Bourgeoises Rééduquées : Partie 11

BÊTA PUBLIQUE

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Albert me voit arriver les yeux exorbités.

— Bonsoir Madame de Villaret, entrez! Oh mais pourquoi êtes-vous nue?

Je ne lui donne pas d'explications sur ma nudité mais je lui explique la raison de ma venue.

— Bonsoir Albert! J'ai besoin d'un service... Puis-je vous sucer Albert, j'en ai vraiment besoin.

Il en reste bouche-bée et me parle de mon mari, je lui réponds énervée :

— Je m'en fous de mon mari! S'il vous plaît Albert!

Je me jette à genou devant lui et ouvre son pantalon pour sortir son sexe. Il est encore flasque mais déjà impressionnant, je le prends dans ma bouche. Je veux faire vite. Je l'avale le plus possible mais il est énorme. Albert me tient les cheveux et je l'entends gémir. J'aspire, je pompe, je lèche, je lui masse les bourses. Il pousse un grognement et jouit dans ma bouche. Je me retiens de l'avaler et je me relève.

Je sors de la loge en claquant la porte et me dépêche de remonter chez Monsieur Didier. Il ne faudrait pas que je sois surprise par les petits vieux du premier.

Je me précipite aux pieds de Monsieur Didier et lui montre le sperme du concierge.

— Avale petite chienne!

Je déglutis et je lui montre que j'ai bien tout avalé. Monsieur Didier est satisfait, je le vois dans son regard. Il me dit qu'il va voir s'il peut m'éviter les Roumains, il me le dira demain. Il me rappelle mes devoirs avec le plug. Je lui souris. Je crois bien que je suis amoureuse.

— Oui Monsieur Didier, je vous obéirai. Merci Monsieur.

— Bien! Va rejoindre ton mari!

Je récupère mon plug et mes vêtements et que j'enfile sur le palier avant de rentrer chez moi.

Mon mari est devant son ordinateur, laissant les enfants regarder la télévision.

— Alors? Cette séance de sport, ça a été?

— Oui! Oui! Je vais prendre une douche. Les enfants ont mangé?

— Oui, ils t'attendaient avant d'aller se coucher.

Je leur dis d'aller dans leur chambre et après les avoir embrasser l'un et l'autre, je vais dans la salle de bain.

Je repense à cette séance avec Natacha. Je la déteste mais elle était comme moi, au pied du mur, nous n'avions pas le choix. Mon sein me fait encore mal, elle y a été vraiment fort sur la deuxième fois.

Sous la douche, je réalise qu'il y a encore quelques années, François m'aurait rejointe et nous aurions fait l'amour en nous savonnant. Je l'aurais même sucé après l'avoir rincé. J'aurais eu besoin de sa tendresse, de son amour.

Je le retrouve dans le salon, il a mis la table. Je m'installe face à lui, mon peignoir baille sur ma poitrine nue, il n'a même pas l'air de s'en rendre compte. Il ne nous reste plus que deux jours avant son départ, et il me regarde à peine.

Dans le lit, il accepte quand même que je pose ma tête sur sa poitrine et je sens sa main me caresser la fesse mais il s'endort aussitôt. Je glisse ma main vers son caleçon, mais je ne trouve que son sexe flasque. Je me retourne dans le lit et repense à ce qu'il risque de m'arriver ce week-end.

Le vendredi matin, quand les enfants vont embrasser Albert, je détourne le regard. Il me dit simplement :

— Bonne journée, Madame!

Même si je vois bien ses yeux fixer ma poitrine, et j'imagine, mes fesses sous ma jupe quand je vais lui tourner le dos.

Arrivée à l'agence, Adeline m'informe que nos accords avec les Émirats sont en bonne voie. Je lui demande de me tenir informée et je m'enferme dans mon bureau. J'ai du mal à me concentrer sur mes dossiers.

— Charlotte! Viens voir, il y a un problème...

Je me lève et je vais voir Adeline qui semble en peine devant son ordinateur.

— Que se passe-t-il?

— Je ne sais pas, mais je ne peux pas accéder au serveur sécurisé sur lequel nous avons toutes nos informations.

— Tu as appelé le service informatique qui gère cela?

— Non! répond-elle tête basse.

— Alors! Appelle-les!

Je retourne dans mon bureau, exaspérée. Heureusement, un coup de téléphone me change les idées. C'est ma mère. Elle me propose de venir passer quelques jours à la maison pour m'aider avec les enfants. J'accepte avec grand plaisir. J'en profite pour lui dire que je risque de de-voir m'absenter ce week-end pour des raisons professionnelles. Cela ne semble pas la contrarier, au contraire.

Quand je rentre chez moi, Albert me donne une enveloppe. Elle vient de Monsieur Didier, je reconnais son écriture et le type d'enveloppe si particulier. J'attends d'être seule pour l'ouvrir. J'appréhende ce que je vais y lire.

"Petite Chienne. Je n'ai pas pu m'arranger. Je te prends demain à 14h30 pour t'emmener aux Roumains. Je t'attends chez moi en tenue de bourgeoise sexy."

Je m'effondre sur le lit. Je me sens tel un zombie. Quand mon mari rentre, je l'embrasse du bout des lèvres. Je reste silencieuse pendant le repas.

— Tout va bien? me demande-t-il.

— Comment tout pourrait-il aller bien? J'ai un bug informatique au bureau et toi, tu pars demain! Non.... Rien ne va....

— Mais ma chérie...

Pour la première fois de notre vie de couple, je le repousse alors qu'il vient me faire un câlin.

— Excuse-moi mais je ne suis pas d'humeur...

Quand je me couche, il est encore devant son ordinateur et je ne l'entends pas entrer dans la chambre.

Au matin, je suis réveillée par sa main entre mes cuisses. Je le sens jouer avec mon clitoris. Je me tourne sur le dos. Après tout, cela ne peut pas me faire de mal.

— Ma chérie, j'ai envie de te faire l'amour!

Je ne réponds rien, je l'attrape et je fais venir sur moi. J'écarte les cuisses et je le sens entrer en moi. Je tends mon bassin pour le sentir bien profond dans ma chatte. Il grogne un peu et il gicle. Je simule mon plaisir.

Il récupère quelques minutes et je vois son sourire satisfait quand il se dirige vers la salle de bain. Je m'essuie rapidement la chatte avant de me lever à mon tour pour préparer les enfants. Nous avons une heure pour nous rendre à l'aéroport.

A notre retour, je suis surprise de ne pas voir ma mère, elle m'avait dit qu'elle serait la dans la matinée et comme elle a les clés, je pensais la trouver en arrivant.

Il est midi et demi quand elle sonne à la porte.

— Je t'attendais plus tôt! lui dis-je.

— Je pensais arriver tôt, oui! Mais j'ai eu des choses à faire.... Au fait, je viens de croiser ton voisin, Monsieur Didier, il est toujours aussi charmant.

Je vois une étrange lueur dans ses yeux, mais non, je me fais des idées.

— Installe-toi dans le salon, les enfants seront ravis de te voir... et tu sais... je t'en avais parlé, je vais devoir m'absenter après le repas, je reviendrai demain en fin de journée. Les enfants sont au courant.

— Oui ma chérie! Ne t'inquiète pas!

Je réchauffe rapidement le repas que je sors du congélateur et quand je vais appeler les enfants et ma mère qui font une partie de Mario Kart, je me demande si j'ai bien vu. Assise dans le fauteuil, sa jupe est largement remontée et je suis certaine qu'elle n'a pas de culotte.

— Ca va ma chérie?

— Oui! Oui! Le repas est prêt.

Ma mère explique aux enfants ses projets pour eux ce week-end en mon absence, une sortie au musée accompagnée, bien sûr, de l'inévitable salon de thé. Je suis contente de les voir aussi heureux et complice mais j'ai en tête ce que moi je vais vivre.

— Je peux te laisser pour aller me préparer?

— Oui bien sur ma chérie... Vas!

Dans la chambre, je me change. J'enfile un ensemble coordonné bleu, string, soutien-gorge, porte-jarretelle sous un élégant tailleur avec une jupe droite mi-cuisse, un chemisier blanc et une veste cintrée et des escarpins à talon.

— Tu es ravissante ma fille! me dit ma mère. Tu es sûre que c'est pour le travail et pas pour un amant...

— Maman... Je suis mariée à François!

Elle ne me répond rien mais elle sourit. Je l'embrasse et embrasse Les enfants puis je vais frapper à la porte de Monsieur Didier.

*******

Natacha

Quand je découvre pour la première fois, l'appartement de Monsieur Didier, je suis impressionnée par la qualité de la décoration. Tout indique que l'on entre chez un homme de goût. Mais, je n'ai pas le temps d'admirer que mon regard est attiré par une femme nue qui me tourne le dos. Cette chevelure rousse, je la reconnais entre mille.

— Charlotte! m'exclamé-je

Elle est toute aussi surprise que moi de me voir. Monsieur Didier nous arrête immédiatement et nous rappelle qui nous sommes. Il nous demande de réfléchir à ce que nous voulons.

J'ai toujours en mémoire son discours du samedi soir chez Alain, et je n'hésite pas long-temps à lui répondre. Charlotte vient de lui dire qu'elle est sa chienne, moi, je lui dis que je suis son esclave. Je frissonne en disant ses mots. Mais quand il nous annonce l'enjeu de la compétition entre nous, je prends peur, trente hommes, c'est impossible. Je regarde Charlotte qui est aussi paniquée que moi.

Quand Charlotte revient après avoir été retiré le plug qui lui remplissait le cul, Monsieur Didier nous explique les règles du challenge. Je me raidis, je dois gagner et tant pis pour Char-lotte. D'ailleurs si elle accepte déjà de porter cette chose dans son cul, c'est qu'elle est vraiment une grosse salope.

Pour la première épreuve, je suis sûre de moi. Je me souviens de la chatte de Virginie. J'avais apprécié de la lécher. Quel goût va avoir la chatte de Charlotte? Je plonge ma tête avec gourmandise entre ses cuisses. Elle est déjà trempée, mais elle sent un peu la pisse. Je lui mordille les lèvres et le clito pour voir comment elle réagit. Elle est en manque me dis-je. Je darde ma langue entre ses lèvres et en quelques minutes, elle jouit. Mon visage est couvert de sa mouille quand je me redresse. De mon côté, j'ai à peine senti sa langue. Je crois me souvenir qu'elle n'a jamais fait cela.

Je suis fière de moi et je regarde Charlotte avec mon sourire de vainqueur.

La deuxième épreuve est atroce, comment Monsieur Didier a-t-il pu avoir une idée aussi tordue. Je perds rapidement. Ce n'est pas grave car je reprends la tête après la troisième, même si cette fois, Charlotte a réussi à m'arracher un frémissement de plaisir. Elle jouit avant moi.

Je perds la quatrième et lorsque commence la cinquième, nous sommes à égalité.

Quand il met son bandeau, je laisse Charlotte prendre le premier tour. Je me doute bien que Monsieur Didier n'est pas un de ses éjaculateur précoce et qu'il ne va pas jouir en moins de dix secondes. Nous alternons une bonne dizaine de fois et je commence à paniquer quand Char-lotte est en train de le sucer et que je l'entends compter de plus en plus difficilement. CINQ... SIX... Du temps passe, SEPT... HUIT... Je tremble. Je le vois se raidir. NEUF... et le DIX qui me délivre.

Je me jette sur son sexe et il n'arrive pas à CINQ que je sens son foutre me remplir la bouche. Je me recule pour lui montrer que c'est moi qui aie reçu son jus dans ma bouche. Je vois Charlotte complètement désespérée en larmes. Je m'en fiche. Je viens d'échapper aux Ro-mains. J'avale et j'entends Monsieur Didier annoncer ma victoire.

— Donc c'est Natacha la grande gagnante! Tu peux aller rejoindre ton mari!

Je me rhabille pour partir et au moment où je vais ouvrir la porte, je reviens vers Charlotte. Je lui pose une bise sur la joue et je lui murmure à l'oreille :

— Je t'aime ma chérie!

Je n'ai pas l'impression qu'elle m'ait entendue.

Arrivée à la maison, je file prendre un bain. Ma chatte est trempée et il faut que je me soulage. Allongée dans l'eau, je prends le temps de me caresser, de me faire jouir en silence avec mes doigts.

En pyjama, je regagne la salle à manger. Pierre-Henri m'attends et nous échangeons des banalités sur notre journée.

Le vendredi, j'évite de croiser le regard de Charlotte à l'école et dans la nuit du samedi au dimanche, quand je fais l'amour avec mon mari, j'imagine la pauvre Charlotte abusée par tous ces hommes.

Cette image m'excite et à la grande surprise de Pierre-Henri, je pousse un hurlement de jouissance. Il plaque sa main sur ma bouche.

— Tu vas réveiller les enfants...

— Excuse-moi, mais c'était fort, que je n'ai pas pu me retenir...

Je le vois confirmer dans sa fierté de mâle. Cela me fait sourire, encore un sourire qu'il interprète mal. S'il savait ce que j'imaginais alors qu'il allait et venait en moi.

Quand je reviens de la salle de bain après m'être un peu essuyée, il me dit :

— Au fait, cet après-midi pendant que tu faisais les courses, le Père Sylvain a appelé. Il aimerait te voir avant la messe pour parler du catéchisme. Il a demandé si tu pouvais passer vers 9h30 au presbytère.

— Oui, j'irai.

Je me demande de quoi il veut bien me parler. Nous avons tout défini en début d'année.

— Ah... il a ajouté qu'il faillait que tu viennes avec ce que tu avais mercredi...

A ces mots je blêmis. Je comprends de suite de quoi parle mon mari, ce collier avec écrit "SOUMISE".

Je passe la nuit à tourner dans mon lit et quand je me prépare le dimanche matin, je suis un peu inquiète.

A neuf heures et demi, je rentre dans le presbytère. Le Père Sylvain me fait entrer et aussitôt sa main se pose sur mes fesses. Il me fait entrer dans ses appartements privés.

— Natacha, je ne te présente pas Albert, tu le connais.

— Oui! dis-je d'une voix faible.

Je suis debout au milieu de la pièce, les deux hommes tournent autour de moi.

— Retire ta robe et ce foulard... me dit Sylvain.

En tremblant, je dénoue le foulard et dévoile mon collier. Puis je déboutonne ma robe. Je suis en string et soutien-gorge blancs.

— Que penses-tu de ce cul, Albert?

Je sens la main du concierge venir me flatter la croupe.

— Il est encore bien ferme! Mais est-il accueillant?

— Je le pense, oui! Mais avant, elle va nous montrer ses autres talents... Viens nous sucer...

Le Père Sylvain et Albert descendent alors leur pantalon et ils me présentent leurs sexes noirs.

Je m'agenouille et je commence à les sucer. Rapidement, ils se raidissent et ils arrivent à leur plein développement. Je les aspire, je les lèches.

Bien raide, le père Sylvain s'assied dans un fauteuil.

— Allez! Retire ton string et viens t'empaler.

Humiliée, j'ôte le petit bout de tissu qui couvre mon intimité et je vais à califourchon sur le Père Sylvain. Je descends lentement. Son sexe énorme me pénètre comme mercredi matin. Il m'attire contre lui.

— A toi! Albert!

Je réalise alors ce qu'il va se passer.

— Nooooonnnnn!!!!! Il est trop gros...

Le père Sylvain me claque la fesse et je sens le sexe d'Albert se présenter devant mon petit trou. Je pleure, je crie.

Je sens le gland forcer le passage, puis dans une ultime poussée, Albert entre dans mon fondement et plaque son ventre contre mes fesses. Les deux hommes restent immobiles quelques secondes. Je les sens bien en moi.

Ils commencent alors à bouger en rythme, un entre, l'autre sort. Je me mords les lèvres. Malgré tout, je sens des vagues de plaisirs m'envahir. Je pousse de petits gémissements.

Ils accélèrent. Je suis en train de perdre pied. Puis ensemble, ils jouissent en moi. Albert s'avachit sur moi, je suis écrasée entre ces deux colosses noirs.

Ils reprennent leurs esprits et ils me demandent de les nettoyer.

— Il faut que je sois propre pour la messe, dit le Père Sylvain en riant.

Je m'exécute et quelques minutes plus tard, nous prenons tous les trois le chemin de l'église.

Pendant que le Père Sylvain va se préparer dans la sacristie, je m'assieds au milieu de la nef en attendant Pierre-Henri et les enfants. Je sens leur sperme couler dans mon string. Je me sens sale, souillée.

Je vois de loin la mère de Charlotte avec Thomas et Clotilde, malgré ce que je viens de vivre, je me dis que j'ai de la chance par rapport à ce que vit mon amie.

— Alors cette réunion, elle s'est bien passée? me demande Pierre-Henri en venant s'installer à côté de moi avec les enfants.

— Oui! Très bien, des petits détails à régler.

Il m'embrasse sur le front et la messe commence.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Très bonne série.

L1 petite musulmane tombera t elle sous le charme de Didier?

stephanois62stephanois62il y a plus d’un an

bonjour j espere que l on verra la mere en deressage aussi

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