Bourgeoises Rééduquées : Partie 11

Informations sur Récit
M Didier organise un concours entre Charlotte et Natacha.
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Partie 11 de la série de 12 pièces

Actualisé 06/13/2023
Créé 06/13/2020
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Cette histoire est le fruit d'une collaboration épistolaire avec Trouchard. Chaque personnage raconte son point de vue, de ce fait certaines peuvent être répétées selon le ressenti de chaque personnage.

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Le Concours

Didier :

Jeudi soir, 19h45, on frappe à ma porte.

— Entre! Crié-je.

Charlotte pénètre dans mon appartement. Elle est très jolie avec une robe unie. Sans un mot elle vient au milieu de mon salon, se déshabille et se met dans la position habituelle de soumission. Elle a mis des bas avec un porte-jarretelle et elle porte le pendentif que je lui ai offert. Quand je passe derrière elle, je vois qu'elle a le plug enterré dans son cul. Elle est trop belle ainsi. Je flatte sa croupe d'une main et retourne m'asseoir sur le canapé. Je lui dis alors :

— On attend quelqu'un!

Je la laisse mijoter dans son jus. Elle doit se demander qui va venir, si c'est bon pour elle ou non. Je la dévisage et je vois presque les pensées tournées dans sa tête.

Vingt heures moins une minute, on frappe de nouveau à ma porte.

— Entre! Crié-je encore.

Natacha entre. Elle n'a pas oublié le collier. Après deux pas, elle se fige en voyant une femme de dos, nue, jambes écartées, les mains sur la tête. Elle réalise soudainement qu'il s'agit de sa copine.

— Charlotte? Laisse-t-elle échapper.

La belle rousse n'avait pas osé jusque-là se retourner pour voir qui était entrée. Mais en entendant son prénom, elle se tourne et voit Natacha. Elle a le réflexe de couvrir ses seins et sa chatte.

— Natacha? Toi?

Les deux femmes se mettent à parler ensemble, en se questionnant l'une et l'autre sur leur présence chez moi. Le ton commence à monter alors j'interviens :

— CA SUFFIT! EN POSITION!

Mon ton suffit à les calmer instantanément. Charlotte se dépêche de se remettre dans sa position initiale, non sans un dernier coup d'œil mauvais à Natacha. Celle-ci se dépêche de se dés-habiller et de se positionner à côté de la rousse.

— Bon c'est bien. Vous allez m'écouter attentivement. Vous êtes mes deux chiennes. Je fais de vous ce que je veux, j'espère que vous avez compris cela. Toutefois, comme je suis dans un bon jour, je vais vous laisser une dernière chance. Vous pouvez vous rhabiller et retourner à votre misérable vie de mère de famille, vous n'aurez plus jamais à faire à moi. Mais si vous décidez de rester, vous abandonnez votre liberté et vous vous soumettez totalement à moi, ce qui veut dire que vous ferez tout ce que je veux, quand je le veux et où je le veux. Je vous laisse deux minutes de réflexion.

Je les vois réfléchir, se regarder et se jauger. Je me doute de ce qui se passe dans leur es-prit. Elles doivent comparer leur vie morne avec leur mari et les plaisirs qu'elles obtiennent dans mes mains. Je sais que Charlotte ne bougera pas, mais je suis moins sûr de Natacha. La blonde bouge d'un pied sur l'autre, elle doit vraiment peser le pour, mais au bout des deux minutes elle n'est toujours pas partie.

— Bon, le temps est fini! Qu'as-tu décidé Charlotte?

— Je suis votre chienne Monsieur Didier. Je suis à vous corps et âme.

— Bien! Qu'as-tu décidé Natacha?

Celle-ci jette un rapide coup d'œil à son amie et me répond :

— je suis votre esclave, Monsieur Didier. Je suis à vous pour toujours.

Les deux femmes se regardent. Avec leurs yeux, elles semblent se battre pour moi.

— Très bien! Vous avez toutes les deux décidées en connaissance de cause. Je vais main-tenant organiser une petite compétition entre vous deux. Mon ami Marc a besoin d'une femme pour motiver une trentaine de Roumains ce week-end. La perdante sera celle qui ira.

Je les vois pâlir d'un coup. Elles ont vraiment peur. Bien sûr je bluffe, mais je veux qu'elles soient réellement motivées.

— Tout d'abord Charlotte, va dans ma salle de bain là-bas et enlève le plug. Je ne veux pas que tu sois désavantagée.

Sous l'œil de sa copine, elle m'obéit et s'éloigne. Cinq minutes plus tard, elle est de retour et se remet en position.

— Je vais vous faire passer quelques épreuves. A la fin la gagnante sera bien sûr celle qui aura le plus de points, elle évitera les trente ouvriers sur un matelas miteux dans une vieille baraque de chantier.

Je pense les avoir assez motivées. Les deux amies se regardent méchamment maintenant. Je sais qu'elles vont vouloir gagner toutes les deux. Intentionnellement, je ne leur donne pas le nombre d'épreuves qu'elles devront passer.

— Première épreuve : Charlotte, tu vas t'allonger sur le canapé et Natacha va s'allonger tête bêche sur toi. Vous écarterez les jambes et vous aller lécher l'autre. Celle qui gagne est celle qui fait jouir l'autre. Si j'en vois une tricher en voulant gêner l'autre, je la disqualifie et elle aura perdu la compétition. Vous n'avez pas le droit d'utiliser vos mains. Exécution!

Charlotte s'allonge sur le canapé, je vois qu'elle est perdue, elle n'a sûrement jamais fait ça. Je sais qu'elle ne gagnera pas. Natacha s'allonge sur elle et tout de suite sort sa langue pour attaquer les petites lèvres de la rousse. Charlotte a la chatte épilée de sa copine sous les yeux, elle ne sait trop comment faire. Mais elle pose ses mains sur les cuisses de sa partenaire pour la relever légèrement et elle tire la langue. Elle lèche timidement Natacha.

Pendant ce temps celle-ci a entrepris de titiller le clitoris exposé. Elle commence à arracher des gémissements à sa partenaire. Bientôt elle fouille la chatte qui est très humide. Elle s'active du mieux qu'elle peut et elle est bientôt récompensée par un cri d'extase de Charlotte. Natacha lève la tête et me sourit, elle a gagné.

Je ne suis pas étonné. Ma belle rousse était en manque depuis un certain temps, obligée de se caresser tous les jours sans libération. De plus ce n'est vraiment pas une experte de léchage de minou. Je les laisse reprendre leurs esprits.

— Un pour Natacha! Deuxième épreuve : vous allez vous mettre face à face, un bras dans le dos. Avec l'autre main vous allez attraper le sein de l'autre et vous allez le torturer de la façon que vous désirez. Perds celle qui abandonne! En position! Allez-y!

Je vois de la rage dans les yeux de Charlotte. Alors que Natacha lui gifle durement le sein gauche, en grimaçant elle saisit le téton gauche de la blonde, tire dessus et commence à le tordre. Natacha continue de lui gifler son nichon, mais elle ferme les yeux et tourne sa main. C'en est trop pour la mère de cinq enfants. Son sein étant déjà bien sensible d'allaiter un enfant, elle crie et recule rapidement pour échapper à la main qui la torture.

— Un point pour Charlotte!

Les deux femmes se regardent, des envies de meurtre dans les yeux. Toutes les deux se massent le sein pour atténuer la douleur.

— Troisième épreuve! Vous retournez sur le canapé, cette fois-ci, Natacha est dessous. Comme pour la première épreuve celle qui jouit la première perd! Exécution!

Et les revoilà parti à se lécher la chatte. Cette fois-ci, Charlotte a abandonné toute répugnance et n'hésite pas à entrer sa langue dans l'antre humide de son amie, ou ex-amie peut-être maintenant. Les deux femmes font de leur mieux pour gagner. Dans mon salon résonnent des gémissements mélangés à des bruits de succion. Malgré la compétition, elles semblent apprécier cette situation.

Je bande comme jamais à voir ces deux corps enlacés sur mon canapé en train de se donner du plaisir. Le spectacle est magnifique.

Mais au bout de sept-huit minutes, j'entends Charlotte feuler de plaisir. Elle s'est arrêté de lécher, son corps tremble, elle ferme les yeux et se laisse tomber sur Natacha qui est vraiment une experte. Je leur laisse dix minutes pour reprendre des forces et se relever du canapé.

— Deux pour Natacha! Tu es en train de perdre Charlotte, la trentaine de bites pas très propres de Roumains s'approchent.

Elle me regarde, vraiment effrayée, se demandant sûrement pourquoi elle est là.

— Quatrième épreuve! La même que la deuxième, mais avec l'autre main sur l'autre sein. En place! Exécution!

Cette fois-ci, Natacha a choisi la même option que Charlotte, elle attrape le téton droit de sa main gauche, le tire et le tord durement. La rousse n'a pas attendu et fait la même chose. Je vois la douleur et l'effort s'afficher sur leur visage. Elles grimacent toutes les deux, des larmes pointent au coin des yeux. L'épreuve dure un peu plus longtemps, mais Natacha lâche la première et recule en pleurs en se massant le sein. Charlotte se tourne vers moi, la satisfaction s'affichant sur son visage sur lequel coulent des larmes.

— Deux à deux! La prochaine épreuve sera décisive.

Les deux femmes me regardent, soulagée que ce soit presque terminé.

— Je veux tout d'abord vous dire que je suis fier de vous, de votre obéissance. Vous me faites bander petites chiennes. Gagnera la dernière épreuve et donc la compétition, celle qui me fera éjaculer. Je vais m'asseoir dans le canapé et vous allez vous placer à genoux sur le sol de chaque côté de moi. Vous allez me sucer à tour de rôle pendant fix secondes sans utiliser vos mains, juste votre bouche. Celle qui me fait jouir gagne. Je vais me mettre un bandeau sur les yeux pour ne pas vous voir. Je ne regarde pas qui commence.

Je m'installe confortablement après m'être mis un foulard sur les yeux et avoir sorti ma bite bien raide.

— Attention... UN...

Dès que je commence à compter, une bouche bien chaude enfourne ma bite. Une langue entoure ma hampe et s'efforce de me faire jouir.

— Ohh... DEUX... TROIS... QUATRE... Ahhh... CINQ... SIX... SEPT... HUIT... NEUF... DIX, suivante!

Je sens la bouche laisser la place à une autre. Celle-ci s'applique comme l'autre, les lèvres montent et descendent sur ma queue bien dure. J'adore ce jeu. Je vais essayer de résister le plus longtemps possible pour en profiter.

-- UUN... Ohh... DEUX... TROIS... QUATRE... CINQ... SIX... SEPT... Ahhh... HUIT... NEUF... DIX, suivante!

Les deux femmes se succèdent sur ma bite. Je n'arrive pas à savoir qui est qui, elles me su-cent toutes les deux en y mettant beaucoup d'application. Je continue de compter même si j'ai de plus en plus de mal. Après une dizaine de tour, je n'en peux plus et alors que je compte CINQ, j'éjacule dans la bouche accueillante. Je vide complètement mes couilles avant de retirer mon bandeau. Natacha me montre sa bouche ouverte avec mon sperme. Elle avale puis tire la langue avant de me sourire.

Je regarde alors Charlotte. Elle est tête baissée et elle pleure. Ses épaules se soulèvent en rythme avec ses sanglots, elle sait qu'elle a perdu. Elle est dévastée.

— Donc c'est Natacha la grande gagnante! Tu peux aller rejoindre ton mari!

Natacha se lève, récupère rapidement ses vêtements et s'habille. Elle marche vers la porte, hésite, se retourne et vient vers Charlotte pour lui poser un gros baiser sur la joue en disant :

— Je suis désolé Charlotte!

Puis elle repart. Dès que la porte est fermée, je relève la tête de Charlotte en la prenant sous le menton. Son visage est ravagé. Je lui dis :

— Tu sais que tu as perdu, pleurer ne changera rien.

— Oui Monsieur Didier, mais je ne veux pas coucher avec tant d'hommes.

— Tu es une petite chienne pourtant et tu m'as dit que tu le ferais?

— Oui Monsieur Didier, je le ferai pour vous faire plaisir. Mais je n'aimerai pas!

Je laisse passer un grand moment de silence avant de dire :

— Bien! Tu serais heureuse si je me débrouillais pour que tu n'aies pas à le faire?

— Oh oui Monsieur, je vous en serais éternellement reconnaissante!

— Je vais essayer alors, mais je ne promets rien. Mais tu vas faire une dernière chose pour moi ce soir.

— Oui Monsieur, tout ce que vous voulez, je vous le jure.

— Tu vas descendre à la loge du concierge et tu vas le sucer. Je veux que tu reviennes ici, son sperme dans ta bouche.

Elle est interloquée, mais elle se ressaisit, se lève et sort de mon appartement. Je prends mon téléphone et appelle de suite le concierge.

— Bonsoir Albert! Je viens de t'envoyer quelqu'un, tu peux laisser ton téléphone allumé pour que j'entende?

— Bien sûr Monsieur Didier!

J'entends alors taper à sa loge. Il ouvre et je l'entends dire :

— Bonsoir Madame de Villaret, entrez! Oh mais pourquoi êtes-vous nue?

— Bonsoir Albert! j'ai besoin d'un service...

J'entends le blanc qui signifie qu'elle hésite un peu. Mais elle continue :

— Puis-je vous sucer Albert, j'en ai vraiment besoin.

— Hein? Mais votre mari Madame?

— Je m'en fous de mon mari! s'il vous plaît Albert!

Je crois que le concierge n'a pas le temps de répondre. J'entends le zip de sa braguette et bientôt des bruits de succion. Albert commence à gémir. Je m'imagine la scène dans ma tête, cette belle bourgeoise rousse, nue en train de sucer le concierge sénégalais. Il ne faut pas longtemps avant que les gémissements s'accentuent, puis je pense qu'Albert éjacule avec un grand cri. Peu après j'entends la porte de la loge claquer.

— Elle vient de partir! Merci Monsieur Didier! Dit le concierge qui vient de reprendre son téléphone.

— Merci Albert! Bonsoir!

Je raccroche et attends. Quelques instants plus tard, Charlotte entre rapidement dans mon appartement, se jette à mes genoux et ouvre la bouche. Une masse blanche et gluante de foutre recouvre sa langue.

— Avale petite chienne!

Elle ferme la bouche et déglutit avec une grimace. Puis elle ouvre de nouveau pour me montrer qu'elle a bien avalé le tout.

— Très bien, je te dirais demain si j'ai pu t'éviter la tournante dans la baraque de chantier. De toute façon, toujours le même rituel, plug dans le cul pendant la journée et tu te caresses matin et soir sans jouir. D'accord?

Elle lève les yeux vers moi. J'y vois de la soumission et peut-être même un peu d'amour.

— Oui Monsieur Didier, je vous obéirai. Merci Monsieur.

— Bien! Va rejoindre ton mari!

Elle récupère ses vêtements et les roule en boule puis elle sort de mon appartement. En souriant à cette belle soirée, je me dirige vers la douche.

******

Charlotte

Après m'être mise nue et avoir pris la position, je suis surprise car Monsieur Didier me dit que nous attendons quelqu'un. Qui peut-il attendre? Je tremble, il est assis dans son fauteuil et il se contente de me regarder en fixant la grande horloge dont le mouvement du balancier rythme les secondes qui s'écoulent. Le temps me semble long. Je me pose des questions. Puis, on frappe à la porte.

Quelqu'un entre, qui est-ce? Je brûle d'envie de me retourner mais je n'ose pas. Je ne veux pas être punie. Soudain je reconnais la voix de Natacha qui m'interpelle. Que fait-elle là? Elle aussi a succombé au charme ravageur de Monsieur Didier.

Aussitôt, il nous rappelle à l'ordre et nous explique une nouvelle ce que nous sommes. Il nous laisse deux minutes pour décider ce que nous voulons. Pour moi, c'est vite réfléchi, je veux continuer à le voir. Après ce que je viens de vivre ces deux dernières semaines, comment pourrais-je retrouver ma vie terne et fade avec un mari qui de plus, va partir pour de longues semaines. Quand Monsieur Didier me demande quel est mon choix, je lui réponds sans hésiter :

— Je suis votre chienne Monsieur Didier. Je suis à vous corps et âme.

Il demande ensuite à Natacha ce qu'elle a décidé. Sa réponse aussi ferme que la mienne me surprend, son couple me semblait pourtant bien portant.

— je suis votre esclave, Monsieur Didier. Je suis à vous pour toujours.

Elle essaye de me prendre mon amant, je sens la colère monter en moi, c'est alors que Monsieur Didier nous parle de sa compétition et, surtout, de ce qui va attendre la perdante. Il ne peut pas nous faire cela. J'ai vu ces roumains, ce sont des sauvages. Je me souviens de l'état de la Générale le dimanche matin. Je ne dois pas perdre, je ne supporterai pas une telle déchéance.

Je ne sais pas s'il ironise ou s'il est sérieux quand il me dit d'aller retirer le plug qui me dilate le cul depuis une bonne semaine. Mais, j'y vais avec plaisir. A mon retour, il nous annonce la première épreuve.

Sous l'œil de sa copine, elle m'obéit et s'éloigne. Cinq minutes plus tard, elle est de re-tour et se remet en position. Je reste stoïque, je ne montre pas mon dégout, mais lécher une chatte est vraiment une chose qui me semble au-dessus de mes forces. En plus cela fait plusieurs que je n'ai pas joui.

Allongée sur le dos, je vois la fente lisse de Natacha. Je peux sentir son intimité, je la sou-lève un peu et je commence à lécher. C'est atroce, en plus il y a un petit goût d'urine. Pendant ce temps, elle n'hésite pas et je sens sa langue entre mes lèvres, elle lèche, mordille, aspire. Elle trouve mon clitoris et je ne peux plus résister. Même si je tente de masquer ma jouissance, je suis trahie par mes gémissements.

Monsieur Didier annonce la victoire de Natacha, puis la deuxième épreuve. Cette fois-ci, je vais prendre ma revanche. Il est hors de question que je perde.

— Un pour Natacha! Deuxième épreuve : vous allez vous mettre face à face, un bras dans le dos. Avec l'autre main vous allez attraper le sein de l'autre et vous allez le torturer de la façon que vous désirez. Perds celle qui abandonne! En position! Allez-y!

Natacha me gifle un sein, mais je lui souris vicieusement en attrapant son téton gauche. Elle allaite et je sais qu'elle est très sensible de la poitrine. Elle me l'a dit. Je tire dessus et commence à le tordre. Je vois un rictus sur son visage. Elle pousse un cri et recule. Victoire! Je t'ai eu ma salope!

Pour la deuxième épreuve de léchage, je décide d'être plus active. Mais je suis vaincue par le savoir-faire de Natacha et le fait d'avoir dû me retenir de jouis depuis longtemps. Une nouvelle fois, je perds. Combien d'épreuves Monsieur Didier a-t-il en réserve?

Pour la quatrième, on retourne sur nos poitrines, l'autre sein. Natacha a appris de son échec, et elle m'attrape le téton droit pour me le tordre. Je ne suis pas en reste et lui entre mes ongles dans sa chair. Je la vois grimacer. Elle me fait mal mais je résiste. Je tords un peu plus son téton en tirant dessus. Elle cède et abandonne. Je jubile. Nous sommes à nouveau à égalité.

Pour la cinquième épreuve, Monsieur Didier met à l'épreuve nos talents de suceuses. Je me sens sur de moi et quand il a les yeux bandés, je commence à le sucer avec ardeur. Au bout de dix secondes, je dois laisser ma place à regret à Natacha. Je sais qu'il est encore trop tôt, Monsieur Didier sait se retenir longtemps. Nous alternons ainsi de nombreuses fois. A la manière dont il compte, il doit être proche de la jouissance. Je m'active dans sa bouche mais à DIX, je dois abandonner.

J'entends alors le râle de jouissance de Monsieur Didier et les yeux brillants de Natacha. Il retire son bandeau pour voir celle qui vient de le recevoir sans bouche.

Je suis complètement abattue. Je l'entends à peine renvoyer Natacha chez elle. Je sanglote, jamais je ne pourrais supporter d'être ainsi baisée à la chaîne. Trente hommes l'un après l'autre, je vais devenir folle.

Monsieur Didier s'approche de moi et m'embrasse. Je tremble, je lui dis que je ne pour-rais pas faire ce qu'il a prévu même si l'autre jour chez Alain, je lui avais promis que je le ferai, s'il me le demandait. Être devant le fait accompli, change beaucoup de choses.

Il me regarde en silence de longues minutes et il me propose un marché pour m'éviter de coucher avec les Roumains.

— Oui Monsieur, tout ce que vous voulez, je vous le jure.

— Tu vas descendre à la loge du concierge et tu vas le sucer. Je veux que tu reviennes ici, son sperme dans ta bouche.

Je le regarde, hébétée. Sucer Albert, le concierge, c'est presque pire que d'avoir du lécher Natacha, mais sans un mot, je quitte l'appartement et je descends à la loge. SI cela peut m'éviter les Roumains.

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