Bienheureuse Agnès, Infirmière 01

BÊTA PUBLIQUE

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- '' Continue Françou! Vas-y...! Tu vas lui faire cracher la mouille et elle prouvera alors à tous qu'elle est une vraie salope. Elle aime la bite, tu peux me croire!... Je te parie gros que je ne suis pas trompée! Vous entendez vous autres, la mijaurée commence à trouver ça son goût!... "

Agnès résista encore et se contrôla fortement pour ne pas gémir sous la caresse de la langue du vieux... L'image de cette bite l'obsédait et les coups de langue pointue du Françou, justement lui, lui passaient partout et faisaient tressaillir tout son corps. Il lui léchait avec un grand savoir-faire, la fente poisseuse qui devait puer la vinasse et sans doute aussi un peu la pisse, car il lui revenait qu'elle n'avait fait avant de partir que des ablutions rapides! Elle était partagée entre le plaisir charnel qu'elle éprouvait au léchage de l'homme et le fait que son haleine infecte polluait son sexe.

De se sentir souillée ainsi, l'humiliait autant que les yeux de la Bernadette qu'elle voyait observer les moindres frémissements de sa vulve... Avec délicatesse, le Françou tournait le bout de sa langue sur le trou de cul d'Agnès, il y dardait légèrement la pointe avec délectation. Déjà, en situation normale, cette caresse la rendait folle. Puis remontant vers le con, il lui lustrait d'un mouvement tournant de sa langue, l'entrée du trou à bites. Puis aspirait doucement les petites lèvres sensibles et fines d'Agnès, ce qui la faisait à chaque fois défaillir. Il léchait à larges coups de langue les sillons à l'intérieur des grandes lèvres, passant et repassant en même temps son nez sur le clito qui frémissait, enfin il terminait son ascension par quelques coups de langue précis et appuyés sur le clitoris, qu'il entourait ensuite longuement de sa langue, en tournant et en le détaillant de la pointe de celle-ci...

Agnès avait de plus en plus envie de se branler pour activer la caresse et la rendre plus sensible en même temps que les fringants coups de langue redressaient son clitoris... Ses poignets attachés l'en empêchaient, mais quelqu'un qui aurait bien observé ses mains aurait pu voir les mouvements imperceptibles de son index et de son majeur opérer une masturbation virtuelle... Chaque fois que la langue lui entrait dans le con, Agnès avait l'impression qu'elle allait défaillir, mais ce qui la retenait de décharger et de se laisser aller, c'était la peur que l'homme sente sa cyprine chaude lui couler dans la bouche. De toute façon malgré elle, elle en lâchait à chaque instant, plus ou moins abondamment... Le Françou se releva, sa face clownesque était toute mouillée et luisante. Agnès eût peur qu'il se soit déjà aperçu de ses petits lâchers successifs qu'elle ne pouvait maîtriser... Il lança :

- " La salope, c'est du pinard qu'elle jute! On dirait qu'elle pisse du vin! Ah, putain quelle fente! Eh toi, l'Armand, viens-y lécher la conasse!... Tu vas voir si c'est pas vrai qu'elle a goût de pinard et du bon, sais-tu! "

Armand prit la place du Françou entre les jambes écartées d'Agnès. Il se tenait maintenant au bout de la table, les jambes écartées entre lesquelles la Bernadette repris sa place, pour lui sucer les couilles, lui langotter le trou du cul et lui branler haut et fort sa bite nerveuse... Le Françou était passé sur le côté de la table, à la droite d'Agnès et d'une main lui écartait à son tour les lèvres de la fente, pour qu'Armand puisse la lécher plus aisément. Debout à côté d'elle, il lui donnait à voir son braquemart énorme, dressé et maintenant très bandé, car bien branlé par la Bernadette. Un engin noueux, difforme, au gland qui a lui seul aurait fait le bonheur de plus d'une (et de plus d'un, "les petits de la bite"!) Agnès était subjuguée. Elle n'avait jamais vu de bite aussi grosse si près de ses yeux... Enfin aussi grosse, si une fois ou deux, pas plus, mais surtout pas aussi difforme!... Ce qui était extraordinaire et qui la fascinait, c'était la monstruosité du membre, par ses dimensions certes, mais surtout les formes qu'il offrait : dantesques, surréalistes, du jamais vu... Une Bite-Quasimodo, tout à fait cela! Et ça c'était fascinant... Elle ne pouvait en détacher ses yeux : 25 cm sûrs, dressés, tendus, de la pointe du gland à la base des couilles ; et peut-être plus. Et en diamètre au moins 8 cm à la base et encore plus de 5 ou 6 au bout du gland... Du fait de la position du Françou, elle avait le membre juste dans sa perspective, à une vingtaine de centimètres de ses yeux, juste au-dessus de son sein droit. Si le pauvre ''nabot'' avait su l'effet qu'il produisait sur la jolie bourgeoise, il ne serait plus senti de fierté!

Et surtout, ce qui excitait par dessus tout Agnès, c'est que cette bite était, déformée, comme rompue par des coups qui l'auraient, cassée, cintrée, déviée... Coudée vers la droite au tiers à partir de la racine, puis coudée ensuite vers la gauche à partir de la base du gland, lui-même comme cabossé, décalé, excentrique, avec une partie, la droite, hypertrophiée, qui devait bouter l'intérieur des vagins qui l'engloutissaient, avec un réel bonheur... Agnès malgré elle et en dépit de la pression qui la laissait peu libre de ses fantasmes, se prit à imaginer ce braquemart lui entrant dans le con, se frayant un passage difficile au départ, puis accueilli comme elle savait pouvoir le faire et enfin se l'entrer toute entière, lui faire fouiller le fond de sa matrice, déformant les parois internes de son vagin dilaté et la faisant jouir sans répit... Elle se vit le saisissant à pleines mains pour se l'introduire dans le cul et hurler d'être ainsi pénétrée, la protubérance du gland la labourant tout le long du rectum... Oh oui, elle avait envie d'offrir son cul à un tel engin en hommage à toutes les bites qu'elle avait connues et adorées pour leur grosseur, leur forme et les orgasmes qu'elle en avait eu... Oui, oui, elle avait très envie de l'avoir dans le con, dans son cul ; elle aurait aimé qu'elles fussent deux ainsi, monstrueuses et énormes, à la prendre en même temps dans les deux trous... Pour voir et sentir cette sur-dimension... Oui, oh, oui, elle avait envie d'être humiliée et soumise à une bite aussi gigantesque, aussi laide, aussi mal foutue, mais si fascinante... Elle n'en pouvait plus de la voir ainsi dressée par côté d'elle... Elle souhaita pour elle-même que le Françou vit son trouble et lui fourre le bout de son dard dans la bouche... Au moins ce ne serait pas elle qui l'aurait fait, l'honneur serait sauf, et ainsi elle aurait ce dont elle rêvait... Elle passait sa langue sur ses lèvres de sa bouche entr'ouverte...

Mais la psychologie féminine n'était pas la tasse de thé du Françou... Elle décida de tout faire pour toucher l'engin et l'avoir sur elle... Elle essaya de soulever son buste pour remonter son sein qui devait pouvoir toucher l'organe démesuré, sans y parvenir ; puis elle essaya vainement de dégager une main pour s'en saisir... Ses doigts fins et pourtant longs ne devaient pas pouvoir en faire le tour pensa-t-elle, tant elle était grosse... Elle avait de plus en plus de mal à maîtriser son trouble... Surtout qu'en plus de voir devant ses yeux un tel engin, elle se faisait sucer le con, ce qui, on s'en doute, ne la laissait pas indifférente Pourtant elle résistait encore... Elle savait aussi que la contrepartie de ses fantasmes, c'était ce que ses trous allaient bientôt dire d'eux-mêmes à toute l'assemblée... Elle ferma les yeux un instant, comme pour retrouver un peu de calme...

Lorsqu'elle les rouvrit quelques secondes plus tard, autour d'elle les choses avaient changées : Brigitte, qui ne l'avait pas quitté des yeux depuis qu'elle avait été attachée sur la table et, sentant sans doute son trouble monter, était venue se placer à la gauche d'Agnès. Elle avait mis son pied gauche sur la table, juste à côté de la hanche gauche d'Agnès. Le pied droit restant à terre, elle offrait ainsi à la vue d'Agnès son entrejambes très écarté, avec une jolie toison assez fournie, rousse et fauve, faite de poils très fins et soyeux, qui se limitait au pubis, le reste était rasé, à partir de la naissance de la fente... Ainsi, la petite paysanne se rasait la chatte? Tiens-donc! Voilà qui est plutôt bizarre pour une femme même jeune, de la campagne! Elle avait une jolie fente rose et allongée, avec de grandes lèvres peu marquées, mais avec des petites lèvres, fines, longues et bien découpées, assez pendantes même. Agnès voyait entre les jolies fesses bien dessinées et aux courbes quasi parfaites de Brigitte, le menton et la langue de Johann. Le jeune blond l'avait suivi et se tenait derrière elle, à ses fesses ; il lui léchait avec douceur le trou du cul, envoyant de temps à autre sa langue par devant jusqu'au trou du con de la rousse. De la main droite Brigitte branlait juste à côté du sein gauche d'Agnès, la jolie verge de taille moyenne mais aux formes parfaites d'Adrien, le jeune étudiant brun. Celui-là même dont Agnès croyait qu'il était le ''Maître en bites'' de la soirée. En contrepartie du branlage, Adrien donnait à Brigitte sa langue à sucer et lui baisait la bouche avec fougue... La perverse et jolie garce mouillait. Agnès le voyait à la légère mousse qui ourlait les lèvres de son joli con... Agnès fut saisie du désir d'être ainsi langottée elle aussi dans la bouche....

Tournant la tête, elle vit à sa droite la bite dantesque du Françou, dressée comme jamais juste à côté d'elle, cette fois branlée par Elise qui suçait tout à l'heure le jeune Hubert de droite... La petite brune aussi semblait fascinée par le membre qu'elle astiquait... Elle y mettait les deux mains, et pour le branler correctement de haut en bas, le mouvement du poignet n'aurait pas suffit, il fallait y mettre tout le jeu des avant-bras... Elise y mettait du cœur, les deux mains enserrant le même niveau la bite énorme dont une main seule ne pouvait pu faire le tour, loin s'en faut... Elle se tenait à genoux sur la table au niveau de la tête d'Agnès, sur le côté gauche du Françou, qui debout le long de la table, continuait d'écarter de sa main droite la fente d'Agnès pour faciliter le léchage du rouquin... De temps en temps, la petite branleuse se penchait au-dessus de la poitrine d'Agnès pour venir sucer la pointe du vit énorme du Françou. Ses cheveux bruns lui effleuraient alors la pointe du téton de la belle infirmière et cette caresse involontaire de jeune fille la faisait chavirer. Agnès voyait bien la bouche de la fille qui se posait en ventouse sur le sommet du gland difforme. Même le gland seul, Elise avait du mal à le mettre entièrement dans sa bouche, ne pouvant en faire le tour de ses lèvres. Elle aspirait et suçait pourtant avec force. Souvent aussi elle faisait clapoter avec rapidité le bout sa langue pointue et rose sur le trou en papille du vit monstrueux, le titillant et le lubrifiant de salive. Il semblait à Agnès que sous l'effet de ses sussions, léchages et branlages, le membre avait encore grossi. Il faut dire que les mouvements amples des mains de la jeune femme sur ce pieu dressé, le décalottait à chaque fois et faisait saillir hors du prépuce, un gland énorme tel un nain hideux sortant d'une boîte à malices... En tout cas, le membre occupait tout l'espace et toutes les pensées de la belle Agnès...

Le con mis en feu par son lécheur, Agnès ne pouvait plus contenir ses spasmes qui se faisaient de plus en plus vifs et rapprochés... Elle sentait que son ventre commençait à palpiter sous l'effet de ses sens chavirés par cette bite sans pareil, et aussi par les caresses faites à son entrejambe par la langue d'Armand... La petite Elise à côté d'elle devait mouiller car le Françou de sa main gauche resté libre, lui passait par derrière les fesses, ses gros doigts dans la fente ; elle accompagnait la caresse d'un mouvement tournant de ses hanches...

Au-delà du Françou et de la jeune brune, complètement à sa droite, Hélène, la grande blonde toujours les fesses ouvertes sur son tonneau et les jambes relevées, se faisait baiser par la bite très raide d'Hubert, le troisième garçon... De la base de son petit con de blonde, juste en dessous du dard qui l'enfilait, la mouille bulleuse et onctueuse sortait et humectait par-dessous son petit œillet brun qui ne devait jamais avoir été dépucelé. Sans qu'elle sache pourquoi, cette vision excita fortement Agnès qui souhaita avec émotion, voir une langue lécher cette mouille et se darder dans le petit cul étroit... Hélène ainsi baisée à fond par la jeune bite bien raide, geignait doucement et devait en éprouver beaucoup de plaisir...

A la gauche d'Agnès, de l'autre côté de la table, derrière sa femme, le Jacquot qui ne voulait rien perdre de ce qui se faisait sur et autour d'Agnès, s'était rapproché à côté de la Bernadette qui suçait toujours le rouquin. Il s'était à demi assis sur le bord de la table, entre ses cuisses, la tête enfouie dans ses jambes, la portugaise lui caressait les couilles et le branlait mollement, indifférente à tout ce qui l'entourait... Son homme avait glissé par terre et bien qu'Agnès ne pu le voir, elle devinait qu'il était couché sur le dos, la tête entre les fesses de la Bernadette à qui il léchait la fente et le cul... A quelques signes, Agnès pouvait voir que pour la Brigitte, le plaisir montait... Au-dessus d'elle, Elise branlait et suçait toujours le vit dément du Françou... Les sens allumés d'Agnès, chaviraient davantage de seconde en seconde... Sans le vouloir, mais au fond d'elle même, elle aurait souhaité être à la place de la fille et sa tête s'échauffait maintenant de toutes ces choses qui l'entouraient.

Pendant qu'elle branlait le Françou avec force, Elise remarqua le trouble d'Agnès dont la bouche entr'ouverte et la respiration plus courte donnaient des signes d'excitation. La petite brune, tout en continuant d'astiquer à deux mains la bite du Françou, se pencha sur la bouche d'Agnès et la langotta... Agnès chavira, la tête lui tournait... Déjà Elise lui abaissait l'engin du Françou sur la pointe de son sein droit et continuait de le branler, le gland frottant la pointe du sein. Agnès haletait, hallucinée par la vision de cette pine énorme, dessous laquelle son sein entier disparaissait, elle regardait le monstre, aller et venir sur son téton, la papille du nœud dilatée et ouverte. Où perlait une goutte de liquide transparent ... Il la lui fallait maintenant dans le con, dans le cul!... Pourtant elle se contint encore... Mais c'était sans compter avec la fourbe Brigitte. Celle-ci venait de remarquer l'effet produit sur Agnès, de voir ainsi la bite branlée sur son sein. Comme elle-même devait se sentir très échauffée, elle fit signe à Elise :

- '' Dans la bouche, Elise, branle-lui la bite dans la bouche, à cette salope! Ne vois-tu pas qu'elle ne demande que ça?!". Disant cela, elle-même déplaça un peu le jeune Adrien qu'elle branlait, vers le sein gauche d'Agnès et lui mit le bout de la bite sur la pointe du sein, continuant de l'astiquer dans cette position. Même si ce jeune membre était sans commune mesure avec l'engin du Françou, en calibre (trois fois moins exactement!) et même en frottement, la caresse contribua à faire monter Agnès d'un cran...

Elise avait tiré le Françou davantage vers Agnès et lui amenait la bite sur la bouche... Les couilles, énormes elles aussi, grosses chacune comme le poing d'Agnès, traînaient littéralement sur la table et frottaient doucement la pointe de l'épaule de l'infirmière. Celle-ci d'abord, refusa d'ouvrir la bouche, résistant là encore. Dans sa tête, elle se disait par contre que ce qu'elle avait espéré depuis le moment où elle avait vu l'engin se réalisait enfin : elle l'avait à disposition pour le sucer et peut-être s'en faire baiser. Cela suffisait : pouvoir mettre dans son mental que la réalisation du désir, permettait de surseoir au réel passage à l'acte. Elle n'ouvrait donc pas la bouche, mais sa cérébralité la mettait de la même façon au bord de la jouissance...

A ce niveau, l'effet produit était relativement équivalent, surtout que le braquemart tant convoitée était là, offert, accessible... La petite Elise lui frotta les lèvres avec. Agnès n'avait jamais vu un membre aussi gros en réalité. Quand Elise lui passait sur la bouche, le gland mis en travers, lui touchait à la fois le bout du nez et la pointe du menton... Agnès sentait que l'homme avait une odeur forte, pas franchement une odeur d'urine, mais une odeur de vieux mâle, qui l'incommodait un peu... Elise essaya encore de lui enfoncer le pieu dans la bouche... En vain.

Le Françou prit alors la direction des opérations : d'une main il saisit son énorme verge et se mit à taper son gland sur les lèvres serrées de la jolie bourgeoise... Agnès ne desserrait pas les lèvres... Il tapait encore en incrustant le gland dans le sillon labial... Rien à faire... Pourtant, à un moment, malgré elle, elle laissa filtrer un espace minime. Ce fut sa défaillance... Elle eut beau se débattre tourner la tête, refermer la bouche et serrer les lèvres, le gland était allé au contact de sa langue, la hampe avait touché ses dents : elle ne pouvait plus désormais qu'enfourner le braquemart comme une salope quelle était. C'en était finie de sa belle résistance, elle ne pouvait plus tenir, le ventre en feu, la tête et les sens échauffés comme jamais... Tant pis, elle allait être une salope, sans doute LA salope de la soirée, mais c'était maintenant au-dessus de ses forces, il fallait qu'elle essaie cette bite monstrueuse...

Brusquement, alors qu'elle ne s'y attendait plus elle-même, elle ouvrit grand la bouche et aspira le gland, enserrant les bords de ses lèvres minces. La protubérance qui déformait le gland lui déforma sa joue gauche... Elle se mit à pomper. Elise tout à côté n'en revenait pas :

- '' Aouha! Dis-donc, ma cochonne, t'as vu comment elle a enfourné ça??!! Aouhaaa!! Alors elle, elle sait pomper une bite! Et avec ce calibre! Mais comment fait-elle?? " Agnès toute à sa succion n'entendait plus, concentrée sur le montre qu'elle avait enfin en bouche... Elle était secrètement fière d'être admirée pour son coup de langue, mais n'en laissant rien paraître... Elle sentait les spasmes monter en elle...

-'' J'le savais!..., dit la Bernadette, qui attendait depuis le début cet instant fatal, ce virage où une vraie salope ne peut être autre chose qu'une salope véritable, on m'avait dit que la garce ne demandait que ça, même si elle veut donner l'impression de refuser! Putain, mais elle va m'avaler mon Françou!? Il en a pourtant un morceau. Tu n'peux pas dire la bourgeoise que t'en vois souvent des qui sont montés comme ça? Hein?...! Y a des jours j'peux même pas mettre tout le bout de sa bite dans ma bouche! C'est vous dire!!... Eh, mon Françou fait attention que la petite salope de bourgeoise t'en enlève pas un morceau!''. La plaisanterie primaire et vulgaire de la Bernadette, déclencha les rires des uns et des autres.

- '' Où c'est-y que tu as appris à sucer comme ça salope!, dit doucement et perfidement la Brigitte. Tu ne vas pas m'dire que tu en es à ton coup d'essai, hein! J'dirais même que tu dois avoir une certaine habitude pour les aspirer comme ça, sans les mains!... C'est-y dans ton boulot d'infirmière que tu t'entraînes à faire la putain?! Y qu'a regarder ta bouche pour comprendre!... Salope!"

L'injure n'atteignait même plus Agnès qui toute à son pompage, se laissait aller au plaisir infini de découvrir une nouvelle et une très grosse bite, très atypique. De la prendre en bouche, de l'essayer, quoi! Oui, c'était ça, l'attrait du nouveau, mais dans le sens de ce qu'elle recherche : les gros calibres à explorer! La découverte de ces engins étant de beaucoup le moteur essentiel de la jolie Agnès pour se laisser mêler à ce genre de soirées... Elle léchait la bite jusqu'au milieu de la hampe, jusqu'où le peu de mouvements qu'elle pouvait faire lui en laissait la possibilité. Le Françou, lui, appuyait de sa main sur le membre et le faisait pénétrer le plus loin possible jusque dans la gorge d'Agnès ; puis il le ressortait presque, allant jusqu'à sortir le gland des lèvres... Là, Agnès titillait de l'extrême bout de sa langue experte la papille au bout, elle-même démesurée... Elise caressait fortement les couilles du Françou de ses deux mains. Elle regardait Agnès enfourner, sucer et pomper, puis lécher la tige, subjuguée par tant de ferveur et de savoir-faire, découvrant sans doute, compte tenu de son jeune âge ce que pouvait être ''l'art de la pipe''.

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