Addiction à la Fessee

Sa question et une photo du magazine montrant deux hommes sexes dressés s'apprêtant à allonger une femme sur un lit m'ont pris par surprise et j'ai répondu spontanément :

"Oh oui!"

Le ton de ma voix et l'honnêteté de ma réponse nous ont fait rire tous les trois et alors qu'il me faisait un clin d'œil, François a dit:

"Pourquoi ne serais-tu pas aussi honnête à présent?"

Et il a ajouté :

"Allez, Sophie, penche-toi sur la table..."

On aurait pu entendre voler une mouche. Le cœur battant, j'hésitais. L'image de mon mari passait et repassait dans mon esprit. Finalement je me levai et entrepris de débarrasser les tasses de la table. Puis, écartant les chaises, je me plaçai contre le bord et m'accoudai, fesses tendues. Les hommes m'observaient et attendaient. Au bout d'un moment ils se placèrent derrière moi. Mes jambes tremblaient et une sensation de chaleur envahit ma chatte. Ils restaient tous deux silencieux et il me sembla qu'une éternité s'écoulait avant que l'un de nous trois ne bouge. Puis j'ai senti une main commencer à relever ma jupe et j'ai haleté sans protester. Cette fois il n'y aurait pas de préliminaires. Je me souvenais du choix de ma culotte et j'avais honte quand je pensais qu'elle était juste destinée au plaisir de François, pas au regard de deux hommes. Je venais d'avouer que de que je n'étais pas l'épouse innocente que je prétendais être. Ma jupe était relevée au-dessus de mes hanches et repliée sur le bas de mon dos.

"C'est gentil de ta part de t'être habillée pour nous", a dit François.

Ils pouvaient désormais voir en moi à livre ouvert, et pas seulement ma culotte. Une main me caressa les fesses puis, le premier coup arriva. Mon cul a tressauté et j'ai poussé un cri. Il y a eu une pause, puis il a reçu une autre claque, une autre, une autre encore. Elles arrivaient par intermittence ce qui faisait monter la tension. Quand je tendais les fesses en m'attendant à un coup, il ne venait pas, et quand je me détendais, il arrivait. La main qui me giflait de temps en temps restait en contact avec ma peau et me caressait les fesses. Alors que je commençais involontairement à les remuer, je me rendis compte que je l'aidais involontairement à me toucher dans des endroits plus intimes. Ma culotte se repliait à nouveau dans ma raie et je frissonnais lorsque la main touchait mes lèvres vaginales. Jusqu'où pouvaient-ils voir? Les claques devenaient plus dures, alternées sur chaque fesse. Quand j'entendis, comme la dernière fois, le bruit d'une ceinture qu'on enlève, mon cœur se mot à battre la chamade, et ma bouche à s'assécher. Je tremblais de la tête aux pieds. Le premier coup cuisant me fit crier et me tordre, puis ils se succédèrent, tantôt doux, tantôt durs. Mes fesses se tortillaient et se tortillaient, montaient et descendaient selon que mes muscles se tendaient et se détendaient indépendamment de ma volonté. J'avais l'impression que mon anus s'ouvrait plus que c'était possible.

(à suivre)