Bienheureuse Agnès, Infirmière 01

BÊTA PUBLIQUE

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Agnès, les yeux fermés, voyait dans sa tête l'image du gland énorme et boursoufflé qui lui occupait tout l'espace de la bouche... Elle se voyait en train de pomper la bite et de l'aspirer comme une damnée. L'effet de succion creusait ses joues. Elle aspirait, tantôt plaquant sa langue sur la papille ovale du trou à pisser, tantôt libérant brutalement celui-ci de son aspiration... A ce petit jeu, peu d'hommes lui résistent longtemps...

- '' Ah la garce, je peux vous dire les amis qu'elle sait faire une pipe, lança le Françou excité et le souffle court. Elle a vraiment une technique de pipeuse, la garce! Aaahhhh, salope!... J'ai jamais été sucé comme ça!! Même par toi la Bernadette!! '' Rires. La Bernadette répliqua avec un soupçon de rancœur :

- '' Oui, mais moi je n'ai pas fait que ça toute ma vie! Et puis j'ai pas connu autant de queues que la bourgeoise, moi!"

- ''C'est vrai qu'elle a une gueule de pipeuse!! C'est impressionnant de la voir de près pomper comme ça!" dit Elise.

- '' Tu l'as dit, petite!..., renchérit le Françou. Elle n'en a pas seulement la gueule, elle en a aussi la manière tu peux me croire!! Prends-en bien de la graine, ma petite! J'en ai connu qui après 15 ans de bordels à nègres n'avait pas sa technique pour pomper les nœuds!! Ah, elle sait faire la garce! Croyez-moi!!"

Sa réputation était faite! Mais au fond d'elle même Agnès prenait une revanche par rapport à la scène de tout à l'heure concernant ses seins. Là, elle faisait des envieuses parmi les femmes et suscitait l'admiration des hommes. Elle en retira une certaine fierté et redoubla d'ardeur... Le vit démesuré du Françou allait et venait dans sa bouche... Elle faisait glisser sa langue le long du frein du prépuce, puis, de la pointe de sa langue, tournant le long du sillon de la base, elle décolletait le gland. Grisée, dans un état second, comme suspendue, elle sentait le plaisir venir en elle comme une marée montante...

La jeune bite que la Brigitte branlait à la pointe de son sein gauche se durcissait de plus en plus... Le mouvement de la main de la branleuse rousse se faisait plus saccadé... Le Jacquot avait passé sa main sous la jambe gauche relevée de sa femme et lui branlait la moule de sa main gauche, juste au-dessus de la langue du blondinet... Elise, une main sur le sein droit d'Agnès, l'autre palpant les couilles du Françou, léchait par-dessus, la hampe de la bite qu'il faisait aller et venir dans la bouche d'Agnès. Celle-ci sentait la vague monter en elle, la pointe de ses seins se durcir. Elle sentait son clito frémir et se raidir aussi sous les coups de langue du rouquin. Une vague de chaleur lui envahit le ventre...

Puis tout se précipita. La bite d'Adrien sur son sein droit se mit à décharger sur toute sa poitrine... Elise léchait le foutre chaud sur les seins d'Agnès... Brigitte, avec de petits cris, jouissait dans la bouche de son lécheur blond... Agnès sentait le gland du Françou frémir sous ses coups de langue. Il lui explosa dans la bouche en longues giclées chaudes et abondantes qu'elle avalait, tant il restait peu de place dans sa bouche... Le Françou jouissait avec de gros râles d'homme. A la troisième giclée, il avait retiré sa bite énorme de la bouche d'Agnès et finissait de décharger en lui giclant sur le visage de longs jets laiteux, onctueux, abondants et chauds ... Elle en avait partout sur les joues, la bouche, le visage, le cou, les seins... A croire que le vieux n'avait pas craché de foutre depuis des mois... Et il continuait, arrosant alentours. Deux jets avaient traversés la largeur de la table et été allés jusqu'à la Brigitte... Elise léchait le foutre épais et plutôt jaunâtre du Françou jusque sur les lèvres d'Agnès... Celle-ci n'en pouvait plus, le gland du Françou, continuait de frotter le bord de ses lèvres. Elle sentit la vague lui déferler dans le ventre et rouler jusqu'à sa fente... Elle eût deux violents soubresauts son corps se tendit et se cambra, soulevé sur ses attaches... Elle déchargea abondamment et violemment sur le visage de son lécheur... Elle poussait des cris rauques et brefs, qu'elle essayait de contenir... Le rouquin abasourdi, le visage inondé se releva en jurant...

- '' Eh!... Mais regardez-moi cette salope, regardez un peu! Elle jouit en me mouillant toute la gueule ...! Ah, la putain!...". Agnès continuait à jouir, comme dans la délivrance d'une chose qui lui faisait mal car trop longtemps contenue... Sa cyprine coulait en nappes régulières de son con béant... Elle savait que ses trous s'étaient détendus sous l'effet de sa jouissance... Depuis longtemps déjà, la moule s'était ouverte, mais le rouquin sans doute peu expérimenté, ne l'avait pas remarqué... Du moins pas encore, car en se reculant il ne fut pas sans voir la taille du con d'où s'échappait le miel chaud et abondant d'Agnès...

.- ''Ah, ben dis-don', tu parles d'un trou, toi!... Eh!... Voyez ça, sa fente est devenue large et béante à y mettre le poing! Oh la salope, on dirait qu'on l'a baisée pendant deux heures!... Ca alors!!"

Bernadette s'était vivement approchée et examinait l'entrejambes chaud et mouillé d'Agnès. Sucé pendant une demie heure, le clitoris était dressé et sorti du capuchon sous l'effet de la jouissance, mais en dessous il y avait un trou immense et la rosette très relâchée elle aussi, était distendue comme si on venait de la mettre... La Bernadette en '' vieille habituée '' ne s'y trompa pas :

- ''Ah, ben vrai, alors... Quel trou! J'ai encore jamais vu ça!... T'as pas dû chômer de la moule, toi!... Tu te fais régulièrement saillir par des baudets, ma parole! J'ai jamais vu un trou comme ça!! Eh, t'es pas seulement une pipeuse de première, t'es aussi une sacrée enfileuse de perles, hein! A trente ans et des poussières avoir un con aussi alésé et taraudé qu'une vieille pute de soixante dix, ben ça alors, hein, pas vrai!... T'as dû faire tes classes dans un bordel à nègres, c'est pas Dieu possible!...". Comme si cela ne suffisait pas la Bernadette écartait sans ménagement les bords du trou à bites d'Agnès, tirant sur les lèvres très retroussées par la jouissance et continua :

- '' Je suis sûre de ne pas me tromper en disant qu'une fente comme la tienne doit engloutir sans problème dans le même trou deux belles bites des meilleurs calibres...! Hein?! C'est égal, mais mon Françou devrait quand même t'en boucher un coin!... Et le trou de derrière me parait aussi avoir pas mal servi... Et pas avec des porteplumes, si j'en crois la taille de la rosette ''. Elle écarta alors les fesses et tira sur le trou du cul, qui relâché lui aussi, s'ouvrit très facilement...

- '' Eh oui, celui-là aussi, reprit-elle, Tu vas voir ma jolie, tu vas voir que nous aussi, on sait s'occuper des petites bourgeoises avec des trous très accueillants... Et tu verras que chez nous aussi, on sait recevoir ma jolie...! Attends voir!... ''

Agnès avait compris qu'il y avait là plus que des menaces...

La Brigitte s'essuyant l'entrejambes avec son petit slip, reprit les choses en mains :

- '' Il ne sert à rien de dire, fit-elle en s'adressant à La Bernadette, il faut lui montrer comment on traite les jolies bourgeoises de la ville! Allez, détachez-la!

- '' Oui mais avant, il faudrait qu'on boive encore un coup dit le patron! Ca donne soif ces choses-là! Et y a beau temps qu'on n'en a pas descendu une...! Pas vrai, l'Armand?!

- '' Pour sûr patron, ça fait ben longtemps!...'', dit le grand dadais, debout au bout de la table avec sa bite ridiculement dressée devant lui. Il fit signe au blondinet et Hubert et lui partirent au fond de la cave chercher des bouteilles.

Le Françou et le jeune Adrien avaient détaché Agnès. Les poignets et les chevilles lui faisaient mal. Elle n'osait descendre de la table, ne sachant plus où prendre ses affaires, ni trouver un abri quelconque. Elle se retrouvait assise sur une table, nue, les fesses dans la vinasse et les restes de foutre, les seins pendants, offrant sa nudité aux regards de ces gens plus ou moins ivres et qui la méprisaient, l'humiliaient par leurs sarcasmes, se moquaient de son corps et de sa sexualité, c'était au-dessus de ses forces... Elle avait une telle honte d'elle-même qu'elle aurait voulu ne plus exister... Etre à dix mètres sous terre... Se soustraire à cette situation tellement surréaliste! Elle aurait voulu s'enfuir, courir, se réfugier chez la Toinette et se mettre sous sa protection... Mais il lui semblait que ces jambes ne la porteraient pas jusqu'à la maison... Et puis les autres la laisseraient-elle s'échapper? Elle en doutait... Et puis la Toinette pourquoi, elle aussi, ne revenait-elle pas la chercher pour soigner le vieux... Cela faisait déjà plus d'une heure... Elle n'allait plus tarder c'est sûr... Surtout que dans moins d'une heure, il faudrait de nouveaux soins au vieux... Et si l'attaque du vieux, c'était de la frime? Une mise en scène destinée à l'attirer dans un guet-apens? Non, il y avait la prescription du médecin... Mais quand même tout cela semblait bizarre...

Et puis cette grande Bernadette, d'où savait-elle ce qu'elle racontait de sa vie et de ses aventures? Ce n'était pas clair, mais n'empêche, elle paraissait bien informée...

Déjà Armand et Hubert, le blondinet, revenaient avec quatre ou cinq bouteilles. Ils avaient pris au passage chacun sous un bras, la portugaise complètement ivre, qu'ils traînèrent jusqu'à la table pour l'associer aux libations du groupe. Tandis qu'Hubert tenait la portugaise pour ne pas qu'elle roule à terre, Armand déboucha les bouteilles et les posa sur la table entre les jambes d'Agnès. Celle-ci, assise depuis qu'elle était détachée, n'avait pas bougée, perdue dans ses pensées... On remplit rapidement les verres que la Bernadette et Elise avait disposés sur le bout de la table. Agnès n'osait refermer les jambes de craintes de renverser verres et bouteilles. Elle resta donc les jambes écartées, laissant voir sa moule à travers sa toison assez peu fournie. Elle se dit que les poils masquaient un peu sa fente qui ne serait ainsi pas trop visible aux gens qui faisaient cercle autour de la table.

Sur sa gauche, Agnès remarqua que la Brigitte s'était discrètement éclipsée entre deux rangées de tonneaux. Là, penchée en avant, écartant bien les jambes, les fesses presqu'à toucher la paroi, elle pissait debout ou presque. Agnès l'entendait uriner. Seul Adrien, semblait avoir remarqué le manège de Brigitte et se tenait debout à l'entrée de la petite allée entre les tonneaux. Il observait la rousse en train de pisser en branlant sa queue dressée. Tout en urinant, Brigitte lui adressa un sourire. Le garçon se sentant encouragé, s'avança entre les tonneaux. Brigitte fit alors un demi-tour sur elle-même lui présentant ses fesses écartées qui finissaient d'uriner. Adrien s'accroupit derrière elle et enfouissant sous visage entre les fesses de la rousse, lui lécha avidement la fente encore toute ruisselante d'urine chaude.

Pendant ce temps les hommes faisaient boire les femmes. Au deuxième verre, la petite portugaise échappa à la vigilance et au soutien d'Hubert et roula par terre, sous la table, la jupe remontée jusqu'à la taille, les fesses et le con à l'air. Elle devait être proche du coma éthylique, car elle y resta là, incapable de se relever et personne ne s'en occupa plus.

La Bernadette remplissait de nouveau les verres. Les hommes, les femmes, tous burent au moins deux verres chacun. Elise, la jeune brunette était maintenant pratiquement ivre et avait du mal à rester assise sur le banc à la droite d'Agnès. Quant à la blonde Hélène, elle était complètement saoule et c'était le Françou qui la faisait boire au verre comme on l'aurait fait avec un enfant... Revenue dans l'assemblée, la Brigitte but aussi, largement autant que les autres, mais on aurait dit que le vin était sans effet sur elle : elle avait toujours cette prestance provocante et son regard aiguisé, dur et hautain. La Bernadette but elle aussi et sans doute plus que la plupart, cependant elle portait très bien l'alcool, car rien dans son comportement et son physique ne laissait paraître le moindre signe d'ébriété. Le Jacquot, ivre depuis déjà un bon moment, était plus rouge que jamais, mais les quelques verres de plus ne semblaient pas l'atteindre davantage ; l'entraînement sans doute... Le Françou aussi avait son compte, mais sans plus. Il faisait surtout boire la grande Hélène. Il lui parlait beaucoup alors que la fille, ivre depuis longtemps, ne semblait saisir le moindre mot du discours du vieil édenté... Et puis Armand, le rouquin buvait lui aussi beaucoup ce qui le faisait transpirer abondamment.

Armand et le Jacquot, chacun un verre plein à la main, entreprirent de faire boire Agnès. Celle-ci serrait les lèvres et résistait. Le vin coulait de chaque côté de sa bouche résolument fermée et dégoulinait le long de son cou, sur ses seins, son ventre et finissait par faire une flaque sur la table entre ses jambes qui lui mouillait progressivement les fesses et l'entrejambes. Le Jacquot avait posé son verre et de ses deux mains, il tentait de lui desserrer les dents. Il y parvenait en partie et invectivait Armand pour qu'il lui verse le vin par la petite ouverture entre les lèvres :

- '' Armand, Bon Dieu! Vas-y, mets-lui dans le bec! ... Vas-y... N'est pas peur... S'il en tombe, c'est pas grave... Y en a d'autre!''. Le grand rouquin versait du mieux qu'il pouvait. Agnès fut bientôt vaincue et finit par ouvrir la bouche. Elle se disait que si elle était bien saoule, elle ne subirait plus l'humiliation de la même façon... Elle aurait alors l'excuse de l'ivresse pour subir et accepter, puisqu'il n'y avait, pour l'instant, pas d'autres moyens de faire autrement... Elle se laissa donc faire. On lui fit boire deux verres coup sur coup et comme l'Armand s'approchait pour lui faire boire le reste directement à la dernière bouteille:

- '' Suffit!!, tonna la Brigitte qui décidément avait gardé toute sa tête. Comment voulez-vous que nous en profitions encore, si elle est ivre morte? Si vous la saoulait complètement ce sera une loque, une épave comme la Maria, là, dessous et qu'est-ce vous en tirerez, hein? Rien, rien du tout! Et surtout, elle ne se rendra plus compte de rien! Alors?! '' Elle avait nettement haussé le ton sur la fin de sa tirade. Il y eu un silence. Même le Françou s'arrêta de parler. Après avoir mesuré son effet, la Brigitte reprit :

- '' Allez, allez, occupez-vous d'elle sans plus tarder et que d'autres en profitent, un peu, bon sang! '' La Brigitte devait être un peu jalouse de la condition de femme de la ville d'Agnès et même si elle ne lui enviait pas son physique, elle lui enviait à coups sûrs sa liberté et son statut social... C'était comme une sorte de revanche qu'elle prenait là sur sa propre vie.

- '' Oui, oui... Tu as raison ma chérie!, enchaîna le Jacquot. On va s'en occuper tu vas voir! Que ceux qui n'en n'ont pas encore profité puissent en prendre un peu! Et j'en suis!!''

- '' Oui, oui, renchérit Armand, qu'on en profite quoi... Je l'ai sucé à fond, j'voudrais bien la mettre un peu au bout de ma queue! '' Disant cela, il s'astiquait doucement la tige pour ne pas débander.

Profitant de ce moment d'incertitude, et choisissant que tout le monde se fut arrêté, Agnès sauta de la table. Hélas pour elle du mauvais côté, car elle se trouva face au Jacquot, qui l'enserra dans ses bras forts et la retint avant qu'elle ne puisse s'esquiver. Le membre court et trapu de l'homme frottait son ventre de façon obscène. Son halène chargée des relents de vin et d'alcool, l'asphyxiait littéralement. Agnès suffoquait presque et n'ayant pas eu le temps de se remettre de l'épisode précédent, chancelait sur ses jambes flageolantes et engourdies par les liens. Elle voulu se dégager du Jacquot en le repoussant, mais déjà Brigitte, perfidement s'était collée derrière elle et l'appliquait avec force sur son époux, lui disant doucement dans le cou :

- '' Tiens regarde, chérie... Tu sens comme il bande mon Jacquot, tu sais il a peut-être les mains rudes, et toi tu n'y es pas habituée évidemment, mais il baise bien et il pourrait bien te remplir ton trou de salope, sais-tu? ''

- '' Oui, ajouta la Bernadette, c'est vrai que c'est un bon coup au lit! Le Jacquot et mon Françou, pas la peine d'aller voir ailleurs, t'auras ce qu'il te faut, ma belle!... ''. Disant cela, elle vint se mettre à genoux aux pieds de la table, juste derrière le Jacquot, et commença à lui palper les couilles.

Brigitte avait fait signe à Johann d'écarter les cuisses d'Agnès, debout entre elle et son homme. Ce qu'il fit en lui saisissant le mollet gauche et en lui relevant la jambe. Puis la jolie rousse qui avait passé son bras devant Agnès, s'était saisi du vit du Jacquot, et le faisait aller et venir sur le pubis et dans la fente de la jolie bourgeoise. La vulve d'Agnès était évidemment très mouillée et le membre court, mais épais, glissait parfaitement d'avant en arrière, de la rosette jusqu'au clitoris...

La Bernadette, à genoux derrière le Jacquot, surveillait les allers et retours de la bite du Maître dans la fente mouillée de l'infirmière. Elle avait été rejointe par le portugais qui s'était traîné à genoux aussi, jusqu'à elle. Il avait bu plus qu'il ne pouvait en contenir et l'on ne pouvait dire s'il était encore en mesure de comprendre ce qui se passait autour de lui.

Le Jacquot avait fléchi sur ses genoux pour que son membre se trouve un peu en dessous de l'entrejambes d'Agnès. La main de sa femme assurait le va et vient de la pine qui bandait toujours fortement. De temps à autres, Bernadette se baissait un peu plus et donnait par derrière, des coups de langues sur les couilles du Jacquot, le nez entre les fesses de ce dernier. Les poils de la vulve d'Agnès étaient assez longs et parfois le membre les frottait et les lui tirait de façon douloureuse, au point qu'elle regretta un moment de ne pas s'être épilée comme elle avait coutume de le faire régulièrement. Elle ferma les yeux un instant, évoquant ce que pouvait être la scène, vu par quelqu'un qui serait extérieur, à quelque mètres d'eux dans la cave.

Agnès se représentait debout au milieu du groupe, les fesses appuyées sur le bord de la table, une jambe levée assez haut, tenue par le grand blond. Elle était plaquée sur le ventre poilu du Jacquot qui lui passait sa large bite dans le con. Derrière elle, La Brigitte qui venait de lâcher le membre de son homme, branlait maintenant doucement et avec application Johann juste à côté d'elle, lui roulant des patins très mouillés. A genoux au pied de sa patronne et derrière elle, Armand lui caressait la chatte et se faisait sucer par Elise, la brunette. Elle-même se faisant caresser par Adrien. De l'autre côté du groupe et dans son prolongement, à genoux derrière le Jacquot, se tenait la Bernadette qui caressait les fesses et les couilles du patron. La grande vieille avait les cuisses écartées ce qui permettait au portugais de continuer à la branler d'une main tout en continuant de boire de l'autre.

Le Françou quand à lui, un peu retiré de ce groupe, avait investi l'autre côté de la table avec Hubert. Ils s'occupaient d'Hélène, la grande blonde. La fille était visiblement très saoule. Et tandis qu'Hubert lui suçait les seins, le Françou l'avait renversée sur la table. Et lui passait son vit monstrueux dans la fente. C'était là un tableau surréaliste : un braquemart énorme, noueux et difforme, qui passe et repasse sur la petite chatte d'une très jeune femme, encore fine et serrée, qui disparaissait sous la monstruosité du membre...

Le Jacquot, fléchissant encore un peu plus les jambes, s'enfile au con d'Agnès. C'est vrai que la bite, bien que très courte, la remplit bien, et ce malgré la largeur de son orifice. Elle en a très honte, mais elle est enfin baisée. Depuis le temps qu'elle en a envie... Cela fait maintenant plusieurs dizaines de minutes qu'elle attend d'être enfin prise... Elle a bien davantage honte de se retrouver dans cette situation avec ce genre de personnes que du principe et de l'envie se faire baiser. Elle accepterait volontiers de se faire prendre tant elle en a envie, à condition que l'on enlève, que l'on élimine, que l'on fasse abstraction de cet environnement vulgaire et écœurant... Pourtant la bite du Jacquot lui fait du bien et l'apaise. Avec son ventre, elle va même au devant du va et vient du vit qui la pénètre en force. La Bernadette d'une main ferme pousse à chaque avancée, les fesses du Jacquot, ce qui fait pénétrer le vit encore plus à fond dans la matrice. Avoir la jambe levée, ce qui facilite la pénétration du membre, est un plus pour Agnès... Et là, maintenant, alors qu'elle est enfin bien baisée par devant, elle a très envie, pour que ce soit parfait d'avoir même temps un doigt dans le cul.

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