaient amenée à me demander ce que ça me ferait d'essayer certaines des choses que j'avais vues. À contrecœur, j'ai dit que certains d'entre eux me faisaient... de l'effet. Il m'a alors demandé si je voulais essayer de voir ce que ça me ferait de recevoir une fessée. J'ai dit oui, pensant qu'il me demandait simplement si je m'interrogeais à ce sujet. Puis j'ai soudain réalisé... qu'il me proposait de le faire pour de vrai!

« Lève-toi », m'a-t-il dit d'une voix douce mais ferme.

"Je... je... ai-je balbutié. Mais je me suis retrouvée à obéir.

Il m'a alors dit d'une voix rassurante :

« Ne stresse pas, personne ne le saura, essaie simplement pour voir si tu aimes. Beaucoup de femmes adorent ça, tu sais. »

Il s'est alors approché, a passé son bras autour de ma taille, puis a commencé à me caresser lentement les seins en me disant :.

"Tu aimes les photos d'hommes qui montrent leur bite dressée? »

Je me suis figée sans oser répondre, mais il a insisté et j'ai pensé qu'il fallait que je réponde ;

« Oui..., ai-je murmuré...

Puis il m'a demandé si j'aimais sucer des bites et pour être honnête, j'ai répondu que je ne l'avais jamais fait. Il a souri et en insistant, m'a fait admettre que l'idée m'excitait.

"Perite salope, a-t-il dit, tu vas te pencher sur la table »

J'ai protesté mais je l'ai laissé me courber, Debout derrière moi, il a commencé à retrousser ma jupe.

J'ai crié : "Non! Oh non! Juste... juste... par-dessus s'il vous plaît!»

Je ne pouvais pas croire que j'avais dit cela! Mais je restai dans la même position, courbée sur la table. Sa main caressa un instant mes fesses puis s'abattit sur mon intimité. Une première claque, suivie de beaucoup d'autres toutes plus dures les unes que les autres. Il n'arrêtait pas de me dire que j'étais une salope et il m'a tout à coup ordonné de le répéter après lui. J'ai refusé et j'étais sur le point de lui dire d'arrêter quand il a remonté ma jupe. J'ai essayé de la rabattre en criant, mais il a assené une nouvelle série de claques sur ma croupe qui n'était plus protégée que par ma culotte. Mes fesses ont commencé à palpiter et à brûler à mesure que chaque coup cuisant trouvait sa marque. J'ai commencé à sangloter mais il a ignoré mes supplications.

Puis la douleur a commencé à faire place à une simple sensation de chaleur... bienfaisante. Mes cris se sont mués en gémissements et j'ai réalisé que mon sexe commençait à s'humidifier.

Je n'en ai pas cru mes oreilles quand je l'ai entendu dire :

« Je pense que tu es prête pour la ceinture maintenant... »

Le ton de sa voix n'était pas vraiment menaçant et pendant une minute il ne fit rien, restant simplement immobile. Je me suis rendu compte qu'il me donnait l'occasion de lui demander d'arrêter. Mais je ne bougeai pas, restant moi aussi immobile et cambrée. Maintenant que nous étions tous les deux immobiles, j'étais plus consciente que jamais du spectacle que je lui offrais, troussée et les fesses recouvertes de ma seule culotte. Je me demandais si son sexe était dressé et s'il avait l'intention de me pénétrer...

Quand j'ai entendu le bruit de la ceinture qu'il enlevait, je me suis raidie et... préparée... Aujourd'hui encore je me demande pourquoi je ne l'ai pas arrêté. Le premier coup a cinglé mes deux fesses, tendant mes muscles. Le second arriva, plus fort, puis le troisième. Il alternait à présent chaque fesse. Entre les coups, mes muscles se tendaient puis se détendaient, faisant disparaître ma culotte dans ma raie. Je devais avoir l'air obscène et je pensais que si ç'avait été mon mari qui avait fait ça, j'aurais voulu qu'il me baise à cet instant. Les coups provoquaient toujours de la douleur, une sensation de picotement, mais c'était avant tout désormais la même chaleur que tout à l'heure qui gagnait mon bas-ventre et me faisait mouiller. J'avais envie qu'il me touche! N'importe où, les seins, le... le cul... S'il avait mis sa main dans ma culotte et entrepris de me doigter, je l'aurais laissé faire. Mes gémissements étaient à présent de plaisir Cela ne me dérangeait pas qu'il sache que je jouissais, au contraire je voulais qu'il le sache! La séance s'est terminée lorsqu'il m'a relevée et m'a dit :

« C'est assez pour une première fois. »

Il a souri et m'a caressé la joue, me faisant rougir.

"Elles sont aussi rouges que tes fesses", a-t-il plaisanté.

J'ai fait un effort pour reprendre une attitude normale, et j'y avais réussi quand son ami est arrivé. Je leur ai servi le café comme si de rien n'état. Quand ils ont été sur le point de partir, je me suis surprise à dire : « Merci ». Il a souri et a dit avec une lueur ironique dans les yeux :

« À votre service Madame...» --

Ce soir-là, mon mari s'étonna que je sois aussi chaude. Je lui dis qu'il ne fallait pas que notre mariage sombre dans la routine... Pendant qu'il me baisait, je n'arrêtais pas de penser à ce qui s'était passé ce jour-là et dans mon esprit enfiévré... ce n'était pas sa queue qui me labourait vigoureusement, mais celle du vieil homme. J'avais beau savoir que je faisais preuve de perversité, je n'arrivais pas à me défaire de la pensée de la façon dont la douleur s'était transformée en plaisir et je commençais à comprendre ce qui motivait les femmes des magazines. Je me rappelle m'être dit : « Peut-être que je vais juste me faire plaisir une fois de plus, puis me comporter correctement. » J'étais encore un peu choquée de ce que je venais de vivre.

Quand le jour est venu du retour des jardiniers, j'étais nerveuse comme il n'est pas permis et je crains bien d'avoir été désagréable avec mon mari avant qu'il parte au travail... Peut-être que le vieil homme aurait oublié maintenant et que je ne l'intéresserais plus. Je me suis retrouvée à m'habiller de façon aguicheuse avec un haut moulant et une jupe courte évasée. Quand j'en suis arrivée au choix d'une culotte, je me suis demandé quel serait l'effet produit avec ma jupe relevée s'il décidait de renouveler notre expérience. Est-ce que celle-ci serait trop transparente? Est-ce que celle-ci couvrirait mes fesses? Je me suis finalement décidé en pensant:« Je parie que celle-là le fera bander! »

Je savais que je m'habillais dans un unique but, et j'ai un moment débattu avec ma conscience. Si j'abandonnais? Cédant au sentiment que j'éprouvais toujours pour mon mari, je me suis dit : « Arrête tout ça! » Mais l'honnêteté me force à dire que je voulais recevoir à nouveau une fessée...

Je me suis sentie devenir de plus en plus nerveuse à mesure que la matinée avançait, puis juste après onze heures, ils sont frappé à la porte et se sont arrêtés sur le seuil. J'ai encore ressenti une certaine gêne en voyant cet homme mais son attitude amicale m'a détendue. J'ai cherché un signe m'indiquant qu'il avait l'intention de me donner une nouvelle fessée, mais j'ai seulement remarqué la façon dont il regardait ma tenue.

« Mieux vaut y aller, il y a beaucoup à faire », a-t-il dit. Je me suis demandé s'il avait perdu tout intérêt pour notre jeu et j'ai voulu en avoir le cœur net.

« J'espère que vous avez encore le temps de prendre un café et de discuter? » ai-je demandé. Il m'a simplement remerciée sans répondre directement à ma question. Je commençais à me sentir idiote, mais juste avant que j'aie eu le temps d'insister, il a commencé à pleuvoir.

« Eh bien, il ne pourra plus entrer seul maintenant. Pas de magazine et pas de fessée pour aujourd'hui! » me suis-je dit Je les ai fait entrer et nous avons fait comme d'habitude, discuté, et bu du café. Et regardé la pluie. Je l'ai surpris en train de jauger ma silhouette et j'aurais aimé avoir choisi quelque chose d'encore plus aguichant. C'était agréable d'attirer ainsi son attention.

"La pluie ne va pas s'arrêter, n'est-ce pas?" a-t-il alors dit.

Très déçue, j'ai pensé qu'il allait décider de partir puis il a posé un magazine sur la table. J'ai rougi quand j'ai vu sur la couverture la photo d'un énorme pénis dressé se pressant entre les fesses d'une femme.

"Quel est ton prénom?" m'a-t-il brusquement demandé. J'ai soudain réalisé à quel point nous en savions peu l'un sur l'autre malgré notre intimité récente.

"Sophie", ai-je répondu timidement en essayant d'éviter de porter mon regard sur le magazine.

"Eh bien, je m'appelle François et voici Jacques".

J'ai souri mais j'ai été prise de stupeur lorsqu'il a ajouté à l'intention de son ami :

" Sophie ici présente s'intéresse beaucoup à nos magazines. Elle aime les lire en attendant que je lui en apporte de nouveaux. »

J'ai cru mourir de honte. Il a alors tendu la main et tourné la page. S'y étalait la photo d'une femme cul nu et cambré, en train d'être fessée. Des marques rouges zébraient ses rondeurs.

"Sophie a reçu elle aussi une petite fessée la dernière fois que je suis venu. N'est-ce pas?" a-t-il poursuivi.

Je lui ai lancé un regard meurtrier mais il a ri.

"C'est bon, ne sois pas timide, Bill est de toute confiance. L'après-midi va être pluvieux, nous ne pouvons donc pas faire de jardinage. Veux-tu qu'on recommence?»

Je restai bouché bée et je gardai la tête baissée.

"Il n'y a que nous ici, ton mari ne rentre pas avant ce soir si cela t'a plu la dernière fois, nous pouvons nous amuser un peu."

Mon visage avait viré au cramoisi. Quand j'ai finalement réussi à ouvrir la bouche, j'ai dit nerveusement :

« Je... je ne ne suis pas sûre que ce soit une bonne idée avec... avec vous deux...

Ils ont ri avec un bel ensemble :

« Mais au contraire, ça rend les choses meilleures, d'être fessée devant témoin, a dit François. Tu as apprécié la dernière fois parce que j'ai vu à quel point tu étais mouillée. »

J'ai failli mourir de honte à ces mots, et j'ai couvert mon visage avec mes mains.

« Et tu ne peux pas nier que tu attendais plus aujourd'hui, hein? »

Je n'ai pas répondu et il a insisté :

« Tu t'es habillée pour ça, hein? »

J'ai timidement hoché la tête. Qu'allaient-ils penser de moi? J'ai trouvé le courage de les regarder. Ils souriaient.

"Quoi qu'il en soit, on ne te forcera à rien. Mais si.tu as envie de te pencher sur la table et de lever tes fesses pour recevoir une fessée, n'hésite pas : il n'y a pas de meilleure façon de passer un après-midi pluvieux."

Ses mots m'ont transpercée. Je l'ai laissé relever ma jupe et exposer mes fesses à son ami Jacques, et il a commencé à me fesser. J'étais légèrement excitée, mais encore plus gênée, et la magie n'opérait pas. Noua avons fini par laisser tomber le sujet et parler d'autre chose. L'idée, cependant, revenait sans cesse, obsédante. Les choses dépendaient de moi, comme François l'avait dit, ils ne me forçaient à rien. Etait-il vraiment important que Jacques soit là pour regarder? Voudrait-il se joindre à nous? J'ai tout à coup été parcourue d'un petit frisson et François a remarqué mon malaise.

« Eh bien, je suppose que nous ferions mieux de partir. A moins que...

Il a marqué une pause et il a attrapé le magazine:

« Je peux te laisser ça si tu veux. Il y a de la bonne lecture dedans. Mais dis-moi, as-tu déjà souhaité pouvoir te laisser monter par plusieurs hommes avant de te marier? »

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