Bourgeoises Rééduquées : Partie 03

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

— Normalement si ma chienne ne sait pas rester immobile pendant sa punition je double celle-ci. Tu ne le savais pas donc je ne le ferais pas aujourd'hui. Par contre, je veux que tu tiennes le compte des coups, donc je veux t'entendre les compter. Et donc le premier ne compte pas.

Je ne sais pas si je dois être soulagée ou inquiète de ce qu'il vient de m'annoncer. Cela fait donc un coup de plus. Je me prépare à recevoir le suivant, et je dis à haute voix :

— Un, Monsieur!

— Deux, Monsieur!

Les coups s'enchaînent.

—Six, Monsieur!

Le téléphone sonne, il décroche. Je respire, mais je reste immobile. Les fesses endolories et sûrement rouges, je ne prête pas attention à la conversation. Apparemment un de ses amis qui lui propose de passer un soir. Puis il raccroche et s'intéresse de nouveau à mon cul.

— Revenons à nos moutons! À combien en sommes-nous?

— Six, Monsieur! lui dis-je, en larmes.

La punition terminée, je sens sa main entre mes cuisses, il glisse ses doigts entre mes lèvres, je sais que je mouille, mais je ne laisse rien paraître. En me relevant, je me frotte les fesses, il faudra que je mette de la crème dès que je serai rentrée.

Il approche alors ses doigts pour que je les nettoie. Je le fais presque avec délice. Quand il estime qu'ils sont assez propres, il retourne s'installer sur le canapé. Il attend que je vienne c'est sûr. Comme la veille, je viens à quatre pattes entre ses cuisses et j'ouvre son pantalon pour sortir son sexe. Mais il me retient. Il veut que je me caresse devant lui. Il veut que je lui montre comment je fais pour me donner du plaisir, mais il m'interdit de jouir.

Je me mets à genoux et une main entre les cuisses et l'autre sur ma poitrine, je me caresse, je ferme les yeux, j'entrouvre les lèvres. Je vais jouir, je le sais. Je me reprends, car je crains une punition encore plus violente et retire ma main. Je halète, je cherche à retrouver une respiration normale. Quand il me demande si je veux sa bite dans mon ventre, je le regarde avec les yeux brillants. Mais sa réplique me fait l'effet d'une douche froide. Il me demande de le masturber avec mes doigts comme la veille. J'obéis et après avoir recueilli son sperme dans mes mains, je lèche tout et avale après lui avoir montré ma bouche pleine puis vide.

Avant de me congédier comme la veille, il me demande un planning des absences de mon mari. Cela va être compliqué, car elles sont souvent aléatoires. Mais je lui avoue qu'il est absent pour la semaine. Je le vois réfléchir un peu, et il me dit :

— Mardi soir, je vais t'envoyer Rachel pour garder tes enfants, je te veux à 21 heures chez moi, habillée d'une jupe très courte, sous-vêtements en dentelle rouge, chemisier blanc transparent, bas et porte-jarretelles et talons hauts bien sûr. Tu te maquilles bien, je veux tes lèvres rouge vif. Nous irons passer la soirée avec des amis.

— Bien Monsieur!

C'est un nouveau coup de massue. Il veut m'emmener vêtue et maquillée comme une pute chez ses amis. Comment vais-je pouvoir le supporter? Et surtout où vais-je trouver ce type de vêtements?

Comme hier, Rachel est studieuse. Elle me demande si je n'ai besoin de rien. Je lui réponds que j'ai tout ce qu'il me faut et je lui donne son enveloppe. Ce soir, je n'ai pas envie de parler. Mes fesses me brûlent et il me faut rapidement les soulager. Je trouve de la Biafine dans la salle de bain et je m'en badigeonne une bonne couche sur mes fesses. Les stries de la badine sont bien visibles et en plus je marque facilement. J'espère qu'elles se seront effacées quand François rentrera.

En ce lundi matin, en me préparant, je préfère ne rien mettre sous ma jupe et partir au bureau sans culotte. Je n'ai jamais compris comment les femmes pouvaient supporter les strings. La ficelle te rentre dans les fesses et vu ce que cela couvre, c'est comme si tu ne portes rien.

J'arrive la première comme tous les matins et j'ouvre l'agence. Je regarde rapidement mes mails professionnels, quelques informations sur la situation politique et sanitaire de certains pays, la routine. Quand Adeline arrive, elle vient m'embrasser et nous faisons le point sur la situation des divers dossiers.

Nous sommes au milieu de l'après-midi, quand Adeline toque à la porte de mon bureau.

— Charlotte, il y a un monsieur qui désire te parler. Je lui ai dit que tu étais occupée, mais il ne veut avoir à faire qu'à toi pour préparer son voyage... À son apparence, il a l'air d'être friqué. Tu devrais le recevoir...

— D'accord, fais-le enter! lui dis-je.

Je me prépare à accueillir celui que j'imagine être un de ces nouveaux riches qui pense que puisqu'il a de l'argent, tout lui est dû. La tête dans mes dossiers, j'entends alors :

— Bonjour chienne!

Je me redresse et me raidis. Monsieur Didier est là debout dans l'embrasure de la porte. Il la claque et reste immobile et silencieux.

Instinctivement, je comprends ce que je dois faire. Je me déshabille et une fois nue, je prends la pose, mains sur la tête. J'espère qu'il ne va pas me punir pour ne pas avoir mis des bas avec le porte-jarretelles.

— Bien! Tu comprends vite...

Il s'approche de moi et je me raidis quand il me pénètre la chatte avec ses doigts et que son pouce appuie sur mon clitoris. Je serre les lèvres, des larmes aux yeux. Je ne dois pas jouir, je le sais. Il ne faut pas que je jouisse sans son autorisation. Il s'amuse, il sait comment me faire monter et stopper quand je suis à la limite de l'orgasme. Il me caresse ainsi de longues minutes.

Il cesse enfin et porte ses doigts à ma bouche. Je les lui lèche puis il s'installe à mon bureau. Je viens à quatre pattes et sort son sexe pour le branler avec mes doigts. J'ai l'impression qu'il bricole sur mon ordinateur, mais occupée à lui donner du plaisir, je ne peux pas en être certaine.

Quand il gicle enfin, je recueille avec précaution son foutre que je lèche tout aussi consciencieusement. Après avoir joui, il me caresse les cheveux et se lève. Il sort sans un mot.

Je me dépêche de me rhabiller, car je sais qu'Adeline va venir pour savoir comme cela s'est passé. J'ai raison, je viens à peine de finir de boutonner mon chemisier que la porte s'ouvre.

— Alors?

— Très bien, je pense que nous le reverrons. Fais-lui bon accueil.

— Super! D'accord je n'y manquerais pas.

Je suis soulagée, elle n'a rien vu. J'ai du mal à me replonger dans mes dossiers et à la surprise d'Adeline, je quitte le bureau bien plus tôt que d'habitude.

Je me dirige vers un centre commercial de banlieue. Je devrais trouver le type de vêtements que je cherche.

Je trouve une de ces boutiques pour adolescentes qui veulent se faire passer pour des femmes. Heureusement que je ne suis pas un peu plus ronde, car les tailles proposées sont particulièrement petites. Mais je déniche enfin une minijupe noire et un chemisier blanc relativement transparent à ma taille. Par contre pour les sous-vêtements rouges, je suis obligée de prendre une parure string et soutien-gorge, c'est le seul ensemble trois pièces rouges qu'ils ont en rayon.

Dans un autre magasin, je trouve le rouge à lèvres bien vif. Je ne me ferais jamais à cette vulgarité.

La soirée se passe sans que Monsieur Didier se manifeste. J'en suis presque frustrée, mais cela me permet de m'occuper un peu de l'appartement et de finir de ranger certains cartons toujours en attente depuis le déménagement. J'essaye aussi mes nouveaux vêtements. Sur le cintre, je ne pensais pas que la jupe était aussi courte, elle couvre tout juste la limite des bas et assise, je ne pourrais pas cacher que je porte un porte-jarretelles. Le chemisier est si fin que mon soutien-gorge est parfaitement visible. Quant au string, je n'en parle même pas. La taille 40 de cette marque doit être un 38 de marques habituelles de culottes.

Avant de me coucher, je repasse une couche de pommade sur mes fesses que je sens toujours. Le sommeil ne vient pas. Je suis tenté de me caresser pour jouir, mais je sais que je ne pourrais pas mentir à ce sujet à Monsieur Didier et je n'ai pas envie de recevoir une autre punition.

Au matin, j'ai des cernes sous les yeux. Évidemment, Adeline s'en rend compte et elle me lance sous forme de boutade, quand le chat n'est pas là, les souris dansent.

Je fais mes yeux noirs en la fixant, elle quitte mon bureau et ne me reparle plus de la journée. Toute la journée, j'attends un signe de Monsieur Didier. Mais à ma grande surprise, c'est Natacha qui m'appelle pour savoir si je suis partante pour une séance de sport jeudi soir. J'accepte avec plaisir en espérant que Monsieur Didier ne me demandera pas de passer chez lui ce soir-là.

C'est vrai que cela va faire trois mois que nous n'y sommes pas allées, entre les vacances et le déménagement, je n'ai pas eu le temps.

Je ferme l'agence un peu plus tôt que d'habitude. Monsieur Didier m'a demandé d'être prête pour 21 heures. Il me faut coucher les enfants avant de me préparer. Même s'ils sont petits, je n'ai pas envie de me montrer devant eux, dans cette tenue et maquillée comme une prostituée.

Rachel sonne comme Monsieur Didier me l'avait dit. Elle me regarde avec de grands yeux. Je sais à quoi je ressemble, je me suis vue dans le miroir. Je fais "bimbo" de télé-réalité. Je baisse les yeux et détourne la conversation.

— Les enfants sont couchés, tu vas pouvoir étudier tranquille...

Il est 21 heures quand je frappe à la porte de Monsieur avec la désagréable sensation du string un peu trop petit qui me rentre entre les fesses et les lèvres.

*******

Didier

Je me lève tôt ce dimanche matin. Je souris encore à la pensée d'hier soir. Je crois que je tiens là une bourgeoise qui va devenir une parfaite soumise. Je téléphone à Albert et je lui dis :

— Bonjour, Albert! Si tu veux de l'amusement, attends Madame de Villaret pour aller à la messe. Tu ne le regretteras pas.

Je me prépare pour y aller aussi. Je n'aime pas ces endroits et toutes les bondieuseries qui y sont débités. Mais je dois admettre que les femmes pieuses deviennent vraiment vicieuses si on les éduque. De toute façon je ne vais pas lâcher Charlotte, je la tiens et j'ai bien l'intention d'en profiter.

J'attends à ma fenêtre de la voir partir à l'église avec ses enfants accompagnés d'Albert. Les enfants aiment bien le concierge, je crois que ça contrarie leur mère qui est un peu raciste. Je pars peu après et je les suis. Je me débrouille pour m'asseoir juste derrière Charlotte et je chuchote :

— Bon dimanche Charlotte!

Je la vois sursauter et baisser la tête pensive. C'est alors que je vois une femme blonde s'avancer vers elle pour lui prendre les gamins. Elles se font la bise. La blonde regarde derrière Charlotte et me salue. Je lui souris et la regarde s'éloigner en me disant que c'est un morceau de choix qui pourrait être dressé. Toutefois il y a quelque chose qui me choque. Chez elle aussi on voit les contours de sa culotte. Bon sang, elles ne savent pas s'habiller ces bourgeoises!

Mais je reviens à Charlotte. Je viens de voir une chose qui ne m'a pas plu du tout. Elle a remis une de ses odieuses culottes. Je rigole intérieurement en me rappelant celle que je lui ai volée. Il y avait écrit "VENDREDI" sur le devant. Il me faut absolument "DIMANCHE" pour ma collection. Rien qu'à cette pensée, je retiens avec grand mal un fou rire. Une bourgeoise, cheffe d'entreprise avec des culottes marquées du jour de la semaine. Je reprends mon sérieux, me penche vers ma proie et dit :

— Encore une faute de goût! Que t'ai-je dit au sujet de ces jupes?

Je vois Albert, assis à côté de Charlotte sourire. Il fait mine de rien, mais suit les évènements. Charlotte, elle, semble embêtée. Je la vois se trémousser, relever sa jupe et faire glisser sa culotte sur le sol. Je lui ordonne alors :

— Très bien! Ne la ramasse pas! Garde ta jupe troussée comme cela. Je veux que tu t'assoies les fesses nues sur le banc.

Je sais qu'Albert n'en perd pas une miette. Autant qu'il en profite. Je le vois qui regarde devant lui, mais jette fréquemment un œil sur les cuisses de Charlotte quand elle ne le voit pas.

Au moment de la communion, Charlotte ne fait pas mine de se lever et y aller. Je comprends pourquoi. Je décide de la titiller :

— Tu ne vas pas communier?

Elle me répond qu'elle ne peut pas y aller comme ça. Alors je l'autorise à baisser sa jupe, mais en contrepartie je lui demande d'enlever trois boutons de son chemisier. Le curé va se rincer l'œil! Charlotte m'obéit et rouge de honte va communier.

J'en profite pour passer mon bras par-dessus le banc et récupérer la culotte. Gagné, c'est bien celle de dimanche! Je fais un clin d'œil à Albert et je sors de l'église.

Je rentre à mon appartement et j'écris un mot que je dépose chez Albert. Je lui marque sur un post-it qu'il doit le donner à Charlotte dans la journée. Le mot dit « Ce soir! Chez moi! Même heure! Même tenue! » Puis je téléphone à Rachel pour qu'elle retourne chez Charlotte pour garder les enfants ce soir.

Je me réjouis à l'avance. Je dois la punir pour la culotte. Et m'aura-t-elle obéi pour ses poils? Je sens que l'attente va être longue.

Le soir, pile à l'heure, elle frappe à ma porte. Comme la veille je la fais entrer. Cette fois-ci elle n'essaie pas de s'asseoir, mais se contente de se mettre au milieu de mon salon bras ballant. Je retourne m'asseoir sur le canapé et je la fixe sans un mot. Elle baisse la tête en rougissant. Elle attend sûrement que je parle ou que je lui donne des ordres. Mais je continue à la fixer sans rien dire. Bientôt elle se balance d'un pied sur l'autre sans savoir que faire. Mais j'ai décidé de ne rien dire. Elle est intelligente et doit comprendre.

Après cinq bonnes minutes de silence, elle lève ses mains pour commencer à déboutonner son chemisier. J'esquisse un sourire qui lui fait comprendre qu'elle doit se mettre en position comme hier. Je la regarde se mettre nue, écarter les jambes et poser ses mains sur sa tête. Je vois que sa chatte est complètement dépourvue de poils. Mince, je ne vais pas pouvoir la punir pour ça. Je dis alors :

— Bien chienne! Je vois que ta chatte est bien visible. Par contre je crois t'avoir fait comprendre hier que tes culottes étaient abominables. J'ai vu ce matin que tu n'as pas compris. C'est cinq coups de badine!

Je la vois écarquiller les yeux. Madame ne s'est sûrement jamais fait punir. Il faut toujours commencer un jour. Mais une autre chose me passe par la tête.

— Je pense que tu es une salope qui aime jouir. T'es-tu fait jouir depuis hier après être sorti d'ici?

— ...

Elle ne répond pas. Je la vois hésiter ce qui démontre sa culpabilité.

— Si tu ne réponds pas, c'est dix coups!

— Euhhh... Oui Monsieur!

— Ne t'avais-je pas dit que tu étais ma chienne maintenant?

— Si Monsieur!

— C'est le maître qui décide si son animal de compagnie peut jouir. Donc à partir de cette minute, je t'interdis de te faire plaisir sans ma permission! EST-CE COMPRIS?

— Oui Monsieur.

Ça risque d'être dur pour elle. Je me doute qu'elle doit souvent s'amuser toute seule, c'est typique d'une bourgeoise délaissée.

— Bon on va dire cinq coups pour l'orgasme non autorisé, donc ça fait dix en tout pour aujourd'hui. Tu vois la console là-bas. Tu vas aller te pencher dessus, tes avant-bras doivent toucher la surface. Je veux ton cul bien en évidence.

Elle m'obéit et se penche sur la console. Ses lourds nichons pendent au bord. Elle relève son cul bien blanc. Je vais chercher une badine que je garde dans un porte-parapluie. Puis je me place derrière elle, un peu en retrait. Je lève la main et je laisse tomber la badine sur la chair blanche exposée. Instantanément une zébrure rouge apparaît sur la peau tendre.

Bien sûr, comme je m'y attendais, Charlotte se relève en criant et a le réflexe de poser ses mains sur son cul. Je la regarde sans rien dire d'un air sévère. Elle frotte sa fesse pour essayer d'atténuer la douleur. Quand elle me regarde, elle sent que quelque chose ne va pas. Elle me jette un autre regard, se mord les lèvres et se remet doucement en place. Je dis alors d'un ton ferme :

— Normalement si ma chienne ne sait pas rester immobile pendant sa punition je double celle-ci. Tu ne le savais pas donc je ne le ferais pas aujourd'hui. Par contre, je veux que tu tiennes le compte des coups, donc je veux t'entendre les compter. Et donc le premier ne compte pas.

J'abats la badine une nouvelle fois. Charlotte se contente de tressauter en se mordant les lèvres puis elle dit :

— Un, Monsieur!

La badine trace une nouvelle marque sur son gros cul.

— Deux, Monsieur!

Elle continue de compter, quant au sixième coup mon téléphone se met à sonner. Je pose la badine et décroche. Je vois Charlotte souffler, contente de ce répit.

- Allo oui?

— ...

— Salut Pierre! Qu'est-ce qui se passe?

— ...

— Une partie de poker mardi soir? Nous sommes tous les six? OK ça me va!

— ...

— Hein? Tu t'occupes des boissons et du buffet et moi du divertissement. Tu perds pas le nord mon cochon, ha ha ha!

— ...

— La petite institutrice de la dernière fois? Oui je pense que c'est possible. Elle est seule ici, son copain habite à 500 kilomètres.

— ...

— OK on fait ça. Mardi 22 heures!

Je raccroche et dit :

— Revenons à nos moutons! À combien en sommes-nous?

— Six, Monsieur! répond Charlotte des larmes aux yeux.

Je termine rapidement la punition. Puis je passe ma main entre ses jambes. Je ramène mes doigts qui sont couverts de son jus. J'ai l'impression qu'elle a aimé. Je la laisse alors se relever et masser ses fesses striées de rouge. Je lui fais lécher mes doigts et elle s'exécute rapidement. Puis je vais m'asseoir sur mon canapé et j'attends.

Charlotte ne met pas longtemps à réfléchir. Je sais qu'elle est intelligente. Elle se met à quatre pattes et avance vers moi, sa poitrine se balançant sous elle. Elle arrive vers moi et veut descendre ma braguette, mais je l'arrête d'un geste.

— Attends cinq secondes. Tu me dis que tu aimes te faire jouir. Tu vas me montrer. Mais attention je ne veux pas que tu ailles jusqu'au bout. Tu n'as pas la permission.

— Oui Monsieur!

La belle directrice de société, mariée, mère de deux enfants s'agenouille et écarte les jambes. Une main descend sur sa chatte glabre et commence à la caresser alors que l'autre joue avec ses tétons. Charlotte me regarde et voit que je la fixe. De honte elle baisse la tête. Je la regarde faire. Sa respiration commence à s'accélérer, ses doigts bougent de plus en plus vite. Je la vois fermer les yeux et ouvrir la bouche. Puis tout d'un coup, elle grimace et retire sa main rapidement de son sexe. Bien, elle a obéi. Le souffle court, elle reste sans bouger, l'envie de pouvoir jouir dans les yeux.

— Bien petite chienne! Tu veux ma bite dans ton ventre?

— Oh oui Monsieur, s'il vous plaît! Dit-elle la voix pleine d'espérance.

— Ben non, pas aujourd'hui! Allez fait comme hier!

Elle se penche, déboutonne ma braguette, sort mon sexe bien raide et commence à me branler. Elle s'applique si bien qu'il me faut peu de temps avant d'éjaculer. Comme elle commence à prendre le coup, elle réussit à garder presque la totalité de mon sperme dans ses mains. Elle lèche mon foutre et bientôt me montre sa bouche remplie. Puis elle déglutit, tire la langue et me montre sa bouche vide. Quelle bonne salope, j'ai là une femme malléable à souhait.

— Bon, il faut que tu me prépares un calendrier avec les absences de ton mari et tes disponibilités par rapport aux enfants. Je veux pouvoir souvent disposer de toi. Maintenant, casse-toi!

Charlotte se lève tremblante, prend le tas de vêtements et se dirige vers la porte. Avant de l'ouvrir, elle se retourne et dit :

— Euuuhhh Monsieur, s'il vous plaît?

— Oui quoi?

— Mon mari est absent toute la semaine.

— Oh, formidable!

Je réfléchis et une idée me vient. Je lui dis alors :

— Mardi soir, je vais t'envoyer Rachel pour garder tes enfants, je te veux à 21 heures chez moi, habillée d'une jupe très courte, sous-vêtements en dentelle rouge, chemisier blanc transparent, bas et porte-jarretelles et talons hauts bien sûr. Tu te maquilles bien, je veux tes lèvres rouge vif. Nous irons passer la soirée avec des amis.