Changements de vie pour Jessica 03

BÊTA PUBLIQUE

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Pourtant ma décision est prise. En tant que responsable, je suis habituée à prendre des décisions et à les suivre jusqu'au bout. J'ai décidé de me sacrifier pour sauver ma carrière et je suis bien décidée à aller jusqu'au bout. C'est comme n'importe quel autre projet. Il y avait toujours des problèmes mais jusque là j'avais toujours réussi à les résoudre. Dans ce cas particulier je prévois de faire la même chose.

Heureusement Daniel n'est pas dans le bureau des stagiaires. Et il n'est pas dans d'autres bureaux non plus. Où diable est-il? Il attend ma décision non? Il ne va pas me laisser m'inquiéter? Ais-je pris trop de temps avant de venir le voir? Pense-t-il que j'allais lui dire d'aller se faire voir? Est-il déjà en train de montrer les photos?

La panique commence à monter en moi alors que je continue à le chercher. Après avoir vérifié tous les bureaux du rez-de-chaussée, je remonte les escaliers pour m'assurer qu'il ne m'attend pas dans mon bureau. Finalement j'abandonne mes recherches. Est-ce que tout est fini avant que ça commence?

Je quitte le bâtiment avec une sensation de malaise. En sortant, je tombe sur mon homologue ORTEGA qui se tient à côté de la porte d'entrée. Il discute et fume une cigarette avec Daniel.

Je ne sais pas si je dois être contente ou inquiète. J'ai trouvé Daniel. C'est la bonne chose. Il est visiblement en train de devenir ami avec mon rival. C'est la mauvaise chose.

- Quelle prise magistrale! Une des meilleures performances que j'ai vue ces derniers temps. Vous avez pris le match sur vos épaules et vous avez retourné le cours du jeu.

ORTEGA est en train de louer les talents de joueurs du jeune latino.

- C'est trop d'éloges. Mais merci! Je fais juste mon boulot pour l'équipe. Répond Daniel.

Bon sang, ORTEGA ressemble à un fanboy. Je n'aime pas la façon dont il traite ce voyou macho comme une grande star de sport. Le garçon est déjà bien assez gâté. Ça va juste lui donner la permission de prendre plus de libertés au bureau. Et ce n'est pas bien pour moi.

Les deux sont tellement absorbés par leur discussion sur le football qu'ils me remarquent à peine. Je ne peux rien faire d'autre que de les rejoindre. Ils m'ignorent simplement et continuent à parler de football. C'est intolérable et ma colère monte contre leur arrogance. Pendant plusieurs minutes, je me tiens à côté d'eux sans savoir quoi dire. Je ne suis pas experte en sport, donc je n'ai pas grand-chose à apporter à la conversation. Mon silence me fait sentir encore plus stupide.

Finalement, ORTEGA termine sa cigarette et dit au revoir. Tandis qu'il se dirige vers sa voiture, Daniel ne bouge pas. Donc je reste debout à côté de lui. J'attends que ORTEGA soit monté dans sa voiture. Je n'ose pas dire les paroles demandées tant que mon rival est à portée de voix. Pendant tout ce temps, Le latino continue de fumer tout en me regardant avec un sourire suffisant collé sur son visage.

Il me laisse mijoter dans mon humiliation. J'aurais préféré qu'il me force simplement à le baiser. Cela aurait été beaucoup plus rapide. Au lieu de cela, je dois m'humilier de plein gré et être gentille avec ce voyou. C'est trop dur!

Finalement ORTEGA est parti. Le moment est venu. Alors je prends une profonde respiration et je me prépare. Mais je n'arrive pas à parler. C'est trop dégradant. Plusieurs fois j'essaie de me lancer, mais les mots ne veulent pas sortir de ma bouche.

Quand Daniel a fini sa cigarette, il attend dix secondes en me regardant me débattre. Puis il commence à s'éloigner. Bon sang, je ne peux pas le laisser partir! Des milliers de pensées me traversent la tête. Sans plus réfléchir, je prononce la phrase redoutée à voix basse :

- La pute est prête à servir.

Instantanément mon visage devient rouge de honte. Et quelque chose s'est brisé au fond de moi. Je suis consternée par la facilité avec laquelle ce macho m'a fait obéir. Toutefois, Daniel réagit à peine. Il continue simplement de me regarder.

- Tu m'as parlé? Finit-il par me demander d'un ton hautain et brutal.

- J'ai à peine entendu. Si tu veux me parler tu t'adresses à moi correctement, ok petite salope?

Il est arrogant et me regarde comme si je n'étais rien pour lui. Il continue :

- Mes copains m'appellent Dan, les filles m'appellent Daniel. Mais les putes comme toi m'appellent Monsieur Daniel.

Je m'étouffe presque en entendant ces mots. Il veut que je lui dise « monsieur ». Pire encore, il veut que je l'appelle Monsieur Daniel. C'est si ridicule que ça en est presque comique. C'est tellement pathétique de s'adresser à quelqu'un de cette façon.

J'ai du mal à avaler la boule qui s'est formée dans ma gorge. Je réfléchis à mon intention de garder ma fierté et ma confiance en moi. Je le sens s'éloigner. Je sais qu'il s'attend à ce que je répète la phrase. Mais cette fois il veut que ce soit haut et clair.

Je ne peux pas perdre plus de temps. Plus nous restons devant la porte d'entrée de la société, plus grand est le risque qu'un collègue sorte et m'entende me dégrader. Cette pensée éclaircit mon esprit. Si l'un de mes collègues m'entend, les photos ne seront plus nécessaires. Ma réputation sera foutue.

- La pute est prête à servir Monsieur Daniel. Crié-je aussi fort que je l'ai osé.

A la seconde où j'ai prononcé ces mots dégradants, j'ai regardé autour de moi pour vérifier si quelqu'un m'a entendu. Heureusement le parking est vide. Pourtant la honte brûle mes joues comme du feu.

- Qu'est-ce que tu veux putain? Demande Daniel.

Je prends une inspiration. Il me questionne devant les bureaux. Il veut que je le supplie de baiser ici en public.

- S'il vous plaît Monsieur Daniel, pendant tout le temps de votre stage, laissez cette pute vous servir après le travail. Dis-je finalement.

Cependant, le jeune latino semble insatisfait de ma demande. Pendant quelques instants, il continue de se tenir devant moi, les bras croisés, me laissant dans l'ignorance de ce qu'il désire.

- C'est pas bon. Qu'est-ce que tu offres exactement?

Il ne me laisse pas en paix.

- je veux que vous me baisiez Monsieur. Je veux sucer votre bite et vous faire jouir tous les jours après le travail. S'il vous plaît, Monsieur Daniel. Dis-je mourante d'embarras.

- C'est mieux sale pute.

Il accepte ma soumission. Puis il continue :

- Continue de te comporter comme ça et nous prendrons vraiment du plaisir après le travail, Miss Allumeuse. Pour commencer, en dehors du bureau tu m'appelleras Monsieur Daniel et toi tu seras petite pute ou salope. Souviens-toi de ça.

Il continue de m'humilier et me dit :

- Maintenant, donne-moi les clés de ta voiture!

Défaite, la tête basse, je lui tends les clés de ma voiture de sport. Puis je le conduis jusqu'à la place où je suis garée. A mi-parcours je me fige soudainement. Je sens une main sur mes fesses. Le latino est en train de les malaxer.

« S'il vous plaît, arrêtez » aurais-je voulu crier. Et si un collègue voyait ce geste indécent en sortant du bâtiment ou en regardant par la fenêtre? Cette idée me donne la chair de poule. Pourtant, je n'ose pas lui claquer sa main. Mais je ne peux quand même pas rester debout au milieu du parking avec la main de Daniel qui me pelote le cul.

Donc je me force à bouger. Mais la main continue à me caresser les fesses. Gémissante de désespoir, je suis sur le point de supplier ce macho de s'arrêter. Je marche aussi vite que mes talons me le permettent, comme si j'essaie de fuir le contact du garçon.

Bien sûr, sa main reste en place jusqu'à ce que nous atteignions ma voiture de sport. Il ne l'enlève qu'au moment où il se dirige vers le siège conducteur. Je pousse un profond soupir de soulagement lorsque je jette un coup d'œil par-dessus mon épaule et que je vois le parking désert, sans aucune présence de mes collègues. La journée a été assez mauvaise, j'ai quand même un peu de chance.

- Allez chérie, on va faire la fête. Me dit Daniel après être sorti du parking.

Je me remets encore péniblement de l'épreuve du parking et de la peur qui m'a saisie. Mais apparemment le jeune garçon a l'air décidé de continuer de me perturber. Que cela me plaise ou non, je suis embarquée dans de nouvelles épreuves.

Honnêtement, je n'ai pas vraiment réfléchi à la forme que prendraient ces rendez-vous après le travail. Je croyais que nous retournerions chez moi pour finir la journée. Mais, il me semble évident que j'ai sous-estimé la créativité de Daniel. Je lui ai donné tout pouvoir pour les heures après le travail et il est sur le point d'en profiter pleinement.

- Pourquoi n'ajouterions-nous pas un peu de piment à la fête? S'exclame le jeune latino.

Puis il continue :

- Jouons à un jeu! Si tu me fais jouir avant que l'on n'arrive chez toi, j'efface une photo. Es-tu d'accord?

Je le regarde aussi choquée que perplexe. Veut-il que je le suce pendant qu'il conduit? Nous sommes dans une rue bien animée en fin d'après-midi. Je ne peux pas le faire sans attirer l'attention.

- Qu'est-ce que tu attends pour me répondre petite salope! Grogne Daniel avec impatience alors que je ne réagis pas.

- Mets tes lèvres sur ma bite avant qu'il ne soit trop tard! Ordonne-t-il.

Et il ajoute triomphalement :

- Je pensais que les photos étaient très importantes pour toi!

Zut, il a raison! Son offre est trop bonne pour être rejetée. Une image en moins signifie un souci en moins pour moi. Peut-être vais-je arriver à me débarrasser de ces preuves compromettantes plus rapidement que prévu. Peut-être que ce cauchemar va se terminer plus tôt.

Malgré cette perspective, je le regarde comme une biche prise dans les phares d'une voiture. Je ne me sens plus du tout comme une femme d'affaire importante. J'ai l'habitude d'avoir le contrôle et de donner des ordres. Mais pour le moment, je n'ai plus aucune autorité. Je ne suis rien de plus qu'un jouet aux ordres de Daniel.

Je rassemble toute ma bonne volonté et je repousse ma répulsion. Finalement, je pose ma main gauche sur les genoux du jeune latino. Puis je la remonte et je commence à masser sa queue à travers son pantalon. Tout en faisant cela, je regarde dans la rue. Il y a des voitures partout, la circulation est dense. Daniel conduit au milieu d'une chaussée à trois voies et il roule lentement. Chaque camion ou voiture un peu surélevée a une vue parfaite dans ma petite voiture. Ils peuvent voir clairement ce que je fais.

Mon cœur bat la chamade. Nous roulons depuis un bon moment et nous devions nous rapprocher de son domicile. Je dois le faire. Je dois réprimer ma réticence à le faire. Je ne peux me permettre de me soucier des passants ou des autres chauffeurs. Il y a quelques instants, j'ai supplié ce petit macho de me laisser lui sucer la bite après le travail. Mais je n'ai pas précisé exactement où et quand. Je ne peux pas le décevoir maintenant. Je dois le faire tout de suite.

Ouvrant sa braguette avec mes doigts délicats, je sors sa queue bien dure. Je prends sa bite dans ma main tandis qu'il continue de conduire comme si de rien n'était. Encore une fois, je regarde aux alentours. Il y a un camion juste à côté de nous du côté de Daniel. Si le conducteur décide de nous regarder, il va tout voir.

Mon cœur bat si fort dans mes oreilles qu'il couvre tous les autres sons. Et pourtant je sais que caresser sa queue ne va pas être suffisant pour Daniel. Lentement, je me penche jusqu'à ce que ma tête plane au-dessus de ses genoux. Sa queue est dressée comme un mât. J'ouvre mes lèvres douces. Mais avant de pouvoir poser ma bouche sur son gland, il retire sa queue.

- Tssssss...

Il me gronde comme un enfant :

- Tu veux ma bite? Tu dois me supplier pour ça!

Il joue avec moi. Il veut que je sente bien la domination qu'il m'impose. J'ai une boule dans la gorge que je dois avaler. C'est déjà assez humiliant de devoir faire une pipe à ce voyou macho dans ma propre voiture en plein jour. Devoir le supplier est pire surtout qu'il faut que je sois respectueuse avec lui. Est-ce que ça va empirer?

- S'il vous plaît Monsieur Daniel, S'il vous plaît, laissez votre salope sucer votre bite. Dis-je finalement complètement honteuse.

Je me sens réellement soumise et rabaissée de lui obéir comme ça. Et l'appeler Monsieur alors qu'il est plus jeune que moi est avilissant. Ça me donne la chair de poule. Me nommer moi-même comme salope n'est pas mieux. Si quelqu'un m'entendait parler comme ça je deviendrais un objet de risée.

Quoi qu'il en soit, c'est exactement ce que le jeune latino voulait entendre. Quand j'essaie de baisser ma tête et mettre mes lèvres sur sa bite, il me laisse faire. Je tourne la langue autour de son gland tout en caressant sa hampe. Puis lentement, je commence à pousser ma bouche vers le bas tout en levant le poignet vers le haut. Je suce son membre charnu pour l'humidifier.

Je m'applique à lui faire une pipe sensuelle avec ma langue vigoureuse. Mais il ne faut pas que je sois trop agressive car Daniel doit conduire la voiture. Si bien que son gland a tout mon attention.

OOONNNNKKK OOOONNNNKKK.

Je suis surprise par le klaxon d'une voiture. Frénétiquement, je regarde par la fenêtre. Le camion du côté de Daniel klaxonne en s'éloignant. Je peux voir le visage souriant d'un homme barbu sur le siège passager du camion. Instantanément je rougis d'un rouge profond comme jamais. Je suis tellement gênée. Mais pendant ce temps, un autre camion avec deux types d'âge moyen se glisse à côté de ma petite voiture.

- Allez salope. Fais leur plaisir! Montre tes nichons! S'écrie Daniel

- Nonnnn Monsieur! Réponds-je instantanément en protestant.

Puis rapidement je lui dis :

- S'il vous plaît, Monsieur Daniel! c'est trop osé, nous sommes en public!

Le jeune voyou me répond simplement :

- Allez petite pute! Ne sois pas timide aujourd'hui. Nous savons très bien que tu es un peu exhibitionniste. Rappelle-toi comment a apprécié le plombier l'autre jour. Je sais que ces camionneurs veulent voir ta poitrine. Et tu aimes que l'on te regarde.

Il me rappelle mon comportement de salope dans mon jardin.

- Allez, dépêche-toi. Tu veux bien récupérer une photo non?

Ce sont ces derniers mots qui me font bouger. Je laisse ma veste de costume noir glisser sur mes épaules et mes mains se posent sur mon chemisier blanc. Je défais tous les boutons et j'ouvre les pans du chemisier pour exposer mon soutien-gorge noir. J'attrape les deux bonnets et je les baisse pour libérer mes deux gros seins bien ronds.

TUUUUTTT TUUUUUTT.

Encore une fois, je me mets à trembler. C'est Daniel qui klaxonne cette fois-ci. La conséquence est qu'il attire l'attention de tous les véhicules autour de nous. Toute de suite mon regard se pose sur les deux camionneurs qui examinent ma voiture de sport. Ils me voient avec ma poitrine à l'air.

OOONNNNKKK OOOONNNNKKK.

Le chauffeur du camion klaxonne en remerciement. Du coup, je me sens vicieuse. J'ai l'impression d'être une pute bon marché. Des inconnus lorgnent mes seins nus. Ils doivent se dire que je suis une grosse pute qui aime exhiber ses charmes en public. Daniel m'ordonne alors :

- Bien salope. Maintenant joue avec tes nichons. Montre comme ils sont gros.

La poitrine à l'air, il n'y a plus de retour possible. Donc finalement je cède et j'obéis autant aux ordres de Daniel qu'à mes propres besoins. Prenant mes seins pleins et amples sur le côté, je les serre ensemble pour les faire gonfler. Le but est de les rendre plus ronds et plus volumineux. Lentement je commence à pétrir la chair de mes nichons avant de donner des coups de langue sur mes tétons durcis.

Mon Dieu, ça me fait du bien! M'exposer ainsi en public me donne un tel frisson érotique que ça en est embarrassant. Mon esprit devient brumeux et ma chatte commence à me démanger.

- Maintenant suce ma queue, fais-moi jouir Miss Allumeuse. Dit Daniel pour reporter mon attention sur sa bite.

Je sens le regard des camionneurs alors que je me penche sur les genoux du jeune latino et que je reprends sa queue dans ma bouche. Cette fois, j'avale son membre aussi loin que je le peux. Je fais glisser mes lèvres sur les deux-tiers de son engin. Puis je commence à bouger ma tête de haut en bas. Je veux qu'il jouisse le plus vite possible.

Je garde ma bouche autour de son gland en faisant tournoyer ma langue. Pendant ce temps, je caresse rapidement son manche épais avec ma main droite et j'utilise ma main gauche pour serrer ses couilles. C'est trop pour Daniel. Sa bite commence à palpiter et une grosse charge de sperme tombe directement dans ma bouche ouverte. Le foutre chaud et visqueux éclabousse mon palais et remplit complètement ma bouche. Il a tellement éjaculé qu'un peu de sperme coule sur les coins de mes lèvres.

Quand je me relève, j'ouvre la bouche pour montrer tout le foutre que j'ai dans la gueule. Je remarque que le camion roule toujours à côté de nous. Les deux camionneurs peuvent voir clairement voir le liquide dans ma bouche et celui qui coule sur mon menton.

J'ai un sursaut d'humiliation mais c'est moins dur qu'auparavant. Je frémis, mon corps réagit avec plaisir d'être le centre de l'attention. J'avale le sperme du jeune garçon et tout en penchant la tête en arrière, j'ouvre la bouche pour montrer que j'ai tout avalé.

OOONNNNKKK OOOONNNNKKK.

Une fois de plus, le chauffeur du camion klaxonne pour applaudir mes efforts avant de filer à toute vitesse. Dans mon esprit embrumé, je ressens une secousse d'orgueil. Ça me semble irréel. Je viens de faire une fellation à un macho dans ma voiture alors que d'autres personnes regardaient.

- Non, ne fais pas ça! M'arrête Daniel alors que je commence à refermer mon chemisier blanc.

- Agis comme une salope! Montre-moi ta grosse poitrine!

Ce salaud me permet seulement de repousser les bonnets de mon soutien-gorge sur mes seins et de fermer juste un bouton de mon chemisier sous ma poitrine. De cette façon, mes gros seins sont poussés vers le haut et sont vulgairement exposés. Mes longs cheveux châtains et raides coulent le long de mes épaules et se posent sur ces monticules charnus et bombés, ce qui les fait paraître encore plus énormes.

A suivre...

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AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Il va y avoir du lourd dans les suites.

Rudy

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